Destitué

"Chéri, tu serais un amour si tu nettoyais la vaisselle ce soir !?" Mon mari, assis devant sa télévision, m’a répondu par un grognement. Je me suis déplacée pour m’intercaler entre lui et sa chère télévision.

"Allez, chérie, je regarde quelque chose d’intéressant." Plaida Bruno, pointant la télécommande vers moi comme s'il pouvait d'une manière ou d'une autre me zapper et me faire bouger aussi facilement qu'il pouvait changer de chaîne.

J'ai regardé par-dessus mon épaule et j'ai vu cet horrible petit logo dans le coin de l'écran de télévision. 
Tout simplement géniale, cette putain de chaîne de science-fiction. Il va rester assis là jusqu’au milieu de la nuit. 
Je savais que pour le tirer de là, j'allais devoir payer de ma personne.

Je lui ai livré mon sourire le plus sexy, je l'ai chevauché et je me suis broyée contre lui pour l’aguicher :
"Je vais te posséder jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter !" lui murmurais-je en lui mordillant l'oreille.

Instantanément, je pouvais le sentir répondre sous moi et il se pencha pour m’attr les seins, mais je sautais sur mes pieds : "D'abord la vaisselle, chéri, tu auras ta récompense après. La maison ne fait pas crédit !" dis-je en lui adressant un bisou du bout des lèvres.

Bruno a saisi un oreiller, pour me frapper les fesses : "Tentatrice!" râla-t-il, mais il se leva rapidement pour aller dans la cuisine.

Je l'ai suivi, admirant ses fesses pendant qu'il travaillait. Il avait l'air si mignon, en train de laver la vaisselle dans son boxer. J'ai traîné un doigt sur mon sexe. J'étais aussi chaude et humide que l'eau de la vaisselle.

Je suis allée dans la chambre en attendant qu'il finisse, mais j'étais trop émoustillée pour patienter sur le lit. 
Je me suis levée, j'ai ouvert mon tiroir de friandises, et j'ai planté le décor pour me tenir occupée jusqu'à son arrivée. 
Cependant, mon attention a été attirée par le gode-ceinture au fond du tiroir.



Je m'étais toujours demandée ce que ça ferait d'être le pénétrant au lieu d'être la perforée, si vous voyez ce que je veux dire. C’est une de mes curiosités existentielles, quel effet ça fait, d’être un homme, avec une grosse bite ?
Mais je n'avais jamais eu le courage d'en parler à Bruno.

En fait, j'en ai parlé, une fois, comme une plaisanterie, mais Bruno n’a pas trouvé ça drôle :
"Tu ne t’approches pas de moi avec ton truc." Depuis, j'avais été trop bonasse pour aller plus loin.

En enlevant ma culotte et mon débardeur, j'ai fixé la bite en latex sur mon pubis. Je me plantais devant mon miroir et j’admirais mon reflet. J'enroulais mon poing autour du sexe noir brillant et je posais, le pied sur la chaise. 
Merde, j'avais l'air puissante ! L'autorité et la force rayonnaient de mon corps. J’étais un mâle pervers !
Puis mes pensées se sont tournées vers mon mari qui lavait énergiquement la vaisselle dans la cuisine. 
C'est l’occasion rêvée, pensais-je, et je me dirigeais silencieusement vers la cuisine.

Bruno me tournait le dos, essuyant la vaisselle qu’il rangeait dans le placard comme un bon petit mari. 
Je me suis faufilée derrière lui, attrapé son boxer, le faisant glisser jusqu’aux genoux.

Il a sursauté : "Ah ! Merde, tu m'as fait peur !" il a dit. "Ne me surprend pas comme ça quand j'ai des assiettes dans la main."

J'ai attrapé sa bite et le l’ai caressée, jusqu'à ce qu'elle se raidisse dans ma main. "Tu disais quoi, chéri ?"

Il a essayé de se retourner, mais j'ai tiré sur sa bite, haut et loin, l’obligeant à se mettre debout sur la pointe des pieds, dressé au-dessus du comptoir.

"Ne te retourne pas, je suis ton maître, tu meurs si tu croises mon regard."

"Aïe, calme-toi, tu me fais mal, bébé." Il a essayé d'attr mon poignet, mais je n'ai fait que tirer plus fort.

Je l'ai menacé : "Je vais te l’arracher." Sa main s'est éloignée et j'ai relâché la pression.
 
