Chapitre 5 : Ma Première Expérience Candauliste

Après l’acceptation de Marie de rencontrer Denis, « mon amant », (voir chapitre 4), dès le lundi matin je m’empresse d’appeler Denis à son bureau.
- Bonjour Denis, c’est Éric, je te dérange ?
- Non pas du tout, problème ?
- Non, au contraire, c’est simplement pour t’informer que nous serons présents Marie et moi, le 18 mai…
- C’est chouette…Tu vois, je te l’avais dit qu’elle accepterait !!! Bon, je vous réserve la suite vue mer au Normandy jusqu’au dimanche 15h00, si vous le souhaitez, et vous verrez ensemble…
- Merci, Denis, tu es un amour…
- Euh, tu peux me donner ses mensurations, enfin ses tailles, si je veux lui faire un petit cadeau !!!

Nous conversons avec Denis de mon retour à la maison, de ma joie de partager sa présence avec Marie, de la façon dont il m’avait pris la dernière fois avec délicatesse, que c’était agréable de ne plus souffrir après une bonne « enculade »…
Pendant ces deux semaines nous avons eu Marie et moi, des relations plutôt torrides et quasi-journalières, Marie étant très coquine habituellement, mais là, elle était plutôt imaginative et « gourmande » excitée par cette situation anormale ou elle allait faire la connaissance de l’amant de son mari.
Nous sommes le jour J, le 18 mai, Marie a préparé une petite valise pour le weekend, mais me demande mon avis sur sa tenue du jour, concernant les sous-vêtements, Marie aime beaucoup la belle lingerie, elle opte pour un ensemble string-soutien-gorge blanc en dentelle… Je lui suggère de passer sa petite robe noire sans bretelle, qui met bien en valeur ses jolies formes, (cette robe à fait beaucoup jaser lors d’une soirée de départ à la retraite) avec sa petite veste courte corail et des escarpins noirs, elle va être sublime, mais soucis, avec cette robe, elle doit changer ses sous-vêtements pour enfiler son body-bustier-string réservé pour nos soirées coquines, mais qui a l’avantage d’être invisible et sans bretelle, elle le glisse sous sa robe, elle est magnifique, sa poitrine est bien mise en valeur.


Pendant nos deux heures de trajet, je ne peux résister à l’envie de caresser ma belle, de lui dire que Denis va craquer. Elle me parait d’humeur coquine également.
Et puis, nous arrivons dans ce bel établissement, les yeux de Marie s’illumine, elle est très heureuse d’être dans cet endroit. Elle me dit que nous avons beaucoup de chance d’être invités dans un tel endroit.
Nous arrivons au bar, nous retrouvons Denis. Marie et Denis s’échangent des regards sans un mot, Marie semble impressionnée, devant Denis, toujours élégant et raffiné, Denis semble troublé également, il nous confiera plus tard qu’il fut troublé par les yeux, la bouche et la silhouette de Marie qui s’était déjà débarrassée de sa petite veste corail. Marie dans sa petite robe courte noire sculptante sans bretelle avec ses beaux cheveux blonds ne passe pas inaperçue dans l’établissement. Elle est rayonnante et merveilleuse.
Nous restons un long moment au bar, champagne, puis champagne et encore champagne, Marie adore le champagne, puis déjeuner au restaurant de l’hôtel, excellent repas, très fin et raffiné avec encore beaucoup de champagne. Marie est radieuse et semble très à l’aise avec Denis, j’ai l’impression que l’on oublie notre grande différence d’âge, et oui, Marie est beaucoup plus jeune que Denis, plus de vingt ans d’écart d’âge. Mais cela ne la dérange pas de beaucoup plaisanter avec lui.
La conversation s’anime, Marie est curieuse et passionnée, le courant passe bien entre les deux, je suis ravi, bizarrement, aujourd’hui personne n’est pressé de rejoindre la suite, nous sommes bien tous les trois, encore un peu de champagne… Marie me semble un peu pompette, elle devient un peu coquine, ses pommettes commencent à rougir, elle semble conquise par la conversation de Denis, qui semble complètement hypnotisé par le regard et les rires de Marie dont la robe est remontée jusqu’à mi-cuisse laissant apparaitre ou plutôt ne cachant plus grand-chose.
