Maria 3 : Rencontre Sur Une Plage Naturiste

Je dors comme une souche jusqu’à dix heures du matin et après un petit déjeuner copieux - il faut bien reprendre des forces - je reprends le chemin de chez Maria, me disant que je ne fais pas grand chose d’autre depuis vingt quatre heures. Tout est calme à mon arrivée et sur la porte je trouve un papier qui indique « Entrez » avec en dessous entre parenthèse (pour Jean).
Je rentre donc dans la maison silencieuse à la recherche de mon hôtesse. Le grand salon est vide, la cuisine également, je me dirige vers la chambre et en passant devant la salle d’eau j’entends un léger clapotis. Je passe la tête par la porte et vois Maria alanguie dans son bain moussant, la tête renversée en arrière, les yeux clos. Doucement je me déshabille et rentre dans le bain avec elle. Elle n’ouvre même pas les yeux et un sourire éclaire ses lèvres montrant que c’est la réaction qu’elle attendait. Elle ne se pose même pas la question de savoir si c’est bien moi.
Dans ce bain plein de mousse, seule sa tête dépasse et son visage est bien ridé, trahissant son âge. Je me rends compte que j’avais oublié cette chose, elle était pour moi une femme, agréable à baiser, et pleine d’envie. La douceur du bain et le parfum des sels sont agréables, le corps est doux et soyeux, la baignoire spacieuse. Maria, les yeux toujours fermés, se laisse caresser sans oublier de rendre la pareille. Elle rencontre d’ailleurs mon érection qu’elle empoigne, massant la verge et les testicules, délicatement. Ses lèvres quémandent des baisers, c’est ma langue que je leur offre, elle me place au dessus d’elle et guide ma verge dans son vagin, je la baise paresseusement, glissant dans son antre adoucie par le bain. La baignoire déborde bien, mais elle n’en a cure, toute au plaisir de sentir une bite en elle. J’ouvre la bonde et le bain se vide lentement, nous laissant couverts de mousse.
Nous sortons enfin de la baignoire, non sans quelques glissades involontaires et nous séchons mutuellement, prétexte à des caresses.

Dans le grand miroir qui nous reflète, nous voyons notre couple quasi en pied, elle peut « voir » les caresses et nos corps. Elle me dit soudain :
• "Mon Dieu ! Je suis affreuse ! Vous voulez encore de moi en me voyant ainsi ?
• Vos cernes sont ceux du plaisir, vos rides sont sensuelles, quand à votre corps, j’en ai tellement fait le tour depuis hier, que je n’ai pas besoin de miroir pour le connaître et l’apprécier.
• C’est vrai que depuis un jour j’ai rattrapé dix ans de chasteté !
• Dix ans ! Mais votre mari n’a disparu que depuis trois !
• Oui mais les dernières années il n’était plus … ardent !
• Et vous, vous n’aviez pas d’envies ?
• Je m’y étais faite, pensant que c’était ça la vieillesse ! C’est vous qui avez réveillé mes envies !
• Je crois qu’elles sont bien réveillées vu nos exploits d’hier, y compris avec Hélène !
• Oh ! Je vous ai choqué avec elle ? Vous savez, c’est la première fois de ma vie que je fais l’amour avec une femme !
• Et je crois que vous avez aimé !
• Oui ! Mais petit cochon, vous nous avez laissé un drôle de cadeau en partant !
• C’était désagréable ?
• Non mais très surprenant et savez vous comment nous nous en sommes débarrassées ?
• Expliquez-moi !
• Nous nous sommes mises tête bêche et l’avons mangée dans nos chattes respectives !
• Et c’est moi qui suis un cochon ? Vous m’avez l’air bien vicieuses vous aussi !
• Je ne me croyais pas comme cela, c’est vous qui m’avez donné toutes ces idées !
• Et avec Hélène, vous n’y aviez jamais pensé ?
• Non, vraiment pas !
• Au fait, elle est partie ?
• Oui et elle ne peut venir se balader avec nous. Mais où allons-nous ?
• C’est une surprise !
• Mais comment s’habiller ?
• Décontractée ça ira. Prenez une serviette ou une natte pour s’asseoir, mais ne mettez pas de culotte
• Oh ! mais je n’ai pas l’habitude et puis …
• Ne vous inquiétez pas ! Vous pouvez prendre quelque chose à manger et à boire ?
• D’accord ! »
Le voyage est calme si ce n’est que je glisse de temps en temps ma main sous sa robe pour tâter sa motte épilée et sa chatte bien chaude.
Elle a un mouvement de recul à un moment croyant reconnaître quelqu’un au bord de la route.
• "Nous allons sur la côte ? dit-elle lorsque l’on traverse Tyrosse.
• Oui, nous allons à la plage !
• Mais... il y a dix ans que je n’ai pas été sur une plage ! Et je n’ai pas pris de maillot !
• Moi non plus, nous allons sur une plage naturiste, c’est ça la surprise ! Et puis il y deux jours cela faisait dix ans que vous n’aviez pas fait l’amour !
• Mais … tout de même… Vous n’y pensez pas ! A mon âge !
• Votre age ne vous empêche pas de vous envoyer en l’air avec un jeune qui apprécie vos appâts !
• Ce n’est pas pareil ! Personne ne me voit
• Moi je vous vois et je vous trouve très bien, je crois vous l’avoir montré ?
• Mais … Nue.. comme ça… au milieu des gens !!
• Vous verrez, sur une plage naturiste, il n’y a pas ces problèmes de look que l’on retrouve ailleurs. Il y a des jeunes, des vieux, des gros, des maigres, des s, mais surtout une grande liberté.
• Tout de même ! je me vois mal...
• Moi je vous y vois bien au contraire !
• Mais les gens vont se rendre compte que…. Je suis …épilée … vous savez !
• Il y a aussi des poilus, des sans poils, aucun problème. Les gens ne vous regardent pas ment. »
La conversation nous a entraînée jusqu’à proximité de la plage, une route inconnue pour elle et très tranquille, au bout de laquelle quelques voitures sont garées.
• "En cette saison – nous sommes début juin - il y a peu de monde. Nous serons tranquilles, pas de promiscuité à craindre ».
Je gare la voiture sous les arbres un peu en retrait de la route. Nous sortons les affaires, panier, serviettes et je l’entraîne par la main pour escalader la dune m’arrêtant parfois pour souffler un peu. Du haut de la dune je repère un endroit un peu éloigné de l’entrée et assez isolé. J’installe les serviettes puis je me déshabille.
Maria reste habillée, hésitant à se mettre nue, d’autant plus qu’elle n ‘a pas de culotte et donc ne pourra même pas garder un semblant de pudeur.
• "Allons, laissez vous aller ! Vous verrez, c’est très agréable. » J‘entreprends de défaire les boutons de sa robe, elle se laisse faire mollement, mais ne s’oppose pas à mon action. Elle est bientôt nue mis à part le soutien gorge qu’elle avait mis sous la robe. Se rendant compte elle même de cette incongruité, elle l’enlève seule et se couche sur la serviette, façon de se protéger des regards éventuels.
• Il faut protéger votre peau du soleil, surtout les parties sensibles, dis-je. J’ai apporté de l’écran total car votre peau blanche ne va pas supporter le soleil. »
Elle se tourne sur le ventre et je commence l’application, imprégnant bien le dos et les épaules, je ne lésine pas sur la quantité car je ne voudrais pas qu’elle ait un mauvais souvenir, je masse son corps alangui, la tête posée sur les mains croisées, je descends sur les reins et les fesses, dans un premier temps, puis je descends sur les jambes où quelques veines bleues trahissent l’age, la lotion glisse bien malgré l’absence d’épilation, je me dis qu’une séance totale sera bienvenue. J’arrive aux chevilles, puis je remonte lentement par les mollets, l’intérieur des cuisses que je fais écarter pour arriver dans la fente des fesses où j’insinue mes doigts. Elle a un petit mouvement de refus puis se relâche et écarte les cuisses. J’insiste malicieusement entre ses fesses, ce qui a pour effet de raidir ma verge. Heureusement il n’y a personne sur la plage et ma compagne est de dos. Ses fesses somptueuses ont droit à un traitement spécial afin de les protéger au maximum, mais aussi pour le plaisir de malaxer les chairs.
