Ma Femme Devient Chienne Grâce À Son Amant Dominant Et Pervers 5 Week-End À L Hotel Partie 2

J était toujours assis par terre adossé contre le lit, et avais donc une vue imprenable sur la grosse bite de Bruno écartelant la chatte de ma femme.
C poussa un long soupir de soulagement étouffée par sa culotte sale de 2 semaine qu elle machouillait depuis le début de leur étreinte. Elle m avoura par la suite que sa salive avait fini par dilué les résidus laissés sur celle-ci, et que en coulant dans sa gorge, cette salive au bon gout de chatte et de cul, avait réveillé en elle l esclave sexuelle qu elle a toujours été. Elle était enfin elle même, une salope, une chienne, une pute rompu aux exigence de son maitre. Cette pulsion de soumission extrème, lui fit prendre conscience à ce moment précis qu elle serais prête à tout pour lui et qu elle profiterais au maximum des baises hard, aussi crade qu elles soit, que Bruno lui réservera.
Il lui ôta son chemisier ainsi que sa jupe qu il enleva par le haut.
Bruno, lentement, faisait de long va et vient, ressortant entièrement à chaque fois ce qui me permis de voire à quel point C était dilatée. A chaque pénétration il l enfilait jusqu à la garde et les gémissement de C devenait de plus en plus bruyant, en effet ma cochonne de femme s était abstenu pendant 2 semaines, et était donc en état de chienne en chaleur. A l entente de ses gémissements je savais qu elle était déjà au bord de l orgasme.
Bruno : elle est bonne hein ma grosse bite, t aime ça sale chienne ! tout en lui claquant le cul.
C : oh oui mon maitre ! toujours étouffé par sa culotte.
Bruno sans un mot me fit participer, toute les 2/3 pénétration, il sortait complètement sa queue de la chatte béante de C, qui était toujours pendu à son coup, et inclinait son bassin vers mon visage pour que je puisse lécher goulument cette chatte poisseuse déjà souillé par son maitre.
Elle sentait fort, et avait un gout très prononcé, mais je me délectais de son nectar. Pendant que je lui bouffait la chatte je sentait la bite de Bruno à quelques centimètre de mon visage, et dès qu il voulait reprendre ça place il poussait mon visage d un coup de bite sans me dire un mot, si bien que plusieurs fois ça bite est rentrée en contact avec mon visage.


