Fallait Pas

Tout a commencé par un petit flirt anodin. Avec la nouvelle stagiaire du cabinet fiduciaire dans lequel Robert travaillait. Très jolie blonde, plutôt petite, habillée sexy, Carine était une jeune femme de 22 ans qui a fait tourner la tête de tous les mâles du bureau. Robert n’a malheureusement pas pu échapper à cette épidémie. 
Les joutes verbales inoffensives ont rapidement dérivées vers un flirt plus direct et plus érotique. 

Bientôt, ils s’échangeaient des messages de plus en plus coquins. Même si aucun des deux n'était célibataire. 
Ces messages étaient criblés de sous-entendus sexuels et même d'images pornographiques. 
Robert commençait à réaliser que cette ingénue à l'air si candide, avec ses grands yeux bleus remplis d’innocence, était en fait une petite perverse, délurée et même vicieuse.

Cette gamine excitait beaucoup Robert, jeune trentenaire, et lui retournait la cervelle.
Bérengère, la femme de Robert, magnifique brunette, était beaucoup plus réservée.
L'attitude de Carine, sa façon de s’afficher, de s’exprimer, elle l'aurait probablement traitée de pétasse. Voire pire.

Robert n’avait pas les mêmes considérations. Il trouvait Carine très sexy, très délurée, mais ce qui rendait leurs sextos si divertissants, c’était l’hypothèse, voire sur un malentendu, l’opportunité de la baiser !
Robert a osé formuler sa demande et Carine lui a répondu qu'elle voulait bien de sa bite. Mal. Très mal !
Robert a perdu le peu de jugeote qu’il lui restait et il a finalement pris ses dispositions pour se rendre dans un hôtel voisin, un soir de la semaine suivante, le tout sous couvert d'avoir à travailler tard.

La veille de ce rendez-vous, Robert prenait son petit déjeuner en compagnie de Bérengère. 
Elle vaquait dans sa cuisine en tenue de nuit, un short très court et un top minimaliste. 
Elle n'arrêtait pas de le taquiner et de rire à chaque fois qu'il essayait d’attr ses rondeurs.


Il pensait à ce moment-là qu’elle était incroyablement bien faite et qu'il n'avait besoin de rien d'autre. 
Il était amoureux, content de sa jeune femme, à la fois sérieuse et séduisante.
C’était complètement idiot, cette idée de vouloir baiser avec Carine. 
S’il se faisait prendre en faute avec cette petite salope, son mariage serait foutu. 
Puisque rien d’irrémédiable ne s’était produit, Robert a décidé à ce moment-là d'annuler la soirée à l’hôtel.

Plus tard dans la journée, il a envoyé un message à Carine pour tout annuler.
Il avait été complètement idiot auparavant, il avait très envie d’elle, elle était magnifique, mais il était marié, etc ... 
Carine était furieuse d’être rejetée de la sorte. Elle lui a rappelé qu'elle avait conservé tous les messages coquins qu'il lui avait envoyés. Elle a dit qu’il était stupide, qu'il était foutu, qu'elle ne supporterait pas cette humiliation. 
Elle n'a répondu à aucun de ses messages et ne lui a pas adressé la parole au bureau de toute la journée. 
Inutile de dire qu’il n’en menait pas large, et qu'il avait peur de sa réaction.

Le week-end suivant, Robert se promenait dans le centre commercial avec Bérengère à son bras.
Ils faisaient les boutiques et du lèche-vitrine en attendant l’heure du déjeuner. 
L'incident du début de semaine avec la petite stagiaire au bureau était oublié. Il était si heureux avec sa femme. 
Ils sortaient d'un magasin, lorsqu’ils entendirent un "Hello !" sonore et joyeux. Robert a failli se sentir mal.

Il se tourna vers Carine qui s'approchait d'eux, les bras chargés de sacs, un sourire joyeux sur son visage. 
Bérengère tourna un regard interrogatif vers Robert, tandis qu’il utilisait toutes ses capacités de poker-face.
Robert fit les présentations, expliquant à sa femme qui était Carine et d’où il la connaissait. 
Après avoir dit bonjour à Bérengère, Carine a demandé à Robert pourquoi il ne lui avait jamais dit que sa femme était si magnifique.
 Robert pouvait voir que Bérengère était flattée, elle a répondu à Carine qu’elle aussi, était très belle. 

