Soumission, Interdit Et Fellation.

Marie avait prétendu rejoindre une amie pour aller à la salle. Je l’ai rejoint dans la rue sans la regarder. Je marchais devant lentement et elle derrière moi, sans un mot. Elle pensait à ce qu’elle allait faire, ne sachant pas encore à quel point cela serait surréaliste.

Elle marchait lentement. J’ouvris une première porte, qu’elle ratt avant qu’elle ne se referme, puis une seconde. Nous avons descendu un escalier en pierre, et dans la pénombre et le frais, nous avons avancé jusqu’à la cave.

La porte fermée derrière nous, elle était encore un peu timide. J’ai empoigné son cul tandis qu’elle posait sa gourde. Je l’ai fesse si fort qu’elle a tressailli d’excitation. Puis je l’ai plaqué sur le mur et j’ai empoigné sa chatte, d’abord doucement, puis je l’ai soulevé contre le mur sa chatte suspendue par sa chatte dans ma main appelant à une pénétration impossible. Je l’ai doigté par dessus ces vêtements, et en un temps record, elle a jouis.

Je lui demandé si elle était encore essoufflé. Elle m’a répondu non, alors j’ai empoigné sa nuque et je l’ai agenouillée. Je n’ai pas beaucoup eu besoin de la . Déjà ces yeux guettait la queue. Elle était venue juste pour ça : me sucer. Je lui ai demandé de le dire. «  je vais te sucer la queue »´ disait-elle à accroupie tandis que je sortais ma queue déjà gonflée. Très vite j’ai senti ses lèvres sur mon gland, s’enfoncer centimètres par centimètres plus loin sur ma tige de chair guidant sa bouche et son désir. Je lui ai demandé si elle aimait ça, me sucer en pensant à son homme à la maison. Qui l’attendait sagement, prude et docile.
Si elle aimait l’idée de rentrer l’embrasser avec cette même bouche qui allait bientôt l’air de mon sperme avant qu’il ne coule au fond de sa gorge. Elle m’a répondu qu’elle adorait en augmentant la cadence. Je lui demandait de me bouffer les couilles et elle exécutait. Ma main pressait sa tête, et je collais ma queue dans l’intérieur de sa joue pour voir sa bouche se déformer.

Je l’ai traité de chienne, je lui ai dit qu’elle était la petite pute. Docilement, elle l’a répété. Docile. Mais experte, soumise, excitée et excitante. Abandonnée dans l*interdit avec son compagnon exclusif de jeu libertin.
Puis j’ai retiré ma queue de sa bouche, et j’ai craché dedans avant de replonger sa bouche sur ma queue, parsemé de quelques petites gifles pour sentir mon chibre sous sa peau.
L’excitation était à son comble, et j’ai jouis. Elle a jouis mentalement avec moi, empathique dans son plaisir. Avec puissance et quantité, elle a eu du mal à tout prendre, et les giclées qui frappait contre sa glotte ont provoqué un haut de cœur, elle a retiré sa bouche avec une nausée passagère.
Mais je continuais de juger sur elle, et pour ne pas en perdre une goutte, elle m’a repris en bouche. « Elle est courageuse », je pense. J’ai envie de la faire jouir aussi. Elle me regarde, et déglutit.
Je lui tend j mouchoir, en la regardant couverte de mon foutre et je pense : « Tu vas devoir laver tes vêtements cherie ». Elle se lève, prend une gorgée d’eau et je place un cousin pour qu’elle se réponse assise.
Je n’ai toujours pas débandé. Très vite, je pose ma queue sur son visage. Elle m’a dit « tu ne me laisse pas le temps de souffler ? », en vérité satisfaite de voir que je ne débandais pas d*excitation. Je l’ai biflé, comme pour lui dire «  regarde comme je suis dur ».
Déjà sa bouche s’arrondissent et c’était reparti pour un tour. J’ai coupé la lumière. Dans le noir on se concentrait sur la sensation. Cela a semblé dure des heures, tandis que guettant des inconnus dans les environs et surveillant notre discrétion je lui disait « Suce en silence », «  Lèche et fais moins bruit ». Mais plus je parlais mal, plus on était à deux doigts de se faire prendre et plus elle était excitée « Suce-moi comme si ta vie en dependait ». Et elle le faisait très bien, en me disant «  je pourrais rester la à te sucer pendant des heures, sachant t’es bien que je pouvais tenir.

