Piscine Rime Avec Pine 03.

Devant cette invitation où cet ordre, je ne sais pas trop, Thomas et moi sommes sidérés. Je le regarde, il reste de marbre et pétrifié par l’intimation. Moi je me ressaisis vite, et montrer ce que je sais faire à un homme rigide ne me déplaît pas du tout,
au contraire, le challenge me séduit même et me motive à être encore plus cochonne.

Je prends l’initiative, je me place à genoux devant Thomas stupéfait et j’agrippe son short de bain de chaque côté et le descend jusqu’à mi-cuisses de manière à bien découvrir tout son sexe.

Son petit Jésus et ses 2 boules de Noël quel spectacle! Son kiki est riquiqui, il me fait penser à certains très kitsch: les tout premiers que j’ai aperçus, quel kif, j’en suis quitte à reprendre au tout début pour le remettre en forme. Mais il est beau, bien lisse comme je le présentais, je me précipite sur lui car j’ai envie d’une chose que je n’ai encore jamais faite encore: c’est emboucher entièrement le sexe d’un garçon, sans trop de difficultés, j’y arrive du 1er coup. Ma langue se meut pour toucher et bichonner des parcelles que je devine sans être sûr de bien les identifier. Je sais que je ne vais pas pouvoir le faire bien longtemps car un phénomène naturel depuis des temps immémoriaux s’enclenche, et je suis obligée de lâcher prise.

Le cerveau de Thomas doit bouillir et l’exécution de ses commandements est immédiat, son sang de faisant qu’un tour, s’est précipité et converge à l’extrémité la plus passionnante de son corps. Vu la rapidité de la chose, je pense que c’est même
involontaire car j’ai lu que les garçons peuvent parfois avoir une érection contre leur gré, et sur une plage nudiste j’en ai eu la preuve avec des jeunes hommes gênés de me montrer leur membre dressé.

Je ne peux donc pas profiter longuement de ma mise en bouche, je dois vite lâcher le morceau qui se déploie instantanément devant moi. Elle se redresse et forme une courbe cintrée, je ne l’imaginais pas de cette forme dans l’eau, je l’ai aperçue mais
avec la réfraction, elle ne m’avait pas faire cette impression.



Mon petit indien m’expose plus son arc que sa flèche, j’en avais jamais eue des si incurvées, mais elle me charme autant que toutes celles que j’ai poussé à crachoter. Ma langue parcourt la peau douce de ses petites noix, au dessus le grand mât frissonne, il se dresse comme s’il voulait toucher le ciel, il me semble dur comme un roc, ma langue attirée chemine de bas en haut et vérifie que ma vue est bonne, la vibration que cela engendre m’amuse beaucoup. Comme il est sensible, même en l’effleurant, l’oscillation du métronome continu.

J’imagine que je vais devoir mesurer chacun de mes gestes si je ne veux pas que la fontaine jaillisse trop rapidement.
En temporisant un moment, j’en profite pour observer monsieur le directeur, il suit tous mes gestes, passionné par la beauté et la sensualité du jeu des acteurs. Il n’a peut-être jamais subit ce traitement de faveur, bobonne à la maison c’est juste une position à la papa, répétitif et sans surprises peut-être même qu’une fois par mois pour la procréation et dans la même chambre à coucher depuis 30 ans. Moi je vais lui faire un spectacle du grand cabaret, il va en prendre plein les mirettes le père Ubu. Il aura des souvenirs à raconter quand il sera en maison de retraite.

Depuis plusieurs minutes déjà, je caresse les fesses de Thomas, elle sont bien fermes et j’ai plaisir à les pétrir, des fesses de sportif bien musclées, compactes et résistantes. Pour laisser un répit salutaire à mon Apollon, je tente d’imprimer un mouvement de rotation pour lui faire effec un demi tour sur place afin de me présenter de face sa magnifique lune. Entravé par son slip c’est par petits pas qu’il se retourne et s’immobilise juste au millimètre, sa raie à égale distance entre mes 2 yeux. Papy mougeot fait un petit écart discret de côté pour être le mieux placé possible comme quand il va à ses spectacles d’opéra ou de théâtre.

J’étire ma langue au maximum et de mes mains j’écarte ses 2 hémisphères, et je fais attention que papy Brossard observe bien la direction qu’elle prend, en plein dans le mille et je l’agite pour lécher le centre et tout autour.


Un œil de côté, grand’pa n’en perd pas une miette, il est dans tout ses états, les yeux ouverts à bloc, la bouche béante. Il n’a jamais vu ça et même peut-être imaginé qu’un truc pareil soit possible.

