La Dernière Nuit

Qui dit fin du confinement, dit reprise de l’activité et donc notre Paulo qui se remet à courir le monde…
Ce jour là, il nous avait annoncé - à Rémi et à moi - que le lendemain matin, très tôt, il reprendrait l’avion. C’était donc notre dernière journée et, surtout, notre dernière nuit… Du coup, Paulo avait décidé de nous gâter. Dîner brésilien - préparé par ses soins -, invitation des voisins, soirée et nuit d’enfer…
Il passa son après midi à nous concocter des plats brésiliens. Il accepta, bien volontiers notre aide. Avec petits bisous et caresses à volonté. Les musiques sud américaines à fond les ballons. Avec Rémi, on était bien sûr tristes de le voir repartir après avoir profité « si longtemps » de sa présence lumineuse.
Sur le coup de 21 heures 30, Fabrice et Paul se pointèrent. Paulo avait mis de grosses bougies absolument partout. Cela créait une ambiance chaude et sensuelle. L’apéro se prolongea jusqu’au moment où toutes les bouteilles de Cachaça furent vides. L’ambiance devint très vite chaude et rigolarde. Mais, Paulo avait gentiment prévenu nos voisins, cette dernière soirée, sexuellement, il la réservait à Rémi et à moi. A partir de cet instant et jusque très tard dans la nuit, il me vint une boule au ventre comme à chaque fois que je vais faire l’amour. Impatience ? Excitation ? Stress ? On s’était mis à danser. Bossas, rumbas, salsas, cumbias…Paulo nous entraînait avec beaucoup de joie de vivre dans tout ça. Pour animer une soirée, il n’y avait pas mieux que lui.
On s’était tous super bien fringués pour cette soirée mais Paulo, encore lui, avait prévenu qu’on pouvait se déshabiller mutuellement mais qu’on s’arrêterait au slip ! Il fallait bien le préciser parce qu’avec les voisins, on avait déjà eu des parties super chaudes ( voir « la touze du 31 » ). Ses danses brésiliennes, Paulo les alternaient avec des slows italiens torrides. Cela permettait de se « mettre à l’aise », vu la chaleur et l’alcool… Ce fut très vite la fête du slip.

Tous plus beaux les uns que les autres. Parfois slips, parfois slips de bain. Il suffisait de repasser par la chambre à coucher, Paulo avait étalé toute sa collec sur le lit. Ce que tout le monde fit plusieurs fois au cours de la soirée. Ce qui était sûr c’est que ces sous vêtements avaient tous une belle bosse qui laissait deviner une bite au garde à vous, avec son auréole de mouille près de l’élastique.
On attaqua les plats somptueux que Paulo avait confectionnés. Tous plus bons les uns que les autres. On adore tous les cuisines du monde. Entre chaque plat on allait danser et se tripoter. Sur le coup de 3 heures du mat, on prit congé de nos voisins d’en face. Eux aussi adorent Paulo et l’instant fut assez émouvant. Paulo, Rémi et moi, on alla prendre le frais sur le balcon. Une fois arrivés chez eux, Fabrice et Paul allumèrent, eux aussi, un tas de bougies. Surtout dans leur chambre. Comme on est, eux comme nous, tous les deux au troisième et dernier étage, juste en vis-à-vis, on se voit parfaitement d’un appart à l’autre. Surtout si on laisse les lampes ou les bougies allumées. Pas de rideaux, de grandes portes fenêtres, et, avec la grande terrasse devant, on ne peut pas être vus de la rue.
Alors, Paulo nous entraîne vers la chambre en me portant carrément ! Comme promis, il a décidé de faire de sa dernière nuit, un feu d’artifice sexuel. Il décide de m’entreprendre d’abord. Il m’allonge délicatement sur le lit en me laissant le tanga que je portais en fin de soirée. Il m’enduit d’huile de massage sur le torse et les jambes et commence un très long et savoureux massage. Mon corps luit sous la flamme des bougies. Rémi, quant à lui, décide de papillonner autour de nous, distribuant ses caresses et plus si affinités… Je me laisse faire comme un bébé, trop content de mon sort. Je remarque que Paul et Fabrice sont tous deux accoudés à leur rambarde, nus, profitant de la fraîcheur de la nuit et, bonus, de ce qui se passe dans notre chambre…
Rémi distribue ses caresses, sans compter.
