Enfin Le Prep (3)

La poursuite

Walid m’a défoncé pratiquement toute la nuit. J’avais retrouvé le plaisir d’être fouillé au plus profond de moi par un membre qui dépassait allègrement celui de Nicolas, (mes excuses mon Nico…) et qui déversait en moi, à chaque reprise, des quantités de semence… inimaginables, comme si ses énormes couilles ne pouvaient jamais se vider complètement. Il m’a fallu de fréquents nettoyages rafraîchissants pour laisser la place aux autres nombreux jets qui se succédaient.
Au petit matin, chatte en charpie, Walid est arrivé avec un café, que je me suis empressé de boire d’un trait, lui en demandant un autre. Pendant ce temps, j’ai vite sorti de mes poches, le comprimé indispensable à la poursuite de mon plaisir, l’avalant avec un verre d’eau le temps que Walid arrive avec un nouveau Mug plein.

« Tu connais bien Daniel ? »
« Non, pas vraiment… On s’est rencontrés il y a quelques jours au Dépôt, et quand il a vu ma fascination de se faire prendre autant et sans protection, on a parlé ensemble, et c’est lui qui m’a amené chez son toubib pour des conseils et me mettre sous PREP »
« Tu es sous PREP ? »
« Bien sur Walid, sinon, je ne serais pas là… » En restant étonné de son français qui me paraissait bien meilleur que ce que je ne le pensais.
« Tu sais ce qu’il fait ? »
« Non, on n’en a jamais parlé. »
« Il fait la pute pour Khaled, qui le fait tapiner à mort à sa demande. C’est lui qui a exigé le PREP sachant que les clients payent plus cher pour baiser sans capote. Mais c’est Daniel qui l’a voulu, qui le lui a même proposé. »
« Il ne m’en a jamais parlé, mais bon, on s’est pas vu souvent aussi… !!! »
« Tu veux être comme lui ? »
« Pas vraiment, mais c’est vrai qu’en ce moment, j’ai envie de rattr le temps perdu et de me faire baiser comme une putain, même si je n’ai pas vraiment envie de l’être. »
« Alors, tu cherches quoi vraiment ? »
« Être pris par des hommes avec des sexes vraiment énormes, me sentir rempli plusieurs fois par jour par leurs membres fabuleux, et sentir leur abondant nectar se répandre encore et encore dans moi.

»
« Et pourquoi ta recherche de sexes vraiment hyper gros ? »
« Parce que j’ai été dépucelé, à mon adolescence, par mon meilleur ami, qui avait un truc inimaginable entre les jambes, je dirais, moins de 30 cm et super épaisse. Bien sûr, à cause de son truc, il n’avait jamais pu baiser. »
« Et alors ? »
« Alors, comme je l’aimais beaucoup, j’ai commencé à le branler, puis à le sucer, et lui donner mon trou, au début, juste pour un bout. J’y ai très vite pris goût et quelques temps, il l’enfonçait en entier, jutant des quantités phénoménales de sperme dans moi. »
« Je commence à comprendre. »
« Il avait un tempérament de feu, il me baisait plusieurs fois par jour, partout où on le pouvait, j’étais obligé d’avoir du coton, à l’époque, toujours sur moi pour éponger tout ce qu’il me mettait. »
« Et maintenant, tu veux vivre la même chose, c’est ça ? »
« Oui… Donc, le PREP… !!! »
« Et tu veux le réaliser avec un seul ou plusieurs mecs ? »
« Plusieurs, si possible… Tu vois, je te dis tout. »

