La Bonne Branlette (Suite)

Mais alors que j’allais tirer le portail à moi pour sortir du bâtiment, une voix m’a interpelé. Je me suis retourné, pour tomber sur une femme, la soixantaine bien marqué, elle arborait avec une légitime fierté, un corps lourd, mais ferme. Elle était vêtue d’un short en jean et d’un chemiser que sa poitrine remplissait abondamment. Et que, ses mouvements harmonieux donnaient envie de toucher, et cela sans ostentation. Mais voilà, son visage marqué par les années, n’était pas, comme on pourrait dire, beau.
- Cela vous direz que je vous donne ma culotte ? M’a-t-elle dit d‘une voix joyeuse.
En voilà une drôle de question ? Et pourquoi me dire cela à
Moi ! Je l’ai dévisagé, avant de répondre. .
- Pardon, Madame ! Je ne pense pas avoir bien compris ce que vous m‘avez dit.
- Vous avez bien entendu, filou comme j’ai bien entendu que vous étiez du genre, renifleur ! Dit-elle d’une voix douce, percé d’une note de moquerie.
- Mais Madame qu’est-ce qui vous permet de…
- Ta gueule ! Tu entends, ta gueule ! J’étais sous la fenêtre de Jeanine, quand tu lui as demandé de te donner sa culotte. Je pense sans me tromper de n’être pas moins belle quelle ? Non ?
Je me suis tus un moment, surpris par le tutoiement. Elle s’est approchée jusqu’à moi et a posé une main sur mon épaule.
- Alors ! J’attends mon coco ! Oui ou non ? Dardant ses yeux sur moi.
- C‘est si gentiment dit, que je ne peux refuser votre si belle offre.
- Tu m’envois ravis, mon cher ! Quand je t’ai vue arrivé avec ta caisse à outils, je me suis dit : Madeleine, ce type est du genre à ne pas refuser ta culotte si tu lui offre, alors j‘ai envoyé. M’a-t-elle lancé, un sourire pervers, éclairant sa figure ridée.
- Et bien alors ! Qu’attendez-vous pour me donner votre petite lingerie puante. Je suis à peu près sûr qu’elle est à la hauteur de votre irrespect.
- Tu ne crois pas si bien dire, mon garçon.