Toutes les parties accessibles de ce côté étant maintenant bien imprégnées, je demande à Maria de se retourner, ce qu’elle fait sans problème. Une main frôle ma queue sans le vouloir mais Maria qui doit être dans le même état, se rend compte de mon excitation et un sourire sur les lèvres elle l’empoigne au passage, pour la caresser discrètement.

Étalée sur le dos, sa lourde poitrine s’étale sur le côté de façon touchante, les seins plus blancs encore que le reste du corps ne semble jamais avoir vu le soleil, le pubis, fraîchement épilé est lui aussi particulièrement pâle.
• "Il va falloir bien enduire ça de crème » dis-je en commençant à étaler la lotion. Maria à mis ses mains derrière la tête exposant le dessous des bras lui aussi bien blanc, dans cette position, les seins remontent mais les muscles des bras et la peau flétrie trahissent son age. Je masse bien les bras, les aisselles, les seins, sur lesquels je m’attarde bien sûr, le ventre, aux muscles relâchés, montre une rondeur sympathique et confortable. Le pubis enfin, où malgré une légère crispation elle laisse aller ma main qui s’insinue dans la fente en écartant les cuisses. La séance dure plus qu’il ne faut, pour mon plaisir et visiblement aussi du sien. Le devant des cuisses et des jambes a droit lui aussi au même traitement, jusqu’au dessus des pieds dont les ongles vernis prouvent que la dame s’entretient.
Lorsque j’ai fini mon ouvrage j’annonce qu’il faudra recommencer dans une heure lorsque la peau ne sera plus protégée, en attendant je m’enduis moi-même de la lotion en insistant aussi sur les parties sensibles des fesses et du pubis, laissant ma compagne à son bien-être, je m’allonge à ses côtés, en profite pour déposer un baiser sur ses lèvres et l’enlacer.
• "Voyou ! me dit-elle, j’ai honte d’être ainsi, mais je suis aussi très excitée !
• Je vous avez dis que c’était génial !
• Génial ! C’est vrai, c’est un terme de jeune mais j’aime. Avant de vous lasser de moi, promettez moi de me faire découvrir plein de choses comme ça !
• Si vous me faites confiance, pas de problème, ce ne sera jamais pour vous avilir mais pour ouvrir des portes secrètes à votre plaisir »
Je suis couché sur le côté contre elle, et elle profite pour attr mon sexe bien bandé et me susurre à l’oreille :
• "Je crois que ce n’est pas QUE pour MON plaisir, vous aussi en profitez !
• Bien sûr, car le plaisir de l’un sert au plaisir de l’autre »
Je niche ma tête sous son bras, ou son odeur de femme chaude se mélange aux effluves de la lotion, le bras en travers de son corps, une main sur le sein qui palpite.
Une petite pause pendant laquelle nous devons somnoler et un léger mouvement me ramène à la réalité. Il y a une demi-heure que nous sommes sur la plage, et l’envie de me baigner me fait redresser pour regarder l’océan. Le flot est calme, la marée basse s’étale sur le sable. Sur la plage, pratiquement personne d’un côté et de l’autre, seul à une centaine de mètres, un groupe s’est installé, on le distingue mal.
Maria somnole toujours et je la réveille, lui précisant qu’il vaut mieux ne pas s’exposer trop du même côté.
• "Voulez-vous venir vous baigner avec moi ?
• Je n’oserais pas voyons !
• Je croyais que vous me faisiez confiance ! Venez, vous ne risquez rien ! Il n’y a personne et il n’y a pas de vagues. »
Je me lève, l’attrapant par un bras pour la soulever. Résistant un peu, elle se laisse faire malgré tout et toujours sa main dans la mienne nous marchons tranquillement vers le bord de l’eau.
• "N’est-ce pas agréable de marcher ainsi, nus sur le sable avec la brise qui nous caresse ?
• Oui ! C’est étrange comme sensation, mais très agréable !
• Vous êtes formidable ! dis-je en déposant un baiser sur ses lèvres et en l’enlaçant
• On pourrait nous voir, dit-elle en tentant de se dégager mollement.
• Personne ne nous connaît et puis, j’aime bien montrer que je suis votre amant.
• Moi aussi, mais je ne peux m’empêcher de penser malgré moi que ce n’est pas bien, vous savez j’ai des années de frustrations à rattr et puis... de mon temps...
• Je ris de l’expression ce qui la surprend
• Pourquoi riez-vous ?
• Je lui explique et nous rions ensemble »
Nous avons atteint le bord de l’eau et si le premier contact est surprenant, l’eau n’est pas trop fraîche malgré la saison. Petit à petit nous rentrons dans l’eau. Maria sursaute lorsqu’une vague vient éclabousser son pubis. La fraîcheur relative pour l’instant nous prend toute notre attention, mais une fois entrés complètement dans l’eau, le plaisir commence et nous jouons comme des s, ce qui fait rire ma compagne, elle s’accroche à mon cou et j’en profite pour la peloter, ses seins portés par l’eau sont plus arrogants, je les masse en pinçant les tétons. Maria m’embrasse fougueusement oubliant qu’elle nue au milieu de la mer et que l’on la voie s’ébattre. C’est vrai qu’il n’y a pas grand monde et que l’océan nous isole du reste de la plage. Moi aussi d’ailleurs, j’oublie que la femme avec qui je batifole à presque 70 ans. Nos jeux sont de moins en moins innocents, les mains se font insidieuses, moi dans son vagin elle sur ma verge.
• "Je ne vais pas pouvoir sortir de l’eau dans cet état lui dis-je. Ce n’est pas correct
• Vous en avez de bonnes, vous ! Vous me faites mettre nue sur une plage au milieu de tout le monde, à mon âge et vous, pour un détail, vous reculez.
• Un détail très apparent tout de même et sur une plage naturiste ce n’est pas bien vu
• Il faut alors que je vous achève dans l’eau ?
• Je préférerais autrement et puis, je ne suis pas inépuisable ! Mais si vous avez envie !! »
Tout ce dialogue irréel se passe au milieu des vagues, Maria me tenant bien en main, celle-ci s’activant sur mon sexe.
• "Ce serait mieux si vous veniez vous planter sur ma bite dis-je de manière volontairement grossière. L’eau va rendre l’opération plus facile. Mettez vos jambes autour de moi »!
Elle s’accroche à mon cou et se soulevant aisément dans l’eau, vient s’enrouler autour de mes hanches. Je guide mon sexe dans le sien et la pénètre. Au gré des flots nous copulons doucement. Moi je marche dans l’eau afin de donner du mouvement, elle, règle la cadence. Plusieurs fois nos mouvements provoquent des « sorties  intempestives » nous rions de bon cœur tout en nous embrassant avec fougue.
La fatigue et la fraîcheur relative de l’océan nous font sortir de l’eau après un bon moment. Laissant sortir ma partenaire seule, je replonge pour nager et surtout faire redescendre mon érection et revenir à une apparence moins obscène. Maria s’est assise au bord de l’eau et me regarde nager. En fait, lorsque je reviens enfin vers elle, elle m’avoue ne pas oser rejoindre notre place, seule et nue. Nous restons assis un moment face à l’océan dont parfois quelques vagues viennent lécher nos pieds. La chaleur du soleil pénètre nos corps, afin d’éviter un coup de soleil, je propose à ma compagne de revenir à nos serviettes pour remettre de la lotion.
