Son Cul En Cadeau ( Une Histoire D'Hommes 4/4 )

Le vendredi soir, David débarque à bord d'un utilitaire, en tenue d'artisan, décontracté dans sa façon d'arriver, sans aucune hésitation, avec plusieurs sacs bien remplis, comme un homme qui revient chez lui après la semaine finie.
J'ai senti tout de suite que David avait basculé au-delà du coup d'un soir. D'un caractère bien trempé, s'il vient s'installer chez moi, c'est que je correspond vraiment à ses envies, ce qui augmente encore mon émotion et mon désir pour lui. Se caser, c'est pas son genre.
Mercredi dernier, il a été très clair sur la vie de couple qu'il veut vivre avec moi, qui correspond parfaitement à mes attentes et je n'ai aucun doute sur sa parole.

Dès l'entrée passée, une énorme embrassade, des baisers savoureux à volonté. Il me bloque contre le mur, se colle à moi et me fait sentir son désir, son énorme gourdin bien raide entre mes jambes.

" Bébé, je vais te niquer et te faire un petit. Je vais te faire l'amour toute la nuit…. Laurent, mon cœur, frotte moi la gueule, j'adore tes câlins, mon chéri.
" David, mon Doudou, j'en peux plus tellement je t'aime.
" Moi aussi, mon chéri. On va prendre notre temps, Bébé, ça va encore être meilleur.

A sa façon de me dire ça, je sais qu'il a pris la place qu'il espérait. J'ai vu des éclairs d'amour dans ses yeux lorsqu'il a constaté que j'avais libéré la moitié des placards pour lui.

Il me regarde, les yeux au fond des miens, savourant chaque geste tendre que je lui fais, se prêtant à mes caresses, me montrant toute l'importance qu'il accorde à ces gestes.
Ses yeux brillent et reflètent l'amour, la tendresse, la confiance, le bonheur total. Nous avons tout le week-end pour nous et bien plus à l'horizon, tellement plus.
Imposant, baraqué, son quintal contre moi, sa pilosité abondante déborde mais il n'a plus d'inquiétude à ce sujet. Il sait qu'il me fait de l'effet, que je suis tout à lui et mûr pour une saillie immédiate.

Malgré tout il se maitrise, reste tendre, me serre très fort contre lui, amoureux, me renvoyant ses odeurs de mâle, ses odeurs de chantier, fou de joie que je le désire autant, fou d'amour d'être aimé.
Il n'y a jamais eu de rapport de soumission de l'un sur l'autre, juste un merveilleux désir.

" Laurent, ton voisin en face m'a regardé arriver. Il va se poser des questions.
" David, le voisin a sûrement des idées pourquoi tu es là. Doudou, ne t'inquiètes pas.

Ce con de voisin a réussi à perturber David, qui se demande comment réagir face au regard d'un hétéro sur un couple homo.

" Doudou, on n'est pas des bêtes ni des obsédés sexuels. Ce soir, dans notre lit, mon corps sera pour toi. On va être heureux ensemble.
" Mon homme, mon Laurent, tu me plais de plus en plus. Je suis comme dans un rêve avec toi. Tu arrives à comprendre tout dans ma tête. Je sais que tu m'aimes, Bébé.

Il me couvre de gestes tendres, il adore ça et je le laisse profiter. C'est assez surréaliste de voir ce mec si puissant, tel une armoire à glace, velu comme un ours, avec des attentions si douces. Et pourtant, il respire la virilité, le mâle dans toute sa splendeur.
Je n'ai jamais connu du désir si fort pour un homme. Avec David, il y a ce petit truc en plus, cette chose imperceptible qui fait que l'on aime quelqu'un et que l'on sente cette osmose réciproque avec l'autre.
La première fois qu'il m'a baisé dans cette chambre d'hôtel, j'ai ressenti toute cette douceur, ce respect, toute cette virilité en lui et je me suis offert totalement et David l'a ressenti lui aussi. Etait ce l'effet que nous étions dans l'obscurité complète que nous ressentons plus les choses, je ne sais pas. Sans doute étions nous faits pour être ensemble, tout simplement.