Bizarrement, cela m’excite beaucoup de voir les regards des serveurs et des clients quittant le restaurant, admirer mon épouse.

Puis, nous montons dans notre suite, Marie est folle de joie, quand elle découvre la beauté de celle-ci, petit salon, avec terrasse et vue mer, merveilleuse salle de bains avec à disposition différents produits de beauté, et le grand lit, l’énorme lit, à l’époque ces grands lits étaient peu répandus.
- Tu vois le lit, Éric, on peut dormir à trois…quatre…
- Ce n’est pas un problème, Marie, c’est comme tu le souhaites. Lui répond Denis
- Merci, merci Denis, pour cette belle chambre je vous embrasse…
- Tout le plaisir est pour moi, ma belle…
Marie embrasse Denis qui en profite un peu pour bien la toucher et l’enlacer avec ses bras musclés. Cela ne semble pas poser de problème à Marie qui est vraiment pompette et nous déclare :
- Je vais vous laisser tranquille les garçons, j’enfile mon maillot de bains et je vais sur la terrasse…
- Tu peux rester Marie, au contraire, cela peut être sympa, qu’en penses-tu Éric ?
- Oh, oui, reste !!!
Je ne sais pas pourquoi j’ai répondu cela, puis je passe dans la salle de bains pour une petite douche et mon lavage intégral, c’est maintenant un rituel et cela ne me dérange plus.
A mon retour, Marie et Denis sont assis sur le lit, Marie les jambes croisées, laissant vraiment apparaitre le haut de ses cuisses, ils discutent main dans la main. Le champagne commandé par Denis est arrivé, et est déjà bien partagé par mes deux « associés ».
Denis plaisante sur la taille de mon sexe qui lui semble très en forme.
- Marie, tu veux me faire plaisir… Demande Denis.
- Ah, oui Denis sans problème… Lui répond, Marie, hilare et vraiment pompette.
- Euh, ce n’est pas facile, mais j’aimerai te voir prendre en bouche Éric, il parait que tu es très douée dans cet exercice ?
- Vraiment Denis ? Ça te fait plaisir ? Il n’y a que cela qui te ferait plaisir ? Lui répond encore très coquine, Marie.
- Non, j’ai bien d’autres pensées, mais… J’aimerai vous voir faire l’amour devant moi, je suis très voyeur et très cochons !!!
- Eh bien moi, je suis plutôt exhibitionniste et coquine, tu vois !!!
- Nous sommes donc faits pour nous entendre, Tu ne crois pas !!! Lui répond Denis.

Et puis très rapidement, Marie se met à genoux touche délicatement mon sexe et commence à le lécher et à le sucer, j’entends Denis qui se déplace pour mieux voir. Elle est très excitée par l’idée d’être vue, le champagne inhibant sa retenue habituelle.
- C’est bien ce que tu voulais voir, Denis ? Demande Marie.
- Euh ! Oui, je vois qu’Éric apprécie, il a beaucoup de chance !!!

Elle s’applique, comme si elle passait un examen, elle garde bien mon pénis en bouche en initiant une série de va-et-vient. Elle malaxe mes testicules, lèche ma verge de bas en haut et de haut en bas et utilise ses mains pour me masturber tout en serrant bien mon pénis. Elle varie mes plaisirs ! Elle promène un doigt sur la zone du périnée, entre les bourses et l'anus et la caresse avec un peu de pression. Elle passe délicatement sa langue sur la zone du frein plus sensible. Elle lèche puis recule, puis revient… et ainsi de suite. Elle fait grimper mon plaisir !
Je commence à perler, elle ralentie et éloigne mon gland car c'est signe que l'éjaculation ne va pas tarder. Elle me rend fou, elle choisit ce moment pour demander une coupe de champagne à Denis.
Elle avale sa coupe de champagne et hop, sa bouche frétille… et mon pénis aussi ! Après sa reprise en bouche. Denis est très près de Marie, elle nous balance quelques œillades cochonnes et romantiques à la fois.