Moi tranquillement, je continue l'exploration du sillon, et je tâtonne de ma main pour m’assurer que par devant tout ce passe bien, je n’ai aucun mal à retrouver le membre turgescent toujours d’une rigidité exemplaire. Doucement je l’entoure et le branle légèrement, ma chatte réagissant à la moindre excitation, s’humidifier déjà, de ma main libre, j’écarte un peu ma culotte pour avoir accès à ma fente et me doigte allègrement, ça rentre comme dans du beurre et je m’enfourne 2 doigts qui vont et viennent dans mon minou trempé, et cela fait un beau bruit de succion.

L’heure est venue du sprint final, il est temps, avant qu’une mauvaise chute n’intervienne pour notre jeune puceau de franchir la ligne.

Pour le motiver, si c’est vraiment nécessaire, mes 2 doigts passent directement de ma crèche vers sa bouche, je frotte ses lèvres avec avant qu’il ne les écarte afin de les laisser entrer dedans et sa langue goutte le résultat de mon désir de lui faire connaître l’apocalypse.

En tirant sur le côté sa brochette que j’ai en main, mon ingénu fait un autre demi tour dans le sens inverse de tout à l’heure, et je peux à nouveau attaquer sa petite aiguille par le verso, son mât érectile est toujours à son apogée, aux maximum de ses
possibilités, sa proéminence effleure une vaguelette résultante de ses puissants muscle abdominaux. Son gland rougit du désir d’être cajolé, il est si enflé que j’imagine qu’il puisse exploser s’il continuait à croître. Cet organe turgescent est d’une beauté qui me rend dingue, mais je me retiens d’être trop brutale avec lui.

Je commence par des petits bisous le long de ses cuisses en remontant vers son trésor. Je vois qu’il a fermé les yeux, sa tête légèrement orientée vers la voûte céleste, on croirait qu’il prie pour ne pas rendre les armes trop tôt.
Que ce passe-t-il dans
sa tête? C’est extrêmement touchant de donner son bien le plus précieux à une inconnue et être à la merci de celle-ci, il n’en faut pas plus a mon abricot pour s’imbiber de cyprine.

Mon escalade progresse et ma langue divague sur l’aplomb de ses 2 aumônières, bien rondes et remplies de suc délicieux, fruit de toutes mes convoitises.

L’exploration continue et je m’attarde maintenant sur cette peau lisse et goûteuse en espérant ne pas trop le rudoyer. Mais il faut bien assaillir la flèche de Notre Dame avant qu’elle ne brûle et sombre dans l’abîme. Ma langue remonte du pied au sommet de cette asperge sans discontinuer, le goût et l’impression que je ressens sont si merveilleux que je réitère l’expédition plusieurs fois et à la dernière le bout de ma langue chatouille son méat comme si elle voulait le pénétrer. J’ai du mal à suivre le dodelinement de la gaule qui se produit.

Nous en rions tous les 2, et même je perçois un léger sourire à pépère qui ne perd rien de la récréation, toujours dans un mutisme insondable.

Et c’est là, comme on dit, que les Athéniens s’atteignirent, que les Perses se percèrent, que les Assyriens s’assirent, que les Thébains tombèrent, que les Traces tracèrent, que les Sats s’attrapèrent et que les Mèdes s’emmerdent, car le moment est venu de déguster mon sucre d’orge en souhaitant que la crème chantilly ne le garnit pas trop tôt.

Malheureusement, ce pauvre garçon inexpérimenté m’octroie ma gratification de manière prématurée, à peine quelques tours du manège enchanté que je sens la source jaillir, j’ai juste le temps d’ouvrir ma bouché pour faire admirer ma technique à Mr le directeur et j’en prends partout sur le visage et dans la bouche et là il assure et je ne suis pas déçue de la belle fulmination que j’ai initié, mes joues, mon nez, mon menton sont recouvert d’une crème laiteuse et onctueuse qui me colle à la peau et me fait un masque de beauté.


Je reprends la mèche consumée pour la briquer et m’accorder un peu de rab, en me tournant vers notre gardien, je lui exhibe la quantité de fluide butiné et le plaisir que je prends à le déguster et l’avaler. Pour bien lui montrer que par magie tout a disparu, avec un large sourire, j’ouvre la bouché et agite la langue.

Le bougre prends un moment à reprendre ses esprits et à récupérer, ma performance a du l’ébranler ( je n’ai pas dit le branler), et d’une voix tonitruante il annonce que la rigolade est finie:

- bien, jeune homme, vous qui étiez dans le bon vestiaire, dit-il en ouvrant la porte, vous pouvez partir, vous avez eu votre compte.

Mon compagnon de fortune ou d’infortune, c’est selon, ne se le fait pas dire 2 fois et en se rajustant comme il peut, il passe la porte qui se referme à clé derrière lui, et me laisse face à mon destin.

- Et maintenant à nous 2 ma petite fille.

A suivre.....

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