Le fameux voisin ne tarde pas à sonner, pour un motif ridicule, sûrement pour vérifier ou savoir si on nique entre mâles, voire participer, va savoir…
David, en mec de chantier, prenant son air macho, ne se laisse pas impressionner.
Je suis stupéfait de sa maitrise.

" Bon, Laurent, je te fais tes bricoles, j'ai tout le matos.
" Oui, je te laisse faire.

David avait remarqué des petits trucs à faire chez moi…il est heureux de pouvoir se rendre utile, de me rendre service…
Le voisin finit par partir, avec ses questions sous le bras, voyant qu'il est de trop. ( Désolé pour les lecteurs qui voyaient la partouze arriver)

" David, tu as assuré comme un chef mais je ne veux pas que tu te sentes gêné.
" Bébé, je voulais pas te mettre mal à l'aise.
" Doudou, il t'a pris pour un artisan mais moi je veux qu'il te prenne pour l'homme que j'aime.

Le voisin parti, j'ai attiré mon beau balèze poilu vers moi: le bricolage pouvait attendre, on n'allait pas attendre plus longtemps…

" Mon Doudou, baise moi, c'est toi que je veux…
" Bébé, je vais te niquer, te bourrer le cul autant que tu veux.

Fou d'amour, il m'a emmené vers notre chambre et m'a donné plusieurs secouées à suivre comme s'il n'avait pas baisé de la semaine…
My God, mon mec de chantier, il s'est fait plaisir, m'a fait plaisir…et, avec sa grosse pine, m'a fait couiner comme un jeune puceau. Energique et plein de sève il m'a bourriné et m'a défoncé le cul sans réserve, s'imposant en mâle alpha.

Un mélange de virilité, de domination, serré dans ses bras puissants, m'imposant sa grosse queue raide, me logeant sa langue dans la bouche à m'en , m'arrachant la peau avec sa barbe dure. Un dosage parfait entre bestialité et tendresse jusqu'à ce que nos corps explosent de jouissance, que son sperme me remplisse les boyaux à déborder et que je cesse de gicler.

Et il tenait la forme, mon Doudou… La soirée et la nuit que nous avons passé…HUMMM j'ai fini lessivé, le cul en compote…et mon Doudou ébahi, les sacoches vides.
Nous n'avions plus les questions et les doutes du premier jour, aucune hésitation et la certitude de s'aimer, se comprendre, se désirer…
Il a étalé sur moi sa puissance, m'a fait admirer et lécher son corps poilu et s'est régalé de mes cris de geishas quand il me défonçait.

Lui aussi a parcouru mon corps de ses lèvres charnues, m'a irrité les tétons et s'est attardé sur mes bijoux à s'en rendre malade, juste pour me prouver son bonheur de m'aimer autant.
Nous n'avons pas compté le nombre d'accouplement, les fellations ni les positions. Tout cela a été noyé dans un enrobage de tendresse, d'érotisme, de découverte de l'autre.
Il a assouvi ses envies de reproduction sans la moindre contrainte, tantôt de façon dominatrice, tantôt de façon plus câline mais toujours en veillant à ce que je prenne du plaisir sous ses coups de reins, sous ses étreintes amoureuses.
Rincé, les couilles vides, il s'est réjouit de mes remerciements, de mes baisers d'amour et de mes caresses sur ses joues et sa balafre. Ses bras se sont refermés sur moi, sûr de mon amour, repu de tant de sexe et s'est assoupi.
Lessivé, le trou entrebâillé suintant son sperme, j'aurais voulu dormir mais tout ce bonheur avec David, son corps massif et poilu dégageant sa transpiration contre moi, il m'a fallu un peu plus de temps pour sombrer à mon tour…

Au petit matin, il régnait une odeur de fauve et de foutre dans la chambre. Le lit n'était qu'un champ de bataille et David m'a repris, honoré jusqu'à ce que je commence à être ému par tant de bonheur.
Il a éclaté de rire après m'avoir niqué et s'être régalé de mon sperme.