- Je pense qu’Éric va "finir au chaud", Lui déclare Denis.
- Ouais ! Lui répond Marie avec la bouche pleine.
C’est à ce moment que j’ai explosé au fond de sa gorge en poussant un râle animal.
Marie, s’est relevé, fier du travail réalisé et des compliments que j’ai pu lui faire.
- Eh, Denis tu veux tester la compétence de Marie ?
Mais Denis commence déjà à embrasser Marie dans le cou, elle se laisse faire en appréciant, puis Denis est arrivé à sa bouche qu'elle n'a pas retirée, leurs langues ce sont vite confondue, elle veut encore une coupe de champagne pour se rincer la bouche.
Denis et Marie sont toujours habillés, je les observe nu, et nouveauté pour moi, je prends du plaisir à regarder mon épouse embrasser mon amant. C’est une première pour moi, de voir ma femme embrasser un autre homme, même si j’avais pu l’imaginer et fantasmer avant, Je suis très fier de Marie.
Denis lui remonte sa petite robe pour lui caresser les fesses sous son body-string, Marie semble toujours autant apprécier, j’admire ses jolies fesses, je la vois se trémousser, je veux la toucher, donc sans les interrompre, je dézippe sa petite robe que je fais glisser à ses pieds, elle est splendide dans cette tenue très coquine, puis il passe sa main devant pour lui caresser son sexe, elle recule légèrement, lui ouvre le pantalon et lui caresse le sexe, elle me regarde avec un sourire comme pour me demander une autorisation.

Elle semble étonnée et surprise par la grosseur du calibre qu'elle a en main. Elle sort son sexe, me regarde encore plus étonnée par la dimension réelle de celui-ci, le caresse du bout des doigts délicatement, Denis se déshabille, il est maintenant nu devant elle. Puis, nous nous allongeons sur le lit, Marie se laisse glisser à genoux au bord du lit, elle le caresse toujours, elle avance son visage pour enfoncer la queue de Denis au fond de sa gorge et commence son récital de « pipeuse » professionnelle. Denis bénéficie des mêmes prestations que moi. Elle renouvelle les mêmes gestes, elle prend un immense plaisir à sucer cet homme à peine plus jeune que son père, elle le pompe littéralement, reprenant sa respiration régulièrement.

A ce moment précis, je suis loin de m’imaginer que c’est le début d’une merveilleuse histoire qui va durer trois ans jusqu’au 1er mai 1994, date facile à retenir, c’est le jour de l’accident de mon pilote fétiche : Ayrton SENNA.

Après l’explosion de Denis au fond de la gorge de Marie, c’est moi qui suis venu nettoyer le gland de Denis, pendant que Marie continue de siroter des coupes de champagne.
Après les cris caractéristiques d’un homme qui éjacule en prenant un immense plaisir, Denis lâche :
- Oh !!! La salooope, putain, que c’est bon…
- Ah, tu as aimé mon petit cadeau ? Denis !!!
- Tu es modeste ma petite chérie, tu m’as fait du bien, c’est extraordinaire, comment tu es douée…
C’est à partir de ce moment, que Denis appelle Marie, mon épouse : « sa petite chérie ».
- Bon, les garçons, je vais vous laisser vous amuser, je vais prendre une douche et je vais me reposer sur la terrasse.
En réalité, Marie après la douche avait besoin de récupérer, car les coupes de champagne à répétition, commençaient à faire effet.
Je suis un peu nerveux, partagé entre le plaisir éprouvé pendant la fellation de Marie, et un brin de jalousie, mais Denis est pour sa part, plutôt excité, me remerciant de lui avoir offert la bouche de Marie.
J’ai chaud, les caresses et les mains de Denis me sont agréables, c’est lui qui provoque mon élévation de température, il me demande de me tourner, il me caresse les fesses, il m'embrasse dans le cou, me suce l'oreille, me lèche les tétons, sa main effleure mon sexe, on s'embrasse, nos langues se confondent, il se met sur moi, me bloque, je sens son sexe, il me caresse, je bande déjà très fort, il pose ses mains sur mes fesses et s'approche de mon anus doucement.