Je le soulage délicatement se son mini mini slip de bain rose. Sa bite se détend aussitôt, pointant glorieusement vers le plafond. Paulo évite soigneusement de me masser le bas ventre. Puis, lui aussi, me soulage de mon tanga bleu électrique. Il vient frotter son corps entier contre mon corps. Rémi le soulage de son string ficelle jaune. Quand Rémi passe à portée de ma main, je lui caresse doucement sa bite, ses couilles, son périnée. Il se laisse faire, bien sûr !! Lui, il m’offre sa tige à sucer un peu puis il la propose à Paulo. En parlant de queue, Paulo dirige maintenant ses lèvres vers mon ventre…Lui aussi veut goûter à mon gland. Je lui reconnais un très grand savoir faire dans l’art de sucer. Rémi aussi, d’ailleurs. Il me titille le bout du gland de sa langue pointée, puis arrondis ses lèvres pour commencer à le gober doucement tout en l’inondant de salive. Il sait aussi très bien me chauffer le frein du prépuce au passage de sa langue pointée. Pendant tout ce temps, je vois Rémi qui lui caresse délicatement le cou, le dos, le cul, la raie, l’intérieur des cuisses.
Paulo avalé ma tige très très lentement. Je la sens qui glisse entre sa langue et son palais. Je la sens qui me caresse le dessous de ma hampe. Trop trop bon ! Il s’enfonce encore plus et bientôt, il m’a complètement en bouche. Je prends ses cheveux et imprime un léger mouvement de va et vient à sa tête. Je sens sa langue se durcir et aussi la chaleur accueillante de sa bouche. On va y aller tout doux…On a toute la nuit. Je lui souffle des mots doux, en portugais. Rémi, lui, a entrepris de le doigter délicatement, tout en lui caressant les couilles par en dessous. Mais, il s’est arrangé pour, qu’en même temps, il me présente sa bite à sucer. On n’entend plus que des gémissements de plaisir dans la pièce avec la musique en sourdine. Trop bien !
Combien de temps a duré sa pipe ? Je serai bien incapable de le dire. En tous ca, c’était drôlement bon ! Obrigado, meu Paulo ! ( merci mon Paulo ! ).
Mais voilà qu’il s’intéresse à mon cul, maintenant - entre nous, fallait s’en douter -. Il me retourne sur le ventre et commence à me lécher, à me pincer, à me mordiller les fesses. Rémi, par jeu, applique à Paulo le même traitement. En se déplaçant, Rémi a jeté un œil dans l’appart d’en face, celui de Paul et Fabrice.
« -Regarde ! Ils sont entrain de grimper aux rideaux, en face ! ».
Je jette un œil, de là où je suis-je vois Paul, ou Fabrice ( ?), debout sur le lit, jambes écartées, à l’oblique contre le mur et l’autre qui le bourre.
« C’est clair ! Tu devrais aller les encourager !! »
Ni une, ni deux, Rémi se dirige vers la rambarde de la terrasse et leur fait des grands signes… Puis il reprend là où il en était avec Paulo. Petit à petit, je sens la bouche de Paulo qui se rapproche de ma raie… Je meurs d’envie qu’il me lèche mais Paulo sait faire durer et désirer le plaisir ! Il commence par m’écarter les globes comme s’il voulait les séparer. Puis je sens sa chaude langue humide qui se met à me lécher depuis le périnée jusqu’en haut de la raie. Chez nous trois, notre raie est toujours parfaitement rasée. On préfère ainsi. Il redescend puis recommence. Idem pour Rémi avec Paulo. Bien sûr, il s’attarde longuement sur ma feuille de rose. Je sens son bout de langue me titiller. C’est trop bon. Je me cambre, je m’offre à lui du mieux que je peux. Par petites poussées, il parvient à se glisser un peu à l’intérieur. Je la sens me fouiller doucement. J’adore carrément ça. Il le sait et fait durer.
Subitement, je ressens une grande sensation de froid sur ma rondelle. Il est entrain de m’enduire copieusement de gel. Il en profite pour me passer un doigt, puis deux. J’attends sa bite avec impatience. Sa longue bite lisse qui me fait tant de bien. Pour le moment, il promène sa queue dans ma raie. La sensation est terrible. Je ressens comme des frissonnements qui me parcourent tout le corps.
« -fuck me, my dear, please ! » ( Baise moi mon chéri, stp )
Pour l’inciter - mais, en est il vraiment besoin ? -, je me mets à onduler du bassin, me poussant vers lui, m’en écartant, faisant des cercles…Ca le fait rigoler car il n’arrive plus à me caresser tout le temps avec sa bite.