Ma main libre descendit jusqu'à sa croupe, malaxant ses fesses de manière possessive. 

"Maintenant, c’est qui le patron ?" Ai-je demandé, tandis que mon doigt se faufilait dans sa raie culière pour presser sa rosette étroitement serrée : "Hein, petit garçon ?"

"Arrête ça, chérie, et allons au lit. Je n'aime pas ce jeu."

Il devenait à nouveau désagréable. Je ne sais pas quel démon m'a possédée, mais j'ai ouvert le tiroir et j’en ai sorti un couteau de cuisine. Il s'est immédiatement figé dès qu'il l'a vu dans ma main. 
J'ai griffé le long de sa colonne vertébrale avec le tranchant de la lame :
"Qu'est-ce que j'ai dit à propos de ne pas bouger, ne pas se retourner ?"

Il hésita. Je l'ai entendu avaler sa salive : "Tu as dit de ne pas le faire."

"Bien." J'ai serré sa bite. C'était plus raide que jamais. Il ne pouvait pas faire semblant, je savais qu'il aimait ça.
"Maintenant … dis-moi qui c’est le patron ?"

"Toi" J'ai senti son corps vibrer contre le mien.

"Bien. Tu vois quand tu veux." J'ai posé mon pied sur son boxer, entre ses genoux, et j’ai appuyé dessus.
Glissé jusqu’à ses chevilles, je lui ai fait lever ses pieds, l’un après l’autre, puis j’ai shooté dans le vêtement.
À coups de pied dans les mollets, je lui ai intimé l’ordre d’écarter les jambes.

Il tremblait d’excitation : "S'il te plaît, bébé ... Je n'aime pas ça."

Son sexe palpitait dans ma main. "Menteur." Je l'ai embrassé dans le cou et j’ai déplacé ma main de son sexe vers ses bourses, les pressant voluptueusement. Mon baiser est devenu plus agressif jusqu'à ce que je suce son cou aussi fort que possible. Je l'ai mordu et j'ai resserré mes doigts sur sa viande. Un miaulement rauque est sorti de sa bouche.

"Dis-moi la vérité, vilain garçon. Tu aimes ça, n'est-ce pas ?" Je lui ai chuchoté à l'oreille en tordant ses bourses.

"Aïe !"

"Et ne m’appelles plus bébé, compris ? Je suis un cambrioleur, je suis entré par effraction dans ta maison.
Ta femme dort dans son lit. Je l'ai assommée avec ma grosse bite. Compris, affreux matou ?"

"Oui … compris" accepta-t-il.

"Bien. Att cette bouteille d’huile. Allez. Dépêche-toi, avant de me mettre en colère!" 
Il semblait si peu sûr de lui. Je l'ai décalotté pendant qu’il attrapait la bouteille d’huile.

"Verse-en dans ta main. Allez, tu peux le faire, gamin. C'est bien. Maintenant, donne-moi ta main." 
J'ai guidé sa main vers moi, en faisant attention de ne pas renverser, et l'ai placée sur ma bite. 
Il sursauta quand il découvrit la surprise et essaya de s’échapper, mais je le maintenais fermement.

"S'il te plaît, non, pas ça," dit-il, tandis que je frottais sa main de haut en bas sur ma bite.

"Savais-tu que je t'observais à travers ta fenêtre tous les soirs ? Faire la vaisselle en sous-vêtements coquins ? Montrer ton corps d’apollon ? Pensais-tu t'en tirer comme ça ? Juste allumer et ne jamais éteindre ? "

J'ai levé sa main derrière son dos, le forçant à se pencher sur le comptoir.
J'entrais de plus en plus dans mon rôle. Je ne m'étais jamais senti aussi forte auparavant. Si puissante !

En plaçant la pointe de mon sexe contre son cul, je sentais l'humidité suinter de mon sexe. Bruno jouait le jeu, docile, et il gémit quand je poussais en avant. Il serrait les fesses fermement, mais cela ne servait à rien, je pressais seulement plus fort jusqu'à ce que la tête entre dedans . 

"Aïe, oh putain. Je suis navré, bébé. S'il te plaît, je ne veux pas fais ça."

J'ai tordu son bras plus haut.
"Je ne suis pas ta chienne. Pensais-tu être en droit de décider ? J’ai une bite, je suis le maître. Tu dois te soumettre à mes exigences. En plus, je sais bien ce qu'une salope comme toi à besoin."

