A La Plage 02

A LA PLAGE 02



Ils avaient fait ça bien. La viande était cuite et on s'est régalé.

On a traîné un long moment dans le jardin, finalement on était bien, on était tous à poil, enfin Denis et moi presque … On discutait et on faisait plus ample connaissance. Ils étaient là pour un mois, au camping …

Denis : Et si vous veniez vous installer ici, il y a de la place pour planter les tentes, on est en vacances nous aussi pour un mois !

Dans le jardin il y a une sorte de brasero de belle taille,au raz du sol. C'est pas pour se chauffer, il est à l'extérieur c'est juste pour passer une soirée autour d'un feu de bois l'été … Clic et David s'étaient rapprochés l'un de l'autre. Nous, les quatre autres, on s'était bien défoulé. Et sexuellement on était repus ( si j'ose dire ).

On parlait de tout et de rien …

David passait son bras sur les épaules de Clic.

Il y avait quelques lieux touristiques ...

David tenait maintenant Clic dans ses bras, il était allongé sur le dos, Clic l'embrassait sur le torse. D’où j'étais je pouvais voir que David bandait, il bandait bien même, il en avait une belle lui aussi. Clic était le moins bien doté, il n'était pas ridicule pour autant. On devait être de la même taille. Longueur dans la moyenne mais comme moi, j'ai l'impression qu'il devait chausser large. Mon dispositif fait tout de même plus de cinq bons centimètres de large !

Clic prenait dans sa bouche la queue de David qui étaot bien, dire maintenant. Par réflexe j'essayais de juger de la taille exacte et je me demandais lequel était le mieux doté. C'était difficile à dire, une seule chose était sûre, ils taillaient tous les trois à plus de vingt centimètres.

Par moment je pouvais voir la queue de Clic, il bandait bien ferme lui aussi, mais c'était de loin le moins bien doté. Il était sexy tout de même, je me le serais bien pris dans le cul lui aussi, ça devait être reposant après les gros calibres de ses camarades.



David lui caressait les couilles, je voyais sa main qui lui tripotait la bite. Clic prenait bien à fond la queue de David. Ils ne prenaient pas la peine de se cacher, autour du feu on continuait à discuter tout en les regardant. Je bandais dans ma cage, Denis devait être dans le même état que moi, je le connais bien moi Denis, ça fait quelque temps que je le pratique. Pour les deux autres ils arboraient maintenant de belles grosses molles.

Clic était assis à califourchon sur le ventre de son camarade et se penchait ver son visage. La queue de David se relevait fière, grosse, imposante juste à la base de des fesses de Clic et marquait par sa longueur la profondeur qu'elle atteindra au moment ou elle s'enfoncera.

Clic relevait son cul, la queue de David claquait contre son ventre, il la lubrifiait longuement. D’où j'étais je les voyais opérer. David maintenait sa queue bien à la verticale, Clic relevait son cul qu'il plaçait juste au dessus … Puis en un mouvement rapide et sûre il s'empalait sur son copain. Il ne lui fallait que quelques secondes pour que ses fesses s'écrasent sur le ventre de David.

J'étais hypnotisé par le spectacle, c'est un mouvement fluide, c'était impressionnant, c'était à la fois doux et violent. Du regard je retrouvait la limite de profondeur que cette queue désormais invisible avait marqué sur le dos de Clic. J'étais émus, je bandais comme un fou, j'aurai aimé être à sa place.

Du regard je parcourais le reste du groupe, ils regardaient tous, se caressaient la queue. Enfin pour ceux qui le pouvaient ! Pendant quelques instants ils ne disaient plus rien.

François : Mais ces grottes de Cro-Mignon on peut les visiter quand ?

