Chapitre Cinq

Chapitre 5 (séance 9)

Samedi 3 Aout

Il avait dit :
« Ce soir, 20 heures, tenue publique. Nous sortons, ou plutôt… Tu sors. »
« Oui Monsieur »
Cette semaine a été particulièrement chiante. Au boulot, les collègues c’est : « Mon petit dernier me fait la coqueluche » ou bien « Mon mec me saoule avec ses matches de foot. » Sans compter le : » Et toi ? Tu n’as toujours pas d’ ? »
Non ! Pas d’ et puis, pas de télé non plus ! Déjà, je me dis que par rapport aux autres, j’ai deux épines de moins dans le pied.
C’est insupportable cette pression permanente :
« Si tu n’as pas d’, tu n’es pas une femme »
A 27 ans, j’ai envie de plein de choses :
De progresser dans ma carrière professionnelle, de garder l’homme que j’aime, de faire l’amour avec lui, de faire des promenades, d’aller au restaurant en amoureux, de visiter des expos, de faire du sport, de prendre soin de moi, de faire l’amour avec mon mari. Ah non ! ça je l’ai déjà dit.
C’est vrai que faire l’amour…. Après sept ans, je pourrais me dire : Passons à autre chose ! Et si je devenais… Maman ! Eh ben non ! Soit c’est trop tôt, soit ce n’est pas fait pour moi.

Il avait dit :
« Ce soir, 20 heures, tenue publique. Nous sortons, ou plutôt… Tu sors. »

A 19h : douche, coiffure maquillage etc…
Cette semaine, il rajouté des propositions sur les grilles du contrat :
Au chapitre exhibition il avait ajouté :
Être nue dans un lieu public : « j’accepte »
C’est vrai, la dernière fois, et sous prétexte d’une maladie imaginaire, sacré Wisenberg, j’étais partie pour le faire. J’aurais presque pu demander à mettre : « ça m’excite. »
De mon côté j’ai apporté des modifications :
Uriner devant un inconnu : J’ai demandé à passer de « j’accepte » à « ça m’excite ». Quand je repense à la séance avec Laurent ou Akéna je me sens toute chose.


Port du rosebud : j’avais apporté une précision : le petit : « ça m’excite » le moyen : « j’accepte ».
A 20 heures, je descends. Il est là :
« Tu es prête ? »
« Oui Monsieur »
« Voici un sac et une enveloppe. Tu vas à l’adresse indiquée dessus »
« Oui Monsieur »
Je sors et je m’installe au volant de ma voiture. Je sais que je suis toute seule mais je respecte le protocole : je relève ma jupe et je m’assieds fesses nues sur le siège. Je crois que ça vient du film Bilitis ou Histoire d’O. Peu importe, c’est ce qu’il veut . Je dois reconnaître que c'est parfait pour me rappeler que je ne porte pas de culotte et ça me met en condition.
Je démarre, je roule. C’est à moins de 10 minutes.
Arrivée au numéro indiqué, je trouve un portail qui ouvre sur une allée. Je la remonte jusqu'à une sorte de petit manoir posé au milieu d’un grand parc. Il y a de la lumière. Je prends le sac et l’enveloppe. Il faut monter trois marches pour arriver à la porte d’entrée. J’entends des voix à l’intérieur, au moins deux personnes. Je sonne.
J’entends quelqu’un qui vient vers la porte.
« Eh ! les gars, la voilà » puis des rires gras.
La porte s’ouvre, j’ai les yeux baissés, je tends l’enveloppe et le sac.
« Whoua ! La vache ! « Il se retourne : » Vous n’allez pas être déçus les gars. «
De nouveau vers moi :
» Entre !»
Je le suis jusqu’à un grand salon où se trouvent déjà deux hommes assis.
« Ah Ouais ! d’accord ! « dit l’un deux.
C’est un trentenaire, vêtu à la cool, avec une voix grave.