" Allez, détends- toi, sois un bon garçon, bébé . Cela te fera plus de mal si tu essayes de résister."

Je l'ai pris avec de petits coups courts, en progressant lentement dans son cul.
Je l’entendais gémir et haleter.

Je pouvais sentir la résistance s'estomper. Était-ce mon imagination ou il acceptait mon intrusion ? Non ce n'était pas mon imagination.

"C'est ça, sois un bon garçon. Cambre-toi bien. Accepte ma virilité. Je sais ce qu'une salope comme toi désire. C'est ça bébé, tu n’as pas le choix, tu dois te soumettre."

Il grognait à chaque fois que je le tamponnais. Je l'ai percuté plus fort. Mon ventre giflait bruyamment contre ses fesses.
"Tiens ! Tiens ! Tiens ! Prends ça, salope !"
Il était à moi maintenant, et nous le savions tous les deux.

Ma chatte a frissonné. J’étais prête à jouir, mais j’en voulais encore plus.

"Allez bébé. Lève ta jambe et mets-la sur le comptoir. Bien. Bon garçon. N’essaye pas de me regarder."

Ma bite était entièrement enterrée dans son cul. "Ah-ah-ah, je jouis !" je geignais. 
"Oh mon Dieu, il me fait jouir, ce petit poulet sexy."

Mes coups ont ralenti lorsque mon orgasme à diminué. J'ai senti un contact sur ma hanche. 
J'ai regardé avec surprise la main de mon mari qui essayait de me presser contre lui.

"S'il te plaît !" supplia-t-il. "Je suis si proche. Ne t’arrêtes pas, ne t’arrêtes plus !"

Je me suis lentement retirée, ne laissant que la pointe à l’entrée de son cul,

"Tu veux quoi, mauviette? Demande-moi. Supplie-moi. Dis-moi ce que tu veux, microbe. Veux-tu être ma salope ?"

Il a encore essayé de m'attirer en lui, mais je voulais qu'il le dise. Je voulais entendre. "Dis-le moi, bébé."

Il tremblait contre moi. Sa voix était rauque, juste un souffle : "Je veux être à toi. Baise-moi le cul. S'il te plaît."

Je l'ai regardé, si vulnérable, avec ses yeux fermés, son corps en position de soumission, tendant ses fesses vers moi. Je l’ai pénétré d’un long coup dur jusqu’au bout, sachant qu'il était à moi. Qu’il m’appartenait.

Je me suis demandé ce qui lui passait par la tête. Imaginait-il que c'était moi en train de le baiser ou quelqu'un d'autre ? Cela n'avait pas vraiment d'importance. J'étais là et je le baisais. Sauvagement.

Je l'ai attrapé par les cheveux. Je l'ai tiré contre moi, le forçant à se cambrer. 

"Dis-moi ce que tu veux. Demande à maman. Dis-le moi, bébé !"

"Oh ! Baise-moi ! Baise-moi le cul !" gémit-il.

"Tu veux quoi, mon poulet ? Répète, j’ai pas bien entendu !" En lui giflant le cul assez fort.

"BAISE MON CUL"

Je lui ai giflé durement les fesses. "Demande gentiment, petit merdeux."

"S’il te plaît, baise mon cul, s’il te plaît !"

"C'est bien ça, gentil garçon. Bon garçon, je vais t’apprendre la politesse." 

Son corps luisait de sueur. Il se tortillait de plaisir. Sa jambe a fait tomber une tasse sur le sol. 
Ça n'allait plus être long maintenant.

J'ai attrapé sa bite tendue et l'ai branlée. "Jouis, mon garçon, je le veux. Crie pour moi, petite pute. Crie-le !"

"Ah ! Je jouis !" cria-t-il, un long hurlement perçant mon âme. Je secouais sa bite tout le temps qu'il giclait, recouvrant le comptoir de sa copieuse décharge. Après qu'il soit revenu de son orgasme, je me suis doucement retirée de lui.

Je lui ai donné mes doigts à sucer : "Tiens, nettoie tes cochonneries !"

"Tu étais le meilleur petit garçon que j’ai baisé, mon chéri." Il léchait mes doigts. 
"Fini ta vaisselle et nettoie tes cochonneries, maman t’attends dans son lit, ne la fais pas attendre !"

Je me suis pressée de retourner dans ma chambre, pour me pommader l’anus, car je savais qu’il allait vouloir sa revanche, puis je suis allée l'attendre en position sur notre lit.

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