La plage s’est un peu remplie, quelques couples ou familles se sont installés, mais ce n’est pas encore l’affluence du plein été. Je laisse Maria prendre deux ou trois pas d’avance, afin d’admirer sa croupe et son corps, qui malgré son age supporte bien la comparaison sous ce beau soleil et ses hanches qui se balancent à cause de la marche e dans le sable, sont du plus bel effet.
Elle se rend compte qu’elle est esseulée et s’arrête pour se retourner. Voyant mon regard, elle sourit et me tend la main :
• "Espèce de voyeur ! Vous n’avez pas honte ? »
Je sens que ma trique est en train de me reprendre, aussi, attrapant sa main, je pars en courant vers notre serviette. En arrivant près de notre « petit coin » nous voyons un couple qui s’est installé à une dizaine de mètres. Ils sont eux même surpris, n’ayant pas vu nos serviettes, un peu dissimulées par un repli du terrain.
Maria se couche du côté opposé au couple faisant de moi une sorte de paravent pour la cacher. La dame, qui a vu son trouble, m’interpelle :
• "Excusez-nous, nous n’avions pas vu qu’il y avait quelqu’un aussi près, lorsque nous nous sommes installés !
• Il n’y a pas de mal dis-je malgré le coup de coude de Maria dans mon dos. Nous sommes restés un moment dans l’eau qui est excellente une fois dedans.
• C’est vrai que c’est bien calme, je n’aime pas beaucoup me baigner mais mon mari va sûrement se régaler » !
Celui-ci se relève pour nous saluer
• "Nous n’avions pas vu vos affaires, sinon nous serions restés plus loin !
• Cela n’a pas d’importance pour moi, mais pour mon amie, c’est la première fois qu’elle fréquente cette plage. – un autre coup de coude de Maria
• Nous pouvons nous éloigner !
• Pas du tout ! Vous ne nous dérangez pas. En cette saison on est loin de l’affluence.
• Vous êtes un habitué ?
• J’y viens depuis une vingtaine d’années, mais pas régulièrement.
• Nous avons découvert cet endroit depuis peu, continue la dame, qui a manifestement envie de parler,. Mon mari a été muté à Bayonne, venant de la région parisienne et nous avons longtemps cherché à nous loger. Plus nous nous éloignions de Bayonne, plus l’idée de trouver quelque chose près de la côte nous est venue. Nous avons fini par trouver une maison à deux kilomètres d’ici et en nous promenant, nous avons découvert la plage.
• Vous faisiez déjà du naturisme ?
• Non ! Nous n’aimons pas le principe du camp mais ici c’est la liberté !
• Moi c’est pareil !
• En semaine je ne peux venir étant toute seule, nous venons le soir, mais le week-end nous pouvons en profiter plus longtemps.
• Ce doit être très agréable en effet de vivre ainsi, surtout en venant de la région parisienne.
• Oui, en fait, rajoute l’homme, d’autant que je mets deux fois moins de temps pour me rendre au travail et de façon plus agréable, et puis le soir quel plaisir de se retrouver en pleine nature.
• Vous êtes chanceux !
• Mais vous même, vous habitez la région, si ce n’est pas indiscret ?
• Oui, un village au centre du département des Pyrénées Atlantiques, notre chance est d’être à la fois proche de la mer comme de la montagne. »
Maria, qui est restée en dehors de la conversation est toujours couchée derrière moi, de temps en temps me tape les fesses pour me dire d’arrêter. Le petit jeu m’amuse et j’ai aussi envie de la brusquer pour qu’elle se montre aux autres.
• "Excusez-moi si je vous parais indiscrète, mais avec mon ami, nous avons 15 ans d’écart, j’ai 28 ans et lui 43, nous avons remarqué que dans votre couple il devait aussi y avoir un écart entre vous mais... dans l’autre sens... excusez moi ... madame dit-elle en essayant de s’adresser à Maria qui je le sens se contracte.
• Nous avons 18 ans d’écart dis-je et pour préciser j’ajoute, j’ai moi même 50 ans
• Vous semblez très … amoureux – pardon - il y a longtemps que … vous êtes … ensemble...
• Ma femme est très indiscrète, excusez-la.» vient interrompre l’homme en la prenant à l’épaule et l’embrassant, mais elle est jeune et n’a pas beaucoup de connaissances, ni de la vie, ni des gens d’ici. Depuis 12 ans que nous sommes ensemble elle ne sort jamais sans moi, même si je l’encourage à voir d’autres personnes.
• Ce n’est rien. » dis-je « mais pour être franc, avec mon amie cela ne fait même pas deux jours que nous nous connaissons et depuis hier matin, elle fait beaucoup d’expériences ! »
Maria m’a carrément pincé lors de ma dernière phrase, elle doit être dans tous ses états, mais la tête de nos voisins est aussi drôle à voir tant ils sont éberlués.
• "Vous fumez ? me propose la petite blonde en me montrant un paquet
• Oui merci »
Elle s’approche pour me tendre le paquet. Elle est très jolie et déjà bien bronzée.
- "Madame ! Vous en voulez une » ? Dit-elle en allant vers Maria. Celle-ci a un regard un peu affolé, mais le sourire de la blonde la décontracte. Elle saisi une cigarette et pour cela, est obligée de s’asseoir, d’autant que la jeune dame lui tend du feu. Celle-ci s’assoit à côté de nous, sans complexe afin de continuer la conversation.
• "Vous devriez mettre de la crème, Madame, dit-elle, votre peau est claire et peu habituée au soleil et elle pourrait brûler, moi même, dont la peau est maintenant habituée, je me protège toujours. J’ai une lotion très efficace dans mon sac, elle protège super bien et permet un joli bronzage. Attendez, je vais la chercher »
Sans laisser le temps à Maria de rétorquer, elle court à son sac et revient avec le flacon. C’est un spray, dit-elle, c’est très pratique. Maria se laisse faire sans rien rétorquer, comme hypnotisée par cette femme qui pourrait être sa fille et qui la commande. Comme tout à l’heure avec moi elle s’abandonne, couchée sur le ventre. La fille lui enduit le dos lentement comme une caresse, elle s’est mise à cheval sur les cuisses de Maria et s’applique dans sa tâche. Elle atteint le fessier après avoir longuement enduit les flancs et les hanches d’une manière voluptueuse. Maria est abandonnée à la caresse et je me rends compte que comme moi, son mari et très intéressé par le spectacle, sa bite, comme la mienne, ayant tendance à se redresser. Tient, tient !!
De façon à l’intégrer un peu plus, je lui propose de se rapprocher de nous, ce dont il ne se fait pas prier. Nous sommes donc tous les deux en contemplation et mon compagnon, maintenant qu’il est proche, s’adresse à sa femme.
• "Chérie ! Enduit bien l’intérieur des cuisses et derrière les genoux c’est très sensible ! »
Maria tourne la tête en entendant la voix si proche, elle nous trouve les trois autour d’elle et ne peut réprimer un haut le corps
• "Mais voyons, arrêtez ! Je suis vieille et grosse ! laissez-moi !
• Mais non ! Ne croyez pas çà ! répond la fille, je vous trouve très bien
• Moi aussi. Rajoute son mari, je crois que nous sommes trois à vous apprécier ! »
Maria ne sais plus quoi faire ni quoi dire, les caresses sur son corps, la douce chaleur du soleil et peut-être l’humidité de son sexe la mettent dans un état réceptif qui la fait s’abandonner.