" Putain, ça fait du bien de baiser autant qu'on veut. Bébé, tu m'as vidé les couilles. J'adore te juter dans le cul sans capote. Je t'en ai envoyé plusieurs doses, c'est trop bon
" Doudou, je t'aime. Tu baises trop bien.
" Hummm, merci mon chéri. Moi aussi, je t'aime à en devenir sinoque. Tu me rends dingo.

Le lendemain, le petit camion n'avait pas bougé, garé devant chez moi et le voisin a bien compris que je devais sûrement payer mon artisan en nature. L'après midi, David lui a levé la main en tondant ma pelouse lorsqu'il s'est aperçu qu'il nous observait.

Le fait de chauffer le voisin a fortement excité mon Doudou qui bandait comme un cerf lorsque nous avons fait une pause sur notre petite terrasse.

Pas de vis-à-vis de ce côté-là de la maison et je savais que les voisins les plus proches étaient absents.
Je me suis mis à genoux entre les cuisses de mon homme et j'ai commencé à le renifler, à rouler ma tête contre son corps. Pas pour lui montrer ma soumission mais pour faire monter encore plus son désir, lui montrer ma soif de ses étreintes.
Sans la moindre parole, les yeux fermés pour encore mieux ressentir cette sensualité entre nous, il s'est prêté de bonne grâce à ce jeu.
Il écarte encore plus les jambes et soulève son teeshirt pour que j'accède à cette forêt de poils qui couvre son ventre et sa poitrine. Le contact de ma main contre cette toison me fait bander et augmente mes envies, me rend complètement dingue.
De ses mains calleuses par le travail, il me plaque la tête contre son ventre chaud, me laisse lécher et saliver tout ce qui est à ma portée. Puis, en demandant plus, me colle le nez sur sa braguette, me fait sentir son sexe raide qui déforme le tissu.
Il se régale de cette situation et me laisse profiter, me passe les mains dans les cheveux, me caresse les joues.
En voulant encore plus, il défait son ceinturon et ouvre son pantalon camouflage de l'armée pour libérer son sexe comprimé.
Il connaît mon désir, il connaît ma douceur. Il n'ouvre même pas les yeux tant il ne veut pas rompre le charme du moment.
Son énorme phallus surgi, absolument magnifique, tel un biberon pour affamé. Le méat est ouvert, insolent de provocation, et laisse s'échapper la mouille translucide qui n'attend que mes lèvres pour en récolter les faveurs.
J'humidifie mes lèvres, je me prépare à récolter ce miellat et à saliver ce manche. Nul besoin de se précipiter, il faut admirer ce chef d'œuvre. Le propriétaire ne m'impose pas d'autorité de l'enfourner de ma bouche, il sait que ce plat se savoure, se déguste et qu'au final, rien ne sera perdu.
Il se saisit le manche et, de sa large main, se branle doucement. Il le tient comme un homme fier de sa virilité tellement l'engin est de bonne taille. Et que dire de ces couilles gorgées de sève qui accompagnent ce poteau de défonce. Je suis ravi qu'elles soient maintenant uniquement à ma disposition et qu'elles soient si juteuses.
Mes doigts saisissent le mandrin et en palpe les veines gonflées, en caresse le cylindre épais puis, parce qu'il ne faut plus attendre, ma bouche se referme sur le gland gonflé de mon homme.
Un grognement d'aise s'échappe de mon mâle pendant que son bassin se tend, m'invitant à prendre davantage.
Nul besoin de parler, les gestes s'expriment. Cette odeur de mâle qu'il dégage, le goût de son sexe, me font chavirer. La salive aidant, je coulisse maintenant aussi loin que je peux son membre tendu et raide comme un pieu.
Je le fais tout en douceur, à la cadence que David, de sa main de mec manuel, m'imprime.
Le temps est suspendu, le plaisir monte, les sens se perdent…
Seuls les gémissements de satisfaction de mon mâle, les soupirs d'aise, prouvent l'intensité du moment.
Le plaisir est partagé, rien ne vient troubler cette osmose… mes lèvres coulissent sur le manche raide…
Le membre raidit encore, David me bloque la tête, les giclées grasses et généreuses se répandent dans ma bouche pendant qu'il laisse échapper un souffle de bien être…
Tout son corps vibre tant la jouissance est au rendez vous et le soulage.
D'une main, David tente d'extraire de sa bite les dernières gouttes de sperme et me laisse les déguster puis, de son autre main, caresse mes cheveux pour me remercier.