« Moi aussi je vais tout te dire. En fait, hier soir j’étais là comme ça, mais j’habite pas vraiment au foyer, c’est une piaule que Khaled m’a passée pour que je te baise »
« OK…. Et donc ? »
« En réalité, je vis dans sorte de petit immeuble, plus ou moins abandonné, mais dont on paye un loyer, symbolique, c’est sûr, mais au moins le proprio a pas a se faire chier pour le mettre aux normes, ce qui lui coûterait une fortune. »
« Et vous y vivez à combien ? »
« Une dizaine en général, ça dépend, mais que des Algériens du Sud, très proche de la frontière malienne et on s’entraide quand ils arrivent. Pour ça que je te dis qu’on peut être une dizaine. »
« Ça doit pas être facile dis-donc… !!! »
« Pas vraiment, mais on arrive quand même à bosser, même que de temps en temps, en se soutenant totalement et on partage tout, solidarité totale. »
« Bien ça Walid… En situation régulière ? »
« Pour la plupart, oui, sinon, certains restent quand même dans l’attente.
Mais je pense que tu as compris ce qu’il nous manque le plus… !!! »
« Une femelle ? »
« Exactement…. Tu aimerais être la nôtre, à nous tous ? Tu es libre en ce moment ?»
« Oui, suis entre deux tafs et pas envie de rebosser de suite. »
« Marc… ça sera jamais du tapin comme avec Khaled et Daniel…. Juste partager du plaisir ensemble, et tu ne seras en rien… !!! »
Si j’étais surpris par sa proposition, j’avoue que ça me tentait bien. S’ils baisaient tous comme lui, j’allais pas m’ennuyer et écarter souvent les cuisses. Pour m’aider à prendre une décision, il a remis ma main sur son sexe en grande forme :
« Tu t’imagines… Ça multiplié par 10… !!! »
« Peut-être, mais la plupart doivent être hétéros, non ? »
« Oui, mais tu sais, beaucoup d’arabes adorent enculer, surtout un européen bien passif. On sait tous que vous vous donnez à fond, la preuve… On a de gros besoins sexuels et trop envie de nous vider les couilles régulièrement. Tu as des limites ?»
« En fait, pas d’uro, de sado, de maso, j’aime pas la violence, sauf la violence de la baise et être prise à fond. »
« On peut te prendre à plusieurs ? Tu avales ? Faciale ? Double pénétration aussi ? »
« Tout ça, sans problème, j’adore… La double, ça dépend aussi de la taille des bites. »
« Mais tu l’as déjà pratiquée ? »
« Oui, souvent, mon ex au Maroc me prenait en double avec son cousin pendant que je suçais un ou deux autres potes »
« Bien accro aux zebs alors, à ce que je vois, tu es ça qu’on cherche. Notre femelle, hyper chaude, de confiance, qui baise qu’avec nous et autant qu’on a envie. »

On a échangé nos numéros de téléphone, Walid m’a dit qu’il m’appellerait après en avoir parlé à ses collocs. Trois jours après, il me proposait une soirée chez eux, pour faire connaissance, ils étaient 8 en ce moment. J’avais déjà pris ma décision, j’acceptais, bien sûr. Après une douche méticuleuse et un lavement bien en profondeur, je l’ai rejoint à la station de Métro qu’il m’avait indiquée.


Il m’attendait avec un autre mec, le même genre de mâle que lui, empestant la testostérone, et je les ai suivis jusqu’à chez eux, sans pouvoir m’empêcher de mater l’énorme bosse sous leur jogg qui se balançait en marchant, ils l’avaient fait exprès, bien sûr… Moi qui voulait du Mâle, je crois que j’allais être servi.
Une fois arrivés, les 6 autres étaient là, du même genre, devant une table où le thé était dressé, et chacun d’eux, m’a pris dans ses bras, m’embrassant à pleine bouche, me pelotant le cul, introduisant aussi des doigts fureteurs sur ma fente, mains dans mon pantacourt.
On s’est quand même assis sur des canapés, un peu en rond, moi entre Walid et le pote qui était venu avec lui. Ils étaient tous en tenue hyper provocante, torse nu ou en Marcel, plus ou moins poilus pour la plupart, jogg ou short ample laissant apparaitre une bonne partie de leurs bites et de leurs couilles, bien larges et velues.