Il me donne des petits coups de bassin, je sens sa chaleur contre moi, je n’en peux plus, il me lèche très profondément l’anus. Sa langue me fait partir, je suis là, offert, je n’attends qu’une chose, absorber sa «grosse bite ». Il passe du lubrifiant entre mes fesses, puis il commence à me doigter doucement, il me met un deuxième puis un troisième doigt, c'est plutôt agréable puis il met de la vaseline sur son énorme gourdin, me dit d'écarter un peu les jambes, ce que je fais, . Il m'écarte vigoureusement un peu plus les jambes, il me caresse les fesses, je suis à sa merci à attendre la pénétration. Enfin, il me pénètre doucement, je sens son gland rentrer, mon anus s'ouvre, il rentre en moi, m'écarte un peu plus les jambes avec les siennes et commence les va-et-vient.
J’entends du bruit, mais je suis déjà au septième ciel, en fait nous avons réveillé Marie qui nous observe, qui observe son mari se faire enculer, défoncer par ce « vieux » Monsieur.
Je suis pris, défoncé, il va doucement pendant plusieurs minutes, le plaisir est bien présent, je gémis. Denis a aperçu Marie, son attitude change, il accélère la cadence, il va au plus profond de mon cul, il devient très bestial, il veut prouver à Marie que c’est lui le mâle dominant.
Ses couilles tapent sur mes fesses, je ressens des frissons le long du dos, une chaleur monte à moi, le rythme s’accélère encore, il me défonce littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aime sa bite.
- Tu vois Marie, ta salope, elle aime la bite !!!
- Oui, effectivement… Lui répond impressionnée Marie.
- C’est une petite pute, tu sais !!!
- Oh oui, Denis défonce moi, plus fort, fais-moi mal…
- Tu vois Marie, c’est ta salope qui réclame !!!
Denis devient à ma demande très bestial, encore plus violent il me démonte le cul, il accélère de plus en plus, il continue les fessées, il me fait mal, très mal, je ne cesse de gémir, je m'abandonne totalement à ses coups de butoir, il continue, je transpire, je suis en pleine extase, je ressens des spasmes dans le dos, je suis ailleurs.
Denis sentant l’éjaculation proche se retire, et m’offre son sexe en me demandant de le sucer. L’éjaculation est soudaine et la première giclée est partie sur mon visage !!! J’ai mieux géré les suivantes, j’adore les douches de sperme sur mon corps. A ce moment, Marie a tapé dans ses mains pour nous applaudir.
- Bravo, les garçons, c’est spectaculaire, une belle sodomie comme je les aime, peut-être un peu trop violente.
- Viens Chérie !!!
Marie nous rejoint sur le lit, nous passons tout de suite en position 69, pendant ce temps, Denis caresse Marie, passe beaucoup de temps sur les fesses de ma femme. Cela m’excite beaucoup.
Mais Marie, est trop excité, elle se retire, se positionne sur le dos, écarte largement ses cuisses pour ouvrir son sexe mouillé, nous offrant son clitoris pour de belles caresses. Denis n’attend que cela, Marie gémit en tressaillant au rythme imprimé par nos doigts faisant monter son plaisir à la limite de la jouissance. Puis j’écarte bien les cuisses de Marie, qui n’attend que cela.
Je la pénètre violemment, je la prends brutalement comme elle aime, j’aperçois Denis, qui observe, je demande à Marie de se positionner en levrette, je me retrouve face à Denis, nos yeux complices se croisent, je distingue son excitation, je vois sa main qui est en train de se masturber.
Je lui fais signe de se positionner près du visage de Marie dont la bouche aspire littéralement l’énorme sexe de Denis.
Marie gémit de plaisir en sentant les quatre mains errées sur son corps. A quatre pattes sur le lit, le sexe de Denis bien en bouche, et moi prenant un plaisir à lui défoncer « la tirelire », elle est abandonnée, tout à son plaisir ! Elle eut son premier orgasme et sa chatte se crispa sur mon sexe.
