Julie - Une Nouvelle Vie: Dimitri (Partie 19)

Deux semaines, ça fait maintenant deux semaines que Julie est allée déposer le fameux contrat qui la lie maintenant à Mr. Louis. Le gros rital s’était montré plutôt évasif sur la suite des opérations. Mais ce soir, lorsqu’elle sort enfin de la salle aux godes dans la bas fonds du sex-shop, son corps et son âme sont définitivement marqués par la perversité de ce vieux porc de rital.
Les membres ankylosés, la chatte et l’anus en feu par les différents élargissements qu’elle a subi ces deux dernières heures, la jeune fille en sueur a bien du mal à reprendre son souffle et ses esprits. Elle ramasse avec difficulté les morceaux de tissus que les deux acteurs hard embauchés par le vieil italien ont éparpillé dans la pièce sombre en lui arrachant ses vêtements.
Elle pousse tout de même un soupir de soulagement en constatant qu’ils n’ont pas déchiré le petit ensemble qu’elle avait acheté pour l’occasion. Le chemisier de tulle blanc est certes tout chiffonné sur le sol, à l’opposé d’où elle a récupérer sa jupe portefeuille, mais au moins elle peut se couvrir un minimum pour ne pas rentrer à poil à l’appartement qu’elle partage toujours avec Dimitri.
Alors qu’elle ajuste les magnifiques bas FF en soie que lui a offert Eric pour s’excuser de ne pouvoir l’accompagner ce soir, la mémoire de sa peau lui rappelle la brutalité avec laquelle ses bourreaux d’un soir l’ont mis à poil devant la caméra du « directeur ». Elle sent encore les mains puissantes glisser entre les boutons de son chemisier pour en écarter les pans d’un geste brutal et précis, avant qu’elles ne lui attnt et ne malaxent ses gros seins gainés de dentelle.
« Heureusement que j’ai eu la clarté de le prendre à pressions » conclue t’elle en les cliquant une a une pour couvrir son torse et sa poitrine, objet de toutes les perversités des hardeux.
Les mains encore tremblantes des élargissements extrêmes qu’elle vient de subir, elle finit par boutonner sa jupe sur le porte jarretelle qu’ils ont eu la décence de ne pas arracher.

Parfois le fétichisme des hommes a du bon. Ils ont eu beau la traiter comme la dernières des traînées a qui on peut faire subir n’importe quoi, ils ont tout de même respecter ses dessous frivoles.
Par contre, son string et son soutif à balconnets n’ont pas eu cette chance. Elle les récupère, dégoûtée, en chiffon au pied de la table sur laquelle restent fièrement érigés, les instruments de la de ses trous.
La série de godes et de plugs sur la table réveille en elle le souvenir encore récent des chairs de ses trous élargis un à un par ces deux monstres de perversité. Comment a-t'elle pu se soumettre consciemment à ce jeu d'insertions si extrêmes, et pourtant si délicieusement avilissantes? Etait-ce vraiment juste pour remplacer la vidéo incriminant Lilie? Est-ce qu’elle n’y aurait pas pris trop de plaisir?
Les deux dernières heures avaient commencé par une bonne mise en jambe. Les deux acteurs avaient su parfaitement détendre la gamine par la dextérité de leurs caresses. Les mains qui lui malaxaient les chairs, les langues qui lui fouillaient les orifices, ils avaient préparé avec minutie la gamine à se positionner d'elle même à quatre pattes sur la table.
Le visage plaqué à même le bois lisse et doux par toutes ces femmes qui y ont été déposées et abusées, elle avait d'elle même supplié ses bourreaux de l'humilier comme une chienne en plaquant ses deux mains sur chaque fesses afin de leur exposer ses trous gourmands et en manque de queue.
Ils ne s’étaient pas fait priés très longtemps. La palette d’instruments à leur disposition était conséquente. Julie n’en revient pas, maintenant qu’elle les voit tous alignés, verticaux, encore luisant de ses jus. Même après ce qu’elle vient de subir, et malgré ses orifices encore béants entre les cuisses, elle ne peut s’empêcher de caresser les godes à manches de différentes tailles. Elle caresse, songeuse, les stries des énormes veines factices qui écartaient si délicieusement les chairs de son vagin en chaleur.

La texture encore gluante du lubrifiant mélangé à sa mouille sous ses doigts réveillent même une sorte de perversité malsaine dans son esprit. Elle ne pourra sûrement plus se faire baiser pendant un ou deux jours, mais les exploits d’élasticité de sa fente minuscule sont définitivement marqué sur l’énorme bite de 8 ou 9 cm de diamètre qu’elle soupèse maintenant entre ses doigts fluets.