• "Retournez-vous, lui demande la fille, je vais enduire aussi le devant. »
Maria se retourne sur le dos et par un dernier réflexe du pudeur, met un bras sur ses yeux, la fille, s’est installée non plus à cheval mais à genoux entre les cuisses ce qui a pour effet de faire écarter les jambes de Maria qui nous dévoile ainsi son entrejambe totalement épilé.
• "Valérie chérie, dit l’homme, dévoilant ainsi le prénom de sa compagne, mets-en bien sur les seins, qui n’ont pas l’habitude du soleil »
Le conseil est superflu car Valérie s’acquitte fort bien de sa tâche semblant y prendre plaisir, elle descend sur le ventre puis le pubis, rajoutant chaque fois de la lotion. Le centre du corps de Maria est maintenant l’objet de toutes ses attentions, elle insiste bien dans le creux de l’aine, descend entre les globes fessiers puis revient vers la fente ou elle immisce ses doigts, dévoyant un peu sa mission pour carrément donner des caresses sur le clito et dans la fente. Une branlette que Maria ne refuse pas et même apprécie vu la poitrine qui se soulève et les soupirs qui s’échappent de ses lèvres. La douce caresse se prolonge un bon moment, jetant un œil vers mon voisin je vois sa tige bien dressée par la vision de sa femme branlant la mienne. Je lui fais signe de s’approcher doucement puis prenant sa main, je la guide dans la vulve de Maria afin de remplacer en douceur la main de Valérie. Celle-ci s’écarte mais reste entre les jambes de Maria qui ne s’est rendu compte de rien. La chose se présentant bien, je glisse ma main sous les fesses de Valérie pour lui rendre la caresse que son homme fait à Maria. Elle facilite le passage et je trouve un antre bien chaud et bien humide preuve de l’effet produit sur elle par les caresses qu’elle a prodiguées.
Je jette tout de même un œil alentour afin de m’assurer que personne ne nous observe, mais les groupes sont loin et ne s’occupent pas de nous. Dans nos positions respectives les visages de Valérie et de son homme – dont j’ignore encore le nom – sont proches et celui-ci en profite pour l’embrasser, peut-être pour l’assurer de son attention malgré la caresse dispensée à Maria. Valérie, dont la main est libre, en profite pour agripper le sexe de son homme pour le branlocher. Décidément ce couple n’a pas froid aux yeux et çà me plais ! La surprise est totale lorsque la jeune vicieuse att mon poignet et pose ma main libre sur la tige de son homme. Je ne me fais pas prier pour branler l’homme et même malaxer ses couilles. L’homme se laisse faire et continue son office dans le con de Maria. Nous sommes ainsi reliés par nos sexes, car La vicieuse Valérie à attrapé le mien après avoir lâché son homme. Si cela continue, cela va dégénérer en partouze, or ce n’est tout de même pas le lieu.
• "Nous ne pouvons continuer ainsi dis-je à mes compagnons.
• C’est vrai répond l’homme dont je tiens la bite sans connaître le nom, nous allons nous baigner et après, si vous le voulez, nous pouvons aller chez nous ! »
Maria a ouvert les yeux et nous voit autour d’elle et surtout voit la main qui fouille son sexe et se rend compte que ce n’est plus celle de la femme mais celle de l’homme ? Par réflexe elle pose la sienne dessus mais se ravise et laisse faire. Décidément très coopérative pour ce qui concerne la découverte de nouveaux plaisirs. Elle découvre aussi ma main sur le sexe de l’homme, a l’air étonnée mais ne manifeste aucune réprobation, il faut dire que elle aussi apprécie les amours homosexuelles.
L‘attitude de notre groupe peut tout de même paraître curieuse aussi, à regrets, nous reprenons des positions plus normales et lorsque nos sexes – je parle pour les hommes – reprennent des proportions plus convenables pour arpenter la plage. Nous en profitons pour faire connaissance, en riant je touche la main de mon compagnon – après lui avoir touché le sexe – c’est assez marrant d’y penser !
• « Je m’appelle Jeremy me dit mon compagnon, Valérie, ma compagne depuis 12ans
• Moi c’est Jean et voilà Maria ma compagne depuis…, je regarde l’heure, depuis 28 heures !
• Eh bien vous ne perdez pas de temps ! Réplique-t-il.
• Les événements se sont enchaînés assez vite en effet, il faut dire que Maria est particulièrement réceptive. Ne trouvez vous pas qu’elle a beaucoup de charme ?
• Mais si, justement avec Valérie, lorsque vous reveniez tout à l’heure, nous faisions la réflexion que cette femme, malgré son age – pardon Maria – disons d’un age supérieur au notre, enfin surtout au mien, bref, nous la trouvions très belle et ce qui nous a frappé c’est son pubis rasé, ce qui est rare chez les... bon je vais encore me planter !
• C’est moi qui l’aie rasée hier matin, à sa demande, car elle trouvait que sur moi c’était bien.
• Vous aussi vous vous rasez ?
• Oui le sexe, les testicules et même les fesses. J’aime bien sentir cette douceur et mes ami(e)s aussi. » Le terme est suffisamment bisexué pour laisser planer un doute.
• « Vous aimez ? demande Valérie à Maria toujours un peu en retrait.
• Je me trouve encore plus « nue » comme cela, mais au point ou j’en suis … j’adore ! depuis hier je ratt vingt ans ou plus de retard et à mon âge dit-elle en clignant de l’œil, montrant qu’elle ne tient pas rigueur à nos nouveaux amis, je n’ai plus de temps à perdre ! »
Nous rions de bon cœur de l’enthousiasme de notre amie qui au moins se lâche complètement. La saisissant chacun par un bras, nous l’entraînons vers l’eau afin de nous rafraîchir avant de quitter la plage. Main dans la main tous les quatre, les deux femmes au milieu, nous marchons vers l’océan, groupe sûrement singulier où Jérémy tient la main de Maria qui tient Valérie qui me tient. Bien malin celui qui reconstiait les couples à ce moment là !
L’eau vivifiante est toujours aussi agréable et notre quatuor s’amuse un petit moment, il semble que les deux femmes qui ont pourtant 40 ans d’écart, soient très complices ! Dans l’eau la différence se gomme sûrement même si le visage buriné et pâle de Maria contraste avec celui bien lisse et bronzé de Valérie. Laissant les femmes batifoler, je m’éloigne pour nager et plonger un peu, j’en profite pour conseiller Jérémy qui ne connaît pas les dangers des plages landaises et de ses trop fameuses « baïnes ». Les plages naturistes ne sont pas surveillées, il faut donc faire attention. Trouvant un bout de liège qui flotte, je le lance à quelques mètres devant nous et lui demande d’observer.
• "Nous sommes à la fin de la marée montante, c’est le moment le plus dangereux, regarde le bouchon ! Il s’éloigne vers le large et à notre droite assez rapidement. Dans ce cas, il ne faut surtout pas lutter, dis-je, le courant tire vers le large et il n’y a rien à faire, il faut se laisser porter, cela va jusqu’à 300 m du bord ou plus et il va faire une boucle qui va le ramener vers la plage, à ce moment là on peut rentrer.
• J’avais entendu parler de risques mais je ne savais pas ce qu’il y avait.
• Beaucoup se font surprendre, surtout avec une mer calme comme là, d’ailleurs, revenons au bord. Tu vois c’est un peu dur, pars en travers, suis moi ! »
Nous revoilà avec les femmes qui sont restées au bord dans les vagues et s’amusent bien. Nous décidons de sortir afin de nous sécher avant de quitter la plage. Nous quittons la plage et arrivés aux voitures nous constatons qu’elles se trouvent à côté l’une de l’autre, coïncidence !
La voiture de nos – nouveaux – amis est une sorte de buggy et je vois que les quatre pneus qui sont à plat !