Autour d’une imposante table basse, trois canapés en cuir marron un peu défoncés font illusion. L’ensemble est rustique et une bonne odeur de bois brulé révèle une cheminée pas très loin. Du feu ? en été ? Charmante attention. Des ordinateurs et des écrans sont disposés sur des bureaux autour de la pièce. Le matériel est imposant : devant les claviers il y a parfois deux ou même trois écrans.
Ils doivent être informaticiens ou quelque chose comme… Ah mais ça y est, j’y suis ! Ce sont les anciens copains geek avec lesquels mon mari jouait en réseau. Il avait eu une période « gamer » qui avait duré plusieurs années et qui s’était arrêté quand il était entré dans la vie active. Quelque part, ce sont ses meilleurs amis même si maintenant il n’a plus avec eux que des contacts virtuels. Je comprends qu’il se soit tourné vers eux pour monter ce scénario, il lui fallait des personnes de confiance. Ça me rassure.
Je suis posée là, au milieu du salon. Celui qui m’a fait entrer ouvre l’enveloppe et en retire plusieurs feuillets. Il prend connaissance du premier, puis me tend le deuxième :
« Tiens c’est pour toi. Tu dois lire à voix haute »
« Oui Monsieur ! « Je lis distinctement :
« Je suis une petite salope et je suis ici pour obéir à vos ordres. Vous resterez habillés et je ne vous toucherai pas mais hormis cela, vous pouvez me demander tout ce qui vous fait plaisir. Vous pouvez me dénuder, me caresser, m’insulter, me mettre dans toutes les positions que vous souhaitez. »
Eh ben comme ça, les choses sont claires : Pendant cette séance, je fais la salope à domicile et sans mon mari. Les trois hommes semblent apprécier et leur réaction ne se fait pas attendre. Une voix avec accent du sud :
« Putain, j’y crois pas ! C’est Noël ? »
Le troisième que je n’avais pas encore entendu :
« Ça c’est pas banal. C’est mieux qu’un jeux vidéo ! Romain qu’est qu’on boit ? »
Ah ! Le premier s’appelle Romain, c’est celui qui a la voix la plus grave et qui est venu m’ouvrir la porte.
Il me parle :
« Bon ben… Tu veux un cocktail « machin » que j’ai préparé ? «
« Oui Monsieur » Ils n’en reviennent toujours pas. Le coup du « Oui monsieur » a marqué un temps d’arrêt.
« Oui bon, Euh… Garry, Chris ? Une bière ? » Ça y est, les présentations sont faites. Garry c’est celui qui a un léger accent du sud et Chris, celui qui me trouve plus intéressante qu’un jeu vidéo.
Venant de lui, je pense que c’est un super compliment.
Romain qui était parti vers, je suppose, la cuisine : « comment ? Parle plus fort j’entends pas ! Ah ouais t’as raison ! » Il revient en arrière et me lance :
« C’est vrai qu’on a une serveuse ce soir. Va dans la cuisine chercher les boissons ! »
« Oui Monsieur »
Je vais dans la direction dans laquelle il partait et je trouve… la cuisine. Ensuite, le frigidaire, des bières et… une jatte à cocktail. J’en verse dans un verre, je goute. C’est mon cocktail préféré. Ça ne peut pas être un hasard. Mon chéri a dû donner des ordres.
Je marque un temps : Allons bon ! C’est encore un autre pas de franchi. Je me trouve en présence de trois hommes que je n’ai jamais vus et je viens de leur dire que je suis là pour qu’ils fassent tout ce qu’ils veulent de moi. Je sens sur mon corps le pauvre rempart que constituent ma courte jupe et mon fin chemisier. Un frisson, qui n’a rien à voir avec la température, me parcourt des jambes à la gorge. Sans ce contrat, je m’enfuirais par la fenêtre. Purée, je vais la payer cher cette erreur.
C’était un pot de départ, au boulot. Un collègue qui, après cinq ans de service, était muté à l’autre bout de la France. Un verre en appelant un autre, il me dit en aparté : » Je sais que tu es mariée, mais avant de partir, je veux que tu saches que dès que je t’ai vue, je suis tombé amoureux de toi »
Un gars plutôt séduisant, une quarantaine assumée, toujours courtois et galant avec les femmes, ou peut être, seulement avec moi ? Je n’y avais pris garde. Et là, sachant que nous ne nous reverrions pas, il m’avoue son tendre drame, comme dirait Aznavour.