Sans avoir le temps de digérer son premier orgasme, Denis et moi avons continué, suçant ses tétons, les mordillant et les rendant douloureux de plaisir. Encore une fois, nos mains écartent ses jambes, sauf que cette fois, Marie semble très détendue, écartant encore plus d’elle-même ses jambes, en attendant de prendre ce que l’on pouvait lui donner. J’apprécie cette vue de ma femme bien offerte, je caresse le « centre des plaisirs » de Marie. Une main de Denis est venue de nulle part et a commencé à frotter son clitoris. Marie nous dira ensuite : « qu’elle a perdu la notion du temps alors que son clitoris était en feu, que son point G était taquiné avec précision et que son corps vivait un énorme plaisir grâce à ses deux hommes ». Elle a commencé à gémir de plus en plus fort, et même à crier de plaisir. Finalement, le gros sexe de Denis (première pénétration de Marie par Denis) est entré en jeu et lui a défoncé la chatte. Nous avons alterné, nous prenons Marie chacun notre tour en prenant soin de ne pas exploser de suite. Elle avait orgasme après orgasme. Elle a demandé de faire une pause, en disant que son corps n’en pouvait plus, mais nous ne voulions pas nous arrêter. Nous avons continué encore et encore, trouvant la cadence dans l’alternance, jusqu’à ce qu’un jet sorti de sa chatte, mouille le lit et les mains de Denis occupé à la taquiné lors d’une alternance.
Après avoir récupéré de son extraordinaire orgasme, elle s’est rendue compte qu’elle était seule à être encore nue sur le lit. En fait, elle avait apparemment perdu conscience, le plaisir et l’alcool… Denis et moi avons pris une douche et nous nous étions rhabillés.
- Ça va, Marie ?
- Je suis très bien ! Pourquoi vous vous êtes arrêtés ?
Très vite, nous nous sommes immédiatement déshabillés de nouveau, très vite, elle avait deux bites sur le visage. Elle les a sucé l’une après l’autre, jusqu’à ce qu’elles soient toutes les deux très dures. Cela devenait un peu difficile à sucer pour Marie. Elle a pu facilement tout prendre dans sa bouche. Ensuite, Denis avec son énorme pieu, s’est positionné entre ses jambes et a enfoncé sa queue dans sa chatte pendant qu’elle me suçait encore. Denis a commencé lentement, puis a accéléré le rythme, lui fourrant sa bite dans son vagin encore et encore. Elle a gémi de plaisir sous l’effet de cette sensation : une bite au fond de sa chatte et une autre dans sa bouche en même temps ! Après l’avoir bien baisée, nous avons échangé de places en la mettant sur le ventre. Elle a alors ma queue dans sa chatte en levrette et la queue de Denis, toujours aussi grosse, dans sa bouche. Après quelques minutes, je lui ai dit que j’étais prêt à jouir, alors je lui ai demandé de se retourner à nouveau parce que je voulais éjaculer sur son ventre et ses seins. Je l’ai encore un peu baisé avant de retirer ma bite, en attendant qu’elle se retourne, je me suis soulagé, propulsant mon foutre sur elle ! En voyant ce spectacle, Denis à lui aussi atteint l’orgasme et lui a éjaculé sur le visage et dans la bouche.
Enfin, nous nous sommes levés tous les deux, Denis et moi, en lui souriant. Elle était couverte de sperme. Je lui ai jeté une serviette. Nous allons embrasser Marie tous les deux.
- C’était formidable ! Marie. Lui déclare Denis encore essoufflé.
- Franchement génial, Marie.
- C’est quand vous voulez les garçons… Mais là, maintenant, le « Bijou » a besoin de repos…
- On se refait un trio quand tu veux ma petite chérie. Lui répond Denis.
