Eloge Des Femmes Mûres (1)

A 18 ans, Félicien était encore puceau et ça lui travaillait le cuir. Il voyait et entendait autour de lui ses copains raconter complaisamment leurs bonnes fortunes féminines alors que lui en était encore à la masturbation. C'était pourtant l'année de son bac (il n'était pas en avance) et au lieu de se morfondre contre sa chasteté, il ferait mieux de réviser car la date approchait. Son problème était que les filles de son âge ne le faisaient pas vraiment fantasmer. Elles l'agaçaient par leurs manières, leurs caprices, leurs atermoiements. Il rêvait plutôt de femmes mûres, expérimentées, ardentes, pulpeuses. Elles étaient incarnées dans son imaginaire par une femme, une seule : sa prof d'anglais. Il figurait dans sa classe depuis la seconde et il avait eu le temps de la connaitre. Dès le début, elle avait fait sensation chez les jeunes mâles. Bien qu'étant assez éloignée des canons de la beauté féminine, du fait d'un corps charnu et d'un âge évalué entre fin de quarantaine et début de cinquantaine, elle portait invariablement des jupes très courtes dévoilant généreusement ses cuisses épaisses et parfois un gilet à boutons qu'elle laissait ouvert en haut, ce qui révélait fugitivement un profond sillon mammaire.

Avec célérité, Félicien s'était placé dans la salle de manière à pouvoir embrasser du regard le bureau et la chaise de Mme B., sa prof d'anglais. Toute son attention était fixée sur le moment où, dans le fil de la conversation anglophone, Mme B. croiserait les jambes ou mieux encore les écarterait, dévoilant la couleur de son slip. C'était très bref et il ne fallait surtout pas louper l'instant. Félicien avait ainsi pu déterminer qu'il était noir ou blanc, assorti au soutien-gorge que l'échancrure du gilet (quand elle en portait un) dévoilait parfois. Mme B. ne faisait pas d'effort de toilette. Ses tenues de travail se limitaient à deux : une jupe marron assortie à un haut de même couleur qui épousait la forme de deux seins lourds, et un ensemble rouge avec gilet.

Jamais de pantalon, fort heureusement. Des collants en hiver, des jambes nues le reste du temps. Ajoutons que sa peau était laiteuse car sa chevelure, le plus souvent portée en chignon, tendait vers le roux, disons auburn. Pour le reste, c'était une bonne prof, pas vache, qui tentait vaille que vaille d'intéresser ses élèves à une matière qui, en général, les ennuyait profondément.

Ce que Félicien ne savait pas et ne pouvait pas savoir, c'est que Mme B. avait parfaitement identifié son manège. Elle avait repéré ce grand jeune homme d'origine antillaise, à ce qu'elle avait vu sur sa fiche. Elle le trouvait très joli garçon et lui promettait de nombreuses conquêtes féminines. Elle avait parfaitement intégré qu'il regardait ses cuisses et s'en trouvait flattée car elle se trouvait à un âge où la séduction d'une femme a tendance à se dissiper. Cela n'allait pas plus loin qu'une forme d'exhibitionnisme soft mais le regard perçant du jeune homme n'en provoquait pas moins dans son bas-ventre une petite émotion dont son mari profiterait plus tard, pour peu qu'il daigne triquer à ses rondeurs, ce qui n'était pas toujours le cas, hélas. En fait, celui qui en profitait le plus souvent était Gérard, l'un des profs de gym, amant occasionnel qui la prenait à la hussarde dans le bureau du gymnase lorsque les élèves étaient partis. Après lui avoir ôté son slip et longuement bouffé la chatte sur la table, il la tringlait jupe repliée et seins à l'air, lui offrant un coït virulent qui satisfaisait ses pulsions de femme mûre. Mais il lui arrivait parfois, en même temps, de penser au jeune Antillais qui lui ôtait son slip du regard et ça l'excitait bien davantage que l'oeil vitreux du prof de gym pendant qu'il la besognait.