On dira ce qu’on voudra, mais nous, les femmes, en tout cas, moi, je suis facilement touchée par ce genre de situations sentimentales. D’un seul coup je l’ai revu, troublé par ma présence, ému par ma blouse mal fermée. Ah !!! c’était donc ça, la fois ou il n’arrivait pas à sortir un mot à une réunion de collègues.
Tout le monde l’avait pris pour un demeuré. Bac plus huit ! On n’avait pas compris ce qui se passait et moi pas plus que les autres.
J’avais repris un verre pour trinquer à son départ et puis…
Purée, je vais la payer cher cette erreur. Mais je ne suis pas du genre à renoncer.
Comment mon mari l’avait su ? Alors vous allez me dire que je suis un peu « coconne », mais c’est moi qui lui ai dit ! Faute avouée est à moitié pardonnée non? Ouais ! A moitié seulement ! Parce que juste après c’était contrat, grilles, séances de 2 heures toutes les semaines.
En revenant au salon, j’entends des rires. Je les trouve en train de lire les autres feuillets qui étaient dans l’enveloppe. J’en entends un lire à voix haute :
« Sodomie : ça m’excite » Hé ben dis donc, elle a pas froid au yeux la petite.
« Ni ailleurs ! » Rires gras.
En fait, ils sont plutôt attendrissants. Malgré leur vulgarité que je devine un peu e, je sens qu’ils sont presque plus gênés que moi. Aucun d’eux ne doit être marié, et leur expérience en matière de sexe confine probablement au zéro absolu. Comme je l’ai entendu dire tout à l’heure par Garry avec son petit accent méridional : c’est Noël ! Mais ils ne savent pas comment fonctionne le jouet qu’on vient de leur offrir, alors ils lisent le mode d’emploi :
« Et là… regarde ! : me faire insulter « j’accepte »
Romain, vers moi :
« D’accord !... T’es vraiment une salope toi »
« Oui Monsieur une vraie petite salope » Rien qu’en le disant, je sens que je le deviens. Il reprend :
« On va voir ça. Enlève ton machin en haut.. enfin ton… Ta chemise. »
« et puis, relis nous ton truc,… ta lettre là. »
Je me place devant lui, écarte un peu les jambes, déboutonne mon chemisier et le retire. Je le dépose sur le canapé le plus proche. Je suis torse nu. Les seins à l’air. Je lis :
« Je suis une petite salope et je suis ici pour obéir à vos ordres. Vous resterez habillés et je ne vous toucherai pas mais hormis cela, vous pouvez me demander tout ce qui vous fait plaisir. Vous pouvez me dénuder, me caresser, m’insulter, me mettre dans toutes les positions que vous souhaitez. »
A la deuxième lecture, j’ai encore mieux réalisé. Je suis un objet sexuel, une esclave soumise qui accepte d’être humiliée en présence de trois hommes.
Chris, assis dans le canapé en face : « Cool ! Eh regardez les gars ! Y’a des positions ! »
Je sens que je vais devoir toutes les faire, leur montrer toutes les parties les plus intimes de mon corps et, je le sais maintenant, ça me plait. Plus les positions sont obscènes et humiliantes, plus je mouille.
Garry : « Celle-là ! Eh connasse ! met toi en position n°5 ! »
Je crois bien que c’est la première fois de ma vie que je me fais traiter de connasse. C’est une expérience comme une autre.
Je me place devant lui, lui tourne le dos, me penche en avant. Je relève l’arrière de ma jupe sur mes reins et je m’écarte les fesses. Je n’oublie pas d’ajouter :
« Je suis une bonne petite pute. »
« Oh Putain ! Elle a même pas de culotte cette pétasse ! «
Pétasse, c’est bien aussi ! En même temps, ils auraient tort de se gêner.
Zut j’ai oublié d’écarter les jambes.
