Cours D'Éducation Sexuelle. 5
La prof de science doit donner des cours déducation sexuelle. 5
Quand enfin elle me sent frémir, elle dépose un baiser tendre sur la tête de mon sexe, rendant hommage à mon stoïcisme avant de me demander, elle aussi, de métendre et de me chevaucher.
Elle me branle énergiquement une dernière fois pour sassurer que toute ma vitalité est concentrée dans ces quelques centimètres de chair Elle prend ma queue à pleine main et tapote plusieurs fois lentrée de sa chatte avec mon gland hypertrophié. Tchac, tchac, tchac
puis braque ma trique sur sa cible et en bonne cavalière, monte en selle et vient sempaler directement sur ma hallebarde dressée en son honneur.
Suite
Ma verge coulisse sans effort dans une gaine pourtant beaucoup plus serrée que celle dAgnès.
Je mabandonne à ma deuxième amazone en véritable pilotage automatique
Ma petite bourge dont les bracelets tintinnabulent mignonnement au rythme de sa cavalcade, pose ses mains sur ma poitrine pour mieux se poignarder. Elle danse littéralement sur mon manche, le faisant dériver exactement là où elle veut en elle, contractant expertement son intimité, je sens que je ne vais pas résister longtemps, sa chatte est vraiment exquise.
Je la laisse me grimper un moment de la sorte mais je commence à en avoir marre de me laisser dominer par ses deux couguars, alors je la culbute sur le côté. Je pose une main ferme sur sa cuisse pour lui imprimer ma propre cadence et reprend le contrôle par des coups de reins plus amples, moins saccadés.
Elle gémit sous mes assauts, appréciant le changement. Je commence à la travailler, lui enfonçant mon pieu et me collant dans son dos. Je la baise calmement, poussant lavantage jusquaux tréfonds de son puits poisseux.
Mais elle veut aller plus loin, plus fort, Elle méchappe et se positionne en levrette.
- Miaou, miaou ! Ma petite chatte a très faim. Mencourage-t-elle en se trémoussant.
Agnès participe en orientant mon sexe devant labricot juteux. Je me colle derrière et reprends mon entreprise de pilonnage telle une machine qui ne connait plus que deux modes : avant et arrière.
Je veux lui montrer qui est le maître. Jentre ma verge tout au fond de sa chatte bien trempée dun seul coup, elle recommence à prendre son plaisir en sentant mes coups de reins.
Je lui donne tout ce quil y a en moi, le meilleur et le pire. Elle se tord sous mes coups de boutoir, mais, ne perdant pas le nord, Agnès en profite pour se faire brouter le minou par Sylvie. Mes mains fermement agrippées aux hanches de Sylvie pour quelle ne manque pas un seul battement de mes reins, je la monte tel un étalon sauvage. Elle a enfoui sa tête entre les cuisses dAgnès mais je latt par les cheveux pour relever son visage et entendre ses cris.
- Ah ! Oui cest bon continuuueee ! Sexclame-t-elle. Plus fort !
- Ah oui ? Vous êtes deux salopes ! Tiens, prend-ça ! Tu laimes ma bite ?
- Oui, je ladore
continue à me baiser comme la chienne que je suis.
Je sens sa chatte se contracter de plus en plus sur ma verge, sa jouissance ne va plus tarder.
Elle pousse des feulements de lionne qui a attrapé sa proie quand tout son corps se tend comme un arc. Telle une amazone décochant une flèche, sa jouissance explose, un orgasme accompagné de sa voix cristalline sur le point de se rompre, comme sa raison, la transcende une nouvelle fois, déchargeant tout ce quil lui reste de liqueur autour de mon nud. Quel festival !
Je la laisse reprendre son souffle, mais je nen ai pas fini avec elles.
Elle reprend sa respiration, le spectacle de son fessier me donne une immense envie denculage.
Un besoin irrépressible de déplacer ses organes internes avec ma queue. Mais je veux choisir la première que je vais troncher, je demande à Agnès de me montrer son cul, ce quelle fait sans aucune hésitation.
Elles ne savent pas encore que jai envie de leur cul.
- Jespère que le faît denculer tes profs te motivera pour avoir de meilleures notes en cours. Mets-moi ta queue au fond de mon cul.
