Mon Collègue Soumis, Benoît

J'ai rencontré Benoît dans le cadre de mon ancien travail.
Il était à la direction, je travaillais dans les bureaux.

Quand je l'ai vu la première fois, j'ai su.
J'ai su qu'il se passerait quelque chose entre nous. Je ne savais ni où, ni comment mais je savais.
Son regard ténébreux m'était resté en tête, l'écho de sa voix grave et sa façon d'être sûr de lui. Ses mains que j'avais imaginé des centaines de fois sur ma peau, ses doigts et son sexe que j'avais imaginés au plus profond de moi.

Cela faisait à peine quelques jours que j'étais dans l'entreprise lorsque le séminaire annuel a été annoncé. Est arrivé ce fameux moment de répartition des chambres. Je ne connaissais pas encore suffisamment bien mes collègues, j'ai donc accepté d'être seule, dans une chambre surprise.
Le lendemain soir, Benoît arriva dans la chambre en me souriant. J'avais rêvé de ce moment si longtemps. Les premières présentations faites, Benoît perdait en confiance en lui face à moi.
Dans un murmure, il me dit "Tu agites mes nuits depuis trop longtemps. Je suis aux services de tes désirs ce soir. Maintenant."

Je sens son envie de s'abandonner à mes caprices, à mon désir. Je sais le pouvoir que j'ai sur lui et je vais le pousser, ce soir, dans un abandon total.

Debout devant lui, encore habillée, j'ai planté mon regard dans le sien en lui ordonnant d'un ton autoritaire "Déshabille-toi. Maintenant."
Il est nu, devant moi et j'observe ce beau sexe durcir devant moi. Je saisis une écharpe et lui lie les mains dans le dos... D'une main, j'att son visage et murmure contre son oreille "A genoux, regarde-moi dans les yeux Benoît. Si tu détournes le regard, ça ira très mal pour toi."
Je laisse descendre le string ficelle que je portais sur mes chevilles et reste totalement habillée. Je m'enfonce dans un fauteuil confortable, posé derrière moi. Je pose mes pieds autour de ses épaules, l'immobilisant et lui dit "On est bien là, non ? Tu es à ta place mon Benoît.

"
Je veux sentir sa langue parcourir mon corps et lui ordonne donc de me lécher et de bien s'appliquer jusqu'à ce que je jouisse.

Je tire sa tête brusquement vers moi et plaque son doux visage contre mon entre-jambe. "Lèche-moi, applique-toi".
Mon corps convulse à chaque coup de langue. Je serre sa tête de plus en plus fort contre mon sexe, sentant sa langue brûlante tournoyer en moi. Je frotte encore et encore mon corps contre sa barbe, sa bouche, sa langue et dans un cris, je lui hurle que c'est bon, que nous n'en aurons jamais fini, lui et moi.
Je voudrais sentir ses doigts en moi, son sexe, dur face à cet orgasme alors je l'aide à se relever. Ses mains sont toujours nouées et je le dirige vers le king size de cette jolie chambre. Je le regarde, encore et encore. Lui, nu et si désirable. Je regarde son sexe et lui ordonne "Allonge-toi et laisse tes mains au dessus de ta tête. J'en ai pas fini avec toi."

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