Chapitre 3 : Trio Magique Avec Denis Et Claude-Yves

Chapitre 3 : Trio Magique : Denis / Claude-Yves et Éric.
Et voilà, nous sommes déjà au troisième épisode. Suite à l’appel téléphonique de Denis, pour le rendez-vous du lendemain, j’ai longtemps hésité, j’ai l’impression de trahir encore un peu plus Marie, j’ai passé une mauvaise nuit plutôt agitée, et puis en fin de matinée j’ai pris la direction de Deauville, pour rejoindre Denis et Claude-Yves avec lequel je vais faire connaissance.
J’arrive devant l’hôtel « Le Normandy » superbe établissement, je me dirige vers le bar comme prévu, j’aperçois de loin Denis, très bel homme de 52 ans, belle silhouette, élégant, raffiné, je m’approche, je ne peux résister à l’envie de l’embrasser, mais il est accompagné par… Claude-Yves, donc je calme mes ardeurs rapidement, poliment je salue Claude-Yves, qui ne ressemble à rien, il fait très vieux, il a 64 ans en réalité, nous avons trente années de différence, il me semble pas très grand, en fait il mesure 1.74m, à peine plus grand que Marie, mais il pèse plus de cent kilos, soit le double de Marie, son visage est très ingrat, des cheveux gris mi- longs mal soignés, un costume de bonne qualité mais mal porté et pour cause.
Je suis furieux, comment Denis ose me proposer une possible relation avec un mec comme cela. Je suis peu bavard.
Nous déjeunons tous les trois, Claude-Yves est plutôt sympathique et a beaucoup d’humour, il est très fin et cultivé, cela me détend, Claude-Yves s’en aperçois, et fait alors quelques allusions subtiles sur mes « talents » cachés, il se confie un peu sur sa vie affective, sa « traversée du désert affectif », comme il dit, il espère vraiment pouvoir me faire plaisir et éventuellement prendre un peu de plaisir si je le souhaite. Il est très touchant, Denis semble satisfait de la tournure de la discussion et semble rassuré, et c’est lui qui nous demande si nous pouvons aller nous reposer en chambre.
L’après-midi ne sera pas de tout repos pour moi, même je ne suis pas venu pour cela, car il faut être motivé pour faire quatre heures de route aller-et-retour pour retrouver Denis et son ami.


Nous montons dans notre suite, en compagnie du garçon d’étage, celui-ci nous présente les équipements, mais je dois dire que je suis légèrement gêné, nous devons avoir la trentaine tous les deux, il semble me regarder bizarrement et doit deviner ce que je vais faire avec mes accompagnateurs beaucoup plus âgés durant l’après-midi.
Claude-Yves a réservé une suite magnifique avec grand salon et une superbe vue sur la mer, c’est très agréable d’avoir des moyens illimités. Je suis moins à l’aise avec la présence de Claude-Yves, mais je décide de passer par la douche, j’ai bien retenu la leçon de la dernière fois, je dévisse avec peine la pomme de douche pour mon lavage intégral, j’enfonce bien le tuyau et je fais couler l’eau lentement, jusqu’au retour de l’eau claire, voilà mon cul est très propre. C’est à ce moment que Claude-Yves me rejoint, entièrement nu, c’est loin d’être un grand sportif, je remarque de suite la taille de son sexe, qui est loin d’être imposant, il n’est pas hyper bien monté.
Claude-Yves semble surpris par mon lavage intégral, mais déjà alors qu’il devait rester spectateur, il commence par me caresser les fesses, cela m’excite beaucoup, Denis arrive pour se doucher, nous aperçois et remarque Claude-Yves qui réagit, enfin son sexe, c’est une grande douche, et Denis m’ordonne :
- Tu vas nous sucer sous la douche, petite pute, pour commencer
- Maintenant ??