" Lève toi, Bébé…me dit il doucement, de sa voix si profonde

Il est toujours dans son nirvana et me regarde, encore ébahi par sa jouissance. Je suis debout et il est resté assis dans le fauteuil du salon de jardin.

" Donne moi ton bijou, mon homme.

J'adore quand il m'appelle "mon homme". C'est pour me montrer son respect, me dire que je suis "l'homme" qu'il a choisi, qu'il aime plus que tout.

Avant que la pression ne retombe, il a déjà pris d'une main mon sexe tendu et sa bouche s'ouvre sans hésitation sur mon " bijou ", comme il dit.
Il est pressé de sentir mon jus lui descendre le gosier, sinon il s'attarderait à sucer mes tétons qu'il a irrités la nuit dernière, à lécher toutes les parties possibles de mon corps.
Il veut me rendre la politesse car David n'est pas un profiteur. Très attentionné, il met un point d'honneur à ce que je jouisse et me montrer qu'il m'aime. Quelle différence avec d'autres hommes que j'ai connus…

Son doigt s'enfonce dans mon anus pendant que mon sexe lui pénètre les lèvres. Il me laisse aller et venir et lui baiser la bouche.
Sa barbe dure me gratte les couilles, me rappelant sa virilité qui me plait tant. Imaginez ce mec archi viril de 98 kg qui me suce la bite. Oui, c'est moi qu'il suce, et avec amour.
La douceur de ses lèvres, la chaleur de sa bouche, il sait y faire mon homme…je succombe.

Je me bloque, mes couilles envoient, je gicle tout mon jus. Il ne bouge pas, absolument imperturbable, pas du tout rebuté d'avaler le sperme d'un homme. Parce que c'est le mien, m'a-t-il dit.
Repu lui aussi de ce goûté improvisé, il se redresse, vient me donner un bisou sur la joue:

" Merci mon homme. C'est trop bon…. …..Bon, on la fini, cette bière ?
" Oui…elle fait un peu tourner la tête…Tu crois pas ?

Et on éclate de rire. Il m'attire à lui, me roule une pelle virile à m', me serre dans ses bras de mec de chantier…

" Mon chéri, mon homme, la vie est belle avec toi.
" Doudou, j'aime ta virilité et ta douceur.
" C'est gentil, Laurent. Et je sais que tu le penses vraiment.


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***

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David n'a pas trainé pour venir s'installer chez moi. Les turbulences familiales et professionnelles passées ( tout n'est pas toujours simple comme un coup de fil ) , nous avons fait face tous les deux, poussés par l'envie de vivre ensemble.

Dans l'intimité de notre maison, il n'hésite pas à satisfaire ses envies de câlins et j'adore quand il m'appelle "mon homme".
Je l'aime énormément et il le sait et je fais des choses que j'aurais à peine imaginé auparavant, rien que pour lui. Je pense que chacun, par amour, s'est adapté à l'autre.
Toujours autant attentionné, à l'aise avec moi, il a pris ses marques, sans s'imposer.
David est un gars fait pour vivre au grand air, sans chichi, de façon discrète mais sereine, sans le regard du voisinage. Il a besoin d'espace, de nature et il lui faudrait du bricolage pour s'exprimer.


Ce jour là, j'ai proposé à David d'aller vivre dans une maison tranquille en campagne que nous achèterions ensemble afin qu'il se sente aussi chez lui…il pourrait bricoler, jardiner, avoir plein de matériels, ranger son utilitaire, vivre une belle vie avec moi…et tout, et tout.
J'ai vu pour la première fois David avec les yeux pleins de larmes.
L'émotion était trop forte, l'amour trop fort.
Il a compris, même si je ne lui dit pas souvent "je t'aime", parce que ces mots ont été trahis par un autre homme dans mon passé, qu'il compte plus que tout pour moi.
Il est resté stoïque, aurait voulu hurler d'amour, m'éteindre, m'embrasser…les larmes étaient là, le paralysant complètement.