Je rectifie et j’attends. Les gars se bousculent pour se mettre dans le bon axe pour reluquer mes trous. Pour l’instant ils n’osent pas toucher.
« Putain regarde moi cette chatte, elle a pas un poil sur le caillou. » Eclats de rire des garçons.
« Aller, enlève tout ! On veut te voir à poil connasse ! »
« Oui Monsieur »
Je me redresse, fait demi-tour et me place devant celui qui a donné l’ordre. Je baisse doucement ma jupe. Le mont de Vénus apparaît puis la fente, les grandes lèvres, les petites au milieu. Comme j’ai les jambes légèrement écartées, on doit pouvoir deviner le capuchon du clito. La jupe est sur mes chevilles, je la dégage sur le côté avec un pied. J’écarte d’avantage les jambes, un peu trop je crois.
Me voila de nouveau entièrement nue devant des hommes que je ne connais ni d’Eve ni d’Adam. Je sens leurs regards sur tous les détails de mon anatomie notamment la chatte, bien sûr. Je me sens exposée, vulnérable. J’espère que mon homme contrôle la situation. Je me demande à quel moment ils vont oser me toucher. Malgré une température douillette, mes tétons sont tout durs. Il va falloir que je demande une case « j’adore » pour : Être nue devant des inconnus.
Je sens l’humidité entre mes petites lèvres. Je n’aurais jamais cru ça il y a un mois. Me mettre à mouiller en faisant la salope à poil devant des étrangers.
Romain demande :
« Je comprends pas ! Qu’est ce que tu fais ici »
« Je suis là pour obéir Monsieur »
« Mais t’es quoi, une pute ? »
« Je suis ce que vous voulez : votre pute, votre salope, votre chienne Monsieur.«
Il accuse le coup :
« Bon ben …en attendant, va nous chercher une autre bière connasse ! Et amène-nous des cacahuètes, elles sont dans le meuble là ». Il me désigne une commode dans un coin du salon.
« Oui Monsieur »
Je retourne à la cuisine, au frigidaire. Il est rempli de bières. On n’est pas près d’être à sec.
Je reviens, je pose les bouteilles sur la table et me dirige vers la commode.
Le contrat : Interdiction de plier les genoux. Si je dois me pencher, je garde les jambes droites. Alors je me fais plaisir : je me mets dos aux garçons, j’écarte les jambes et je me penche en avant pour ouvrir le tiroir du bas sans savoir si c’est le bon.
« Regarde, elle est en train de nous montrer son cul la salope »
Romain :
« Mais ouais, elle en train de nous chauffer et elle…. Quoi ? attendez ! taisez vous les gars, j’entends rien. Quoi ? Ah ! oui le sac… J’avais oublié »
A qui parle-t-il ?
J’ouvre un autre tiroir et je trouve les cacahuètes que je pose près des garçons.
« Va chercher ton sac, salope !»
« Oui Monsieur »
Romain est assis sur un canapé, je lève un tout petit peu les yeux. Tiens ! Il a une barbe ! Il a aussi une coiffure qui… J’ai compris ! Il a un écouteur dans l’oreille. Il est, depuis le début, en communication téléphonique avec mon homme. Mon chéri entend tout ce qui se passe. Peut-être même qu’il est devant la maison et qu’il me voit par la fenêtre. Je me cambre un peu plus pour faire ressortir mes seins. Savoir qu’il est peut-être juste à côté, qu’il profite du spectacle et qu’il est fier de sa chienne me met dans tous mes états. Pour le coup je me mets à mouiller pour de bon. Pourvu que je ne dégouline pas jusque sur les cuisses. Mais non ! c’est le contraire : pourvu que ma chatte coule, et coule encore, au point d’être brillante et gluante comme celle d’une chienne en chaleur qui ne pense qu’a jouir.
Le sac est posé à l’entrée du salon. Je tourne le dos aux garçons. J’ai l’impression de sentir leurs regards me bruler les fesses. Je me penche dans l’entrée, sans plier les genoux, pour saisir le sac et le ramène à Romain.