On a toujours été joueurs en faisant l’amour. Ca ne nous a jamais fait débander pour autant. Prévenant, il a glissé un gros coussin sous mon ventre pour que je sois mieux cambré. Je sens ma bite tendue qui se noie dans les plumes. Trop doux !
Ca y est ! Je sens son gland qui se présente à mon trou. Il pousse plusieurs fois, doucement. Il sait qu’il va pénétrer facilement mais il veut me faire apprécier chaque seconde. Il a raison. Il s’allonge complètement sur moi, me mets les bras en croix, m’enserre les doigts et me mordille le cou. Rémi a recommencé à nous tourner autour. Visiblement, il a arrêté son petit jeu d’imitation. Il se réserve sûrement pour après. Il a porté ses yeux à hauteur de la bite de Paulo et regarde, fasciné, sa progression. Je sens maintenant bien son gland qui est complètement passé. Je resserre mon sphincter. Paulo apprécie en riant. Puis je me relâche pour qu’il puisse entrer en moi davantage. Je ressens chaque millimètre de sa verge glisser en moi. Quel bonheur ! La pénétration se fait super facilement. Je suis bien trop excité et détendu en même temps. Je grille d’impatience de sentir sa belle bite me fouiller à fond. Quand il veut, Paulo peut être largement aussi doux que Rémi dans sa façon de faire l’amour.
En parlant de Rémi, il vient de se positionner face à ma bouche, de s’allonger sur le dos de Paulo et de tirer ses fesses vers moi pour qu’il s’enfonce à fond…. ! J’en profite pour le gober. Son sexe est super dégoulinant de mouille - Rémi a toujours beaucoup mouillé -. J’aime le petit goût salé de la cyprine. Je le lèche à fond avant de le gober entièrement. Je le sens frémir de tout son corps. Du coup, ça lui donne une autre idée. Il se redresse, m’enlève le coussin sous le ventre, me demande de me relever légèrement en levrette - tout en s’excusant auprès de Paulo pour le dérangement ! – et il se glisse sur le dos sous moi. Je peux donc le reprendre en bouche et lui aussi sur la mienne. Vu sa position, il ne va sûrement pas pouvoir me faire une gorge profonde mais m’agacer le gland, ça oui !
Paulo est maintenant complètement en moi. Il ne bouge plus. Je sens sa bite vibrer de désir. Très très très lentement, avec une infinie douceur, il se met à bouger. Oh ! Très peu au début. C’est BON !!! Je gémis de plaisir. Et alors, toujours aussi lentement, il se met à me limer, centimètre par centimètre, millimètre par millimètre. Wooow ! Je suis comblé par tous les bouts, par tous les trous. En plus, sans se concerter, on s’est mis à l’unisson tous les trois. On se suce ou on s’encule au même rythme ! Je sens qu’on va faire monter ça tout doucement en savourant bien chaque seconde…Paulo nous fait remarquer que nos deux voisins d’en face ont l’air d’avoir terminé car ils sont tous deux accoudés, nus, à leur rambarde et qu’ils se délectent de nos ébats. Ca ne dérange absolument personne car on est tous les trois super exhibs.
Maintenant, Paulo a pris un rythme de va et vient lent et puissant. Il me lime sur toute la longueur de sa bite. Il s’est redressé. Je sais que ça peut durer un sacré bon moment car Paulo est le plus endurant de nous trois. Surtout à cette cadence là. Qui va s’en plaindre ? Je sens son membre coulisser dans mon fourreau. Là encore, ça me donne des frissons dans tout le corps. A chaque coup de reins, il vient buter et glisser sur ma prostate. Trop bon ! Paulo, lui, joueur comme on est à son âge, a encore changé de position ! Il s’est retourné sous moi, m’offrant sa raie et me gobant mieux ma bite. Sacré Rémi ! Paulo veut encore changer de position - il a une théorie qui dit que chaque position différente amène des sensations différentes -, il veut me prendre de côté avec une jambe relevée pour faciliter la pénétration. Rémi en profite pour m’attr le pied et me sucer les doigts de pied !
Mais, malgré son côté joueur, Rémi a beaucoup de tact et de psychologie en amour. Il a bien compris que Paulo voulait plus d’intimité avec moi pour conclure. Alors, assez vite, il se retire et nous laisse tous les deux à nos ébats. Il va sur la terrasse, nu, discuter avec les voisins d’en face, par-dessus la rue.