Les deux jeunes femmes ont commencé à comparer leurs emplettes, s’extasiant chacune sur les achats de l’autre.
Quelques minutes ont suffit, elles étaient devenues copines comme de vieilles amies de lycée. 
Derrière son visage impassible, Robert paniquait, transpirait, et son estomac se tordait d’appréhension. 
Déjà surpris par l’intrusion de Carine, il était dévasté par la crainte de voir les deux femmes devenir copines.

Se remémorant les griefs et les menaces de Carine, Robert a été tiré de sa méditation en les entendant faire des plans pour un déjeuner en semaine. "Quoi ? Quand ? Un déjeuner ?" s’exclama-t-il, un peu trop surpris.
"Oh, ne t'inquiète pas," répondit Carine "nous les filles, nous aimons bien aller faire du shopping pendant la pause de midi en grignotant un sandwich. Ta femme est tellement gentille et je connais un magasin qui vient d’ouvrir." 
Il se tourna vers Bérengère qui se contentait de sourire en hochant la tête. 

Qu'est-ce que Carine mijotait? Voulait-elle mettre Bérengère dans la confidence en lui révélant les sextos? 
Il ne pouvait certainement pas s’y opposer, ce serait trop suspect.

Robert était une boule de nerfs en voyant approcher le jour fatidique, il échafaudait déjà un scénario catastrophe.
Lorsque le jour fatal est finalement arrivé, il attendait l’appel téléphonique d’une Bérengère enragée.
Cet appel n'est jamais venu. Le soir, au cours du dîner, devant son insistance à connaître les détails de sa journée, sa femme lui a simplement dit qu'elles avaient passé un bon moment et que Carine était très sympathique.
Puis elle a ajouté : "En fait, nous nous entendons tellement bien qu’elle est devenue mon amie ! Et nous avons prévu d'aller à cette nouvelle exposition qu'ils présentent à la galerie d'art, jeudi après-midi !" 

Robert pensait qu'il ne pouvait pas intervenir sans que son attitude soit suspecte, mais laisser Carine devenir amie avec Bérengère lui glaçait le sang.

Quelle aurait pu être son excuse? Il a décidé de laisser les choses évoluer et de voir ce qu’il adviendrait.

L'exposition était intéressante et les filles ont passé un excellent moment, discutant de tout et de rien, racontant même des ragots sur les collègues de travail de Robert. Elles ont décidé de prendre un thé dans un bar proche de là. 
Le temps était beau et chaud, donc elles pouvaient profiter de s'asseoir en terrasse et savourer la vue.

En allant là-bas, un petit groupe de blacks, habillés comme des voyous, les ont croisés sur le trottoir. Au passage, les blacks ont ouvertement branché Bérengère et Carine, qui portaient des tenues légères en raison de la chaleur. 

Bérengère pensait que leurs commentaires sur les filles étaient inappropriés et insultants.
Comme elle en avait l’habitude, Bérengère a ignoré leurs commentaires obscènes en regardant droit devant elle tout en continuant à marcher, sans donner à ces ploucs la satisfaction de les remarquer. 
Cependant, arrivées au salon de thé, les commentaires de Carine ont surpris Bérengère :
"Waouh ! As-tu vu comment ces mecs étaient sexy ? J’en ai l’eau à la bouche !"

Bérengère dévisagea Carine avec une expression d’incrédulité sur son visage : "Quoi ? Sexy ?" 
Elle croyait que Carine plaisantait, mais en la voyant hocher la tête d’excitation, son étonnement augmenta :
"Je n'aurais jamais imaginé qu'une jeune fille mignonne comme toi apprécierait des racailles comme ceux-là !"

Les yeux de Carine s’élargirent de fièvre: "Ah ouais ! Incontestablement ! Je pense qu'ils sont beaucoup plus sexy que les petits minets blancs ! Et ils ne sont pas grossiers, ils sont juste naturellement dominants et arrogants. Des vrais machos ! C'est ça qui les rend si sexy !" 