Bruno : lèche lui bien la chatte, cocu, pour l heure tu me sert de lubrifiant.
Je me sentais incroyablement humilié de cette situation, mais je me surpris à aimer cet état de soumission qui faisait bander dur comme du bois. Si C était sur le point de jouir je sentais que pour ma part un simple effleurement de mon sexe me ferait éjaculer. J entrepris donc de me doigter le cul pour faire dégonfler ma verge. Je me mis sur les genoux, je récolta de la mouille accumulé sur les lèvres de ma femme pour m en enduire l anus et me pénétra de 2 doigt d un coup. Après quelque va et vient Bruno s en aperçu.
Bruno : regarde ta laupe de mari est en train de se doigté le cul.
C jetta sa culotte mouillé de ça salive sur le lit et dit.
C : il voit maintenant se qu est un vrai mal, c est sa manière de se soumettre à vous maitre. Hein petite bite ça t excite de voir cette grosse bite me défoncer.
Cette grosse cochonne m humiliait à son tour et j adorais ça !
Moi : oui ma douce, je suis à vos ordres !
Je m étonne moi même de cette servilitée.
Bruno : c est bien ça ! Bouffe lui le cul maintenant j ai besoin d espace pour la baiser et que tu commence à lui lubrifier le cul.
Je m exécutais sans broncher et commença à brouter l anus de C.
Bruno quand à lui imprima un rhytme beaucoup plus soutenu à ses va et vient, des coup de rein puissant et rapide qui faisait ballotter ses grosses bourses ,qui venaient à chaque coup de bite, frapper mon menton.
C commençais à gueuler comme une dingue en tenant des propos hyper salaces.
C : défoncez moi comme une grosse pute, encore plus fort !
Ces propos ont eu le don de réveiller l animal qui était en lui et désormais il la tringlait littéralement. C décrocha une de ses main du coup de Bruno et m empoigna les cheveux et me bascula la tête en arrière.
C : ouvre la bouche esclave !
Ce que je fis immédiatement, et elle me cracha un gros filet de bave dans la bouche.
Pendant cet instant Bruno avait ralenti le rythme pour que je ne puisse en perdre une goutte. Toujours sa main agrippée à mes cheveux elle me colla violemment le visage contre son petit trou.
C : bouffe moi mieux le cul, mon maitre aura besoin qu il soit bien lubrifié !
Elle prenait un malin plaisir à m humilier une nouvelle fois et je me dit à cette instant que même dans mes rêves les plus fou, je n aurais imaginé une partie de baise aussi intense. J était en train de vivre une expérience inoubliable et profitait du moment a 200 pour 100.
Je bouffais le cul de C comme un mord de faim, introduisant ma langue au plus profond de son intimité aidé par ma douce empoignant mes cheveux et collant mon visage entre ses fesses. Je lui galochait littéralement l anus faisant tourner ma langue dans son petit trou à la limite de l . Je sentait, avec ma langue, à travers la fine cloison de son anus, la bite de Bruno lui labourant la chatte frénétiquement. Son maitre ruisselait de sueur, tu m ‘étonne ça faisait déjà un moment qu elle était pendu à son coup et dans cette position je n aurais pas tenu 2 minutes à sa place.
C : putain c est bon, je vais jouir ! AH…
Du fondement de ma femme je senti la queue de Bruno se retirer, ainsi qu une dilatation de son anus qui expulsa ma langue. C tremblais de tout son être et expulsait de long jet de cyprine sur la bite de Bruno et par ricochet vinrent m éclabousser.
Moi toujours avec deux doigt fiché dans mon cul, je fis de mon autre main 3/4 aller retour sur ma bite et éjacula violemment mon foutre dans la flaque de cyprine qui s était formé au sol.
C ne manqua pas de se moquer de moi.
C : je vous avez dit maitre que s était un évacuateur précoce, hein petite fiotte !
Bruno la fis descendre de son coup, l empoigna par les cheveux et la dirigea avec autorité vers le sol.
Bruno : je me fou de ton cocu de mari, lappe moi ça chienne !
C : oui maitre. Et s exécuta.
Elle lapa et aspira la flaque de cyprine formé sur le sol en lino ainsi que mon sperme qui flottait dessus.

Bruno : c est bien ma chienne, tient il en reste encore là. Et là aussi sur mes pied, avale tout souillonne !
Moi toujours abasourdi de cette baise ultra hard j était là comme un spectateur à profiter de se spectacle saisissant de ma femme obéissant aux moindre fait et gestes de son maitre. Elle vint m embrasser pour me laisser gouter au jus qu elle venait de récupérer. Son haleine sentait le foutre et la cyprine, son regard empli de luxure en disait long sur ce qu elle venait de vivre et au vu de ma mine réjouie elle dit.
C : ça te plait mon cocu ! et la rassura de mes sentiments
Mon regard approbateur l invita à poursuivre de plus belle.
Elle se mis à quatre patte sur le lit le cul bien cambré et tout en écartant ses fesses elle dit.
C : encule moi Bruno ! J en peu plus j ai trop envie que tu me dépucelle le cul !
Quel toupet, me dis je moi qui n est jamais eu se privilège. Sur ces mots Bruno, lui claqua violemment les fesses de sa grosse paluche.
Bruno : comment tu m a appellé salope ! N oubli pas ta place ! Et lui remis une volet sur ses fesses déjà rougit.
C : pardon maitre je suis trop excité. Maitre défoncez moi le cul SVP !
Bruno : c est mieux. Soit pas trop pressé, je vais déjà te le dilater car sinon vu mon engin tu va souffrir le martyr.
Il pris sur le comptoir le lubrifiant ainsi que le plug anal dont la base était assez large, au moins 7/8 centimètres.
Bruno : toi le cocu sert à quelque chose et vient lui écarter les fesses !
Je me mit à coté de ma femme et lui écarta les fesses comme demandé, Bruno se présenta à l entrée de sa chatte avec son gros gourdin toujours bandé et la pénétra d un coup. Il resta planté en elle jusqu à la garde et commença a jouer avec son cul lui arrachant des gémissements mêlant douleur et plaisir. Il crachait sur son oeillet introduisant ses doigt un à uns. Des gémissement de douleur s échappais de la bouche de C.
Bruno : tu voit, tu n est pas encore prête pour que je t encule, ton cul n as pas l habitude et tu n est pas assez dilaté.