********
Deux ans avaient passé. Entre temps, Félicien avait gagné son bac et perdu son pucelage. En fac, il avait fait la connaissance de plusieurs étudiantes de son âge avec lesquelles il était "sorti" mais ce n'étaient pas elles qui l'avaient déniaisé.
C'était Corinne, une amie de sa mère, jeune quinquagénaire aux longues jambes et à la chevelure blonde artificielle, divorcée et en manque de sexe. Cela faisait un moment qu'elle reluquait le corps parfait de Félicien, qu'elle avait connu tout jeune mais dont le développement physique l'avait impressionnée. La mère du jeune homme avait bien remarqué le changement d'attitude de son amie envers son fils mais loin de s'en offusquer, elle l'avait incitée à poursuivre :
- Décoince-le, il est maladroit comme tout avec les filles et apprends-lui ce qu'il doit apprendre.

La grande blonde ne se l'était pas fait dire deux fois. Elle était plusieurs fois sortie avec lui sans difficulté car Félicien, on l'a vu, avait un faible pour les femmes mûres. Celle-ci ne ressemblait guère physiquement à sa prof d'anglais mais elle avait "la classe" et sa compagnie ne pouvait que le valoriser auprès de ses potes, garçons plus que filles. Mais ce n'était pas le genre de femme à tourner longtemps autour du pot. Elle lui proposa une journée à la mer car les beaux jours arrivaient. Lorsqu'elle ôta sa robe d'été sur la plage, elle dévoila un bikini résumé à un double triangle en bas masquant à peine la raie des fesses et le pubis et deux bouts de tissus en haut dissimulant tout juste les mamelons. Félicien estima que c'était probablement le maillot de sa fille adolescente mais il dut reconnaitre qu'elle n'était pas ridicule avec : juste prodigieusement bandante. Heureusement, son short de bain était ample.

Après une séance de bronzage qui l'affectait peu, vu sa peau mate, et durant laquelle elle avait dégrafé son soutif pour exhiber deux seins ronds tenant fort bien la route, elle l'entraina vers l'eau. Quelques jeux aquatiques tendancieux s'ensuivirent et Félicien sentit qu'elle lui mettait la main sur son entre-jambes. Puis carrément dans le short. Son autre main saisit la sienne pour la guider vers sa chatte et lui imprimer un mouvement qui était incontestablement un début de masturbation.
Félicien s'enhardit en glissant un doigt sous le frêle triangle et tous deux s'embrassèrent entre deux vagues. Ces préliminaires aquatiques ne pouvaient déboucher que sur un coït. Il eut lieu plus tard, sur le chemin du retour. Corinne, au volant, prit un chemin de traverse, stoppa en pleine pinède et dit au jeune homme :
- On va faire l'amour ici, tu vas voir, ça va très bien se passer.

Elle se débarrassa de sa robe sous laquelle elle était nue, posa une large serviette sur les aiguilles de pin, s'allongea coudes au sol et cuisses ouvertes et lui fit signe avec le doigt de venir la rejoindre.
- Enlève-moi ce short, que je voie un peu de quoi tu es capable, lui dit-elle.
Il bandait comme un cheval et Corinne fit un O avec sa bouche. "Quelle bite magnifique, faite pour l'amour", se dit-elle. Elle le suça illico, le savoura comme une adolescente un esquimau au chocolat. Puis elle le guida entre ses cuisses, aussi impatiente que lui de copuler.
- Doucement, hein, n'y vas pas trop fort, lui dit-elle.
Mais le jeune homme était animé d'un tel désir qu'il la pilonna aussitôt, la faisant brailler sous les pins car, on l'a vu, elle était en manque. Ce fut un accouplement intense, mouvementé, mais bref. Il l'inonda de son sperme épais avant qu'elle ait pu atteindre l'orgasme, malgré ses "retiens-toi" en pleine fornication. Mais elle se garda de lui reprocher son incontinence.
- C'était bien, mais il faut que tu dures un peu plus. Une femme ne jouit pas aussi vite qu'un homme. Mais je n'en ai pas fini avec toi.

De fait, Corinne garda la main sur son jeune amant et le soir même, après un dîner frugal en commun, l'entraina dans son lit. Ayant jeté sa gourme, Félicien fut cette fois à la hauteur de la demande, et plus encore. Insatiable, inépuisable, il suivit à la lettre les initiatives de la quinquagénaire destinées à lui faire faire "le tour de la question" en un temps record. Studieux, l'élève obéit à ses commandements les plus cochons car la dame ne manquait pas de vice.
Elle connut grâce à l'endurance et la raideur de son partenaire de multiples orgasmes tout au long de la nuit. Elle se réveilla des cernes violacés sous les yeux, le vagin et l'anus endolori (car elle l'avait aussi initié à la sodomie) mais apaisée, satisfaite, prête pour un rapport détaillé à son amie et mère de son jeune amant, et bien décidée à garder celui-ci son son aile.

