Monalisa: Étudiante Désireuse De Giclées De Semence




Monalisa: étudiante désireuse de giclées de semence


Ce qui est ci-dessous est basé sur une histoire réelle. Il y a 2 ans, j'ai rencontré une dame très honorable de 56 ans nommée Monalisa. Avec laquelle j ai eu des dialogues sexuels. Et qui m'a avoué de son activité sexuelle en 1990, quand, avec la chute du communisme de Ceausescu, la sexualité refoulée des femmes de Roumanie a explosé, comme le magma sous la croûte durcie de lave. Les transformant en nymphomanes affamées de pénis d homme. Et fellations sans impliquation sentimentale.


Le matin, 9 heures. Complexe estudiantin "Pouchkine" à Iasi, Roumanie. Le Foyer P1 est presque vide. Les étudiantes sont aux cours.
Jour d'octobre pluvieux et frais. Monalisa L., quatrième année, aux Lettres, une très jolie fille, brune et grande, de 1m77 et 23 ans, mariée, n'est pas aux cours.

Bien qu'elle ait de nombreuses absences, elle est dans sa chambre au rez-de-chaussée, et, complètement nue sur le bord du lit (bien que ce soit octobre et un peu froid), elle a une occupation très lubrique: elle promène avec passion sa langue sur le pénis d'un mec barbu et maigre, qui est debout devant elle. Un gros pénis arqué qu'elle tient tendrement entre ses doigts. L'homme caresse les seins de sa fellatrice et halète sauvagement, secoué par les grands et inattendus plaisirs.
Elle est souple - un corps plutot androgyn, avec de gros seins. Complétement nue, mais avec des sandales rouges. Monalisa lèche consciencieusement l'organe chaud sans hâte, attentive au plaisir qu'elle ressent et offre, les yeux dans les yeux de l homme leche et promène ses mains chaudes sur ses cuisses et fesses poilues.
A travers la chaleur de l'excitation, Monalisa entend aussi les bruits du foyer: l'eau qui coule au douches, le bruit d'une fille venant de la douche, la voix rauque du gardien. Et elle se demande amusée s'il y a une étudiante dans le foyer qui léche le pénis d'un homme à 9 heures du matin.


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Comment elle, fille mariée depuis 1 an, en était-elle arrivée à quelque chosede pareil?
Le barbu, Vlad, avait frappé à la porte à 7 heures du matin. Il était en fait le mari de Carmen, une collègue. Il lui avait apporté des livres de cours. Monalisa venait de se réveiller, très bouleversée après des rêves sexuels très éhontés dans lesquels elle caressait des pénis anonymes qui crachaient du sperme sur son corps. En fait, après le mariage, elle n'avait pas plus fait des «sottises », comme elle le faisait avec. Et elle était submergée par des désirs sexuels refoulés.
Et une envie incontrolable de vider un homme, tout de suite.
Elle lui avait ouvert la porte, seulement dans un T-shirt et des bikinis. Quand elle vit le barbu Monalisa sut qu'elle fera des cochonnerie avec lui.
Là, dans la petite chambre de foyer.
Une féllation illicite.
Embarrassé par ses pieds nus (eblouissants dan le mois d Octobre) Vlad l'avait saluée et voulu lui donner les livres par la porte sans entrer.
Mais Monalisa lui avait dit, avec des yeux espiegles:
- Oh, Vlad, ne pars pas... Tu restes pas pour un café? Je m'ennuie. Et je n'ai pas de cours.
Avec ses yeux figes sur les siens. Comme une invitation muette.
Vlad était également libre.
S'entretenant avec elle Vlad le barbu resta continuellement avec ses yeux figés sur les pieds nus et parfaits de Monalisa, avec des orteils aux ongles roses, et les ces jambes nacrées qu'elle lui montra généreusement. C'était la première fois qu'il était avec une fille grande.
Il pouvait à peine respirer et une énorme érection avait explosé en lui.
Après le café, elle éteignit sa cigarette, s'assit à côté de lui, et sans hésitation la fille mit sa paume sur ses jeans, juste sur son pénis, et serra légèrement le sexe et lui lança des regards doux, tandis que Vlad cabra et frissonna sous l inattendue caresse.
Puis elle pressa sa bouche contre son oreille et chuchota.