François continuait la discussion là ou il l'avait arrêtée ! Les grottes de Cro-Mignon c'est une curiosité touristique connue … Mince alors maintenant vous savez dans quelle région j'habite ! Moi qui voulait rester discret sur ce point …

Clic relevait la tête en arrière, il avait les jambes repliées, les pieds de chaque côté des hanches de David qui lui caressait le torse avec douceur et fermeté.
Clic se soulevait doucement le cul, je voyais les muscles de ses cuisses se contracter et il se soulevait à chaque fois. L'énorme queue de David ressortait puis disparaissait de nouveau dans l'anus de Clic. Il respirait fort le petit Clic, il avait relevé la tête et gémissait de plaisir, il accélérait le mouvement et se relevait plus haut, plus vite avant de se laisser retomber de tout son poids.

David ne faisait rien, il le laissait faire, lui caressait les cuisses, les hanches, le haut du corps. David lui pinçait les tétons et Clic réagissait aussitôt en gémissant plus fort.

David commençait à intervenir, il soulevait son bassin en suivant le mouvement que Clic imprimait. Clic se soulevait un peu plus sous la pression de David, il retombait avec plus de force et il râlait plus fort encore, il gémissait encore plus.

David soulevait de plus en plus haut sont bassin, Clic ne pouvait plus replier les jambes puis les mouvements devenaient plus violents et plus désordonnés. Clic se soulevait, il recevait un violent coup de bassin dans les fesses, la queue de David s'enfonçait avec force et se retirait. Clic se laissait retomber et de nouveau il recevait encore un violent coup de bassin, il se soulevait de nouveau. Sa respiration devenait totalement incontrôlable, il gémissait fort, il criait par moment.

On s'arrêtait tous de parler quand Clic devenait trop bruyant puis on reprenait la discussion. C'était une situation normale finalement. Un groupe de copains discutaient tranquillement pendant qu'un d'entre en enculait un autre.

David soulevait son bassin très haut et en même temps il tirait les pieds de Clic vers lui. Clic s'empalait alors de tout son poids sur cette énorme queue, il hurlait, on les regardait, Clic se tordait en gémissant le culs écrasé sur les hanches de David.

David relevait le torse et repliait ses jambes en tailleur, Clic repliait les jambes dans le dos de David. David se balançait alors sur ses fesses et relevait son bassin à chaque fois, sa queue massait alors les entrailles de Clic qui là, ne se retenait plus et gémissait fort maintenant.


Plus personne ne parlait on regardait.

D'un mouvement brusque David basculait Clic sur le dos, se retrouvait sur lui, lui plaçait les chevilles sur ses épaules, lui maintenait les jambes bien écartées et lui limait le cul sans ménagement.

Ils ne contrôlaient plus leurs mouvements, ils n'essayaient même pas. David se lâchait et Clic encaissait, il se masturbait et jutait sur son ventre. David ne s'arrêtait pas pour autant. Il râlait de plaisir, il hurlait au moment ou il jouissait dans le cul de Clic, il donnait quelques coup de bassin particulièrement violents puis se laissait tomber sur Clic qui refermait ses jambes et ses bras sur David.

Ils restaient là, sans bouger, en se faisant des câlins. On reprenait notre discussion, tout allait bien. François bandais et se caressait la bite, Alain en faisait de même.

Moi et Denis … Bein …

Il n'était pas très tard quand ils nous ont quitté. Minuit était passé mais ça ne faisait pas tard pour autant. Ils étaient fatigués, ils étaient arrivés le matin, avaient monté les tantes le midi et l'après midi à la plage … La suite vous connaissez.

Avec Denis on n'arrivait pas à dormir tout de suite, on discutaient de nos nouveaux amis.

Denis : Tu as vu comment il est monté le black ?!
Moi : Je l'ai surtout senti passer, mais tu ne peux pas savoir à quel point sa peau est douce. Et le suédois, il est pas mal non plus ?!
Denis : J'ai bien aimé, je ne m'y attendais pas tu sais, il m'a juste attrapé par le poignet, m'a tiré vers lui et m'a pris dans ses bras. Deux minutes plus tard il m'enculait.
Moi : Je suppose que tu as résisté un peu au moins ?
Denis : Mais tu es folle ma pov fille !!!
Moi : Excuse moi j'avais oublié que tu étais une grosse salope !
Denis : Connasse ! D'abord je ne suis pas grosse !