*********
Il la baisait toujours de temps à autre et, grâce à elle, en savait plus long à vingt ans sur le sexe que bien des adultes lorsque, pour les besoins d'un job d'été, il tenait un stand de fromages dans un marché de la ville. Quelle ne fut pas sa surprise de voir apparaitre une cliente particulière, rousse à chignon, vêtue d'une robe bustier courte dévoilant généreusement sa chair laiteuse piquetée de taches de rousseur : madame B, sa prof d'anglais. Surprise partagée.
- Félicien, vous ici ?
- Ben oui, vous voyez, je bosse pour payer mes études.
- Ah ! Et que fais tu ?
- Je suis en fac mais je passe un concours à la fin de l'été.
S'ensuivit un échange, en présence du mari de madame B, un homme corpulent et chauve. Félicien expliqua ses ambitions mais avoua des inquiétudes sur son niveau d'anglais, important pour réussir le concours.
- Eh bien, si vous voulez, je peux vous aider, j'ai le temps en ce moment, lui dit madame B.
Le jeune homme sauta sur l'occasion. Par intérêt éducatif mais aussi pour la compagnie de cette femelle juteuse qui l'avait tant fait rêver et qui avait gardé à ses yeux tout son attrait. Ses seins débordaient de la robe bustier, comme s'ils allaient en jaillir d'une minute à l'autre. Elle assumait avec naturel sa sexualité débordante de femme mûre et épanouie. La voir dans son intimité l'excitait, sans autre ambition que de la regarder, d'autant qu'il n'était pas dans le besoin grâce à l'insatiable Corinne. Rendez-vous fut pris pour le lendemain.


*******
Lorsque Félicien arriva à la maison de son ancienne prof, elle jardinait en short et veste de jogging pendant que son mari tondait la pelouse. Ils offraient l'image d'un couple d'âge mûr en pleines tâches domestiques. Madame B. avait discipliné ses cheveux auburn dans un serre-tête qui la rajeunissait. Ils le saluèrent d'une poignée de main et elle le guida vers le salon pour qu'il puisse étendre livres et cahiers qu'il avait emportés. Elle lui parla d'emblée en anglais mais il avait du mal à se concentrer. La fermeture éclair de la veste de jogging était tirée un peu bas et il avait une vue plongeante sur les obus en liberté sous le léger vêtement, pesants et mouvants. Néanmoins, il parvint à accomplir les divers exercices jusqu'à la fin. Elle le conduisit ensuite dans la cuisine pour un rafraichissement pendant que son mari poursuivait sa tonte bruyante. Une conversation plus intime, et en français, s'engagea. A sa demande, il lui raconta la suite de ses études, ses ambitions, sa vision de la vie. Elle l'interrogea sur sa vie sentimentale et il l'éluda un peu trop vite si bien que, fine mouche, elle comprit qu'il n'était pas seul.

Cuisiné, il finit par avouer qu'il fréquentait une femme plus âgée que lui :
- Tu as raison, lui dit-elle, car elle le tutoyait désormais, rien ne vaut une femme d'expérience pour un jeune homme. Tu as le temps de trouver une fille de ton âge.
Elle l'avait totalement percé à jour et il dut avouer qu'elle avait raison, qu'il préférait la maturité féminine à la fraicheur juvénile. Enhardi, il glissa qu'elle avait été longtemps sa prof préférée.
- Tu crois que je ne m'en étais pas aperçue ? lui répondit-elle. J'ai bien vu que tu regardais sous mes jupes pendant les cours. Et alors, ça t'inspirait ? Tu te masturbais en pensant à moi ?
Félicien rougit sous sa peau mate. Que dire ? Rien puisque l'évidence était celle-là. Elle rit franchement :
- Tu sais, pour une femme de mon âge, c'est flatteur qu'un beau garçon comme toi rêve de lui faire l'amour. J'imagine que c'est pareil pour un homme mûr avec une jeune fille. J'étais un peu perverse, je le reconnais. Mais j'aimais ton regard, il m'excitait quelque part. D'autres que toi en ont profité mais passons... Parle-moi de ta copine. Et appelle moi Odile.