« Voilà Monsieur »
« Tu vas m’expliquer à quoi servent les trucs que je vais sortir, hein ?»
« Oui Monsieur, Puis je vous suggérer que je me mette en position n°4 Monsieur ? » Un peu de zèle pour mon chéri, et puis là, maintenant, j’ai envie de tout leur montrer.
Il reprend les feuillets, pour voir ce que c’est que la position n°4 : Présentation de la chatte. Le bassin en avant pour bien faire ressortir ma vulve et les deux mains qui écartent les lèvres.
« Ah ? oui ! Pourquoi pas »
J’écarte grand les jambes, j’avance le bassin, je sépare les lèvres de ma chatte. Le clito jaillit. Humm !
De nouveau Romain, les yeux rivés sur ma fente béante :
« Ouais cool ! Euh … Putain, la vache ! Heu… » Il réussit à décoller son regard de mon intimité et Il fouille de nouveau dans le sac :
« C’est quoi ça ? »
« Ce sont des pinces Monsieur, pour mes seins de petite chienne ou bien ma petite chatte de salope. Quand je bouge, les clochettes tintent »
« Ouai…Et ça ? »
« C’est un martinet Monsieur, j’aime être fouettée sur les seins, la chatte et les fesses Monsieur »
Garry a la grille en main :
« Ouais, c’est même marqué ça t’excite ! »
« Oui Monsieur »
« Putain, des salopes comme toi, je ne savais même pas que ça existait »
Garry reprend la parole :
« Et si on lui demandait de s’allonger sur la table »
Je prends l’ordre au vol :
« Oui Monsieur »
Je pose mes fesses à un bout de la table, je les écarte bien. Pendant ce temps Chris fait place nette en enlevant les bouteilles. Je m’allonge et je mets les mains au-dessus de ma tête, ça fait ressortir mes seins. Mes jambes sont de chaque coté de la table, je ne peux pas être plus écartée.
« Regardez, elle mouille à fond cette pute. Ça dégouline «
Il parle de mon sexe, ça m’excite terriblement.
« Les claques sur la chatte ça t’excite ? «
« Oui monsieur, je suis une bonne petite salope.»
« On va voir ça ! » dit Romain.
Je prends une première claque qui fait un bruit tout mouillé.
« Un ! Merci Monsieur » J’ai honte d’être aussi humide.
Une deuxième claque.
« Deux ! Merci monsieur »
Une troisième mais cette fois sa main s’attarde sur mon sexe. Romain a senti mon clito qui s’était durci et il tourne autour avec un doigt. Je dis, dans un souffle :
« Trois ! Merci Monsieur Puis-je avoir des claques un peu plus fort s’il vous plait »
Garry : « C’est pas possible, mais c’est vrai qu’elle aime ça ! Pousse-toi, Laisse-moi essayer »
« Oui Monsieur, je suis une petite salope qui aime prendre des claques sur la chatte »
En voilà une autre.
« Quatre ! Merci Monsieur »
Et encore une. Cette fois je gémis de plaisir. Je revois ces femmes sur Xhamster et je me dis que moi non plus, je ne fais de mal à personne. Au contraire !
« Cinq ! Je suis une bonne salope, Merci Monsieur »
Pendant ce temps, Romain a de nouveau pioché dans le sac. Il en a sorti mon godemiché qu’il m’a planté dans la moule, direct. Chris lui, s’est mis en devoir de me peloter les seins.
Une claque
« Six ! Je suis une chienne ! Merci Monsieur » je ne peux retenir mon bassin de faire des mouvements pour accompagner le gode.
Et une de plus. Ce n’est plus un bruit de claque c’est un clapotis tellement ma moule est trempée.
« Sept ! Je suis une salope qui mouille de la chatte. Merci Monsieur ! »
Romain, qui en même temps qu’il fait des allers-retours avec le vibro, me titille le petit trou. Ma mouille est descendue jusqu’à l’anus et son doigt n’a aucun mal à me pénétrer de tout son long. Je le sens bouger dans mon cul.