Cela fait environ huit heures que nous sommes en compagnie de Denis, nous avons été fort occupé, Denis est en retard, car il doit diner à Lisieux avec ses deux fils, légèrement plus jeunes que Marie, 28 et 26 ans, après une douche rapide, il doit nous quitter en donnant à Marie un coffret cadeau. Denis part très vite, Marie ouvre son paquet cadeau : Elle découvre un ensemble, nuisette, serre-taille porte-jarretelles, soutien-gorge et string en dentelle et soie de couleur blanche de chez Lise Charmel.
- C’est magnifique, Éric, il est fou !!!
- Vraiment magnifique, chérie…
C’est le début d’une grande collection pour Marie, car Denis appréciant la très belle lingerie et ayant « les moyens » de pouvoir les offrir, offrira pratiquement à chacune de nos rencontres des sous-vêtements à Marie.
Après une douche, et un certain temps de préparation pour Marie, car nos ébats de l’après-midi avaient mis un peu de désordre dans la coiffure de la belle, Marie a revêtu sa petite robe rouge très sexy et sculptante, mais surtout pas vulgaire, nous descendons au restaurant de l’hôtel.
- Bonjour Madame, bonjour Monsieur, votre Papa, Madame, nous a demandé de vous réserver une table à « La belle Epoque », avec le menu « Spécial ».
- Très bien, merci.
Nous sommes surpris par la délicatesse de Denis, de tout prévoir, et en plus, c’est maintenant mon beau-père, c’est génial. Après un repas excellent, nous sommes fatigués et nous remontons dans notre chambre directement. Marie veut essayer la tenue offerte par Denis, elle est sublime, dans cette tenue entièrement blanche, ses beaux cheveux blonds, ses yeux, ses petites fesses qui se trémoussent, sa poitrine bien mise en valeur. Malgré notre fatigue, Marie très coquine s’offre à moi, en me demandant « une enculade Denis », elle veut que je lui fasse ce qu’elle a observé quand Denis me démontait le cul. Après cet exercice, Nous dormons comme des bébés dans notre belle suite.
Le lendemain au réveil, je trouve une Marie un peu perturbée, elle culpabilise, de s’être offerte de cette façon à un presque inconnu, et en plus très vieux, elle qui juge mal ses copines qui sont en couple avec des hommes plus âgés de 10 ans.
- Franchement Éric, t’imagines, il a vingt et un ans de plus que moi !!! Que va-t-il penser de moi ? J’étais venu pour rencontrer ton ami Éric !!! Pas pour !!! Cet homme à quelque chose, un pouvoir, je n’en sais rien, ce n’est pas possible, comment j’ai pu ?
- Voyons Marie, penses à toi, tu as pris du plaisir ?
- Ben, Oui, c’est ça le plus grave, et devant mon mari…
- Donc, c’est parfait.
- Et toi, tu n’es pas jaloux ?
- Si, justement, je n’ai pas aimé quand vous vous embrassiez, mais j’ai pris beaucoup de plaisir à te voir jouir avec Denis.
- Tu n’es pas normal, Éric !!!
- Mais si justement, tu es belle, resplendissante, souriante, joyeuse, amoureuse, coquine et divine, maintenant tu es libertine !!!
- Tu dis des bêtises Éric, je suis fidèle, enfin j’étais fidèle, tu es simplement le deuxième homme de ma vie, je ne suis pas libertine.
- Tu es toujours fidèle Marie, voyons, cela n’a rien à voir, mais tu aimes plus que toutes autres le sexe, Marie !!! Franchement, tu aimes tout ce qui plait aux hommes : la fellation, les pénétrations anales et vaginales, les positions particulières, les lieux insolites, tu aimes te sentir belle et désirée, ne me dit pas le contraire.
- Ça, c’est vrai, mais ce n’est pas pour cela que je dois me conduire comme une « pute ».
- Tu n’es pas une pute, chérie !!!
- S’envoyer en l’air, avec mec aussi âgé que son père, c’est quoi ?
- Je n’en sais rien, mais tu as quand même apprécié son raffinement, sa classe et un peu son sexe qui t’a bien fait jouir.
- Ça, c’est vrai, c’est un bon baiseur, j’ai vraiment apprécié « l’acte » enfin la relation, il est doué, il m’a… enfin, cela me gêne !!!