Félicien dut évoquer Corinne et son appétit sexuel, le plaisir qu'il prenait avec elle et celui qu'elle prenait avec lui. Non, il n'était pas amoureux, c'était purement physique.
- Elle a dû t'en apprendre des choses, cette femme... Tu la salueras de ma part.
- Et votre... euh... ton mari. Tu es heureuse avec lui ?
- Tu vois, il tond la pelouse, il fait plein de choses à la maison mais l'amour ne l'intéresse plus beaucoup, surtout depuis son infarctus. Du moins sous la forme classique. Dommage car moi, ça m'intéresse toujours. Mais je fais avec. Et lui aussi.

Elle termina sa phrase en posant sa main sur la cuisse de Félicien et lui adressant un regard en coin plein de sous-entendus. Si elle avait déplacé cette main vers son entre-jambes, elle aurait constaté qu'il bandait. La veste de jogging baillait de plus en plus. Mais le bruit de la tondeuse cessa et le moment de flottement s'arrêta en même temps. Il rangea ses affaires et elle le raccompagna vers son scooter avant de lui dire :
- Et si tu venais dîner avec nous demain soir ? On travaillera un peu d'abord pour ne pas perdre de temps. Garde des forces.
Cette dernière phrase aurait pu paraitre incongrue si madame B., ou plutôt Odile, ne lui avait pas adressé en même temps un regard mutin. Qu'était-ce à dire ? Que son mari serait absent ? Qu'elle en profiterait pour faire l'amour avec lui ? C'est en plein doute qu'il rentra chez lui, mais son excitation se traduisit par une longueur de pénis dont Corinne aux jambes fuselées profita abondamment ce soir là au point de surmener ses cordes vocales...

********
A vingt ans, on "recharge" vite et c'est en pleine possession de ses moyens sexuels qu'il se présenta chez madame B. le lendemain soir. Une grande surprise l'attendait : elle avait revêtu son ensemble écarlate qu'elle portait pendant ses cours, avec jupe courte et gilet à boutons.
- Allez, ça te rappelle des souvenirs, non ? lui dit-elle. Je l'ai sorti de mon armoire exprès bien qu'il fasse un peu chaud pour le porter mais je ne le mets plus, cet ensemble. Qu'en penses-tu ?
- Il vous... euh, il te va toujours aussi bien.
- Tu es gentil. Je me suis aperçue en le mettant que je n'avais pas trop grossi. Bon, au boulot maintenant.

Ils travaillèrent quelques exercices mais Félicien était toujours aussi peu concentré. Son gilet déboutonné le troublait avec ses seins très visibles, rehaussés par un soutif pigeonnant. Sa jupe remontait très haut sur ses cuisses charnues. Il aperçut même un court instant un slip blanc. Elle le reprit plusieurs fois et finit par arrêter :
- Je vois que tu n'as pas trop l'esprit au travail. Allez, viens, on va se baigner dans notre piscine, ça te rafraichira les idées.
Le mari s'était montré pour l'heure invisible mais Félicien savait qu'il était là car les deux voitures du couple étaient présentes devant le garage. Elle le précéda vers la piscine et sans crier gare, baissa jupe et slip, dévoilant deux volumineuses fesses ivoire bien séparées par une raie longue et profonde, déboutonna son gilet, dégrafa son soutif, coiffa un bonnet de bain et se glissa dans l'eau où elle se mit aussitôt à nager complètement à poil.
- Alors, qu'est-ce que tu attends ? lui lança-t-elle.

Il ne pouvait faire autrement que se mettre nu à son tour et exhiber sa longue queue recourbée qui réjouissait tant Corinne.
- Eh ben dis donc, ton papa et ta maman ne t'ont pas raté, rigola-t-elle dans l'eau.
Il nageait à ses côtés mais elle finit par le coincer sur le bord pour lui aplatir ses deux obus sur son torse. Il sentit qu'elle saisissait son sexe et regarda un peu affolé vers la fenêtre de la maison, comme si le mari allait surgir pour l'expulser manu militari.
- Ne t'inquiète pas pour Roger. Il est d'accord pour qu'on fasse l'amour tous les deux. Nous sommes un couple très libre, lui souffla-t-elle.