- Ben Oui, maintenant, je suis persuadé que tu mouilles déjà comme une salope…
- Ici dans la douche, Denis
- Mets-toi à genoux, salope…

Je m’exécute, je commence par les branler, puis je les lèche, je sens les deux sexes grossir, c’est très agréable comme vision, pour enfin les mettre dans ma bouche de façon alternative, je m’attarde un peu plus sur le sexe de Claude-Yves, j'y vais de tout mon cœur, je suis heureux, je m'amuse avec leurs glands, je m'amuse comme un fou avec leurs bites, Denis apprécie, Claude-Yves gémit. Je prends mon pied.
Je les pompe vraiment. Et puis Claude-Yves, gémit de plus en plus, je m’attarde sur son sexe, il me baise la bouche, il est déchainé il pousse un râle animal, et m’éjacule dans la bouche, j’aspire au maximum son caviar, c’est ma première giclée de l’après-midi.
Claude-Yves me relève, m’embrasse goulument, me dit que je suis une bonne pute, me remercie, de lui faire tant de bien.
Alors bizarrement j’ai trouvé le sperme de Claude-Yves beaucoup plus agréable en bouche, plus sucré, moins amer et acre, que celui de Denis, un vrai régal de sucer cet homme qui est plus vieux que mon père.
L’après-midi démarre fort, nous sommes encore dans la douche et j’ai déjà avalé, et finalement je suis à l’aise, avec mes deux hommes que je vais satisfaire comme une salope.
Puis passage dans la chambre, Denis devient plus directif, il me demande de passer une Guêpière en voile et tulle brodé, un string de même matière et des bas, de m’allonger sur le lit, il me masque les yeux avec un bandeau, Claude-Yves et Denis s’allonge de chaque côté, ils commencent par me « bouffer »la bouche avec de bons jeux de langues, je n’ai pas d’autre mot.
J’ai très chaud, leurs caresses et leurs mains me sont agréables, ils me demandent de me tourner, ils trouvent que j’ai de jolies fesses, un beau cul de salope, s’exclame Claude-Yves, puis ils m'embrassent partout, et de nouveau dans le cou, me sucent l'oreille, me lèchent les tétons, me branlent, je ne peux savoir qui fait quoi, je me laisse faire, je m’offre à eux comme une pute que je suis, nous nous embrassons encore, je sens des doigts parcourir mon anus, ils prennent sans cesse l'ascendant sur moi, se mettent sur moi, pour me bloquer, j’ai des sexes en bouche, je reconnais facilement le gros sexe de Denis, ils me caressent, je bande comme un malade, Denis entame une douce fellation, Claude-Yves me caresse le torse, pose ses mains sur mes fesses et commence à s'approcher de mon anus doucement, des petites approches, puis commence à me doigter, un doigt, deux doigts puis trois.
Je commence à gémir. Puis, Denis m’ordonne de me mettre à quatre pattes, Claude-Yves lubrifie un peu, et commence à se frayer un chemin dans le trou offert et bien élargi du fait des doigts qui n'arrêtaient pas de le pénétrer à fond. Denis me met son sexe en bouche, pas facile pour un novice d’être au four et au moulin, car je suis tout à mon plaisir d’être défoncé par Claude-Yves, qui a peut-être un petit sexe 13 ou 14 cm, mais le papy sait vraiment s’en servir, je prends au moins autant de plaisir qu’avec le gros sexe de Denis, je me reprends concernant le sexe de Denis que j’arrive à bien pomper maintenant après un changement de position, j’apprécie d’être honoré de la sorte par mes deux hommes, je prends un pied incroyable, je sens le désir monter jusqu'à la phase finale, Claude-Yves gémit de plus en plus fort et me remplit de foutre pour jouir dans une apothéose incroyable.
- Ma salope, il y a très longtemps que je n’ai pas jouis deux fois de suite comme cela, t’es vraiment qu’une pute. Gueula Claude-Yves.
- Viens, il va te nettoyer la bite, la salope adore çà… lui dit Denis.
