La Bonne Branlette (Suite Et Fin)

Caisse d’outil toujours en main, sourire aux lèvres j’ai attaqué marches après marches, ma longue descente, les jambes lourdes. Et cela jusqu’à ce que j’arrive sur le palier du dessous, où une porte s’est ouverte énergiquement. Une femme m’est apparut
- C’est à vous que je dois tout de ramdam là-haut ! Me désignant le plafond du doigt.
- Pardon Madame ! Lui ai-je répondu en prenant l‘air étonné.
- Ne faite pas l’idiot. Cela ne vous va pas.
J’avais devant les yeux un petit bout de femme d’une soixantaine d’années. À croire qu’il n’y avait que des vieilles dans ce bâtiment. Le cheveu teint en noir, la mine pleine, les yeux sombres. Le verbe haut et la poitrine lourde. Des jambes musclées gainées de noir, chaussées d’escarpins à hauts talons, ce qui la grandissait de quelques centimètres. Des mains fines et soignées, toujours en mouvement à chacune de ses paroles. Je dirais qu’elle était d’origine italienne ! Elle portait une chaîne en or autour de son cou et des bagues ornaient les doigts de sa main.
- Vous n’allez pas me faire croire que ce n’est pas vous qui étiez chez Madeleine ?
- Il fallait commencer par là, ma petite dame. Bien sûr que c’est moi qui vient de quitter l’appartement de Madeleine.
- Vous avez quoi pour avoir fait autant de bruit.
- Vous n’allez pas me faire croire que vous n’avait pas votre petite idée, Madame.
- Oui, j’ai bien ma petite idée !
- Vous voyez ! Je peux partir maintenant ?
- À ce que je vois, mon mari ne lui satisfait plus.
- Pardon !
- Je disais seulement que mon mari ne lui suffisait pas. Pour qu’elle soit obligée de se faire sauter par un jeunot maintenant. Qui pourrait être de surcroît, son fils. Je ne sais pas comment elle fait pour attirer tous ses hommes dans son lit. Surtout qu’elle est loin de faire retourner foule à son passage.
- Je crois deviner que vous avez une méchante brouille avec elle.

Mais je pense que je sais pourquoi.
- Oh ! Vous vous méprenez mon cher Monsieur. Je n’en ai rien à faire qu’elle se tape mon mari.
- Là Madame, je trouve que vous prenez ça du bon côté. Elles ne sont pas toutes à réagir aussi bien que vous. Et le mari, il est au courant pour sa femme ?
- Il faudrait encore qu’elle en est un ! Elle ne vous la pas dit
Cela ?
- Non ! Seulement que son mari allé arriver après sa partie de boule.
- Elle parlait là du mien !
- Et vous dans tout ça ?
- C’est-à-dire ?
- Non ! Veuillez m’excuser Madame, je ne sais plus ce que je dis. D’ailleurs je dois m‘en aller.
- Vous êtes pressé ? Un autre rendez-vous, peut-être ?
- Non, rien de cela.
- Cela vous direz de voir ma chambre.
- Voir votre chambre ? En voilà une drôle de demande. Vous êtes du genre direct.
- Ne vous méprenez pas, mon cher ami. C’est que je suis tellement fière du travail effectué par mes propres mains, que je ne peux m’empêcher de le faire découvrir à qui veux le voir.
- Je vous comprends. Cela vous ferez vraiment plaisir que j’y jette un œil ?
- Et comment ! C’est bien pour ça que je vous le propose.
C’était si sincère, que je me suis laissé tenter. Une fois dans la pièce, j’ai du reconnaitre qu’elle avait fait un excellent travail.
- Vous avez fait tout cela seule ?
- Parfaitement Monsieur.
- À ce que je vois vous aimé la couleur rouge.
- Pas du tout. C’est seulement parce que mon mari déteste cette couleur. Un moyen comme un autre de le faire fuir. D’ailleurs pas la peine que je vous précise que nous faisons chambre à part. Mais ça ne va pas ! Je ne sais pas pourquoi je vous dis ça !
- Un besoin d‘évacuer un trop plein de rancœur sans aucun doute.
Soudain une drôle d’idée m’a occupé la tête, à me la faire tourner. À savoir si j’avais affaire à une aguicheuse ou à une vicieuse. Un incessant besoin chez moi, de rechercher continuellement une nouvelle relation sexuelle avec laquelle je pourrais satisfaire ma libido.
Et toujours en pareil cas, je n’ai pas mis longtemps à trouver la parade. Un don chez moi.
