Récit : « Récit De La Première Double Vaginale De Virginie : Épisode 5 »


Lorsque Virginie eut fini sa première double pénétration vaginale, elle s’endormit auprès d’Yves et de Phil. Le temps avait passé depuis sa toute première aventure avec un homme. Elle réalisa en s’endormant qu’elle était devenue la femme qu’elle voulait être : une femme sensuelle, avide de sexe et n’ayant pas froid aux yeux. Elle se disait être un bon coup et plaire aux hommes, enfin ! Elle qui, autrefois, n’attirait pas les regards à l’inverse de la plupart des filles de sa classe, au lycée puis en BTS.

Elle réalisait qu’il était bon pour elle de se sentir belle et désirée. Elle aimait particulièrement cela. Avec Bob, elle découvrit ce qui plaisait le plus aux hommes : la fellation, les lieux insolites, les pénétrations anales et vaginales.

Avec Phil, mais aussi avant avec Olivier et d’autres, elle apprit à se faire belle, à se maquiller pour séduire, mais pas trop, pour ne pas être vulgaire ; elle avait appris à se parfumer, mais cela c’était avec Bob. Elle sentait bon, tout le temps et cela plaisait beaucoup aux hommes. Elle était belle, resplendissante, souriante, joyeuse, amoureuse, libertine, coquine, divine.

Elle avait appris aussi à être sexy, avec Bob tout d’abord, puis avec les autres, qu’elle voulait séduire. Il n’y avait jamais d’excès dans ses tenues : c’était le plus souvent soit décolleté soi mini mais rarement les deux, pour ne pas être trop vulgaire tout simplement. Elle mesurait ses efforts. Sa nature même faisait son charme. Elle avait un sourire certain, un sourire divin, et peu d’hommes lui résistait. Assurément, c’était eux le maillon faible et pas elle.

Il est étrange, cependant, en y repensant comment cette fille-là cachait son jeu, mais quel jeu ! de saint-nitouche, pimbêche et largement coincée, elle avait su devenir la femme la plus désirable pour un homme et la plus coquine, pratiquant sodomie, fellation, faciales et même pluralité masculine. Bob avait vu en elle une fille dont il ne soupçonnait pas les capacités d’adaptation et à vrai dire il ne sut lui-même évoluer aussi vite qu’elle, peut-être à son grand regret.



Virginie était en effet devenue une femme sensuelle et presque fatale. Elle ne se rendit pas compte cependant combien elle était passé d’un extrême à un autre : de son éducation chrétienne et catholique où elle devait pratiquement faire vœux de chasteté jusqu’au mariage, elle avait bravé la tradition familiale en couchant pour la première fois avec un garçon de son lycée, Bob, à 17 ans. De fil en aiguille, après avoir fait l’amour une première fois puis une seconde fois et ainsi de suite, elle se mit à la fellation parce que pensait-elle, déjà, que « c’était ce qu’une fille devait savoir-faire ». Bob ne partageait pas cette opinion, à ses débuts du moins, avec elle, mais il s’était finalement aligné sur la pensée et la conception des choses de l’amour de sa chérie. Sa belle voulait sucer : il laissa faire, pour son plus grand plaisir, à lui.

Virginie, donc, comme je vous le disais, passait sans s’en rendre compte d’un extrême à un autre : d’une nature réservée, liée à son éducation, elle s’était ouverte aux feux et aux joies de l’amour délurée. C’est ainsi qu’elle s’offrit, corps et âme, à un premier baiser extra-conjugal puis une première fellation à la demande du nouvel intéressé, tant bien même qu’elle était encore en couple avec Bob, l’homme de sa vie.

Mais, ce soir-là, Bob était à plus de 17 000 km d’elle et à plus de 16 heures de vol, en avion. Et, c’était bien dans les bras de Phil et de Yvon qu’elle exerça sa première double pénétration vaginale. Une pénétration que Virginie se souvint toute sa vie durant, et Bob aussi, le jour où sa belle lui en fit la confidence. Dans la foulée, Phil avait été des plus audacieux en pénétrant ma belle alors que Yves était déjà en elle. Je revois et j’imagine encore ce sexe qui entre délicatement en elle, tout doucement, alors que celui d’Yves était déjà immobilisé, à l’intérieur, comme pour attendre son partenaire. Virginie eut assurément beaucoup joui de la situation et les images de ma belle, secouée par ces deux gaillards, se sont suffi à elles-mêmes.
La nuit s’est poursuivie dans le lit et dans le canapé. Mais cela est une autre histoire. A bientôt.

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