Une nouvelle claque humide :
« Huit ! Je suis une petite pute qui aime se faire doigter le cul. Merci Monsieur »
Je me cambre à fond sous l’effet du plaisir. Je me fais peloter les seins, claquer la chatte, pénétrer la moule et doigter le cul en même temps :
« ou……….oui ! Encore ! Je vais jouir comme une salope ! Est-ce que je peux jouir Monsieur ? »
Romain qui a tout arrêté :
« Ça va pas non ? Nous on se fait ceinture et toi tu veux prendre ton pied ? C’est pas l’heure !»
Je redescends. Comment ça, c’est pas l’heure ? Je suis chaude comme la braise moi.
« Va mettre les pizzas au four. Non, attend, reviens. C’est quoi la position ou tu mets tes nichons en avant ? »
« La position n° 2 Monsieur »
« Ouais ! Va cherchez les pinces »
« Oui Monsieur »
Je les lui apporte, je prends la position les « nichons » en avant. Il les pose.
« Je suis une bonne petite chienne. Merci Monsieur » je pars m’occuper des pizzas en faisant, malgré moi, tinter les clochettes.
J’étais à deux doigts, si je puis dire, de jouir tout à l’heure. Je me sens un peu frustrée. Je tombe sur du sopalin, j’en profite pour m’essuyer la fente, le petit trou, et le haut des cuisses. C’est la première fois que je mouille à ce point. Je me surprends moi-même.
Ding Dong ! C’est le carillon de l’entrée. Je m’immobilise et je tends l’oreille. J’entends la voix de Romain dans l'entrée:
« Ah ! Salut, je suis désolé, on fait une soirée entre mecs et je ne peux pas….Attends, je suis au téléphone en même temps. Allo oui ? Ah ? très bien ! je lui dit quoi ? Bon… j’y vais. Justine, tu peux attendre une minute ? »
Il vient dans la cuisine et se plante devant moi. Il récite :
« Une copine à nous vient d’arriver. Tu coches la case 1 ou 2 ? »
J’ai compris, c’est mon mari qui, au bout du fil, me demande si : « j’accepte » ou :« ça m’excite »,
C’est délicat. Les hommes c’est facile, tu leurs montre un bout de nichon, et ils démarrent au quart de tour mais une femme…Oh ! Et puis de toutes façons, mon homme contrôle la situation j’en suis sure.
« Réponse 2 Monsieur. »
Je suis très excitée et j’ai envie de faire plaisir à mon chéri. Alors une femme, au point où j’en suis !
Romain s’éloigne :
« Elle a dit réponse 2 . Qu’est-ce que je fais ? Bon…d’accord ! »
Il retourne à la porte
« Ben écoute Justine, tu peux venir mais je te préviens, c’est un peu spécial, on a une serveuse, enfin une … Ecoute, je sais qu’il en faut beaucoup pour te choquer mais là, Je te préviens, c’est un peu spécial »
Justine force le passage :
« Vous ? les célibataires, me choquer ? Ça m’étonnerait, et puis au pire ça me changerait »
Elle est dans le salon.
« Alors les gars, ça boume ? Toujours à fond sur WOW ? C’est quoi votre soirée de minables »
Pour le coup je prends les garçons en sympathie. Quelle pimbêche !
Qu’elle traite les gars avec autant de mépris me galvanise. Alors comme ça, rien ne la choque ? On va bien voir. Je sers un verre de cocktail, je le pose sur un plateau que je porte d’une main, bien sur le côté afin de ne rien cacher de mes seins ni de ma chatte, ni du reste d’ailleurs et je rentre dans le salon.
Je garde les yeux baissés mais ça me coute. Je me plante devant elle :
« Votre cocktail Madame »
Et pourquoi pas « Madame est servie ! ». On se croirait dans une comédie de boulevard. Vrai ! on s’attend à ce que l’amant sorte du placard.
En attendant, elle a pris un coup dans l’estomac la virago. Elle reprend son souffle en me détaillant du haut vers le bas, comme seules les femmes savent le faire : cheveux teints ? Maquillage réussi ? Seins naturels ? Taille fine ? Jambes longues ? Vêtements bon marché ? Pour les vêtements, elle ira se faire voir.