• "Ce n’est rien dit Jeremy ! j’ai bricolé la voiture pour que les roues se dégonflent et il faut la redémarrer pour regonfler. Comme les roues sont verrouillées on ne peut pas me la voler !
• Et si on la démarre ?
• C’est protégé par un code vraiment tordu. En fait, je suis ingénieur en aéronautique et j’aime bien bricoler. L’avantage ici c’est que j’ai une super voiture pour la plage et je suis tranquille. »
Les femmes décident de partir ensemble avec la voiture de Maria et nous prenons le buggy. En fait c’est un 4X4 avec des gros pneus sable basse pression, on peut passer partout.
• "Mais c’est interdit !
• Je connais les gardes avec qui je sors en forêt, je les ai dépannés et ils m’ont donné les itinéraires autorisés, je ne vais sur les dunes ou la plage qu’avec eux quand ils ont besoin. J’ai effectué aussi des reconnaissances avec les pompiers pour les zones qu’ils ne peuvent atteindre avec leurs engins »
Le petit véhicule est très bien fini avec des sièges baquets de bonnes ceintures type rallye, et un arceau le tout dans une couleur grenat et des touches de beige clair du plus bel effet. Nous coupons par la forêt pour profiter du véhicule. Jeremy pilote bien et la balade est super. Nous arrivons par ce moyen, avant les femmes qui d’ailleurs se sont arrêtées en route pour faire des courses. Notre hôte me fait faire le tour de leur maison. A l’arrivée des femmes, Valérie déclare :
-« Nous passons à la douche ! Prenez un verre en attendant ! »
La propriété est agréable avec un parc planté de pins, une bonne surface qui permet l’isolement et elle a été arrangée avec goût par le propriétaire
• « Nous voudrions l’acheter, mais le propriétaire ne veut pas s’en séparer, même s’il ne vient jamais. Nous ne l’avons jamais vu, tout s’est passé par agence.
• C’est vrai que si vous restez par ici cela vaudrait le coup d’acheter surtout placée comme elle est, mais ce ne doit pas être donné !
• Vu le loyer je ne sais pas s’il demanderait beaucoup et puis j’ai quelques moyens, j’espère qu’il se laissera convaincre et pour nous ce serait aussi un placement. »
Après avoir fait le tour, ainsi que l’aménagement intérieur, en passant devant la salle d’eau nous avons entendu du bruit et avons laissé les dames à leurs ablutions avec un sourire complice, nous nous installons dans le grand living , face à la baie qui éclaire la pièce au sol en terre cuite. La vieille grange landaise a beaucoup de charme. Jeremy nous sert de la bière bien fraîche et nous discutons tranquillement en attendant les femmes.
Elles arrivent au bout d’un moment, nues, se tenant par la main et se présentent devant nous. Jeremy, le premier, se rend compte que sa femme s’est épilée totalement !
• « Je voulais faire comme Maria, dit celle-ci, comment trouvez-vous ?
• C’est très joli dis-je, mais je vois que vous avez supprimé aussi la petite touffe Maria !
• Oui, finalement je préfère ainsi me dit-elle vous aimez ?
• Oui beaucoup !
• En roulant, j’ai demandé à Maria si elle voulait bien m’épiler aussi, c’est vrai que ma main sous sa jupe trouvait cela très agréable !
• Si je comprends bien, vous vous êtes bien excitées toutes les deux rétorque son homme.
• Nous avons acheté le nécessaire et… même plus ! dit-elle avec un sourire. Et Maria, une fois qu’elle a eu fini de me raser, pour me féliciter, m’a fait un superbe cuni sur mon bouton sans poils, je ne lui connaissais pas ce savoir !
• Elle a appris hier, dis-je malicieusement, avec une amie ! »
Nos hôtes en restent babas ! Valérie vient s’asseoir sur les genoux de son homme et en l’embrassant lui dit qu’il est temps que nous passions aussi sous la douche.
• « Ne faites pas de bêtises, les hommes ! Nous avons besoin de vous ! »
En passant près de Maria je l’enlace et l’embrasse tout en passant la main entre ses cuisses glabres. « Je vous trouve super ! » dis-je. Elle me retient un peu me glissant au passage :
• « c’est vous qui me faites faire des folies ! A mon âge !
• Vous faites une grand-mère très délurée et je crois que beaucoup aimeraient être comme vous ! »
Nous passons à la douche pour nous savonner. La salle d’eau est grande et comporte une douche et une baignoire. Jeremy me laisse la première. Alors que je me rince, il me demande :
• « que penses-tu si je me rasais moi aussi comme toi ?
• Moi j’aime, il faut l’entretenir chaque jour comme la barbe mais c’est très agréable
• Tu peux me montrer comment faire ? »
Prenant le rasoir laissé par les femmes, je me le passe, même si je n’ai pas trop besoin, pour montrer comment je procède
• « Tu doit tailler d’abord les poils les plus longs avant de passer le rasoir »
Nous-nous affairons chacun de notre côté. Lorsqu’il a fini son ouvrage, je lui passe le rasoir et le regarde faire. L’effet de ma manipulation et le spectacle que m’offre Jeremy, provoque une érection que remarque mon compagnon, il faut dire que lui aussi à une belle trique. Je lui passe le rasoir tout en me séchant et j’admire sa musculature fini et son corps déjà bronzé.
• « Je ne sais pas si c’est bon me dit-il, ce n’est pas évident ! »
Je m’approche de lui pour vérifier son travail, je le fais tourner, en écartant les fesses, je vois quelques poils qui y sont encore. Avec le rasoir, je fignole le travail le faisant pencher en avant et écartant lui-même ses fesses Par dessous je vois que la situation lui procure une belle érection, car montrer ainsi son trou à un –presque- inconnu, par jeu, je m’attarde sur son entre-fesses qui est ainsi bien dégagé, je me retiens de ne pas y mettre le doigt ou la langue, persuadé que Jeremy ne s’y opposerait pas mais ne voulant pas brusquer les choses. Je termine mon « travail » et lui demande de se retourner. J’att ses testicules pour les soulever et finir mon ouvrage, Jeremy se laisse faire, ses bourses sont bien lisses et j’enlève quelques poils restés sur le scrotum, puis je prends son sexe en main et le caresse un peu, Jeremy se laisse faire et a l’air d’apprécier, j’approche alors mon visage et gobe son sexe pour le sucer avec délectation. Jeremy pose une main sur ma tête, m’encourageant de la sorte à continuer la pipe dont je le gratifie. Je le pompe, avalant complètement le chibre ou léchant le gland tout en massant les bourses lisses. J’arrête tout de même mon action pour ne pas le vider, selon les désirs de Valérie. Je me redresse tout en passant la main sur les bourses et le sexe. Jeremy est cabré, encore en attente de caresses. Je m’approche de son visage pour l’embrasser et sans hésitation il me rend mon baiser. Ouvrant les yeux, il me sourit attrapant ma bite pour la caresser.
• « Ces dames ont demandé de rester sage et d’en garder dis-je
• Laisse-moi te sucer, moi aussi, j’ai envie !
• Tu l’as déjà fait ?
• Non, mais j’ai envie ! »
Il se glisse à genoux et entreprend de me rendre ma caresse. Il s’en sort très bien, il faut dire qu’un mec sait ce qu’il faut faire à une bite. Je le laisse faire d’autant plus que j’y prends plaisir. Il ne se contente pas de me bouffer la queue et de malaxer les couilles mais il pince aussi un téton et caresse mon torse. Le bougre est doué, aussi je lui rends la pareille en pinçant ses tétons qui paraissent sensibles. Notre jeu dure un petit moment puis je relève Jeremy et nous échangeons un baiser profond, nos queues se frottant l’une à l’autre. Nous sommes bien excités, mais nous arrêtons tout de même pour retourner vers nos femmes qui doivent trouver le temps long.
