Cours D'Éducation Sexuelle. 2
La prof de science doit donner des cours déducation sexuelle. 2
Je mappelle Agnès et je suis prof de math, femme de 42 ans, brune avec une poitrine de rêve, 95 D pour un mètre 72, 60 kilos, un corps à faire bander mes petits cons délèves. Jaime les robes mi-longues pour les faire fantasmer.
Je rejoins ma collègue Sylvie dans son bureau en train de corriger des copies. Elle ma parlé de son cours si spécial déducation sexuelle et je viens aux nouvelles.
-Alors ! Ça cest bien passé ?
-Oui, mais je crois que jai fait une connerie.
Je lui demande de préciser et elle me raconte le déroulement du cours.
-Le gode que javais acheté ne tenait pas sur le bureau et je me suis servi dun de mes élèves. Si le rectorat apprend ça !
-Eh alors ! Jespère quil ne ta pas déçue.
-Oh pour ça non ! Tu aurais vu ça
Il a un truc de fou dune taille inimaginable, ma main nen faisait pas le tour. Jai dû le branler pour le faire bander et javais limpression de caresser une branche de châtaignier avec un bogue contenant deux énormes marrons. Dailleurs, je lai convoqué à sa demande et il ne devrait plus tarder. Il a un gros problème sil veut réussir ses examens cette année et il veut surement que lon en parle. Agnès, si tu veux, tu peux corriger tes copies dans la petite salle comme ça tu verras le loustic.
-Daccord Sylvie! Je suis sûre que si tu le voulais, tu pourrais lui faire du rentre-dedans, je lui lance,
Tu es charmante avec tes cheveux blonds, ta jolie bouche, tes seins fermes et ta taille fine qui met en met valeur tes jolies fesses
Elle se défend de mes sous-entendus mais elle sait que son décolleté qui laisse deviner le sillon de la naissance de ses seins, sa jupe ample sur son corps quelle entretient avec régularité la rendent désirable. Elle est assez fière de ses 48 kg pour 1 m 67, de sa taille svelte et de sa superbe poitrine (90 B) qui attire les regards des hommes, même si elle ne fait rien pour cela.
-Agnès, si tu veux le voir, va vite dans le petit réduit aux matériels et
Un coup à la porte interrompt sa phrase, Jai à peine le temps de disparaître quOlivier entre sans attendre sa réponse et ferme la porte. Cest un beau gaillard dun mètre 80, au corps dathlète.
-Bonjour Olivier, assied-toi, je suis à toi dans quelques minutes, le temps que je range les copies. Lui demande Sylvie.
-Prenez votre temps madame, pendant ce temps, je feuillèterai ce vieux magazine que jai déniché dans une réserve de luniversité.
Sylvie jette un il sur la revue quil tient délibérément levé pour quelle voie la couverture et elle reconnait illico le journal dun temps que je croyais disparu. Une feuille de chou quimprimait en douce un club de presse local du temps de nos études, assez vulgaire soit dit
Jespérais que les traces de ce vieux souvenir avaient complètement disparues mais il semble que non.
Olivier se lève soudain et vient poser le magazine ouvert en son milieu qui dévoile sans pudeur les charmes de deux jeunes filles sur chaque page centrale. Sylvie se reconnait aussitôt et avoue :
-Je me souviens des gros problèmes dargent dalors mais ne voulant pas comme certaines copines, me prosti pour payer mes études, javais trouvé ce moyen darrondir les fins de mois en posant nue.
Il lui faut un temps pour se reprendre avant daffronter le regard dOlivier.
- Et alors, Olivier, ça te poses un problème ? Que veux-tu, petit con ?
- Cest donc bien vous, Madame. Lautre fille et pas mal aussi, ça me dit quelque chose mais je narrive pas à lui mettre un nom dessus.
-On ne peut rien te cacher
tout le monde nest pas né une cuillère dargent dans la bouche, comme toi, et tu vois que jai réussi à me faire une place dans ce monde sans pitié pour les pauvres.
-Peut-être, peut-être
Moi, mon problème, cest davoir mon diplôme.
Je me rappelle de cette revue, La deuxième pin-up, cest moi.
-Vous étiez gironde Madame, jespère que vous avez apprécié votre cours lautre jour, et aussi le modèle
Olivier sapproche de Sylvie, la dévorant des yeux, il lui prend la main et la pose entre ses cuisses.