« Qu’est-ce que… ? »
Romain bafouille un truc :
« C’est grâce à un jeu vidéo, on a gagné une prestation d’une serveuse, enfin d’une call girl, enfin je sais pas ce que c’est !»
Justine accuse réception. Elle marmonne :
« Pas de danger que je gagne un chippendale en jouant à Candy Crush ! »
Romain reprend :
« Ouais je sais, c’est bizarre, mais regarde y’a un mode d’emploi »
Bip Bip . Bip Bip. C‘est le four, les pizzas sont prêtes. Justine a juste le temps d’attr son verre avant que je ne fasse demi-tour. Je sens son regard sur mes fesses nue.
Quand je reviens avec les pizzas coupées en quartiers, les garçons sont assis dans les canapés et Justine trône sur un accoudoir en parcourant la grille du contrat. Je pose les pizzas sur la table basse sur laquelle j’ai manqué de jouir tout à l’heure.
« Purée, c’est chaud ce truc ! » Elle parle du contrat, pas des pizzas. Elle lève les yeux sur moi : « T’es une professionnelle ? »
« Non Madame »
Mon ton obséquieux semble rassurer Romain. Il devait avoir peur qu’on en vienne à se battre toutes les deux, nues dans la boue. Il essaye d’apaiser l’atmosphère :
« Non mais tu vas voir ! Elle est sympa. »
Sympa ? Non mais je rêve ! Ils m’ont eu entre les mains toute la soirée, ils m’ont mise à poil, ils m’ont peloté les seins, mis des claques sur la chatte, un gode dans la moule, un doigt dans le cul ! et je suis sympa ? Ah ces mecs ! « Plus je connais les hommes plus j’aime…le mien » Tiens, d’ailleurs il doit se régaler lui. Quoi que, peut-être, il trouve que ça manque d’action. Je tente le tout pour le tout, il est temps que ça bouge.
Je m’adresse à Justine parce-que je sais que c’est elle l’Alpha de la soirée.
« Puis-je suggérer que l’on rajoute des éléments à cette grille, madame »
Tout en lisant, elle répond :
« Ouais vas-y, c’est marrant !»
Je propose comme ça me vient, ça aura le mérite de clarifier la situation.
« Être nue devant une femme. Je coche : j’accepte
Être touchée, caressée par une femme. Je coche : j’accepte »
Elle répète en notant : « caressée par une …..femme, ………j’accepte »
« Mais c’est quoi ça ? c’est un gag ? Attends ! je lis là : « être fouettée sur les fesses, deux points, ça m’excite ? »
« Oui Madame. Je suis une petite pute qui aime se faire fouetter les fesses »
Justine Incrédule :
« Mais ça veut dire qu’on peut le faire ? »
« Oui Madame »
Romain a déjà sorti le martinet du sac. Il le donne à Justine qui prend les choses en main :
« Viens ici ! C’est quoi la position ?…..elle repend les fiches. Ah oui ! position numéro 6 !»
« Oui madame » C’est la toute dernière position que j’ai apprise. Je viens vers elle, je lui tourne le dos, je me mets à quatre pattes les avants bras sur le sol, j’écarte les jambes et je cambre. La vache ! Elle a pas choisi la plus soft. Ce doit être pour me tester. Je me suis déjà trouvé nue devant des femmes dans des vestiaires de sport ou à la piscine mais j’étais debout, les jambes jointes et c’était le temps d’enfiler une culotte. Là, dans cette position, je lui présente mon arrière train bien écarté. Ce n’est pas la même chose.
J’attendais le martinet et m’y étais préparée. La chatte ainsi exposée je pensais sentir une brulure. Au lieu de ça, une caresse. Elle passe sa main sur chacune de mes fesses.
C’est la première fois que je sens une caresse de femme. Elle a les mains fraiches, la peau douce. Avec les hommes, c’est l’inverse . Voilà quelque chose de nouveau. Elle promène ses doigts sur la raie de mes fesses, passe sur le petit trou, puis entre les lèvres de la chatte. Elle appui légèrement sur le clito. Pas assez fort !