Je lui ai demandé d’avancer tout en me suçant, «  Arrête pas de sucer putain, continue, Suce je te dis », J’ai reculé pour ouvrir la porte. «  Regarde, tout le monde pourrait te voir », et imperturbable, elle suçait, suçait et suçait encore la bouche crampe, là langue endolorie et le goût de ma bite imprégnée à jamais dans sa mémoire. Elle ne voulait pas partir. Elle se découvrait, jamais elle ne m’aimerait, jamais nous ne ferions notre vie ensemble, mais nous serions deux bêtes sauvages et empathiques liées par un plaisir commun. J’ai rallumé la lumière,
Je l’ai regardé sucer. J’ai craché dans sa bouche à nouveau, cette fois elle a ouvert la bouche seule, puis j’ai craché sur ton visage alors qu’elle repartait déjà sur la queue. Elle a répète être la petite salope. J’ai sorti ma queue et je lui ai demandé de répéter, mais avant qu’elle ne finisse je lui avait coupé la parole en la collant au fond de sa gorge et en lui disant «  Ferma ta gueule, c’est malpoli de parler la bouche pleine ».
J’ai voulu voir son cul, j’ai baissé ton pantalon et tirer sur son string, fessé son cul rebondit et cambré.
Je l’ai soulevé, j’ai arraché ses vêtement, j’ai plaqué son visage sur la pierre brute et placé ma queue à l’entrée de sa chatte si humide et dégoulinante de mouille.
Mais elle avait ses règles, alors j’ai proposé de la toucher. Elle a dit oui, heureuse. J’ai plaqué la main sur sa bouche car elle jouir fort et j’ai doigté. Quelqu’un arrivait et je lui répétait à l’oreille « Ferme ta gueule, Ferme ta gueule jouis. » Ses jambes la lâchait. «  Si tu hurles, j’arrête. Si tu tombes à genoux, je te la colle dans la bouche », Elle luttait et son orgasme puissant la faisait flancher, la bouche déformé par un cri retenu et moi qui la plaquait en lui disait de fermer sa gueule.
Après un organisme, elle bue un peu et retombant encore à genoux, sa position favorite aujourd’hui décidément.
Elle me suça plus tranquillement au début faisant monter le désir et je reparti de plus belle.
Je la voulais en photographie. Je pris mon appareil et la photographia sous tout les angles. A chaque photographie, elle voulait me sucer encore plus fort, plus vite, plus loin. Je lui montrai les photographie en lui demandant de regarder sa petite gueule déformer par la pipe pendant qu’elle me suçait. Je baisais littéralement sa bouche, je lui ai dis de l’enfoncer au maximum. On pensait déjà tous les deux à une gorge profonde avec un anesthésiant buccal.
Je lui ai demandé de me masser les couilles en ouvrant sa bouche et tirant la langue. Je le suis branlé, tandis qu’elle tentait de lécher mon gland comme pour ne rien manquer et j’ai joui encore.

Nous sommes sorti, et avons parlé simplement. Avec bienveillance, épanouis et prêt à reprendre nos petites vies que l’on ne veut surtout pas quitter. J’avais encore envie alors j’ai encore coller ma queue dans sa bouche soumise, mais comme pour un baiser d’aurevoir.
Nous sommes remonté par l’escalier et nous nous sommes laissés.

Ce n’est pas une pute, c’est mon amante, bienveillante avec mon plaisir. Elle est rentrée l’air de rien, transpirante, mouillée le long du chemin et des rêves plein la tête, et un nouveau monde lui ouvrant les bras.


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!