- Je peux vous posez une question, ma chère Madame ? Lui fis-je en la faisant s’asseoir sur le lit.
- Bien sûr, je vous écoute ! Fit-elle, impatiente.
- C’est que je ne sais pas si je dois vraiment vous la poser.
- Mais faites-donc ! Je vous en prie, je vous écoute. A-t-elle insisté.
- Et bien voilà… ai-je fais, en gardant la suite de la phrase en suspente. Comme pour donner un peu plus de poids à ce que j’avais envie de lui dire.
Et la coquine n’a pas mis longtemps pour tomber dans le panneau.
- Et bien alors ! J’attends cette question ! Arrêtez de me faire languir, je suis trop impatiente de savoir, moi…
- Comme vous insistez, je vais vous la poser. Voilà ! Je me demandais si c’était des bas ou un collant que vous portiez sous votre jupe.
- Oh ! Le coquin. En voilà une question indiscrète. Vous me prenez pour Madeleine ou quoi ?
- Je vous signale que c’est vous qui avez insisté pour que je vous la pose cette foutue question, à ce que je sache.
- Oui c’est vrai ! Mais je ne m’attendais pas à ce genre de question.
- Je vous avez prévenu, je suis du genre un peu spécial !
- Je vois ça. Alors je vous retourne la question, à votre avis ?
- Je sens que j’ai affaire à une petite coquine, je me
Trompe ?
- Allez savoir !
- Vous permettez que je vous examine un petit instant, avant de donner ma réponse.
- Je vous en prie, faites. Fit-elle, en se levant du lit.
M’agenouillant pour être à la hauteur de son sexe, j’ai pris mon temps pour la scruter à travers sa le tissu de sa jupe. Comme elle était assez moulante cela m’a donné une petite idée sur ce qui se dissimuler sous cette dernière. J’ai attendu encore quelques instants pour combler ma curiosité avant de lui demander de me montrer son côté pile.
- Comme Monsieur le souhaite. A-t-elle fait en m’exposant son fessier.

Mais quel cul mes aïeux ! Je ne sais pas encore aujourd’hui comment j’ai fait pour résister à ne pas lui plaquer ma main dessus. Peut-être parce que j’ai tout de suite répondu à sa question !
- Je dirais des bas. Maintenu par les baleines d’une gaine.
- Bravo ! Je vois que Monsieur est connaisseur.
- Une autre question si vous me le permettez ?
- Je vous écoute ?
- Avez-vous eu des pensées excitantes quand vous avez enfilés vos bas ce matin ?
- Vous êtes vraiment du genre incorrigible, vous ! Bon oui, je
Confesse, que oui ! Je suis du genre exhibitionniste. Il y a des jours où j’adore bien me montrer. Tiens ! Il m’est arrivé à plusieurs occasions qu’on je fais mes courses dans une grande surface, d’aller au rayon chaussure. Et d’essayer des paires d’escarpins. Pas pour en acheter, non ! Juste pour m’exhiber à la vue de qui veut me voir, mes gambettes gainées.
- Vilaine femme ! Vous n’avez pas honte ?
- Et vous ?
On s’est regardés sans qu’un mot soit prononcé. Le désir était palpable dans la pièce. Je sentais que cette femme était comme d’autres que j’avais connus avant elle. Malheureuse en ménage, elle recherchait coûte que coûte une compensation sexuelle pour distraire sa frustration.
- Cela vous direz de voir si je ne vous ai pas menti ?
- C‘est drôle, j‘allais vous le demander.
- Comme quoi les grands esprits se rencontrent. A-t-elle répliqué en relevant d’un mouvement vif, sa jupe. Assez haut pour que la lumière diffuse par la lampe à chevet éclaire une culotte en fine dentelle de couleur rouge qui surmontait des bas noirs a bande brodée. Je me suis mordu la lèvre inférieure pour ne pas lâcher un cri d’envie.
Elle m’a fixé du regard. Devinant sans aucun doute l’effet qu’elle produisait sur moi. Je suis resté un bon moment interdit, dévorant des yeux ce qu’elle m’offrait.
- Alors ! Monsieur est satisfait par le spectacle que je lui
Donne ?
- Je suis le plus chanceux des hommes !
- Je devine que vous désirez en voir plus, je me trompe ?
- Pas du tout ! Je suis même encore là pour ça.