En arrivant au living, comme par provocation, Jeremy prend ma main et nous nous présentons aux dames, bien au garde à vous ! Celles-ci, pas vraiment inquiètes de notre absence, sont étalées sur le canapé et se font des langues tout en se caressant. En nous découvrant, elles ont un sourire ravi.
• « Vous voyez, les hommes, que l’on peut aussi se passer de vous !
• Mais pour nous c’est pareil, dit Jeremy tout en attrapant mon sexe bandé et devant les femmes médusées, il s’agenouille et reprend la pipe entamée
• Vous voyez que nous savons nous débrouiller, dis-je, mais approchez donc ! »
Les deux femmes viennent se joindre à Jeremy, Valérie m’embrasse tout en caressant la tête de son homme, qui levant les yeux vers elle, la fixe intensément, sans lâcher le sexe dans sa bouche. Maria att mon téton gauche entre ses lèvres et elle aussi caresse la tête de Jeremy pour approuver son geste. Une autre idée germe dans son esprit et elle m’abandonne à Valérie pour se glisser entre les jambes de Jeremy afin de le sucer.
La situation et les caresses m’excitent tellement que je crains de ne pas tenir longtemps. Je profite d’un moment ou Jeremy me lâche pour prendre Valérie par la taille et la retourner à genoux, le buste et la tête sur le canapé. Agenouillé entre ses cuisses, je me guide en elle et la pénètre sans grande difficulté tellement elle est mouillée. Voyant le tableau, Jeremy att Maria par les épaules et la positionne à côté de sa femme. Nous voilà tous les deux, baisant la « femme » de l’autre ! Celles-ci ne tardent pas à coller leurs lèvres et se caresser comme elles le peuvent. Nous-nous regardons entre hommes en souriant. Jeremy, me colle la main aux fesses, glissant un doigt pour titiller mon anus. J’en fait de même et mon compagnon ne tarde pas à jouir au fond du vagin de ma compagne. Je prends mon temps pour limer Valérie dont le corps parfait, les hanches larges sur une taille de guêpe, sont un plaisir des yeux autant que du corps. Je me vide en elle alors que Jeremy, couché sur Maria lui embrasse la nuque tout en la caressant.
Nous-nous retrouvons les quatre, assis contre le canapé, pour récupérer après cette débauche.
• « Mes salauds ! Déclare Valérie, vous me faites de beaux petits pédés !
• D’abord, nous ne sommes pas pédés et nous l’avons prouvé, mais toute forme de plaisir est bonne à explorer et vous même, vous ne vous êtes pas privées de vous gouiner !
• Un à un ! Rigole Jeremy après la réponse, nous faisons un beau quatuor de vicieux !
• Pour ma part conclu Maria, je dois dire que en moins de deux jours j’explose tous mes principes et découvre des plaisirs inouïs ! Rendez vous compte, j’ai subi un lavement, je me suis faite sodomiser, j’ai baisé avec une femme, à trois, maintenant à quatre et tout ça à soixante huit ans, après une vie rangée et fidèle ! Il ne me reste plus qu’à recevoir une fessée ou que sais-je encore !
• Cela pourrait arriver aussi dis-je en riant, tout en la serrant dans mon bras et l’embrassant.»
Après avoir « reconstitué » les couples « légitimes », enlacés et heureux, nous partageons la « cigarette après l’amour », nous restons ainsi et je relate à nos amis les dernières vingt quatre heures, mais aussi les premières de notre couple !
• « En fait, ma chère Maria, c’est vous qui l’avez dragué ce « petit jeune »
• Disons que j’ai provoqué son action, même si j’ai failli arrêter. Mais je ne regrette pas de m’être abandonnée.
• Il faut tout de même que je précise une chose dis-je. En fait l’article que soit-disant je devais écrire, n’était qu’un prétexte pour approcher Maria. Je l’avais remarquée quelques temps avant et m’étais dis qu’il fallait essayer quelque chose.
• Oh ! Voyou ! s’écrie ma voisine, vous prétendez que c’est vous qui m’avez draguée ?
Valérie est très intéressée par l’épisode des lavements. Je lui explique qu’il ne faut pas r de ce genre de pratiques afin de laisser la flore intestinale se reconsti normalement. En rougissant elle déclare qu’elle a envie d’essayer, mais n’ose pas. Maria lui dit que c’est une sensation super (elle prend des expressions de jeune petit à petit) et qu’elle devrait essayer.
• « Devant vous ça me gêne !
• Cela fait partie du plaisir répond Maria, moi aussi j’étais affreusement confuse quand Jean me l’a demandé et lorsque j’ai déféqué
• - Oh ! - c’est comme ça que l’on dit proprement – c’est le cas de le dire- nous rions de bon cœur ! Mais en même temps ça m’a excitée ! Et lorsque Jean a fait de même j’avais une impression de puissance !
• J’aurais aimé, lui dis-je que vous vous mettiez dans la peau d’une dominatrice !
• C’est vrai ?
• Oui bien sûr, j’aimerais être votre esclave ! quand vous m’avez uriné dessus, j’étais très excité !
• Ca c’est une déclaration ! Dit en riant Jeremy, Maria, vous savez ce qui vous reste à faire !
• Ne riez pas mon cher ! Vous allez y passer aussi, espèce de petit pédé, je vais vous apprendre ! Pour commencer, vous allez venir nettoyer avec votre langue, ce que vous m’avez mis dans le vagin !
• Allons, Chéri, fais ce que te demande Maria et toi Jean, viens ici me faire la même chose et comme j’ai envie de faire pipi, tu vas être servi ! »
Nous voilà à genoux entre les cuisses de nos partenaires, léchant et avalant cyprine et sperme contenus dans le vagin. Valérie, comme sûrement Maria avec Jeremy, appuie fort sur ma tête afin que je ne laisse rien perdre, j’ai le sentiment que ces dames ont trouvé un ustensile en notre personne, plus agréable que le bidet ou la douche. Comme elle me l’avait dit, Valérie se relâche soudain et je sens son urine envahir ma bouche, je ne peux rien faire d’autre que d’avaler le liquide chaud en évitant d’en laisser tomber. Absorbé par ma tâche, la tête prisonnière des superbes cuisses de Valérie, je ne vois pas venir Maria derrière moi. C’est au moment ou elle saisi mes poignets pour les rabattre en arrière que je prends conscience qu’elle a retenu ma déclaration de tout à l’heure ! Elle m’attache les mains dans le dos, fait un tour de ma taille, puis me faisant redresser elle fixe le cordon derrière mes testicules à la base du sexe. Ainsi emprisonné elle m’assoit sur le canapé. Valérie, confirmant ainsi que les femmes s’étaient concertées, opère de la même manière avec son mari, qui comme moi se laisse faire et se retrouve attaché assit sur le canapé. Ses jambes sont attachées par les chevilles et reliées aux miennes. Nous sommes bloqués et solidaires !
Face à nous les deux femmes rigolent, pour nous exciter, sachant que l’on ne peut se toucher ni s’approcher, elles s’embrassent, se caressent, riant de leur audace et de notre dépendance. Elles quittent la pièce, nous abandonnant à notre sort.
Pendant quelques minutes, nous ne disons rien et ne nous regardons même pas, puis, tournant la tête je découvre la posture de Jeremy et devine ce que doit être la mienne. Après un quart d’heure environ, qui semble une éternité, les femmes reviennent, habillées et maquillées.