- Vlad, tu sais que j'ai fait un rêve sexuel cette nuit, et je suis très ... tendue. Laisse-moi être ... gentille avec toi. Comment puis-je te dire? Je veux ... je dois en fait... embrasser un peu ta quéquette. Je sais que Carmen t'attend à la maison et je sais qu'une fille mariée ne devrait pas dire ça à un garçon tout d'un coup ... mais ça ne prend pas longtemps et je ne pense pas que ça te dérangera pas trop ...

En entendant de telles choses dites par Monalisa, dont Vlad rêvait depuis 2 ans, il avait ouvert la bouche en émettant des sons gutturaux sans pouvoir parler.
Elle a vérifia à nouveau la porte este fermee et ensuite elle dit:

-Maintenant allez, leve-toi. Et essaye de pas crier.

Tremblant, Vlad lui a dit qu'il n'avait jamais été avec une fille aussi grande auparavant ... puis il s'est mis debout devant elle.
Puis elle ota tout vetement, l'embrassa légèrement et, déterminée, baissa le jean et le slip du barbu, révélant dans la lumière matinale un énorme organe sexuel qui se detentit vers le plafond, comme etonné de voir une autre femme.
Monalisa le regarda avec surprise, satisfaite par sa longueur et son épaisseur, puis attrapa cette bite d homme dans sa main chaude.
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Donc voila – c est fait!
Dans la matinée d Octobre elle, nue, la jolie Monalisa, caresse tendrement la verge arquée d un homme marié. Sand aucune impliquation sentimentale. Juste pour son libido.
Vlad gémit devant elle, secoué par les inattendus voluptés illicites.
Donc la belle Monalisa masturbe sa verge d'un mouvement sacade en regardant dans se yeux:
- Vlad, mais qu'est-ce que tu as comme bite... J aurais pas cru... Je crois que tu tues Carmen... Mais je ne fais pas ça à tous les garçons, ok? Je t'ai choisi parce que tu es sympa et, honnêtement j avais envie d une autre bite... Ca arrive au filles mariées.... Vlad, que peux-je faire? Je suis mariée et j'ai des rêves avec des bites.
C'est fou, non?

Elle est sérieuse lorsqu'elle dis tout cela, et très déterminée et en cinq secondes, entre ses doigts chauds, le pénis de Vlad devient énorme et dur comme le beton.
Puis elle, comme dans un rituel satanique, commence a frotter le gland gonflé comme une prune sur ses joues, son front, ses épaules et son cou.
Vlad, désespérément pousse des gémissements sauvages. Sa femme ne lui avait jamais fait une chose pareille.
Monalisa promene donc la verge sur son visage. Et le renifle, avidement.

-Eh bien, Vlad, est-ce agreable? Ta bite est sur mes joues, tu vois? Ai-je une peau veloutée ou pas?

Puis sa bouche charnue et rouge avale le gland, accompagnée d'un terrible cri de plaisir de Vlad.
Alors, dans la lumière grise de la froide matinée d'automne, Monalisa, commence a lècher et machouiller sa verge. Un pénis arqué, avec une odeur de deo Mennen. Vlad - gars chanceux - lui caresse les seins et les épaules et gémit continuellement un seul mot:

- Monalisa, tu me tues... Monalisa, tu me tues... Monalisa, tu me tues...

Et il regarde son corps bien soigné, nu avec des jolis seins et il ne peut pas croire que sa bouche humide caresse sa bite de tous les côtés comme dans les films pornos pendant qu'elle caresse son clitoris en même temps avec ses doigts.
Monalisa s'arrête un instant.