- Tu as pris du plaisir, et moi aussi j’ai pris beaucoup de plaisir, c’est le but,
- Mais j’ai le sentiment d’être une pute quand même, regarde un peu : l’hôtel, un palace, une suite dans un palace… les déjeuners et dîners à la carte… Les sous-vêtements, enfin… t’imagines pour nous ce que cela représente !!!
- Tu te prends la tête pour rien, Marie, il a de gros moyen, il est un peu seul, divorcé, beaucoup de travail donc pas le temps de trouver une femme et comme nous, il souhaite prendre un peu de plaisir !!!
Nous arrêtons la conversation pour la douche, Marie se prépare, passe les sous-vêtements offerts par Denis hier, puis enfile une petite robe blanche sans manche, elle est divine.
Nous décidons d’aller déjeuner en zappant le petit-déjeuner, car il est déjà treize heures, nous avions besoin de récupérer… En arrivant dans hall d’accueil…
- Bonjour Madame, bonjour Monsieur, votre Papa, Madame, nous a demandé de vous réserver une table au restaurant « Côté Royal », pour une escapade gourmande. Si vous voulez bien me suivre…
- Très bien, merci.
Marie, dans ce lieu magique, a un peu oublié ses états d’âmes, nous avons apprécié la qualité des plats servis, le plaisir de goûter à la cuisine d’un Chef inspiré, mais aussi à la décoration « esprit années folles » de l’endroit.
Sur la route du retour à notre domicile, nous devions aller chercher notre fils de quatre ans chez les parents de Marie, avant une certaine heure, Marie était moins chagrinée, satisfaite même. Certes son éducation religieuse et ses parents plutôt très catholiques pratiquants, ne la prédestinait pas à une vie de coquine et encore moins de libertine. Déjà que ses tenues lui valaient des réflexions de sa maman, et c’est certain qu’aujourd’hui avec sa petite robe blanche, les réflexions vont encore pleuvoir.
C’est une énigme, avec une telle éducation, comment Marie peut à ce point aimer le sexe, pratiquer des fellations que tous les hommes du monde apprécieraient, apprécier et réclamer les pénétrations anales et vaginales, les positions particulières, les lieux insolites ?
Les jours suivants, nous avons repris notre vie normale, Marie étant encore plus coquine que d’habitude, ayant besoin de sexe matin et soir quand c’était possible !!!
Je lui parle peu de Denis volontairement, mais Marie, me parle régulièrement de lui, c’est étonnant… Même pendant nos relations… C’est surprenant…
Denis m’a appelé, deux fois, pour prendre des nouvelles, de Marie… de moi également, il aimerait bien nous revoir tous les deux, il me parle du plaisir pris avec nous, mais aussi avec Marie.
C’est finalement Marie, qui m’a demandé des nouvelles de Denis, je lui ai dit que Denis souhaitait nous revoir.
- Ah bon, il souhaite nous revoir tous les deux !!!
- Oui, chérie, il t’a beaucoup apprécié…Et toi tu veux revoir Denis ?
- Euh ! Tu sais, je ne sais pas si c’est bien de le revoir, j’ai peur pour nous, nous ne sommes pas du même milieu social, et puis cela me gêne d’être invitée comme cela…
- Donc, nous ne nous reverrons pas ensemble, mais moi je peux seul ?
- Non, je ne t’ai pas dit que je ne voulais pas, mais j’ai l’impression d’être une pute, tu comprends !!! Et pourtant c’est vrai que… j’aimerai bien revoir Denis, mais… peut être dans un endroit plus simple, enfin je ne sais pas, et peut être pas un weekend car mes parents vont avoir des doutes s’ils doivent encore garder Antoine …
Voilà, pour le chapitre 5, la suite de nos aventures « candaulistes » au prochain chapitre, pour tout vous dire, à cette période, je ne connaissais pas ce mot… J’ai simplement découvert avec la complicité de Denis « ce plaisir » d’offrir mon épouse à un autre homme, de la voir prendre du plaisir avec Denis et plus tard avec d’autres.
Ce n’est pas explicable !!!

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