- Je peux… me demanda Claude-Yves
- J’adore, tu as aimé…
Pendant ce temps Denis m’empale déjà, pendant je nettoie le sexe doux de mon sexagénaire. Ensuite Claude-Yves semble avoir besoin de récupérer, et Denis se déchaine devant son ami, comme s’il avait besoin de lui prouver quelque chose, et pour cela, j’ai pris cher, très cher, enfin mon cul surtout.
- Regarde bien, Claude-Yves, la salope aime ça !!!
- C’est vrai tu es doué, petite pute, me lance Claude-Yves
- Ah !!! bon, je ne sais pas ?
Et Denis commence son festival de positions en s’obligeant à commenter et fanfaronner devant son ami :
Il m’ordonne sèchement une espèce de levrette mais couchée. Pour la réaliser, Denis doit avoir des bras forts pour pouvoir bouger pendant la pénétration, il me demande de lever un peu mes hanches. Mais le plaisir est intense.
- Tu vois elle aime ça, la salope !!!
- Elle se laisse faire… Lui répond Claude-Yves
Puis c’est la cuillère, Denis, pendant qu'il me pénètre, me masturbe, pendant ce temps Claude-Yves récupère et se masturbe de nouveau.
Puis je dois me positionner en levrette et c’est vraiment un déchainement bestial de Denis, puis il calme le jeu, il ne veut pas encore jouir, mais j’ai déjà le cul remplit du sperme de Claude-Yves.
- Maintenant, ma petite pute, tu vas avoir le droit à la « levrette du macho » !!!
- C’est quoi Denis encore ? Moins fort, je t’en prie…
C’est similaire à la levrette, mais debout permettant une pénétration délicieuse qui fait beaucoup monter la température pendant la relation, mais Denis se déchaine, me malmène, me donne des fessées, il est bestial, violent, il me fait mal, mais je jouis comme un malade, j’ai mal, mais je ne peux réagir, et puis je lui demande d’arrêter, qu’il me fait trop mal.
- Tu entends, Claude-Yves, la salope me demande d’arrêter !!!
- Oui, s’il te plait, Denis. Tu es trop violent…
- Tu veux te faire démonter le cul ? Oui ou Non ?
- Bah !!! Oui… mais…
Pour seule réponse, je reçois une magistrale fessée.
- Je vais te faire gouter au bateau-ivre ma salope !!!
- C’est quoi encore ce truc Denis ?
- Euh, là, si tu me dis que tu as mal… c’est normal, salope !!!
Puis, c’est le bateau ivre, Denis me retourne sur le dos sèchement, att mes deux jambes, m’écarte les jambes le plus possible, m’écarte encore plus et m’empale de nouveau, ça rentre vraiment comme dans du beurre, mon anus douloureux absorbe facilement son gros sexe.
Il invite Claude-Yves à nous rejoindre avant l’apothéose, et me demande de le sucer.
- Tu vas voir salope, c’est une position idéale pour te pénétrer profondément !!
- Certainement…Denis…
Je n’ai réussi à lui bafouiller que cela car avec le sexe de Claude-Yves en bouche, pas facile, surtout que celui-ci s’est refait une santé en se branlant en nous regardant.
Je dois vous avouer que je prends un énorme plaisir grâce à la stimulation complète de mon anus. Je recommande cette position. Il faut la pratiquer avec une intensité moyenne, mais Denis est trop violent et me fait vraiment très mal. Il ne se contrôle pas, je cris, mais ne s’arrête, plus je cris, plus il se déchaine, il finit par exploser dans râle animal.
Je pense pouvoir me reposer, mais Denis demande à Claude-Yves de prendre sa place, et il m’ordonne de lui lécher et nettoyer son sexe, une tige bien
gluante et crémeuse dans la bouche, un mélange du nectar de mes partenaires au gout d’anus.
Je suis toujours dans la même position, sur le dos, les jambes bien écartées sur les épaules de Claude-Yves qui me besogne gentiment, Claude-Yves est doux, j’apprécie ses rapides coups de reins, je transpire, haletant, je suis bien enculé par Claude-Yves qui cogne ma prostate, que du bonheur.