Et que dire de son trou du cul ? Elle ose à peine touché les vestiges de ce qui n’était qu’un petit œillet tout serré il y a quelques heures. Les chairs rougies et boursouflées de son anus sont eux aussi à l’image de la série de plugs trônant fièrement sur la protubérance de leurs socles.
Comment avaient-ils pu progressivement écarteler son conduit anal autour de cet énorme pieu d’au moins 10 cm à la base ? Pourtant ils étaient parti d’un simple chapelet et ses quelques petites billes d’à peine 2 cm de diamètre.
La vue de l’énorme cône de vinyle noir subjugue Julie autant qu’il l’effraye. Comment a-t’elle pu s’empaler sur ce truc ? Elle se rappelle encore comment, une fois passée l’énorme cône, son anneau s’était soudain contracté autour de la base tellement plus fine, cette étrange sensation d’aspiration lorsque le sphincter, qui l’instant d’avant était sur le point de se déchirer, se contracte soudainement, mettant temporairement fin à la douleur langoureuse des chairs qu’on écartèle.
Le pire pourtant, restait la sortie! Lorsque ses bourreaux lui ont attrapé les cuisses pour commencer à l’extraire du plug Julie avait été impuissante à les en empêcher, l’esprit embrumé et le corps exténué par cette dilatation extrème. Ils l’avaient contrainte à refaire le parcours en sens inverse, la déculant sur cet énorme diamètre pour l’y empaler à nouveau.
Et comme si l’humiliation de se faire filmer, les orifices complètement distendus, n’était pas suffisante, ces deux vicelards l’avaient laissée plantée sur le cône toute pantelante et essoufflée, avant de lui écarteler les cuisses pour lui planter le gros sexe de 10 cm de diamètre dans sa chatte déjà toute rétractée.

Ces salops l’ont tellement pistonnée et emmanchée alors qu’elle était plantée sur le plug anal, que le souvenir encore trop récent de cette double sensation d’écartèlement et de frottements de sa paroi vaginale contre sa paroi anale réveille en elle cette frustration d’être incapable de résister à ses instincts de chienne en chaleur. Même après ce supplice, une étrange envie de se faire à nouveau maltraiter par ses bourreaux la hante comme un appel malsain à une débauche absolue.
« Mais tu vas pas bien ma fille ! » conclue-t’elle avant de s’en retourner à l’appartement, douloureusement certes, mais avec cette douce sensation de plénitude.
À cette heure tardive du petit matin, le magasin est entièrement vide lorsqu’elle sort par la petite porte dérobée. Pourtant l’écho des rires du trio se réverbère entre les rayonnages en une drôle de mélodie sadique. Obligée de passer par l’arrière boutique, elle retrouve les deux hardeux en train d’admirer la performance de la scène par dessus l’épaule de Mr. Louis qui récupère les rush sur son ordi.
-Putain mais c’est une sacré performeuse que tu nous a dégoter Luigi!
-Ouais mais lui dites pas! Elle pourrait prendre la grosse tête!
-Pas si grosse que les godes qu’on lui a carré dans l’fion!
-AHAHAHAHA Ils éclatent tous de rire lorsque la jeune fille fait son apparition à l’entrée du bureau.
-Bon ben j’me casse! J’imagine que j’dois m’débrouiller? Lance t’elle dans l’espoir de déclencher un peu de pitié.
-Ouais ça marche! Oublie pas de fermer derrière toi en sortant! J’voudrais pas m’faire piquer mes rush, sinon faudrait tout refaire!
La gamine fulmine devant le comportement reptilien des trous connards. Elle claque la porte derrière elle et sort dans la rue sombre, sur le point de fondre en larmes de stress et de colère.
27 minutes et un Uber plus tard, la voilà de retour à l’appartement, le cul défoncé, les reins cassés et la chatte sans dessus dessous. Elle fonce droit dans la salle de bain et ne peut résister à l’appel d’un bon bain bien chaud.
Elle fait couler l’eau, blinde la baignoire de bain moussant et se rend dans la cuisine pour se préparer un bon verre de vin blanc!
“Aaaaaaah quelle sensation!” Le soulagement de l’eau bouillante sur ses orifices distendus est immédiat, elle se détend et déguste son verre de vin, non sans une certaine fierté d’avoir pu encaisser simultanément un plug de 12 cm à la base, et le ramonage de sa chatte, pourtant si étroite, par l’énorme pieu de 10 cm.