Paulo n’attendait que ça pour enclencher la vitesse supérieure. Ca ne veut surtout pas dire qu’il va conclure dans les trois minutes ! Il me retourne sur le dos, me glisse deux oreillers sous les reins et me fait écarter les jambes un max, sans les soulever. Ca lui permet ainsi de me voir tout en me fourrant. Ma bite est dressée comme un mât de cocagne. Il me pénètre d’un coup sec, à fond et s’occupe aussitôt de ma tige. Miaaamm ! Après une longue séance, il me redresse, toujours embroché sur lui, se dégage du lit, me soulève et vient m’appuyer contre la porte fenêtre, m’offrant à la vue de nos chers voisins. Bien sûr, il continue de me bourrer de plus belle. Il sait bien que j’adore cette position. Il a envie de me faire plaisir. J’adore m’empaler sur lui, à la descente.
« -Do you really feel my cock ? » ( Est-ce que tu sens bien ma bite ? )
C’est la première fois que Paulo me demande ce genre de truc. Ca me fait tout bizarre ! Douterait-il de ses capacités ?
« -Of course, I feel it ! I like it ! Give me more ! Stuff me hard ! ( Bien sûr ! Je la sens ! Je l’aime ! Je l’aime ! Donne moi tout ! Bourre moi à fond ! )
-Thank’s my dear. » ( Merci mon chéri )
Cette position lui permet de s’allonger complètement sur moi tout en me besognant. Dans ce cas il cherche ma bouche et me dévore. Parfois, il se redresse, bras tendus, et m’observe avec un sourire radieux, les yeux dans les yeux. Il se rallonge sur moi, s’arrête et me chuchote à l’oreille :
« -I love you !!! Eu te amo !! ».
Les larmes me montent aux yeux. Je suis bouleversé. C’est la première fois en six ans qu’il me dit ça…
« ‘Eu tambén te amo ! II love you too !! »
Je le serre à le broyer et je lui dévore la bouche. Il va me faire l’amour ainsi pendant un long moment encore, longuement, voluptueusement, amoureusement je dirais. Oh ! Meu Paulo ! Tu es tout ce que j’ai de plus beau au monde. Je ne me lasserai jamais de toi. Jusqu’à la fin des temps.
J’écarte et soulève mes jambes et je lui entoure le cou avec. Cette fois, je crois bien qu’il a décidé de jouir. Il se met à me limer à toute allure pendant encore de longues minutes. Il en vient à perdre son souffle. Il m’a soulevé les fesses en me les empoignant à pleines mains. Ca cogne, ça chuinte, ça claque. Son torse luit de sueur dans la flamme des bougies. Je sais qu’il va venir et je veux jouir en même temps que lui alors je me branle à fond et à toute vitesse. Je le sens se durcir, se tendre de tout son corps et exploser dans un cri rauque. Une, deux, trois, quatre saccades de foutre me remplissent le ventre. Encore quelques secondes et je lui largue mon foutre sur son torse jusqu’à sa gorge.
On retombe tous les deux, complètement cuits. Il se met en cuiller dans mon dos et me repasse aussitôt sa bite dans mon trou. On reste ainsi à reprendre nos esprits. Cela fait largement plus d’une heure que Paulo m’a entrepris. Avant de sombrer, Rémi nous rejoint et me demande s’il pourra faire l’amour à Paulo au cours de cette nuit d’adieu. Je l’encourage bien sûr. Rémi se met en cuiller, lui aussi, derrière Paulo. On va s’endormir ainsi, dans notre position favorite et dans une odeur de foutre envahissante.
Au cours de la nuit - de ce qu’il en reste -, j’aurais vaguement la sensation que le lit tangue autour de moi. Au matin, Rémi m’avouera avoir pris un énorme pied avec Paulo et que, sur le petit matin, Paulo l’avait repris une ultime fois. De mon côté, je lui avoue que Paulo m’a dit cette nuit qu’il m’aimait…Rémi ne bouge plus, une larme coule mais il se reprend aussitôt et vient m’embrasser en me disant que c’est trop bien.
Voilà. Paulo est reparti. Cela fait un énorme vide pour tous les deux après ces deux mois intenses. On a tous les deux le blues….On écrase tous les deux une larme mais pas pour les mêmes raisons. Rémi sent bien que ma relation avec Paulo va devenir exclusive et qu’il risque de me perdre…
Bien sûr, Paulo reviendra.
Mais, par épisodes…

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