Elle a esquissé un sourire, avant de poser de nouveau son cul sur le lit. De ses mains elle a saisit l’élastique de sa culotte et tout en gardant les cuisses collé, l‘un contre l‘autre, elle a entrainé le mince bout de tissu rouge jusqu’à ses genoux avant de le faire poursuivre sa course le long de ses mollets et de l’arrêter sur ses chevilles surmontées d’escarpins noirs.
D’un geste preste, elle a dégagé son pied droit, et de l’autre, elle a fait tournoyer cette fine dentelle, avant de le laisser choir sur le sol recouverte de moquette rouge. J’avais chaud. Même très chaud.
- Pas mal pour une vieille ?
- Je confirme.
- Que direz-vous maintenant d’entrevoir mon entrejambe ?
- Je me fais un bonheur de pouvoir faire enfin sa connaissance. D’ailleurs de vous à moi, c’est même pour cela que je me trouve encore devant vous.
- Vous ne savez sans doute pas, mais quand j’ai ouvert ma porte c’était pour vous passez un savon. Mais quand je vous ai eu devant moi, je suis tombé sous votre charme. Et à partir de cet instant j’ai tout fait pour vous charmez. Et je pense avoir réussis ma manœuvre. Je me trompe jeune homme ?
- Pas le moins du monde, Madame. J’ai effectivement très envie de vous à l‘instant où je vous parle.
- Alors ne perdant pas de temps. A-t-elle ajouté en écartant le compas de ses jambes pour que je profite du spectacle que ses cuisses ouverte m‘offraient. Et je ne m’en privais pas.
Sous l’arcade de sa gaine, j’avais une vue imprenable sur son sexe, complètement soumis ! Nue de tous poils. Un vrai sexe de fillette. Face à un tel spectacle, je ne pouvais résister plus longtemps. Son regard pénétrant, s’enveloppa d’un sourire à la fois innocent et satisfait. Elle sentait que j’étais au summum de mon excitation. Et la salope se régalait de mon état.
L’atmosphère dans la pièce était électrique et empreint de débauche. Le tableau qui s’offrait à moi était invraisemblable. Une vieille dame, les cuisses largement écartées, le bassin mouvant. Une vraie débauche sexuelle, qui ne pouvait qu’enflammer mon bas-ventre.
Profitant de l’occasion qu’elle me donnait, j’ai poussé le vice de lui demandé qu‘elle se masturbe devant moi.
- Si il n’y a que ça pour vous satisfaire ! Fit-elle, s’enfilant un doigt dans le minou.
Je n’étais pas mécontent de moi-même à cet instant. De l’avoir mener là où je voulais qu’elle aille. Surtout que la coquine y prenait goût. Faisant ressortir le majeur de sa main gauche, pour mieux le replongeait l’instant après. À chaque pénétration un mince filet de mouille s’écoulait de son antre. J’ai croisé son regard. Il était couronné d’un sourire espiègle. Elle gémissait doucement, tout en faisant danser son bassin, en cadence avec sa caresse. Le regard soutenu qu’elle portait sur moi, semblait dire : « Tu attends quoi mon coco, pour me sauter dessus ! ».
Pour cela je me suis agenouillé devant elle. Et j’ai léché de ma langue, la broderie de son bas. Et ça, tout en regardant la coquine continuait à se donner du plaisir. Dont l’odeur de son sexe tout proche, me montait aux narines.
Et, sans cessait de se caresser, elle a commencé à me raconter sa vie sexuelle. Comme quoi elle se branlait depuis toujours. Qu’elle aimait se donner du plaisir seule. Et que d‘ailleurs elle n‘avait pas le choix, et s’en trouvait fort bien ainsi. Mais qu’il lui arrivait parfois qu’elle rêve de verge.
Mais alors que le plaisir tout proche lui faisait dire de tendres et délicieuses obscénités, j’ai approché mes narines de sa chatte. Le nez à seulement quelques centimètres de ses doigts.