Après ces petites taquineries on finissait pas s'endormir, chacun dans les bras de l'autre.
Vers la fin de la matinée, on sonnait à la porte. J'étais dans le jardin et Denis allait ouvrir. J'entendais tout de suite les cris de joie et reconnaissais les voix. C'étaient nos quatre nouveaux amis.

Rapidement ils s'installaient, ils montaient les deux tentes dans le fond du jardin, un endroit ou il y avait de l'ombre et un peu de fraîcheur pendant les heures les plus chaudes de la journée. On prenait le repas ensemble puis on partait pour la plage.

La présence de nos nouveaux amis nous donnait du courage à Denis et à moi. On ne cherchait plus à nous dissimuler du tout. On jouait au ballon, on nageait, on se faisait bronzer sans rien faire, les corps se rapprochaient, se touchaient, quelques uns bandaient … Denis et moi ne nous le permettions pas mais les autres ne se gênaient pas. Et tout l'après midi on pouvait admirer trois queue de très belles tailles et une plus modeste autour de nous. Quelquefois elles se redressaient fièrement, à d'autres moment elles se balançaient lourdement quand leurs porteurs se déplaçaient. J'en prenais plein les yeux, et ma queue réagissait en protestant pendant toute la journée.

D'habitude quand je viens à la plage avec ce dispositif sur moi il y a toujours un moment ou je me calme, ou ma queue se calme et ne se fait plus remarquer dans sa cage, là elle ne se calmait pas et poussait en permanence contre sa cage. C'était frustrant et mon cœur battait fort, cette situation provoquait un manque délicieux, un désir plus fort encore et la présence de ces quatre grosses queue me faisait attendre avec de moins en moins de patience la fin de la journée, le retour à la maison, le moment ou j'en prendrais encore plein le cul.

En un mot, j'avais le feu au cul comme jamais !

Clic s'était approché de moi.

Clic : Tu as sans doute remarqué que je suis plutôt passif ?
Moi ! C'est pour ça que tu as choisi des mecs aussi bien monté ?
Clic : ( en rigolant ) C'était un des critères de choix ! Mais c'est pas ça que je voulais te dire …

Je le regardais sans rien dire, j'attendais la suite.

Clic : Ton truc là, c'est toi qui l'a fait ?
Moi : Oui !
Clic : Tout seul ?
Moi : Avec mes petits doigts !
…
Clic : Tu pourrais m'en faire un ?
Moi : Je me demandais pourquoi tu n'en portais pas ? Je me disais aussi !
Clic : Sérieux ! Tu pourrais ?
Moi : Ça devrait pouvoir se faire ! Tu as l'intention de le porter sur une longue période ?
Clic : Comme toi !
Moi : C'est d'accord mais je veux m'amuser un peu avec ta queue avant.
Clic : Tu serais le dernier avant longtemps alors ?

A partir de ce moment ma queue à protesté encore plus, je lui aurais bien sucé la queue tout de suite, là, sur la plage mais on aurait pu nous voir et je me retenais. La frustration devenait insidieuse, je n'avais qu'une idée en tête et ne laissais rien paraître. C'était un truc de fou.

En fin d'après midi nous remontions de la plage, on arrivait à la maison et je le prenais par la main pour l'entraîner dans un coin du jardin. Là je le prenais dans mes bras, et l'embrassais. Il me rendait chacun de mes baisers, on se caressait l'un l'autre et nos vêtements tombaient vite sur le sol. Il bandais le petit bonhomme et je ne lui laissais pas le temps de réagir, je me mettais à genoux et lui suçais la queue.