-Je ne sais pas si cest votre photo, vous ou le souvenir de vos mains sur ma bite lors du cours, mais sentez leffet que vous me faîtes.
Sylvie est e de caresser sa verge à travers son jean, Olivier descend sa braguette et dégrafe le haut de son jean pour laisser apparaître son boxer.
Je suis bien placée pour voir Sylvie prendre les « choses » en main, si je puis dire. Pressée de voir son sexe, elle baisse jean et slip dun même mouvement jusquà ses genoux.
Une bite longue, droite, bondit sous son nez, gonflée à bloc. Je me mets à saliver comme une e en manque en regardant palpiter ce chibre, en admirant les testicules qui pendent très bas, sans aucun poils.
La queue libérée de sa prison, Sylvie sen saisit et la branle en lui promettant :
-En te voyant on ne dirait pas que tu es si bien monté, mais aujourdhui, contrairement à hier, je vais pouvoir me régaler de ta bite de poney !
Elle se met à genoux entre ses jambes et commence à lui prodiguer une fellation de vraie professionnelle, en lui léchant la tige ainsi que les bourses pendant que ses deux mains sactivent en sens contraire sur cette hampe magnifique, allant même jusquà la gorge profonde. Il ne faut pas longtemps pour quOlivier nen puisse plus.
Il soupire et geint faiblement quand soudain, des bruits résonnent dans le couloir. Olivier se fige, regardant la porte, il est paniqué en voyant la poignée tourner. A-t-il fermé la porte à clé ce petit con ? Une montée dadrénaline coupe son envie de jouir.
La poignée tourne avec insistance mais la porte ne cède pas, ouf !!! Les pas séloignent enfin, Olivier respire, visiblement soulagé, lui aussi. Sylvie est toujours à la tâche. Le gland que jentrevoie a repris son volume optimum et une goutte de pré-sperme sen échappe. Sylvie sen régale, excitée, et recule son visage, la bouche ouverte, pour le branler encore plus vite. Veut-elle me faire profiter du spectacle après lavoir mis au défi? Elle dégrafe le haut de son corsage.
- Fais-moi goutter ton foutre et arrose-moi les seins !
Olivier éjacule deux longs jets de foutre qui atterrissent directement dans la bouche béante puis arrose la poitrine offerte. Sylvie déglutit avec un petit coup de langue puis le reprend en bouche pour un petit nettoyage de la lance. Quand enfin, elle se recule, je suis stupéfaite car Olivier na pas débandé dun pouce. Je suis surprise par les paroles de Sylvie, complètement coincée :
-Huuummm ! Pas mal mon étalon, hein Agnès ?! Tu veux une part du gâteau ?
Olivier tourne la tête dans tous les sens, complètement affolé. Sa queue en subit les conséquences et baisse enfin du nez. Bon
quand il faut y aller, il faut y aller, et ma fois, jaurais pu tomber plus mal !
Je sors de mon réduit et mapproche dOlivier qui a vite un sourire en coin.
-Bon Dieu ! Lautre fille
Mais bien sûr, cétait vous ! Je savais bien que ça me rappelais quelquun
Je lui réponds du tac au tac.
-Tais-toi et bande !
Je rejoins Sylvie à genoux devant Olivier et avale sans attendre ce plat de rêne. Il rebande illico.
Jagite ma petite langue tout autour du nud qui se raffermit en le pompant avidement avant de le lécher tout le long de sa magnifique hampe à petits coups de langue pendant que Sylvie gobe ses testicules tout doucement, les pinçant avec ses lèvres pour les étirer en les mordillant.
Olivier gémit sous cette double attaque.
Je lentends grogner et malgré ses mains, jexpulse une bite devenue si raide et si sensible que le moindre attouchement la fait tressaillir, laissant une longue traînée de bave relier mon menton à son gland. Pendant que dun revers de la main, jessuie la bave qui me pendouille au menton, je me fais choper mon jouet par Sylvie, qui telle une relayeuse, soccupe de faire disparaître du membre rougit et palpitant, ma salive.
Olivier se penche et glisse une main dans chaque échancrure de nos corsages pour caresser nos seins doucement. Je mouille ma culotte plus que jamais et glisse ma main sous ma jupe pour recueillir un peu de ma cyprine sur mon index pour la faire goûter à Sylvie et en profite pour lui dérober le témoin.
Sans même réfléchir, je reviens gober cette formidable verge, ma langue tournoyant sur le bout de son gland. Il grimace de plus en plus
A suivre
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