Bérengère ne savait pas quoi lui répondre. Bérengère n'avait jamais pensé aux blacks comme objet de désir sexuel. 
Non pas qu'elle soit raciste ou quoi que ce soit, mais elle a été élevée dans un milieu où les Noirs et les Blancs ne se fréquentaient pas beaucoup.

Son cerveau ne pouvait pas faire le lien entre l’apparente délicatesse de Carine et sa déclaration choquante. 

Mais ce n’était rien comparé à ce que Carine lui a dit ensuite : "Je peux bien te le dire, j'ai un copain blanc. Nous sommes ensemble depuis un an maintenant et il est vraiment attentionné et gentil. Mais mon homme, c’est Tony, un black équipé d’une bite incroyable, et qui sait vraiment bien l'utiliser ! C'est tellement incroyable d'avoir cette grosse viande noire dans ma petite chatte blanche ! Il me retourne le cerveau quand il me baise !"

Bérengère était juste muette de stupéfaction. Carine était passée de fille gentille et marrante à salope en un instant ! Heureusement qu’elle était assise, car Bérengère serait tombée par terre d’ahurissement. 
Elle ne pouvait rien dire, incapable de trouver la réponse appropriée. 
C'était tellement surréaliste d’imaginer le petit corps pâle de Carine subir les assauts d’'un grand black musclé.

Elle avait entendu des commentaires sur leurs bites, bien sûr, mais elle pensait que ce n'était que des blagues. 
En outre, elle ne se souciait pas des gars qui avaient une attitude et des vêtements de "mauvais garçons", ayant grandi avec l'idée d'un "Prince Charmant" comme compagnon idéal.

"Quoi? Tu ne me crois pas?" Carine pouvait voir la confusion s’inscrire sur le visage de Bérengère.
"Tiens ! Regarde !" Elle sortit son téléphone et montra une photo à Bérengère. 
C'était un selfie du visage souriant de Carine. Contre sa joue, la bite d’un black, aussi grande que son visage. 
Incroyablement épaisse, noire et menaçante, comme un gourdin de chair.

La mâchoire de Bérengère s'est ouverte, mais aucun mot n'est sorti. 
Les pensées qui traversaient son esprit étaient primitives, fondamentales. 
Comment Carine, si petite, si menue, pouvait recevoir un tel gourdin sans souffrir le martyre ?
Elle a d'abord eu peur, en pensant à la douleur, mais en même temps, elle était inexplicablement émoustillée. 
Beaucoup trop ! Son ventre bruissait d’envie. Elle pensa que c’était simplement de la curiosité.
Elle se tourna pour dévisager Carine et nota à quel point leurs corps étaient semblables. 
"Si elle le peut, pourquoi pas moi ?" elle pensait.

Trente minutes plus tard, le téléphone de Robert a vibré. En reconnaissant la sonnerie personnalisée qui lui indiquait que c'était Bérengère, son angoisse l’a repris : "Salut, bébé!" 
"Bonjour, mon cœur ! J'espère que je ne te dérange pas trop au travail. J’ai passé une bonne journée avec Carine." 
Robert lui a dit qu'il était content pour elle, et lui a demandé quand elle pensait rentrer.

"Eh bien, c'est pour ça que je t'appelle." La voix de Bérengère est devenue légèrement plus perchée et hésitante. 
Si Robert avait été un peu plus attentif, au lieu de s'inquiéter de savoir si Carine l'avait dénoncé, il aurait remarqué que le ton de la voix de Bérengère trahissait maintenant sa nervosité. 

"Nous nous sommes tellement amusées toute cette journée, que Carine m'a convaincue de sortir "entre filles" ce soir, avec quelques unes de ses amies. J'espère que cela ne t’ennuie pas, chéri ? Je t’aurais bien proposé de venir mais tu vas travailler demain matin ! Et puis, une soirée entre filles ..."

Robert s'était préparé à un appel plein de reproches au sujet de ses sextos avec Carine, donc la première impression fut le soulagement. Cependant, il n'était pas sûr d’aimer cela : "On pourrait en parler quand tu rentreras à la maison pour te changer avant de sortir ?" proposa-t-il, essayant d'éviter d'avoir à dire non au téléphone avec Carine juste à côté.