Pendant ce temps, Denis me caresse, m’embrasse, me suce les tétons, il s’est calmé, me suce les oreilles.
Je ne sais plus ce qu’ils me font, je ne peux réagir, j’ai l’impression que mon cerveau est « décollé » semi-comateux, et puis Claude-Yves accélère le rythme, mais toujours avec douceur, gémit, mais d’après Denis je pousse aussi des râles de plaisir.
- Regarde Claude-Yves, tu fais jouir la salope !!!
- Ouais !!! Tout en gémissant également.
Claude-Yves explose en moi, je n’en peux plus, Denis me demande de nettoyer Claude-Yves, je m’exécute, mais pendant ce temps il joue avec ma rondelle meurtrie pour lui faire un massage, puis il tente de remettre un doigt.
- Non, Denis, laisse-moi me reposer !!!
- La salope veut se reposer, tu es venu pour te reposer Claude-Yves ?
- J’ai besoin de souffler Denis !!!
- Allons à la piscine !!! demande Claude-Yves.
Après une douche collective, où j’ai encore été doigté et caressé, nous sommes allés tous les trois à la piscine, merveilleux endroit que ce palace nous offre, c’est maintenant un cinq étoiles avec la nouvelle classification des hôtels.
Je mesure la chance que m’offre Denis et Claude-Yves de pouvoir fréquenter ce genre d’établissement, c’est évident, nous n’avons pas le même niveau social. Mais je suis très à l’aise avec mes deux hommes.
J’ai besoin d’un rafraichissement, et vite, rafraichissement obligatoire pour moi, car les breuvages que j’ai avalés précédemment m’ont donné soif, si celui-ci peut me gommer le drôle de goût que j’ai dans ma bouche. Quand tu avales le nectar de ces hommes, c’est très agréable sur le moment avec l’excitation, mais ensuite…
Après la piscine, nous remontons dans notre suite de luxe vue mer avec petit balcon.
Les deux lascars semblent avoir retrouvé la forme, Claude-Yves, nous informe qu’il va partir à 18h00, et m’embrasse, des baisers profonds avec de bons jeux de langues, pendant que Denis est occupé à me « bouffer » le cul, un bon jeu de langue aussi, mes vieux copains sont doués et me font du bien.
- Il a tellement envie d’avoir le cul défoncé qu’il mouille comme une salope,…
- Prépare le moi, je vais encore l’enculer avant de partir. Lui répond Claude-Yves.
Claude-Yves est maintenant très à l’aise avec moi et devient peu à peu directif. A la demande de Denis, je me positionne pour la « levrette du macho », mon cul absorbe rapidement encore le sexe de Claude-Yves, qui s’étonne lui-même de retrouver une seconde jeunesse avec une pute de 34 ans, j’aime finalement être pris par lui, c’est agréable, doux et rythmé, l’ancien à du métier et un sacré coup de reins, j’entends bien claquer à chaque mouvement de cul, et j’aime.
Malgré les mauvais traitements de l’après-midi, mon cul est toujours prêt à servir quoique un peu douloureux. Claude-Yves, exulte il jouit une énième fois en m’envoyant encore dans l’espace…
J’ai beaucoup de mal à refaire surface, après cet épisode où j’ai beaucoup jouit.
Après une douche rapide, Claude-Yves, nous quitte pour son rendez-vous, en me précisant qu’il a passé un après-midi de rêve, qu’il souhaite en passer encore beaucoup d’autres, que Denis a eu raison de lui parler de la petite pute qu’il avait rencontré.
- Tu es une véritable petite salope, j’adore prendre ton cul…
- Merci Claude-Yves, pour ces charmants compliments…
- Voilà le numéro de ma ligne direct, c’est quand tu veux !!!
- Merci, tout le plaisir est pour moi.
- Je t’ai laissé une petite enveloppe, c’est une surprise pour ma petite salope.