Je me suis levé, suis allé le prendre dans mes bras. Il est plus fort que moi mais tout est possible et il s'est laissé faire.

" David, c'est toi que j'aime. Je t'aime comme tu es, à la folie, mon Doudou.
" Je suis désolé, Bébé, mon chéri, je suis comme un con. Bébé, j'ai envie que tu me baises, tout de suite, maintenant.
" Doudou, t'es pas obligé.
" Si, j'ai envie. Nique moi, encule moi, jute moi dans le cul.

Il me prend dans ses bras, me soulève, me porte dans notre lit, s'enroule sur moi comme un boa, me couvre d'amour, de mots tendres, me lèche, m'embrasse …
Il est comme un fou, les flammes le dévorent…il arrache mes vêtements plus qu'il ne me les enlève, jette les siens au sol…son sexe est gorgé de sève, tendu tel un porte étendard mais il n'en a cure. Il se jette sur le mien, le vénère, l'englouti, le salive, suçote mes boules comme des bonbons, les râpe de sa langue de mâle près à tout pour faire plaisir.

Il se déchaîne, il connaît mes petites faiblesses et se donne à moi, prend mes mains pour les frotter dans ses poils de sa poitrine et de son ventre, les passe sur ses joues et sa balafre comme s'il s'en enduisait d'amour. Il exulte, il ronronne sous moi, se positionne, s'apprête comme une chatte en chaleur à recevoir le matou.
Il me veut, il me désire, s'offre en récompense comme quelqu'un qui donnerait tout pour celui qu'il aime. Je sais qu'il ne renoncera pas et qu'il serait profondément déçu si je refusais son cadeau. Il m'a toujours dit que ce serait moi qui juterais le premier dans son cul si un jour cela devait se produire.

Mon doudou est chaud, brûlant de se faire enculer. Sur le ventre, il se positionne, a déjà mis un coussin sous lui qui lui remonte le cul et maintenant il écarte les cuisses.
Il est magnifique de virilité, tel le minotaure de la Grèce antique, le dos poilu lui aussi et le cul bien touffu.
D'instinct, comme je l'ai fait maintes fois, je m'allonge sur lui pour profiter de son confort, masser mon solide gaillard, lécher sa nuque et descendre jusqu'à sa croupe offerte.
Maintes fois, j'ai simulé un coït sur lui et il a joué le macho, le mâle actif qui ne se laisse pas emboiter et a serré des fesses par peur de se faire surprendre.
Nous en avons ri et je savais que ce moment serait venu tôt ou tard, rien ne pressait.
Il frétille tant ma langue lui lubrifie et lui râpe le cul et dégage les poils. Un vrai angora mon gros doudou d'amour.
Le gel présent près du lit qui nous sert pour avoir des relations confortables est bien utile pour ce coup. David a le cul serré mais, lorsque mon doigt s'y aventure, il ne proteste pas et se prête à la manœuvre.

" Bébé, tu crois que ça va passer.
" Détends toi, mon Doudou. Tu vas voir, ça va être que du bonheur.

Mon doudou est une force de la nature mais, niveau petit trou, c'est pas gagné, il y a du muscle et de la résistance. Petit à petit, son cul se détend, s'assouplit. Mes doigts et le gel font leur office. Il a hâte de se faire enculer et pense être prêt mais je sais que plus de la moitié du plaisir se fait dans la tête et dans le relâchement de son corps. Je tente de lui faire oublier le mot "douleur" que des mecs lui ont dit avoir…ment, il est monté presque comme un poney. Ils étaient peut être pas préparés assez ou il les a peut être pas tous niqués avec amour, comme il l'a fait pour moi.