Au fur et à mesure que nous buvions notre thé, je voyais ces membres commencer à bander, les mecs écartant bien leurs jambes pour exhiber leurs virilités. Leur odeur me montait à la tête, et la vue de ces magnifiques zebs dressés commençait à m’exciter un max. Walid s’est aperçu de suite que je me trémoussais, que mes yeux sortaient presque de leur orbite, et sans façon, il m’a enlevé mon froc, m’écartant les cuisses à fond pour bien exposer ma chatte aux hommes. Il a baissé son jogg pour que je le suce, en branlant son pote en même temps, caressant les lèvres de ma vulve pour montrer la souplesse de mon orifice, rassurant ceux qui étaient un peu inquiets quant à ma capacité à encaisser leurs pieux. Il m’a renversé sur la table et m’a culbuté bien à fond, pendant que d’autres bites s’emparaient de mes lèvres. Il a joui très vite et mon cul n’est pas resté vide longtemps. Bien lubrifié par le sperme de Walid, son pote a pris son tour, et deux avaient déjà juté dans mon gosier, et d’autres venaient encore me posséder Je prenais un pied phénoménal quand j’ai vu un monstre s’avancer devant moi.
Ils avaient tous une bonne grosse bite, Walid sans doute la plus grosse de celles que j’avais déjà prises, mais ça… ça, j’avoue, ça me faisait super peur. Je ne m’étais jamais fait fister, mais j’avais l’impression d’avoir un énorme bras devant moi, inhumain… !!!

J’ai tenté de le sucer comme je le pouvais, quand il s’est allongé sur un des canapés en me soulevant pour présenter ma fente bien dilatée, conduit rempli de foutre, frottant son gland sur mes lèvres, tenant de s’introduire dans ma vulve. Je cherchais à échapper à cet accouplement qui me paraissait impossible lorsque deux autres zebs ont envahi ma bouche et je sentais des mains qui appuyaient fort sur mes hanches pour que mon corps accepte cette intrusion monstrueuse. Le gland est enfin passé et la pénétration a continué, lentement mais surement, jusqu’à ce que je sente ses couilles velues sur mes fesses. Il m’avait tout mis ce con… !!! Une double pénétration serait du gâteau après ça… Puis le plaisir a dépassé la souffrance, ses vas et viens, avaient atténué la douleur, prenant davantage d’ampleur à chaque fois, ma jouissance commençait à atteindre le summum. Tous les autres nous regardaient copuler, contemplaient ma chatte ouverte à l’extrême par ce gigantesque pal qui cherchait toujours à aller plus loin pour jouir enfin en énormes jets qui débordaient de mon tunnel. Walid m’a soulevé lentement pour me dessouder doucement de ce membre, inqualifiable et m’allonger en me laissant les cuisses bien écartées.

« Bravo Marc… Arriver à prendre en entier le zeb de Younes, tu es fort… »
« J’en peux plus…. Mais c’est quoi de truc de ouf ? »
« Tu m’avais dit que tu adorais les grosses bites non ? Et bien là, tu es servi. »

J’étais dans un état semi-comateux, ce qui m’empêchait pas, par réflexe, de branler quelques bites et de sucer Walid. On a quand même fait une pause, Walid était allé me chercher une crème apaisante pour mon gouffre en feu dont s’échappait en continu, des coulées de sperme, imprégnant la serviette qu’il avait mise sous moi. Younès bandait encore comme un âne et voulait me baiser à nouveau, malgré le refus de Walid. Mais le plaisir avait été trop grand et j’ai bien écarté les cuisses pour lui offrir ma fente qu’il s’est empressé d’investir à nouveau. J’étais dévasté, labouré, et j’ai quand même dit Stop une fois qu’il ait atteint son plaisir.

« Alors les potes, femelle adoptée ? » La question avait été posée par Walid à la cantonade.


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