En partant j’ai encore le droit à un baiser profond avec un bon jeu de langue, il joue bien avec sa langue le vieux cochon, et avec ses mains qui pelotent bien mes fesses.
Plus tard sur la route, en ouvrant l’enveloppe, j’ai constaté qu’elle contenait 5000 francs, soit les trois quart d’un mois de salaire de l’époque, c’est une folie et je suis plutôt gêné, je suis vraiment une pute payée pour baiser. Je trouve finalement cela plutôt amusant, après tout je ne lui ai rien demandé, il doit avoir des moyens illimités et puis je pense lui avoir donné beaucoup de plaisir. Je suis à l’aise et pas du tout traumatisé, moi aussi j’ai pris mon pied.
Après le départ de Claude-Yves, j’ai de nouveau fait plaisir à Denis, j’ai besoin de pouvoir jouir tranquillement avec lui, après une bonne fellation, caresse en tous genres, échange de longs baisers.
Denis me demande de m’allonger sur le dos. Il me met les jambes sur ses épaules pour que je sois bien écarté, le cul bien ouvert pour pouvoir m'enculer à loisir. Il me regarde longuement dans les yeux tendrement, après un moment Denis est bien dans mon cul, je sens sa grande queue me pénétrer, je pousse un :
- Aie, Ooooh, h…. Denis !!!
- Tu aimes ma salope !!!
- J’adore Denis, j’adore !!!
- Ooooh, Oui !!!
- Mais elle jouit la pute !!!

Denis ne m’écoute pas et continue de me défoncer, après un nouvel orgasme, il ne se retire pas et il me pisse dans le trou, sensation particulière, est-ce volontaire de sa part ??
Mais je suis de nouveau dans l’espace, j’ai des difficultés à refaire surface, je suis surtout fatigué.
Après être restés un long moment allongé sur le lit à nous reposer en nous caressant, Denis me demande les photos de Marie. Je lui sors la pochette photos, fraichement développé par notre photographe habituel, qui a dû encore se « rincer » les yeux, il découvre les photos pornographiques de Marie.
- Ah Oui, quand même !!!
- Quoi, tu veux dire quoi ?
- Elle a un beau corps ta salope !!!
- Oui, elle est merveilleuse…
- Elle t’a déjà trompé ?
- Non, enfin je ne pense pas…
- Tu aimerais éventuellement ?
- Non…
- Et avec moi ?
- Non, enfin je ne sais pas…
- Tu n’es pas contre ?
- Cela ne dépend pas que de moi !!!
Puis, il est très tard, je dois repartir très vite car j’ai encore deux heures de route pour rentrer chez moi, et je suis très fatigué.
Nous convenons de suite du prochain rendez-vous, en accord avec Marie pour une première rencontre le samedi 4 mai. Enfin c’est ce que pense Marie, et c’est ce que je lui ai dit.
Sur la route du retour, je culpabilise, comme d’habitude, je vais encore rentrer tard, mon fils va être couché, Marie va avoir dîné, et doit m’attendre, à cette époque, nous n’avions pas de téléphone portable pour prévenir du retard. Je ne suis pas à l’aise avec Marie, j’ai le sentiment de vraiment la trahir, car elle m’accorde de pouvoir rencontrer Denis pour la première fois dans deux semaines après mes révélations. Et puis, j’ai cette enveloppe contenant 5000 Francs, je décide de la cacher dans mon cartable professionnel, on verra plus tard !!!
Et pourquoi Denis me demande pour Marie si éventuellement j’aimerai qu’elle me trompe ? C’est troublant !!!
Tous ces détails, je les retrouve dans mes journaux intimes que je continue à 64 ans de renseigner, c’est émouvant pour moi de les relire, dans les prochains chapitres vous comprendrez à quel point c’est émouvant pour moi. Pour l’instant, je suis satisfait du nombre de lecteurs des deux premiers chapitres. Mais déçu du peu de commentaires, je peux continuer à vous raconter trente années de libertinage, de ma bisexualité, d’aventures candaulistes et triolistes !!!

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