-Écoute, depuis quand t as pas éjaculé?

Vlad lui dit que ça fait un mois, car il aime ne pas éjaculer quand il baise sa femme.
Elle gémit légèrement.

- Oooh... C'est bien que tu sois si plein... J'aime les couilles pleines et ce qui en sort à la fin... Et la pensée que je vais vider de tes couilles ce liquide qui appartient en fait à Carmen me rend folle...

Vlad gémit sauvagement, et elle reprend la fellation, avec avidité.
On est donc en octobre, il pleut fort dehors et la mariée Monalisa offre une succion douce et appliquee au pénis étranger.
Caressant rapidement son clitoris avec les doigts de sa main gauche.
Comme d'habitude, son excitation sexuelle causée par le léchage d'un pénis atteint rapidement l apogée. Monalisa sentit qu'elle sera bientôt saisie par les contractions d'un orgasme puissant. Elle roucoula.

-Vlaaaaaad... je viens ... Oh! Oh! Oh!

Et en cinq secondes la belle brune entre en contractions sexuelles, des spasmes déchirants de plaisir lui explosent entre les cuisses et pousse des soupirs avec sa tête renversee. Elle reste les yeux fermés pendant une minute, puis après les contractions, elle recommence à machouiller le gland, avec beaucoup de salive, puis avale la moitie de la bite.
Le barbu l'entend:
-Maintenant toi aussi... donne-moi tes giclées...
Vlad grogne comme un animal de plaisir et Monalisa sent que l'homme va exploser. Elle masturbe frénétiquement la verge avec sa main blanche avec ses yeux fixés sur Vlad. Elle anticipe le moment de l'éjaculation.
Elle arrete pas de dire des cochonneries. Pour le stimuler. Sa main fait un va-et-vient enérqique sur la verge.

- Allez... Arrose-moi maintenant, mon cher cochon, de toutes tes forces, sans gêne, sans retenue... Vide tes glandes sur moi, femme mariée... Pute mariée...

Sous la main de la fille Vlad s'abandonne au tourbillons de l'éjaculation qui montent en lui. C est fini, ”no return point”, reflexe spinal.
La chambre résonne de ses miaulements et le sperme déferle en jets, abondant et visqueux. Deux, trois, cinq, giclées sauvages pompées par les glandes pleines d'un homme. Son plaisir secret. Sur son cou, sur ses seins et ses épaules.
Elle frémit, en recevant le liquide chaud... comblée par ce plaisir secret, connu seulement par certaines femmes.
Elle regarde avidement les ruisseaux blanchâtres couler sur ses seins et ses genoux. Elle renifle la semence avec les narines dilatees, l'étrange odeur, et, comme en transe, Monalisa se laisse emporter par l'étrange odeur de semence repandue sur ses mains et son corps.
Vlad - vidé - est devant elle, debout, tremblant... les yeux fermés de plaisir. Il ouvre ses yeux et la regarde avec une expression dramatique.

- Monalisa, pourquoi as-tu fait ça?
Elle essuye ses seins et lui sourit, calmement, comme si s'était pas elle la fille déchaînée.
-Qu'est-ce que ca te fait ? L important c est qu'une belle fille aux longues jambes t as offert un grand plaisir dont tu revait. Et ta Carmen ne sait pas. Tu sais, j'ai des cours à partir de dix heures... A plus tard... pour un café... Et peut-être une éjaculation ... Casse-toi maintenant.
Vlad remonte son jean, essoufflé. Il sort en titubant.
Monalisa verrouille la porte et s'allonge sur le lit.
La chambre sent le deo Mennen et le sperme.
Son cœur bat la chamade et en elle les voluptes de la seance de fellation subsistent, comme des petits spasme.
Elle lentement une jambe et recommence à caresser son clitoris. Deja elle a envie de Paul, le mari d une collegue.

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lucius.ro@gmail.com

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