"Oh, ne t'inquiète pas pour ça ! Carine et moi sommes de la même taille, alors elle va me prêter des vêtements, des chaussures et du maquillage. Je n'ai pas besoin de rentrer pour me changer, je vais juste me changer chez elle. Ça va être marrant ! Probablement juste quelques verres et ensuite je prendrai un taxi pour rentrer. Merci beaucoup, mais ne t’inquiète pas pour moi ! " 

Robert ne se souvenait pas d'avoir même laissé entendre qu'il se faisait du soucis pour elle, mais au moins son secret était en sécurité pour l'instant. Peut-être que Carine avait simplement piqué une crise sous le coup de la déception mais qu'elle s'en était remise depuis. Après tout, elle était jeune, alors peut-être qu'elle se souciait surtout de se faire des amis et de faire la fête, plutôt qu'autre chose.

Plus tard dans la soirée, il a reçu un message sur Snapchat, une application qu'il n'avait téléchargée et utilisée qu'après avoir rencontré Carine. Elle avait insisté pour lui envoyer des photos osées d'elle, à divers stades de déshabillage, avec et sans sous-titres, mais uniquement sur cette application. Quand il a ouvert l’application, il a pu voir que le message venait bien de Carine.

C’était une photo prise dans un lieu faiblement éclairé. Il a compris qu'il s'agissait d'un selfie pris par Carine.
Très sexy, dans une tenue à faire bander un mort. Derrière elle, un groupe de personnes. Il pouvait voir que la photo avait été prise discrètement car personne d'autre ne prêtait attention à la caméra. 

Le groupe était composé de garçons et de filles. (une soirée entre filles?) Tous les gars étaient des blacks, toutes les filles étaient blanches. Robert a mis un moment à reconnaître Bérengère maquillée comme une voiture volée.
Elle était assise, il ne voyait pas le bas, mais ce qu’il voyait en haut ne lui plaisait pas beaucoup …

Une autre chose qui ne lui plaisait pas, c’était ce bras autour de l'épaule de Bérengère. Un bras noir, musclé, orné de tatouages, le bras d’un type qui se comportait comme si cette petite femme lui appartenait
Il semblait être très grand, balèze, avec des cheveux très courts et une barbe courte. 
Il regardait les deux personnes assises face à lui, de l’autre côté de la table. 
L'une de ces personnes était un black immense, crane rasé, chemisette blanche. L’autre personne, une petite femme blanche, inconnue de Robert, et qui semblait s’affairer sous la table, entre les jambes du grand black.
Ce qui dérangeait le plus Robert, c'était de voir à quel point Bérengère semblait passionnée par l’activité de la fille en face d’elle et la promiscuité qu’elle semblait tolérer du grand black assis à côté d’elle.

Robert a essayé de joindre ou d'envoyer des messages à Carine et à Bérengère, mais sans succès. 
Après une bonne demie-heure, il a reçu un message de Bérengère, qui lui disait qu'elle était dans un bar avec des amis de Carine, des couples de gars et de filles. Elle lui a dit aussi qu'elle ne rentrerait pas tard mais que Robert ne devait pas l’attendre car il allait au travail demain. Cela se terminait par un "Je t'aime !" avec un smiley soufflant un baiser. 

Robert se dit que c'était peut-être plausible. Après tout, la photo n’était pas terrible. Et elle avait dit la vérité sur le fait d'être dans un bar avec des amis. Elle n'avait pas mentionné qu'ils étaient noirs, mais pourquoi le ferait-elle? 
Et la fille qui semblait s’affairer sous la table, c’était peut-être son imagination … ou une coïncidence.
Il a essayé de calmer ses pensées moroses et de s’intéresser à la télévision, sans succès ...

Après environ une heure d'attente anxieuse, le téléphone de Robert a reçu un nouveau message Snapchat. 
Le cœur de Robert s’est emballé dès qu’il l'a ouvert. 
C'était une vidéo enregistrée à l'intérieur d'un club avec de la musique forte et beaucoup de gens faisant la fête. 
La vidéo se concentrait sur une jolie fille vêtue d'une robe noire très courte, dansant avec le cul pressé contre l’immense noir chauve à la chemisette blanche. Une boule a grossi dans le ventre de Robert quand il a reconnu Bérengère dans cette posture indigne d’une femme mariée. Bérengère était magnifique, riant à pleines dents, bougeant son corps, semblant s’amuser beaucoup. Elle avait l'air minuscule avec ce géant noir collé derrière elle.