Mon gland est posé sur son œillet pendant que je lui murmure dans le cou des mots qu'il aime entendre…sa rondelle reste détendue, s'ouvre et mon gland glisse, accomplissant sa mission de forage et force le chemin, ouvre la voie.

" Doudou, mon chéri, je crois que tu n'es plus puceau.

Il se détend complètement, ne comprend pas trop pourquoi il n'a rien senti, cherche ma main pour l'embrasser, pendant que ma bite entière s'enfonce dans son cul.

" Ah, putain, enculé, là, tu m'as bien baisé…..Putain, tu m'as pété le cul.

C'est trop drôle qu'il me traite d'enculé... surtout que c'est rentré tout seul.

" Doudou, tu sens mes couilles contre ton cul?
" Bébé, je te sens bien à fond. Laurent, mon chéri, mon cul est pour toi, c'est toi que j'aime.
" T'as pas mal, mon gros Doudou ?
" C'est bon, mon chéri. Je sens bien ta grosse bite. Ah, putain, tu m'as bien enculé.
" David, tu m'en voudra pas mais c'est tellement bon que je vais pas tenir longtemps.
" Bébé, jute moi dans le cul, décharge moi dans le cul, fais moi un petit. Vas y, nique moi.

Je lui administre alors une tournée de coups de bite pour assouvir mon besoin de reproduction. Il se cambre comme une pute en chaleur pour mieux me recevoir, distribue les "Ah putain" à volonté tellement il apprécie.

Je me bloque, gueule un bon coup, il sait que je le féconde, que je me vide les couilles en lui. Il me retient comme il peut avec ses bras puissants pour que je reste en lui et veut tout mon sperme en lui.

" Bébé, c'est trop bon. Je te sens gicler en moi. Vas y, rempli moi. Ah putain. Mon chéri, je t'aime trop…Donne moi tout.

Je me retire, haletant, les couilles vides, presque exténué tant j'ai voulu lui faire plaisir. Il se retourne et me montre sa bite affreusement raide de désir et de plaisir:

" Bébé, je peux plus tenir, finis moi.

Tel qu'il m'a prévenu, le sperme gicle presque aussitôt et il me gave de sa semence abondante.
Il m'attire à lui, cherche ma bouche pour engluer sa langue avec la mienne dans son foutre mais j'ai déjà presque tout avalé. Il me serre et me couvre de tendresse

Je pourrais lui demander n'importe quoi en ce moment tellement le bonheur est en lui.

Il sait que je l'aime pour le sexe, bien sûr, mais aussi parce qu'il a ce comportement envers moi qui me plait tant, sa voix sublime, son corps magnifique, et tout et tout…. Il sait, sans le moindre doute, que tout ce que je fais, c'est pour lui, c'est pour nous et qu'il est mon unique et mon grand amour.

" Merci mon homme. Je suis un enculé, tu m'as bien baisé, mon homme. Mets ton doigt dans mon cul et regarde comment tu m'as défoncé. Regarde si j'ai rien perdu, tu m'a mis ton trésor dans le cul, tu m'as bien graissé. Bébé, je t'aime. Laurent, si tu savais comment je suis heureux avec toi.

Surexcité, il sait que j'ai apprécié son cadeau et il est trop content de m'avoir fait plaisir.

Nous sommes restés un long moment l'un contre l'autre, noyés dans ce bonheur, à se respirer, se caresser, à se léchouiller... à se dire des mots d'amour.

David, peut être soucieux de rester le mâle Alpha du ménage, a tenu à me reprendre dès la fin de ce petit repos.

J'ai alors reçu une des plus belle baise de ma vie tant David s'est surpassé jusqu'à ce que je jouisse sous ses ardeurs, que je demande grâce, que des larmes de bonheur me rappellent le premier jour ou je l'ai rencontré et ou il a pris possession de mon corps.

David, Mon Doudou, c'est toi mon homme, c'est toi que je t'aime.





Merci d'avoir lu jusqu'au bout cette " histoire d'hommes "

Prenez soin de vous
Soyez heureux
Continuez à vous protéger.
Merci pour vos commentaires



















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