Il pris la bouteille de lubrifiant et introduit directement l embout dans son cul arrachant à ma femme un petit cris de douleur. Il appuya fermement sur la bouteille pour en faire pénétrer le liquide..
Bruno : je vais t apprendre ma pute à dilater ton anus ! Pousse maintenant comme si tu était au toilette.
Elle s exécuta, sa contraction éjecta Bruno de sa chatte et dilata son anus duquel s écoula du lubrifiant dans un bruit de pet. De ma position servile j était au premières loges et me regalais de voir les plis de son anus rosé se dilaté.
Bruno introduit de nouveau 2 doigt tout en lui disant de pousser. Le clapotis de cette pénétration ainsi que l odeur de son cul mon rendu chèvre et je bandais déja de nouveau. Il pris ensuite le plug et l introduit tout doucement. Arrivé à sa base C se contracta, il lui gifla le cul.
Bruno : pousse je t ai dit !
C : mais c est trop gros maitre. J ai un peu mal.
Bruno : si tu trouve ça gros alors, comment ma bite pourra y rentrer ! Pousse je te dit !
Je commençais à stresser, avait elle mal, voulait elle arrêter, je ne savait pas quoi penser, mais C me rassura.
C : je ne veut pas vous décevoir maitre, je vais tout faire pour y arriver ! et poussa une nouvelle fois pour enfin avaler se morceau de latex.
Bruno : tu voit quand tu veut, on va le laisser en place un bon moment pour que tu soit prête à encaisser tout à l heure. Je vais te baiser la bouche maintenant car la aussi tu as des efforts à faire car la dernière fois tu n as pas réussi à en gober la moitié.
Il l a fit mettre accroupi au sol, et commença à lui baiser la bouche. Vicieux comme je suis je vint me placer allongé sur le sol entre ses cuisse pour lui bouffer la chatte, placé ainsi, ma langue dans son intimité, ma main tripotant son plug, j avais la vision de l énorme sexe de Bruno baisant la bouche de ma femme.
Il poussait à chaque fois de plus en plus loin, arrachant des haut le coeur à C. Des quantité de bave impressionnante commençait à s échapper de ses lèvres et venais s écraser sur mon visage. Bruno lui continuais ses long va et vient et forçait de plus en plus la gorge de C qui elle essayais de reprendre son souffle.
Bruno : Va y ma pute, c est bien on arrive presque au trois quart. Et il empoigna de nouveau fermement la tête de C.
Les bruits de bouche et de glottes étaient assourdissant. A certain moment je dégageais ma bouche de sa chatte pour pouvoir, comme un bon cocu qui se respect, attr le flot de filet de bave qui arrivais jusqu à moi. La bave de C ruissellait entre ses seins pour finir sa course sur son bas ventre et sa chatte. Je n en perdais pas une goutte. Après de longues minutes, je vit la main de C se caresser les couilles de Bruno, puis passer derrière celle-ci, ma vision ne me permettait pas de voir mes je me doutais bien qu elle lui doigtais le cul, et quelques secondes plus tard, dans de grand râles Bruno se fini dans sa bouche. Son sexe à force d aller/retour était pratiquement entrée en entier et servis à ma douce de grosse salves de foutre au fond de la gorge.
Elle avala le tout d un trait, retira le doigt du cul de Bruno et le fourra dans sa bouche pour le sucer. Des filet de baves pendaient de son menton, son mascara avait coulé à cause des larmes et des hauts le coeurs, mais qu elle était belle souillée de la sorte. Elle se pencha vers moi pour me rouler un patin d enfer, au gout de foutre de son amant…

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