Robert a frénétiquement appelé et envoyé des messages à Bérengère et à Carine, mais sans réponse. 
Il était furax, jaloux, mais le pire, c’était de ne pas pouvoir rejouer la vidéo. 
Il avait besoin de la revoir; pour analyser ce qui se passait sur cette piste de danse. 
Il voulait croire que Bérengère s'amusait simplement sans faire de mal, mais quelque chose lui criait danger. 
Le contraste entre cette petite femme blanche et cet immense black était incroyable, redoutable et hallucinant.

Robert a attendu encore plus d’une heure et demie avant qu’il ne reçoive le message Snapchat suivant. 
Il l'ouvrit immédiatement, mais rien n’aurait pu le préparer à voir cela. C'était une vidéo, mais plus dans le club, à l'intérieur d'un appartement, et la personne qui filmait se déplaçait dans un couloir sombre. 
La caméra est arrivée dans un salon. Les lumières étaient très faibles et la musique très forte. 

Dans un coin, sur le canapé, le grand black chauve avait quitté sa chemisette blanche.
Vautré sur le canapé, il se faisait sucer la bite par Bérengère, agenouillée entre ses jambes écartées. Elle était nue, juste un misérable string dans la raie des fesses, et le black lui tripotait les nichons pendant qu’elle le suçait.
Robert ne pouvait pas croire ce qu’il voyait. Et pourtant, comme pour lui ôter le moindre doute, le black gigantesque a attrapé les cheveux de Bérengère pour les tenir dans une sorte de queue de cheval sur sa tête.
La caméra s’est approchée tout près, et Robert a pu clairement voir Bérengère sucer, lécher, branler cette énorme bite.
Le plus surprenant, c’était son regard. Les yeux dans les yeux de son amant, ils avaient établis une liaison solide.

Les entrailles de Robert se retournèrent. Il devenait fou! En même temps, s’il était jaloux et en colère, ce n’était pas les sentiments qui dominaient. Surtout, il était excité. Son sexe n'avait jamais été aussi dur de toute sa vie !

Il a vainement essayé de rejouer la vidéo, mais il n’avait pas compris le fonctionnement. Heureusement, la vidéo suivante est arrivée rapidement. Cette fois, Bérengère était allongée sur le canapé et l’image était plus nette, comme si la caméra était posée sur un pied. Robert ne savait si Bérengère savait qu’elle était enregistrée ou non. 

À en juger par ce qu’il voyait, elle s'en fichait probablement. Le grand black était agenouillé entre ses cuisses ouvertes, elle avait les jambes en l’air, son string pendait à sa cheville, et elle avait gardé ses talons. Robert avait l’impression d’assister au tournage d’un film porno.

Le grand black dévorait sa petite chatte rasée. Bérengère frissonnait, sa tête oscillait d'un côté à l'autre, les yeux fermés. Robert pensait qu'il était très bon pour manger la chatte, car elle n'avait jamais réagi comme ça avec lui.

La vidéo suivante est arrivée peu de temps après. Robert, les yeux fermés, la main sur le sexe, revoyait la scène. 
Cette fois, Bérengère couvrait son visage avec ses mains, soit par incrédulité, soit par embarras, tandis que le grand black chauve frottait son énorme et épais python noir sur la petite chatte scintillante de salive, tantôt caressant, tantôt tapotant son gland sur le clitoris dressé.

Robert se recentra sur le visage de Bérengère. Ces beaux yeux grand ouverts fixaient la pénétration imminente par l’énorme bite noire. Ses yeux trahissaient sa nervosité mais aussi la luxure, le désir, l’impatience. 
Ils s’agrandirent un peu plus lorsqu'il commença à pousser sa virilité surdimensionnée dans sa chatte, et un petit cri aigu s’échappa de sa bouche. Robert ne pouvait pas croire que cette grosse bite pouvait la pénétrer sans la déchirer.
Ironiquement, au même instant, Bérengère pensait exactement la même chose.