Se délectant de son verre de vin allongée dans la mousse crépitante de son bain, Julie ferme les yeux et s’enfonce dans l’eau. A moitié consciente de son environnement et légèrement enivrée par la fatigue combinée au vin, elle entend du bruit dans l’entrée. Ce doit être Dimitri son colocataire, il n’est pas très discret et semble accompagné.
Les mouvements dans le couloir, les bruits des corps qui se frottent l’un à l’autre forment un son étrangement psychédélique dans la tête embrumée de la jeune fille. Elle décide de faire couler un peu plus d'eau chaude pour d’une part couvrir les élucubrations du couple en chaleur, mais aussi pour réchauffer l’eau qui refroidit autour de son corps meurtri.
-”HUMPH … HUN … BOUM PATATRA” Des rires à gorge déployée envahissent l’espace de l’appartement silencieux.
-”CHuuuuuuut …”
-”Mais c’est quoi ces fringues de filles? T’as une meuf?”
-”Mais non sois pas conne! C’est ma coloc!”
-”Merde elle pourrait ranger ses shoes c’te conne! J’ai failli me flinguer une cheville!”
“Ils ont l’air dans un état!” Se dit Julie qui les entend très bien derrière la fine porte de la salle de bain. “Elle est pas chier cette pute, elle me juge sans me connaître!” La jeune asiatique prend plus mal qu’elle ne l’aurait souhaité le fait que le grand chauve ramène une conquête à l’appartement. Bien que ce ne soit pas la première fois depuis deux semaines, ce soir elle n’est pas vraiment d’humeur à supporter leurs escapades.
Malheureusement, elle ne peut pas y faire grand chose, elle n’a pas les moyens de trouver autre chose, et bien qu’il la traite comme une gamine sans intérêt, Julie ne peut que s’avouer que le ténébreux tatoueur ne la laisse pas indifférent.
-”Oh ça va! Ta gueule, et viens ici” … BOUM
Julie sursaute dans son bain! “Merde qu’est-ce qu’ils font?” Le bruit sourd contre la porte de la salle de bain la surprend.
-ZIIIIP … “Vas-y suce moi au lieu de m’faire chier!”
“Nan mais c’est pas vrai, ils vont pas baiser dans le couloir quand même!” La surprise s’estompant, la jeune asiatique imagine la scène. Lui adosser à la porte, la braguette baissée, et la queue sortie. Le connaissant, elle l’imagine attr la nouvelle connasse tatouée par les cheveux pour la mettre à genou à ses pieds.
-CLAC … Nan mais ça va pas? j’suis pas ta chienne non plus!
Sourire narquois sur les lèvres, Julie jubile intérieurement, pour une fois qu’il n’a pas ce qu’il réclame sans un peu de résistance.
VLAM
-Merde j'crois que t’as bien merdé sur ce coup là mon vieux!
La poignée de la salle de bain est secouée de gauche à droite sous les efforts pénibles du tatoueur lorsque Julie se rend compte qu’elle ne l’a pas verrouillée. Lorsque le battant s’ouvre enfin, la jeune fille couvre, dans un réflexe pudique, sa poitrine, manquant de renverser son vin blanc dans l’eau du bain.
-Ah merde, t’étais là? Ne manque pas de remarquer le grand chauve.
-Ouais et j’y suis encore j’te f’rais remarqué! Désignant le long morceau de chair flasque pendouillant dans le ‘V’ de la braguette ouverte.
-Oh ça va! Fait pas ta prude, t’en bouffe tous les jours!
Sans plus de tact, il ouvre l’abattant des chiottes et commence à y vidanger le contenu de sa vessie. Julie att son éponge corporelle trempée et mousseuse et lui balance dans le dos:
-Putain t’es chiant! J’ai besoin de me détendre un peu là! J’ai eu une journée de merde et toi t’en rajoute encore! Pas étonnant que l’autre conne ait pas voulu t’la bouffer ta queue!
Il lève le bras droit de façon défensive et un peu tardive, et la fixe du coin de l’oeil:
-Eh là! Ca va calme toi! AHAHAHA
Il éclate de rire, nourrissant encore plus la colère de sa colocataire à son encontre.
-Nan mais putain te fous pas d’ma gueule en plus! PLOUF Elle lui éclabousse de l’eau savonneuse avant d’ajouter: Allez, c’est bon, ferme-là! J’étais peinard avant que t’arrives! Va crécher ailleurs tu fais chier!