• « Nous allons vous laisser quelques temps, mes chéris, déclare Valérie toute excitée, nous allons faire des courses. Pour que vous restiez sages, nous vous avons attachés, je crois d’ailleurs que ce petit jeu vous plaît. Sachez aussi que nous ne voyons pas d’inconvénient à inverser les rôles, mais pour l’instant ce sera nous les « Maîtresses » Vous allez souffrir un peu car mon petit mari a une collection de DVD cochons. Je vais en mettre un particulièrement chaud qui va tourner en boucle, et comme vous ne pouvez vous toucher et que vous êtes un peu « serrés » à la base, plus vous banderez, plus vous souffrirez ! Nous n’allons pas nous presser pour que vous en « profitiez » bien et au cas où vous fermeriez les yeux, je vais mettre le son bien fort. 
• Et puis, qui sait, peut-être ferons nous une bonne rencontre rajoute Maria espiègle et l’œil bien allumé !
• Nous prenons, ton beau buggy pour draguer renchéri Valérie !»
Sur cette déclaration, les femmes, viennent tour à tour nous embrasser les deux, en profitent pour tâter notre sexe bien dur, histoire d’en rajouter, puis s’en vont main dans la main, riant aux éclats, nous laissant nus, ligotés l’un contre l’autre, face à l’écran projetant le film X avec les cris des femelles et les grognements des mâles, rien ne peut nous échapper. Le problème est que l’un comme l’autre nous bandons comme des fous dans nos liens. Les images à l’écran qui montrent une gigantesque orgie de corps de femmes et d’hommes dans des positions et des situations extrêmement chaudes impossible de se branler pour se soulager, cela devient très dur ! Jeremy de dit :
• “ C’est dingue! J’en peux plus, j’ai mal de ne pas jouir !
• Moi c’est pareil ! en plus être comme ça, cela a tendance à m’exciter encore plus !
• Moi idem ! il faut qu’on trouve quelque chose !
• Oui mes « elles » ne seront pas contentes !
• Tu as vraiment la tendance maso
• D’être comme çà oui je crois, et toi t’aimes pas ?
• Au début non, je me suis laissé faire pour être comme toi, mais c’est vrai que malgré tout j’aime assez ! Moi aussi, ça m’excite d’être à leur merci.
• J’ai une idée ! dis-je »

Je réussi à m’écarter un peu de lui et plonge la tête la première sur sa bite pour le sucer. Son sexe est bien dur et ses testicules gonflés par les liens, remontent sur la tige, je les happe dans la bouche lui apportant un surcroît de plaisir. Jeremy de laisse aller en arrière et gémit, appréciant la caresse de mes lèvres et ma langue. Les liens retiennent le flot de sperme en enserrant la base du pénis, puis, d’un coup, alors que Jeremy gueule sa jouissance, son sperme envahit ma gorge alors que ses bourses tressautent. Il expulse une bonne quantité que j’ai du mal à absorber, en le gardant à la fin dans ma bouche.
En me contorsionnant je me redresse et m’approchant de sa bouche je lui rends une partie du sperme dont il m’a arrosé.
Nous sommes tous les deux en nage de tant d’efforts mais moi je suis toujours ô combien en érection douloureuse. Mon compagnon, après quelques instants de repos, me remercie et décide de me rendre la pareille. Il se penche sur mon ventre et avale ma verge et entreprend de me pomper. Je vois ses joues se creuser afin d’aspirer mon jus. Il faut dire que plus ça va depuis deux jours, moins mes glandes arrivent à fournir, néanmoins, mon partenaire se donne à fond à son ouvrage et ses efforts son récompensés par l’émission d’une petite quantité de sperme – par rapport à la sienne- mais accompagnée d’une jouissance extrême pour moi avec l’impression de m’arracher l’intérieur des couilles.
Nos efforts ont eu au moins pour effet de calmer nos ardeurs et au moins momentanément nos sexes sont rétractés et moins douloureux.
• «  Dis-donc, mon salaud ! me dit Jeremy, tu aimes la bite toi !
• Pourquoi ? tu n’aimes pas toi ?
• Si mais je n’aurais pas cru que on se sucerait comme ça, j’ai eu souvent des fantasmes avec des mecs je ne pensais pas un jour passer à l’acte.
• Moi j’ai toujours été bisexuel, j’ai longtemps mis de côté cet aspect mais en fait ma première expérience, je l’ai faite avec un mec.
• Ah bon ? Et comment ça ?
• Il y a bien longtemps, avec mon cousin vers les douze, treize ans, en découvrant nos corps
• Génial et tu as quand même aimé des femmes ?
• Après oui exclusivement, mon cousin, lui, est resté homo.
• Et vous n’avez jamais recommencé ?
• Non même si aujourd’hui je me dis que j’essayerais bien avec lui.
• Et... vous avez ... tout fait ?
• Tu veux dire s’enculer ?
• Oui
• Non, on n’a pas été jusque là on se suçait, se caressait, c’est tout.
• Et depuis t’as eu des expériences avec de mecs ?
• En fait je suis assez, pour tenter des expériences, mis à part la violence, j’ai donc eu quelques expériences homo dont trois complètes.
• Qu’est-ce que tu appelles complète ?
• Qui fini par une pénétration de l’un, de l’autre ou des deux
• Eh bien ! tu m’en fais un sacré mec toi !
• Ca te dérange ?
• Non, non, et alors ?
• Je crois que ça dépend du mec, pour le reste, enculer un mec ou une femme c’est pareil, sauf que tu as en plus une bite sous la main, pour ce qui est de se faire enculer, j’ai trouvé agréable, soit de face soit en levrette.
• Et tu as joui ?
• Oui mais pas seulement d’être enculé, de la branlette qui l’accompagnait.
• Et ensuite ?
• Ça te donne comme l’envie de chier mais ça passe. Mais toutes ces questions, c’est parce que tu as envie d’essayer ?
• Je... crois oui.. avec toi je crois que je pourrais !
• Devant les femmes ?
• Je sais pas, pourquoi pas, elles ne se gênent pas, elles !
• Tu crois que ça les dégoûteraient ?
• Ma femme je ne crois pas, il y a longtemps qu’elle me promet de m’enfiler, mais la tienne...
• La mienne, c’est un grand mot ! Mais vu ce qu’elle accepte depuis hier… et puis, à son âge »
L’inconvénient de notre conversation c’est que la trique nous a repris, la vue sur l’écran d’un black avec une bite énorme se faisant sucer par deux blondes, n’arrange rien. L’avantage de la situation, c’est que lorsque nos femmes rentrent et nous retrouvent nus, ligotés et en érection, elles pensent que nous sommes ainsi depuis leur départ.
• « Mes chéris ! clame Maria, toute guillerette, comme vous êtes mignons ainsi ! Nous avons fait des emplettes dont vous serez surpris ! Son œil allumé, présage des suites sûrement délectables, mais pour qui ? Depuis sa «renaissance à la vie » comme elle dit, notre mamie est déchaînée !
• Nous n’avons acheté que l’indispensable, pour le reste nous aurons besoin de vous … et surtout de vos portefeuilles rigole Valérie. Mais vous êtes dans un drôle d’état ! »
Sur ce elle se retourne face à son homme, relève sa jupe sous laquelle elle ne porte rien et vient s’empaler sur le sexe gonflé et tendu. Maria, qui ne veut rien perdre en fait de même et vient se pénétrer sur le mien. Les deux furies nous chevauchent, s’astiquant frénétiquement le bouton afin de multiplier leur jouissance. Les liens maintenant me cisaillent et me font souffrir et lorsque Maria se relève je suis soulagé. Elle vient m’embrasser en me disant :
• «Je vous détache mon chéri, au moins en partie, ajoute-elle perverse. En effet, si elle défait mes chevilles et mes poignets, l’attache de mon sexe reste en place, ou plutôt, le cordon est remplacé par un petit collier en cuir serré derrière les testicules et reliés à une laisse qui pend devant moi, symbole de ma condition. Bien entendu mon compagnon subit le même sort avec une variante tout de même car son collier à lui est mis autour du cou.