Elle na pas fini sa phrase que sans préambule, jexplose son sphincter avec mon sexe, elle crie un peu avant de gémir de plaisir quand mes balloches claquent mollement contre sa fente. Quelle situation incroyable où je me trouve en train denculer ma prof de maths. Quand la pointe de mon gland est venue appuyer sur ses petites coulisses toutes serrées, jai eu une once dhésitation mais pas Agnès, elle a elle même tiré sur ses fesses pour mieux me laisser la sodomiser. La poussée na pas été sans effort, mais je nétais manifestement pas le premier à prendre ce chemin de traverse.
-Putain Madame Agnès, vous êtes si ouverte que je nai même pas eu besoin de lubrifier !
Elle se cambre encore plus et je recommence à cogner au fond de son cul. Jy vais doucement avec beaucoup de tendresse. Je suis à fond de cale et la fais tanguer sur mon chibre pendant quelle lâche des insanités de vieux loup de mer. Je la travaille quelques minutes avant daller voir sa collègue. Elle me supplie :
-Vas-y doucement, je suis novice.
Je dirige mon chibre vers lanus serré de Sylvie Jimagine la vision quelle doit avoir, je la sens excitée et très fébrile, tendant ses fesses vers larrière le plus haut possible comme pour une invitation, souriant jaune à lidée de ce qui lattend. Mais je narrive pas à franchir la porte.
Agnès sapproche avec une bouteille de lubrifiant, prend ma verge et lenduit copieusement avec après lavoir rapidement léchée, pas dégoutée de lendroit doù elle sort, puis oint copieusement lanneau de Sylvie. Elle relaie ensuite Sylvie en prenant ses fesses à pleines mains pour les écarter, me montrant une vue panoramique sur lentrée de service de ce cul magnifique.
Je la tiens fermement par les hanches, mon bélier prêt à enfoncer sa porte.
Il faut vraiment que je force car le passage reste très étroit mais lhuis cède et enfin, mon bélier entre en force dans la place.
-Merde, ce quelle est serrée ! Agnès, y a pas de doute, elle a beaucoup moins dheures de vol que toi !
La tête lui tourne et ses jambes tremblent. Elle ne peut retenir des cris de douleur et hurle tout son saoul. Les gens dehors doivent se demander ce qui se passe. Des larmes coulent sur son visage, Agnès lencourage :
-La douleur va vite satténuer et tu vas voir que cest bon par là aussi.
Il faut quand même un bon moment pour que Sylvie lui réponde en grimaçant :
-Je voudrais bien ty voir, je nai pas ton entrainement, moi
Quest-ce qui ma pris daccepter ça? Je suis devenue folle ou quoi !
À ces mots, jentreprends un va-et-vient ample, faisant des mouvements dau moins vingt centimètres, me défoulant pendant de longues minutes. La réaction de Sylvie change enfin après un temps dadaptation.
-Au début, jai eu un peu mal, mais maintenant, jamais je nai ressenti cette sensation extraordinaire. Sentir son sexe si long et large coulisser entre mes fesses, le sentir me remplir puis me libérer ! Comment un si gros membre qui ma fait si mal au début en me pénétrant peut-il me donner tant de plaisir ? Je ne comprends pas. Quand il ma pénétrée, la sensation a été très intense et douloureuse. Jai cru que mon anus allait se déchirer mais sa queue glissait toujours plus loin. Jai mordu ma lèvre pour éviter de crier mais je nai pas pu, cétait trop fort. Je réalisais que ce monstre venait dentrer en moi et écarter mes boyaux sans pitié. La douleur me rendait folle mais la sensation dêtre pleine et possédée par cette queue détalon faisait que jen voulais plus.
Je continue de la sodomiser, la portant presque par les hanches car ses jambes ne la portent plus. Elle pleure dextase et un orgasme explose comme une bulle à la surface, puis un deuxième. Cest maintenant elle qui sencule droit sur mon nud dur. Je la laisse manuvrer et glisse maintenant parfaitement en elle qui ne faiblit pas. Elle avance et recule par elle même sur ma bite maintenant, gémissante et criante mais acceptant mon défonce-cul.
A suivre
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