Loin de répondre aux piètres menaces de la gamine, et jouant de son autorité naturelle, il lui tient tête, att la bouteille de vin et décide même de s’assoir sur le rebord de la baignoire, goulot au bec.
-Eh ben dis donc? Tu te rebelles en plus!
Devant le calme de Dimitri, Julie baisse soudain le ton et les yeux. Il enchaîne sur un ton monotone, froid, calme, sans même besoin de hausser la voix:
-Dis toi bien une chose, j’étais pénard avant que tu ramènes ton p’ti cul! Maintenant, Marco? c’est lui le boss,! Il dit que tu peux crècher ici? OK, je peux être contre mais j’accepte! Par contre que t’aies eu une journée de merde ou pas, c’est pas mon problème! Ici les meufs elles filent droit ou elles se cassent comme l’autre conne, compris?
C’est la première fois en deux semaines de colocation que Julie échange vraiment en tête à tête avec le tatoueur, d’habitude si discret et effacé. Elle ose à peine relever les yeux, elle a l’impression de redevenir une petite fille qu’on gronde après qu’elle ait fait une connerie.
Pourtant, même devant la froideur et la distance du tatoueur si proche d’elle, Julie continue de grommeler.
-Bon exprime toi un peu là au lieu de baragouiner dans ton coin!
Elle hésite, les mots se forment dans sa tête, parviennent au bout de sa langue mais refuse toujours de s’articuler entre ses lèvres. Elle prend une grande inspiration, puis le défie timidement avant de lâcher dans un soupir:
-Pourquoi tu m’aimes pas?
-Hein? Comment ça je t’aime pas?
-Ben oui, t’es méchant, tu me calcules pas. Tu m’aimes pas.
-Pourquoi je t’aimerais pas?J’ai rien contre toi, je m’en fous de toi.
-Putain, on est coloc et tu t’en fous? Tu cherches même pas à m'apprécier un peu.
Elle baisse le ton et les yeux, recroquevillée sur elle-même, sans plus se soucier de sa nudité:
-Je t’aime bien moi à la base.
Il la toise dans l’eau de son bain, avant d’ajouter:
-Les gamines comme toi, insipides, sans piercing ou tatouages, ça m’intéresse pas! Moi je veux de la femelle qui s’assume et qui me fait pas chier! Je veux baiser, je baise, je veux qu’on m’suce elle a intérêt à avaler! Si j’veux te percer le clito tu me dis “quand” et “merci”!
“Putain, il est pas commode le con! Mais pourquoi je le trouve encore plus craquant alors?” La jeune fille à l’impression de se transformer en midinette devant le beau gosse racaille du coin!
-Tu me connais pas, je suis ptete une fille comme ça...
Mais alors que Julie trouve enfin le courage de défendre son bout de viande, le téléphone de Dimitri vibre dans sa poche.”Il va quand même pas décrocher?” Mais le tatoueur ne prend même pas la peine de s’excuser de décrocher en pleine conversation, il dégaine l’appareil:
-Ouais? … Oh salut ma belle! Justement j’pensais à ton p’ti cul! … Nan, une salope en fait, j’ai même pas pu l’embrocher c’t’allumeuse! … Ben tu m’étonnes, maintenant j’ai la queue en feu! .... AHAHAHA Ouais tu sais bien que je baise où tu veux quand tu veux! …
Il se lève et poursuit sa conversation en sortant de la salle d’eau. “Mais c’est qu’il se casse en plus l’enculer!” Julie n’en revient pas, elle était sur le point de pouvoir enfin se livrer, après deux semaines de silence tendu, et lui se barre. La voix s’estompe lorsqu’il s’éloigne:
-Ouais … Quoi? … Tu veux un labia? … Ah ça ma vieille c’est au moins une sodo! … AHAHAHA ouais? .... OK! … Ca marche! Chauffe toi bien, tu vas dérouiller!
Et le grand chauve se barre avec une valise sans même s’occuper de sa colocataire, seule dans son eau en train de refroidir. “Putain d’enfoiré! Un labia? c’est quoi ce truc?”
Julie s’enfonce dans son bain fatiguée de sa journée et son colocataire.
Au bout d’une heure, l’eau est froide, il est temps de sortir. Emmaillotée dans sa serviette Julie se sèche les cheveux en repensant à Dimitri : “Quel connard! insipide? je les fais tous tombés moi les mecs!”.

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