Jamais je n’avais été aussi impatient de fourrer ma langue dans une chatte. J’ai pour cela, fait glisser chacune de mes mains sous chacun de ses genoux et je l’ai fait rouler sur elle sur le lit. Elle avait le souffle coupé quand je me suis agenouillé entre ses jambes, pour y glisser ma langue dans la chaude cavité. Elle en est sorti luisante de mouille. Je l‘ai de nouveau enfoncé, plus profondément cette fois-ci. La coquine poussa sa chatte à s‘empaler sur ma langue. J‘ai profité de son trouble pour pointé un doigt vers sa rondelle. J’en distinguais les petits replis, les petites excroissances qui formaient le muscle anal et se resserraient vers l’entrée. J’ai entrepris d’aller en gratouiller l’entrée qui s’est ouverte et m’a autorisé le passage. Qui soit dit en passant, dégager une forte odeur. Je n’ai pas pu résister d’y enfoncer mon index. Il est entré sans effort dans la cavité. Si bien que j’en ai niché un second. J’ai attendu un instant avant de les faire aller et venir. Et quand j’ai senti que ça coulisser bien, j’en ai glissé deux autres dans le vagin. Elle a salué mon initiative d’un couinement. Encourager, j’ai branlé les deux orifices dans un même mouvement. Taquinant de ma langue son clitoris. Son visage s’était crispé, s’était voilé, tout en se déhanchant comme si elle dansait.
Elle a eut deux orgasmes, coup sur coup. Qu’elle a accompagné à chaque fois, d’un grognement sourd.
Je me suis redressé, la mâchoire engourdie. Excitée, elle a ôté son haut. Sa poitrine était nichée dans un soutien-gorge lui-aussi de couleur rouge. Puis toujours assise, elle en a profité pour lorgner d’un air gourmand la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon. Elle s’est empressée de me malaxer la verge d’une main rêveuse, et cela à travers l‘étoffe de mon froc.
- Ça vous gêne si je la découvre ? M’a-t-elle dit.
- Faite comme bon vous semble. Ai-je répondu.
Hâtivement, elle m’a soulagé de mon pantalon et de mon slip.
Puis elle a déposé un petit baiser sur le bout de ma queue. Je n‘ai pas pu m‘empêcher de la faire tressaillir, ce qui a fait, s’esclaffer la vieille dame.
- Vous avez là, une belle chose ! A-t-elle pouffé, alors qu’elle se saisissait de ma verge entre deux doigts. Et ça tient la distance, cette chose-là ! A-t-elle renchéri.
Cela m’a fait bien sourire. Elle a sorti un bout de langue et s’en est servi pour titiller gentiment le gland. Elle a interrompue sa caresse, juste pour me lancer un regard faussement ingénu, et me demander.
- Je peux ?
- Tout ce que vous voulez !
Enchantée de ma réponse, elle m’a pris en bouche. D’abord presque timidement, puis avec plus d’assurance ensuite. Tandis qu’avec son autre main, elle m’a caressé mes couilles. Le spectacle était au-delà de mes rêves les plus fous. J’ai regardé un long moment ma verge entrait et sortait dans sa bouche ridée, avant de me décider de passer à autre chose.
- Cela vous direz que je vous la mette ? Ai-je entendu lui dire.
- Je ne dis pas non.
Pour cela je me suis redressé, et placer dans la continuité ma verge au centre de ma cible qu’elle m’offrait gracieusement. Les yeux brillants de gourmandises, alors que mon gland congestionné s’immiscer entre les lamelles roses de son sexe. Je me suis laissé couler en elle, enfonçant ma verge le plus profondément possible. J‘ai attendu quelques instants, avant de la ressortir. Elle était toute lustrée de mouille. J’ai caressé avec mon gland l’entrée de sa chatte et je suis reparti à l’assaut. Bien décidé de lui donner un maximum de plaisir. Et pour ce genre de personne il faut la manière forte. Je l’ai pour cela, empoigné par les fesses et je me suis lancé dans un vrai marathon d’aller et retour. Un vrai déchainement, dans un rythme effréné. La martelant encore et encore, à en perdre le souffle, sous ses cris d’exhortation. Langue dehors, cherchant à embrocher ma bouche.
Tout en donnant des coups de reins ardents, je me suis laissé tenter. Son regard voilé en disait long, elle affectionnait cela. Alors que je reprenais mon souffle, la coquine en dessous de moi s’est trémoussée, faisant onduler sa croupe pour que son bassin tourne autour de mon manche qui la fourrager. Ses lèvres vaginales se sont contractées, comme pour mon pénis. Là elle a laissé échapper de sa bouche un encouragement :
- Je jouis ! Je jouis ! Oui je jouis….
Confirmant quelques instants plus tard d’une voix claire :
- Jamais comme ça ! J’ai trop jouis !
Et j’ai moi aussi libéré ma jouissance. Accompagnant mon éjaculation de plaintes de reconnaissance. Nous sommes restés enlacés de longues minutes, silencieux, épuisés mais pas rassasiés. Puisque nous avions remis ça.

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