Mais tu vois, pour cela, je t’invite à me suivre jusqu’à chez. Où nous serions plus tranquilles. Si tu vois ce que je veux dire !
- Pourquoi ? Nous ne sommes pas bien ici ?
- Ne perdant pas de temps, veux-tu, j’ai mon mari qui ne va pas tarder de rentrée de sa partie de boule. M’a-t-elle dit, une lueur de convoitise allumant sa prunelle.
- Mais alors ?
- T’inquiète mon mignon ! Nous allons faire vite ! Suis-moi, plutôt ! Je te promets un feu d’artifice. M’a-t-elle décoché joyeusement.
Elle me fit montée trois étages avant de me céder le passage pour que j‘entre dans son chez elle.
- Vas-y rentre ! Ne perdant pas de temps ! M’a-t-elle dit.
S’empressant de la verrouiller après mon passage. C’étant jamais ! A-t-elle ajouté.
Il n’y avait pas que de l’excitation dans ses yeux, il y avait aussi de la malice. Et ça voyez-vous, c‘est-ce que j‘aime chez une femme. Je me suis alors, laissé entrainer jusqu’au salon, attendant avec intérêt la suite ! Pas le temps de tergiverser que déjà elle a fait tomber son short à ses pieds. Qu’elle a soulevé l’un après l’autre avant d’envoyer le vêtement valsé dans un coin de la pièce. Tout de suite après, elle a fait glisser la culotte sur ses hanches, se tortillant avec des gestes précautionneux pour la faire tomber. Dessous, elle n’y avait sur elle que la marque de son maillot. Un triangle blanc au-dessus de son pubis.
- J’espère que la mienne te fera autant d’effet que celle de la Jeanine. Me dit-elle, donnant un air ironique à son visage ridé.
Sans me quitter des yeux, elle est venue jusqu’à moi, à me toucher. Elle a tendu la main, portant sa culotte à mes narines. Je me suis fait un plaisir de la respirer bruyamment. Son odeur était loin de me déplaire, tout au contraire. J’étais tellement si excité que j’en tremblais.
- Alors ton verdict ? M’a-t-elle lancé, éloignant sa lingerie de mon nez.
- Bandant !
- Oui, je vois ça ! A-t-elle dit, en me désignant du menton la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon.
Tu veux
Encore la sentir ?
- Je ne dis pas non !
- C’est drôle ! M’a-t-elle fait.
- Et je me savoir qu’est-ce qui est drôle ?
- Que tu ne m’es pas proposé de mettre ta queue dans ma chatte, voir dans mon cul comme tu l’avais fait à Jeanine.
- C’est que je ne vous connais pas bien.
- Il ne faut pas jouer les timides avec moi, mon chou ! M’a-t-elle dit, en se laissant renversé sur le divan, avec un petit rire ravi, avant de coller sa culotte à ses narines, et de exprimer :
- C’est vrai que je sens bon ! Assez plaisanter, vient me remplir de ta queue. J’espère qu’elle est grosse ?
- Assez pour vous donnez du bon temps !
Elle a déboutonné son chemiser et après en avoir écarté les pans, elle a croisé les mains sur sa nuque. Le regard vague, elle a écarté les jambes et s’est tut. Sa vulve bâillait, avec des lèvres un peu molles qui révélaient une chair nacrée.
J’ai posé ma main au-dessus du nombril. Pour petit à petit, les faires remonter vers sa poitrine. Là, j’ai palpé ses seins. Une masse lourde et chaude, très agréable au toucher. Les tétons sous ma caresse, ont rapidement durci. Sans douceur j’ai pressé les mamelons entre mes doigts. Très vite, sous l’effet d’une impulsion incontrôlé, j’ai incliné la tête. Gobant la pointe d’un sein, dont j’en mordillais le bout.
À en croire ses soupirs, elle était vulnérable de ce côté-là. J’ai abandonné son nichon, marquée par mes coups de dents, pour faire tomber le pantalon et le slip, et avec le bout de ma verge, j’ai l’entrée de sa chatte. Elle a eut un sursaut. J’ai lu comme de l’allégresse dans ses yeux. J‘ai ressorti mon gland pour le frotter contre les replis gluants. Elle mouillait comme une jeune salope, malgré son âge. Je l’ai promené sur toute la surface de sa vulve. L’humectant soigneusement de bave intime. Comme ça, je n’aurais plus qu’à l’enfoncer pour qu’il glisse tout seul dans ses entrailles, et cela, tout seul comme dans du beurre.
Je le fis aller et venir encore quelques instants, puis je le lui mis. J’ai vu l’intimité de la dame s’ouvrir en corolle, comme pour m’accueillir. Centimètre par centimètre, j’ai vu ma pine disparaitre dans le ventre brûlant et offert de la Madeleine. Elle a fermé les yeux pour ne pas voir, mais sans doute, pour mieux me sentir. Elle a d’ailleurs poussé un long feulement rauque. Et elle s’est cambrée pour mieux s’ouvrir davantage à mon intrusion.
Sa déchéance la fit gémir bruyamment alors que je la fouillais rudement. Elle a agité son bassin. Elle n’était plus qu’un orifice honteusement exhibés dont je me branlais. Je voyais ma verge disparaître et réapparaitre dans son con. Happées à chaque admission, par la chair large et chaude. Cela produisait des bruits sales. Et chez moi, plus les bruits sont sales, plus j’aime ça.
- Alors ma queue… elle vous plaît, vieille salope ? Lui fis-je. Dont ma voix n’était plus qu’un sifflement. Je devinais que pour cette femme rien ne comptait que d’accen son sentiment d’humiliation.
- Vous êtes une dépravée, ma chère Dame… une femme qui aime se faire piner. Ce n’est pas votre mari qui vous pine comme ça ?
- Oui… oui encore… bourre moi…
Elle s’est tortillée, s’est emmanchée d’elle-même sur ma verge qui la violait sans aménagement. Un vrai piston de voiture de course. À en perdre le souffle.
Puis elle s’est ruée désespérément, en secouant la tête, et en s’écriant.
- Dans le cul… je te veux dans le cul…
Elle m’a lancé un regard assassin accompagné d’un sourire équivoque.
J’ai émis un petit rire cynique, avant de lui lancer :
- Je ne vous savez pas si vicieuse. Vous désirez vraiment que je vous la mette dans le fion.
- Oui… oui… hurla-t-elle, au bord de la jouissance.
Alors je l’ai ressorti de son antre. J’ai noté qu'elle était bien luisant, emplit de mouille bien grasse, bien épaisse.
J’ai écarté ses fesses. Des filaments de mouille étaient accrochés aux mèches de poils.
Sans problème, l’âge aidant sans doute, mon gland a franchi la porte. J‘ai éprouvé une merveilleuse sensation. Rene lorsque mon sexe fut comme happé par son soin. Je suis resté immobile quelques instants, appréciant son anneau culier la base de ma queue. Puis j’ai entrepris un mouvement de va-et-vient. Son corps s‘est tendu, au point que j’ai crus lui avoir fait mal. Mais j’étais loin du compte ! Puisque la coquine m’a imploré d’accélérer le mouvement.
- Oui, c’est bon. Ta grosse queue me fait du bien… plus fort… ah ! Oui… à fond ! Bourre-moi, oui ! Bourre-moi bien… putain quel pied ! Oui quel pied !
Sa voix s’est faite plus rauque. Et les mots qu’elle prononçait m’ont excité au point de me vider en elle, en grognant.
Au moment où j’ai retiré ma verge de son cul, elle aperçut à son extrémité une belle goutte de sperme. Avec une œillade complice, elle m’a demandé de m’approcher et a but la goutte de sperme.
- Ce n’est pas tout ça mais il va falloir que tu t’empresses à déserter les lieux.
- Votre mari ?
- Oui. Il ne va pas tarder de rentrée de sa partie de boule.
- J’ai le temps de faire une petite toilette ?
- Oui, mais vite.
Elle m’a guidé jusqu’à la salle de bains. Et alors que je savonnais ma bite, elle a prit des renseignements sur moi. Savoir si je pouvais revenir la divertir.
- Avec l’âge, je deviens de plus en plus cochonne. Franchement, je ne m’imaginais pas être aussi vicieuse. Il m’arrive en me touchant de dire des mots les plus sales que je puisse connaître. Quand le plaisir pointe son nez, je deviens folle. Je me frotte le bouton à toute vitesse en criant des gros mots. En faite Alain, tu suces ?
- Si je suce ? C’est même ce que je fais de mieux… Madame !

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