Aie ! J’ai parlé trop tôt : Le martinet s’abat sur mes fesses.
« Un ! merci Madame »
Une autre fois.
« Deux ! merci Madame »
Encore une.
« Trois ! merci Madame. Est-ce que je peux me caresser la chatte Madame »
Le martinet sur les fesses, c’est magique. Je ne dirais pas que ça fait mal, je ressens juste que j’ai des fesses. Ça peut paraître ridicule, mais les fesses c’est ma zone érogène.
« Ouai vas-y. Fais toi plaisir »
Elle y crois pas en fait. Elle pense que je suis une professionnelle qui joue son rôle. Alors elle frappe plus fort. Le martinet claque.
« Quatre ! Merci Madame » Je me frotte le bouton comme une folle.
Une autre.
« Cinq ! Merci madame » Je gémis. J’ai envie de la pousser dans ses retranchements : « Plus fort s’il vous plait Madame »
La sixième arrive, elle a visé entre les fesses. Les lanières claquent sur le petit trou. Me faire corriger par une femme, c’est bien aussi.
« Six ! Merci Madame » Je la sens dubitative, hésitante.
Elle se demande si je suis vraiment en train de prendre mon pied ou si je fais semblant. Je porte l’estocade :
« Je suis une petite pute qui aime prendre des claques sur les fesses Madame »
C’est curieux, le fait de le dire et de m’insulter moi-même me chauffe au max. Entre deux frottements de clito, je me rentre deux doigts dans la chatte. Je remouille à fond. Je ne sais pas comment fonctionnent les autres femmes mais moi, dès mon adolescence, je devais me frotter très vigoureusement le clito en entrant parfois deux doigts à l’entrée du vagin pour me faire jouir. De même, les caresses sur ma chatte fermée me faisaient peu d’effet, je préférais être grande ouverte. J’ai appris depuis que le clitoris n’est pas seulement un bouton à l’extérieur, mais tout une ramification qui prend naissance à l’intérieur du vagin.

Une autre en plein sur mon trou du cul.
« Sept ! Ou… iiiii ! J’aime ça ! encore s’il vous plait Madame »
Cette fois elle n’a aucun doute, je suis presque en train de jouir. Alors elle stoppe :
« Attends, explique-moi ! Je croyais que c’était un gag. T’es vraiment en train de prendre ton pied ? »
J’ai du mal à récupérer. Ça fait deux fois que je suis au bord de jouir. Je regarde autour :
Justine est derrière moi, le martinet à la main. Les garçons sont sur les canapés, l’air hagard et moi, je suis à quatre pattes, la chatte en l’air. Justine reprend :
« Mais t’es une vraie malade en fait, qu’est ce que tu fous là ? Tu veux du pognon ? J’te préviens, j’vais pas te laisser faire. Les gars sont peut-être cons mais pas à ce point-là ! T’es venue les pigeonner c’est ça ? «
J’ai pas vraiment envie de discuter avec elle mais je n’ai pas le temps de compter jusqu’ à trois que :
Ding dong ! La sonnette a retenti en même temps que la porte d’entrée s’est ouverte et mon mari est là à l’entrée du salon, l’air jovial :
« Société Ubisoft ! Désolé Messieurs-Dames mais il se fait tard. Continuez à jouer et tentez de remporter le super gros lot : Une semaine tous frais payés à l’hôtel du débarquement en Normandie. » Sur ce, il m’att par le bras et m’entraine avec lui vers l’extérieur sans même se soucier de mes maigres vêtements.
« Bonsoir tout le Monde ! Avec Ubisoft …….Restez ….soft ! »(N’importe quoi !)
Nous arrivons à la voiture, il m’ouvre la portière, me tiens la main pour monter, ferme derrière moi. En une seconde, il a fait le tour, il est au volant, nous démarrons. Je pose ma tête sur son épaule.
Je suis nue, nous traversons un bourg et il y a des gens sur les trottoirs, je m’en fiche, il est là, il m’aime, je suis heureuse.

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