La vidéo suivante est arrivée environ quelques minutes après, et pas trop tôt pour Robert qui s’impatientait. 
Dès qu'il l'ouvrit, des gémissements bruyants s’échappèrent de son téléphone. 

Bérengère se faisait maintenant superbement baiser par le grand black chauve.
Cette fois, c'est Robert qui écarquilla les yeux sous le choc. Le gars avait glissé ses grandes mains sous les fesses de Bérengère. Les pattes en l’air, accrochée aux épaules musclées, ce taureau furieux démolissait sa petite chatte serrée à grands coups de bite. Et elle adorait ça ! Clairement, Robert l’entendait quémander encore plus !
Robert n’a pu s’empêcher de caresser sa bite.

La vidéo suivante montrait le couple dans une chambre, sur un lit avec des draps blancs. 
Le grand noir chauve était allongé sur le dos et Bérengère le chevauchait assidûment.
Leurs deux corps transpirant abondamment, et le claquement de leurs chairs était parfaitement audible. 

Robert ne savait pas que Bérengère pouvait être aussi bruyante. Elle gémissait et geignait, haletante, et poussait même de petits cris aigus lorsqu’elle absorbait toute la longueur de la bite, emportée par son élan.
Sa chatte laissait une couche de crème blanche épaisse sur la bite du mec, un phénomène que Robert ignorait.
Robert se rendait compte à présent qu’il ignorait beaucoup de choses sur Bérengère.

Soudain, l'autre black du club, le tatoué barbu aux cheveux courts qui enlaçait Bérengère sur la première photo, est apparu nu dans le champ, marchant vers le lit, précédé par une bite énorme qui se balançait.
Au grand désarroi de Robert, la vidéo s’est interrompue, limite de temps atteinte.

Presque immédiatement, la suivante est arrivée. Le deuxième black était penché derrière Bérengère, qui ne lui prêtait aucune attention. Elle était trop occupée à rebondir sur la bite dressée. Il tenait, semble-t-il, une bouteille de lubrifiant dans une main, et de l’autre il doigtait le cul de Bérengère. 

Le deuxième black s’est agenouillé derrière elle et a commencé à presser sa bite lubrifiée contre le petit trou du cul serré de Bérengère. Robert a réagi comme s’ils pouvaient l’entendre : "NON ! Pas ça !"
Curieusement, Bérengère a réagi exactement de la même façon : "NON ! Pas ça !"
Le grand black tatoué lui a donné une claque sur la fesse : "Tais-toi, salope!"

La vidéo s’est interrompue. Robert était inquiet pour sa femme. Elle n’avait jamais pratiqué le coït anal. Elle était toute neuve de ce côté, ayant toujours refusé à Robert cette privauté. Robert était inquiet, mais excité. Sa bite dressée devenait lancinante. Il avait tellement honte de lui-même. Il aurait dû protéger sa femme, ne pas être excité de la voir utilisée comme ça.

La vidéo suivante est venue quelques minutes plus tard, interrompant le cours de ses pensées angoissées. 
Bérengère était dans un état que Robert ne pouvait imaginer. Elle s’agitait en hurlant des insanités aux deux blacks qui la double-pénétraient. En transe, la chatte et le cul dévastés par deux énormes bites noires, elle réclamait encore plus, la bouche grande ouverte, les yeux révulsés sur sa propre jouissance.
Robert ne s'attendait pas à voir Bérengère se comporter comme une pute en train de tourner un porno. 
Sans rien faire, sans pouvoir se retenir, Robert a éjaculé sur le tapis.

Le message suivant était de Carine, et il disait :
"Tu m’as rejetée, tu t’es moqué de moi, fallait pas … Cocu ! Voilà le résultat !" 

Le dernier message que Robert a reçu de la soirée, c’était une image de Bérengère, trempée de sueur, allongée sur le lit. Son bras replié couvrait son visage, l'autre main montrait un pouce levé vers la caméra. Jambes largement ouvertes, elle montrait à la caméra ses orifices distendus, dégorgeant des flots de sperme crémeux.
La légende disait : "Comme tu ne vas plus pouvoir l’utiliser pendant un certain temps, prépare ta langue pour la nettoyer quand elle rentrera à la maison !"

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