C'était clair et direct. Madame B. ne s'embarrassait pas de convenances. Elle voulait mettre son ancien élève dans son lit et comme celui-ci commençait à bander dur sous l'effet de son paluchage aquatique, l'affaire n'allait visiblement pas attendre le dîner. Elle finit par sortir de l'onde en dandinant de la croupe et s'allongea sur un bain de soleil, cuisses grandes ouvertes. Il découvrait enfin cette zone mystérieuse qui l'avait tant inspiré pendant ses cours d'anglais. Cette fois, plus de jupe ni de slip mais une chatte poilue, charnue, disponible, qui attendait sa langue. Il mesure un court instant sa chance et se montra déterminé à la saisir. Baiser sa prof ! Quel élève n'en avait pas rêvé ? Elle avait ôté son bonnet de bain, libéré ses cheveux auburn et plantait son regard émeraude dans les siens, et lui dit, la voix un peu rauque :
- Viens me lécher, mouille moi bien.

Il plongea le museau avec volupté entre les cuisses ivoire et appliqua tout le savoir faire que lui avait enseigné la belle Corinne, très friande du cunni. Sa langue courait de l'anus au clitoris et retour. Madame B. lui tenait la nuque fermement par les cheveux et en levant les yeux, il pouvait percevoir par dessus ses gros seins qu'elle tenait à pleines mains son regard parfois extatique, parfois clos, sa langue sur ses lèvres, parfois un petit cri de plaisir. Ses cuisses dodues lui caressaient les joues pendant qu'il s'activait dans la fente et sur son clitoris. Il constata qu'elle mouillait et ne fut pas surpris de l'entendre dire :
- Tu lèches divinement mais je la veux maintenant. Mets-la moi.

En appui sur le bain de soleil, il se laissa guider par sa main impatiente et la pénétra avec douceur, comme le lui avait enseigné Corinne, arguant de muqueuses parfois un peu sèches au début de leurs ébats. Mais il ne tarda pas à clapoter et répondit à l'injonction d'Odile d'y aller "plus fort". Il ne demandait que ça et le bain de soleil trembla sur ses bases fragiles. Les seins de la pulpeuse s'agitaient tellement qu'elle fut obligée de les tenir en mains mais son cul répondait avec allégresse à ses coups de boutoir virulents de gars de vingt ans. Sa voix s'éleva sous les arbres du jardin : "vas y, vas y, oui, oui, oui !" Il l'écartelait maintenant en lui glissant les bras sous ses genoux et l'atteignait au plus profond, guettant dans ses yeux la montée de son orgasme et quand il la vit défaillir, lâcha tout. Il arrosa son pubis roux de son sperme copieux et offrit ses dernières semences à sa bouche, qu'elle absorba avec voracité. Puis il l'embrassa, la remercia et se mit assis devant elle, considérant sa chatte béante et encore palpitante.

Il l'entendit dire :
- C'était court mais divin. Il y a longtemps que je n'avais pas été aussi bien mise.
Le mot "mise" l'étonna. A sa place, Corinne aurait employé un mot beaucoup plus trivial. Il vit son regard se diriger vers le haut de la maison. Il se retourna et découvrit le visage du mari. Il n'avait rien perdu de leurs ébats. Une sensation étrange l'envahit mais elle le rassura d'un sourire :
- Roger aime me regarder faire l'amour.
Puis elle se dirigea vers la piscine, s'y plongea et il la rejoignit jusqu'à l'heure du dîner qu'elle avait déjà préparé. Elle avait revêtu un simple paréo et affichait une petite moue de femme bien baisée, lui lançant de temps à autre un regard énamouré. Roger se présenta détendu, comme si rien ne s'était passé. Les conversations passèrent d'un sujet à l'autre, exception faite de la relation sexuelle torride qui s'était déroulée un peu plus tôt. Et quand il quitta la maison, ce fut comme s'il prenait congé d'un couple bienveillant envers un jeune étudiant de vingt ans.

A SUIVRE

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