Elle était plus facile à avaler que celle de son copain François, elle de taille plus humaine contrairement à celles des ses camarades qui eux étaient de vrais monstres. Je la gobais sans aucune difficultés jusqu'au fond de la gorge, lui caressait l'intérieure des cuisses, lui massais les couilles. Il gémissait de plaisir et me caressait les cheveux.

Il me laissait faire et n'intervenait que très peu. C'est à peine s'il appuyait sur ma tête, je le tirais vers moi et mon visage s'écrasait sur son ventre. C'est là qu'il à commencé à appuyé sur ma tête et en même temps il avançait son bassin. La veille, des coups de bassins comme ceux qu'il me donnait n'auraient pas passé mais là avec une bite de taille normale ça passait tout seul. Je sentais son gland s'écraser contre le fond de ma gorge, c'était une sensation très différente de la veille. Finalement les très grosses bites c'est pas toujours mieux pour ce qui est de les sucer.

Clic : Retourne toi je vais t'enculer.

Je me disais que ce serait la dernière fois pour lui et pour un long moment. Je me retournais, m'allongeais sur le gazon. Il s'allongeait sur moi, plaçait ses jambes entre les miennes et doucement mais fermement glissait sa queue dans mon cul.

C'était un plaisir immense qui m'envahissait. Il y allait sans préliminaires, mais la veille j'avais été tellement dilaté que là, ça rentrait tout seul. Aucune douleur, que du plaisir. Sa queue appuyait sur ma prostate je sentais que j'allais éjaculer, puis son ventre s'écrasait sans ménagement sur mes fesses. Mon muscle anal hurlait de plaisir, ma prostate criait des ' encore ' mon ventre se contactait face à cette délicieuse intrusion. J'avais presque oublié qu'une petite bite peut procurer autant de plaisir.

Enfin petit bite … Pas tant que ça … Normale quoi ! Il était dans la moyenne pour ce qui est de la longueur mais large. Tout comme moi !

Il se retirait complètement puis revenait bien à fond. Le mouvement était rapide et violent, j'ai gémi très fort de plaisir. Un des trois autres m'aurait fait ça sans me préparer j'aurais hurlé de douleur. Mais là ce n'était que du plaisir. Il recommençait, et encore puis suivait me limait le cul dans les règles. Voyant que j'encaissais bien il ne se retenait plus .

Il me limait de plus en plus vite et quand sa queue me rentrait dans le cul il frappait de toutes ses forces contre mes fesses. Il n'y allait pas seulement de plus en plus vite mais aussi de plus en plus fort. Il était allongé sur mon dos et je sentais son souffle dans mon oreille. Il respirait fort, je gémissais de plaisir. Il s'appuyait de tout son poids, j'appréciais cette pression sur mon corps. Il gémissais de plaisir, je tremblais et éjaculais. C'était le pied, là je prenais mon pied et il continuait, et le plaisir ne descendait pas. C'était un orgasme long, long dans la durée mon urètre était en feu et me donnait l'impression d'éjaculer sans fin, je frémissais et il en faisait autant.

Il hurlait de plaisir, il jouissait et éjaculais en moi. Il appuyait son bassin contre mes fesses et ne bougeait plus. On tremblait encore un moment tous les deux, on était enlacé, encore mélangé.

Plus tard quand il s'est retiré le plaisir était encore là. Je me suis retourné et c'était un sceau de sperme qui avait coulé sous moi …

Faites pas gaffe j'avais pas toute ma tête à ce moment, tout au plus un bonne cuillerée à soupe de sperme mais pas plus. Mais bon j'avais pris mon pied et je ne vais pas me contredire moi-même donc …

Enfin quand je dis que j'avais pris mon pied, là je vous jure que je n'exagère pas !

Des applaudissements se faisaient entendre. C'était Alain et David qui avaient pris position, un peu comme au spectacle, ils avaient une bière à la main et ne cachaient pas qu'ils avaient apprécié le spectacle. Ils bandaient et se masturbaient doucement.

C'est à ce moment que Denis et François arrivaient, ils étaient passé faire des courses …



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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