• Allons nous promener ! dit Maria. Devant notre stupeur, elle rajoute, rassurez-vous, seulement dans le jardin. Elle m’entraîne, me tenant en laisse derrière elle, lorsqu’elle prend au passage un badine posée à l’entrée je me dis que ces dames ont fait des achats bien curieux et qu’il va nous en cuire !
• Maria chérie, dit Valérie, je te confie mon esclave, je dois prendre quelque chose !
« Esclave !» Voilà le mot lancé, qui confirme notre situation. Je vois à la verge de mon compagnon qui est bien raide prouvant le plaisir qu’il a à se soumettre à nos deux maîtresses ! Ma verge, elle, tenue dans son collier, est aussi bien tendue, les bourses rougies par leur « enserrement ». Sans nous être consultés, et sans ordres précis, nous avons aussitôt adopté une attitude soumise, la tête basse.
Ses deux esclaves en laisse et nus derrière elle, Maria sort dans le jardin et se dirige vers le fond, entre deux arbres à l’ombre propice. Elle s’assoit le dos contre un arbre
• « A genoux ! Nous intime-t-elle. Toi bâtard, dit-elle à Jeremy, viens ici me lécher. Ce faisant elle tire sur la laisse et amène la tête de mon compagnon entre ses cuisses. Il se glisse sous la robe. La tête disparaît sous le tissu. Jeremy se retrouve ainsi les fesses exposées à l’air, Maria qui n’a pas lâché la badine, la promène d’abord sur les fesses et dans la raie, je vois Jeremy frissonner, puis d’un coup se raidir quand le coup tombe sur sa fesse, laissant une trace rouge en travers de celle-ci.
• Allons ! fais un effort ! Ou il va t’en cuire ! Un coup de badine supplémentaire confirme la volonté de notre maîtresse. Le coup n’est pas très fort – enfin, je le suppose- c’est plutôt sa signification qui est douloureuse. Pour ma part, je sais que, après mon compagnon, je devrais sûrement subir les sévices de Maria … ou de Valérie
Me tirant par la laisse, Maria me fait approcher d’elle, elle soupèse mes bourses et tâte ma queue.
• « Mon chéri ! Je vois que vous êtes en de bonne disposition et que ce spectacle vous met en forme, alors cette chienne qui est en train de me bouffer la moule, vous allez la prendre comme elle le mérite
• Vous voulez que …
• Oui mon chéri, vous allez baiser cette femelle
• Mais...
• Mais quoi ? je vous rappelle, que maintenant, c’est moi qui commande et vous êtes à mon service !
• Bien … Maîtresse !
• Voilà qui est mieux, allons, au travail ! Vous allez bien lui graisser le trou avec votre langue et le préparer avec les doigts !»
Je passe derrière Jeremy et à genoux j’écarte ses fesses, et je fourre ma langue sur l’anus de mon ami, je salive son entrée et enfile l’extrémité de ma langue dans le trou qui s’ouvre. Jeremy s’agite un peu ce qui lui vaut un coup de badine dont je sens le sifflement et la claque tout à côté de ma tête. Je continue d’envoyer plein de salive puis me redressant, j’enfonce un doigt dans l’anus, en tournant ma main, puis un second pénètre l’antre secret de Jeremy qui se détend. Je tourne bien mes doigts pour écarter les sphincters. Alors que je me prépare à le pénétrer, Maria me demande de passer ma laisse entre les jambes de Jeremy, elle l’att et peut ainsi commander mes mouvements. Cette diablesse a de l’imagination ! Je présente mon gland face au trou de Jeremy et force le passage secret. Sans trop de difficultés, je pénètre entièrement au fond de son trou puis commence, guidé par la laisse qui enserre mes testicules, d’aller et venir dans le cul de Jeremy. Après quelques va et vient, Maria tire la laisse pour me bloquer au fond. C’est alors que je sens derrière moi, une main qui se pose sur mes fesses. Je vois Valérie qui s’est approchée et qui me caresse comme je l’ai fais précédemment à Jeremy. Elle m’appuie ensuite sur la nuque pour me coucher sur le dos de son mari. Je sens alors quelque chose appuyer sur ma rosette. Cette chose souple et dure force le passage entre mes fesses, et la préparation effectuée par Valérie porte ses fruits car je me sens très vite pénétré par ce qui ressemble à un membre. Je suis donc sodomisé et à la fois je sodomise Jeremy. Maria a lâché la laisse et c’est au rythme des pénétrations de Valérie que je pénètre son amant. Celui-ci grogne sous la robe de Maria et sous les coups de ma verge. Moi même, sollicité par Valérie qui plante ses ongles dans mes fesses mélangeant la douleur et le plaisir que je sens monter dans mes reins. Jeremy a attrapé sa bite qu’il branle au rythme des pénétrations, Maria qui s’en rend compte, claque ses fesses à coup de badine. Il n’en a cure et continue de s’astiquer et dans un râle déverse sa semence blanchâtre sur l’herbe. Maria, frustrée, qui comptait peut être profiter de la bite de mon ami, abat rapidement la badine pour une volée qui zèbre la chair du postérieur ; Les soubresauts de Jeremy, la tête toujours enfouie entre les cuisses de Maria, ou l’esprit de domination, provoquent la jouissance de la femme qui bloque la tête de son suceur sous la robe, la plaquant fortement contre sa chatte.
Ma jouissance suit celle de mes compagnons même si je ne lâche plus grand chose, mais, entre mon sexe, serré par les muscles culiers de Jeremy et le « ramonage » de Valérie, j’ai l’impression de me vider complètement. Je me retire de Jeremy et Valérie me libère. Je me rends compte alors qu’elle est équipé d’un gode ceinture, fixé autour de sa taille. Celui-ci, d’une bonne taille représente très fidèlement un sexe, m’avisant de ses dimensions, je me dis que mon cul doit être bien dilaté !
Valérie rigole du tour qu’elle nous a joué. Elle est aussi comique avec son gode qui relève sur le devant la robe de plage
• « Bien, messieurs, votre moment de soumission est terminé ! Je crois que l’on vous a bien eus ! –c’est le cas de le dire, n’est ce pas Jean ? J’ai l’impression que vous avez tout de même apprécié espèce de petits pédés !
• Ce que vous ne savez pas c’est que en vous attendant, on s’est pompé le nœud pour se soulager !
• Petits vicieux que vous êtes ! Mais sachez que nous nous soumettrons à vos caprices à notre tour, j’ai l’impression que c’est aussi très excitant !
• En attendant nous avons besoin d’une bonne douche, ensuite nous irons nous promener, décide Jeremy en sortant de dessous la robe de Maria. Mon salaud ! qu’est ce que tu m’as mis, en tout cas tu pourras te vanter de m’avoir dépucelé !
• Et tu as aimé ?
• Oui beaucoup, mais je te rendrais la pareille !
• Trop tard mon cochon, ta femme s’en est chargé !
Il regarde alors ahuri le sexe factice qui dépasse de la robe de Valérie
• « Ben mon salaud ! tu as du déguster !
• A mon avis tu ne vas pas tarder à y goûter toi aussi car ta femme s’est rendu compte que tu aimais te faire enculer et tu risques de te retrouver en position de recevoir les honneurs de Valérie lorsqu’elle se sentira des humeurs « masculines »
• C’est bien ça mon chéri ! il a tout compris, mais je pourrais aussi me servir de cet engin pour doubler mes plaisirs ! Bien maintenant je vais vous ramener à l’intérieur, mais comme vous êtes des chiens, ce sera à genoux !
Notre étrange équipage rejoint l’abri de la maison non sans que Maria, derrière nous, ne nous accompagne de quelques coups de badine sur les fesses.

***

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