Cours D'Éducation Sexuelle. 6
La prof de science doit donner des cours déducation sexuelle. 6
Je continue de la sodomiser, la portant presque par les hanches car ses jambes ne la portent plus. Elle pleure dextase et un orgasme explose comme une bulle à la surface, puis un deuxième. Cest maintenant elle qui sencule droit sur mon nud dur. Je la laisse manuvrer et glisse maintenant parfaitement en elle qui ne faiblit pas. Elle avance et recule par elle même sur ma bite maintenant, gémissante et criante mais acceptant mon défonce-cul.
Suite :
Mais Agnès sen mêle, elle se jette sous Sylvie comme pour se mettre en 69, arrachant ma bite du cul pour le remplacer par sa bouche sur ma tige, sa pompe sactive en force sur ma queue, voulant aspirer toute ma sève et sen badigeonner les lèvres. Il ne fait aucun doute quelle maîtrise lart de la fellation quand elle me gratifie dune de ses gorges profondes absolument magique à vous faire tutoyer linfini pendant quelques instants avant de remettre ma lance dans le cul esseulé de Sylvie quand elle entend sa supplique :
-Olivier, défonce-moi, sil te plaît ! Je veux ta bite. Cétait bon, fort, très fort mais délicieux. La lente mais inexorable poussée continue de ton rostre, jusquau moment où jai senti le contact de tes couilles sur ma chatte quand tu es entré, tout entré, et que tu es resté immobile, pour que ma rondelle accepte la dimension de ton mandrin entré entièrement en moi !!! Un seul homme avant toi mavait sodomisée mais il était monté Small. Cest physiologiquement possible, mais jamais je ne pensais que jaurais accepté un homme au sexe démesuré comme le tien. Je sens ton énorme chibre au plus profond de moi et jy prends finalement plaisir.
Quelles sacrées garces ! Je me laisse guider dun trou à lautre, des navigations circulaires dune langue experte sur mon manche à la compression dun sphincter trop étroit, pris dans des remous incontrôlables dune tornade de jouissance.
-Monte en croupe sur Sylvie, je veux avoir à ma disposition quatre trous au choix !
Elle sexécute et pendant de longues minutes, jexplore de la grotte béante au goulot détranglement, multipliant les explorations, touchant le fond dun vagin qui ne peut accepter toute ma bite puis menfonçant au plus profond dun cul. Après quelques minutes, mon sexe vibre, ma sève monte. Je décule et présente au « conseil de classe ma lance pour lexamen final ».
Elles se précipitent et participent en me branlant chacune dune main, la bouche ouverte, jusquà ce je lâche la purée, que jaillisse en flots généreux et impétueux mon sperme qui remplit leur gorge jusquà ce quelles sétouffent avec. Le sperme continue de sortir de ma lance toujours étranglée à sa base, maintenant de façon plus continue, comme une source intarissable. Des traînées finissent par dégouliner le long de la hampe. Alors, avec application, elles se battent presque pour recueillir le fruit de leurs efforts, léchant et avalant le divin nectar.
Je me suis effondré dans le canapé et elles se sont allongées à côté de moi, heureuses, me suppliant de recommencer « tout de suite ». Mais pour moi, il nen est pas question, jai beau être jeune, il ne faut quand même pas pousser !!!
Quel bonheur de se faire ses profs qui aiment si bien célébrer la vie ! Je me demande comment je les verrai quand elles seront chastement assises derrière leur bureau de classe
SOPHIE :
Il a fini par sassoupir. Quand il se réveille dune sieste récupératrice, une heure sest écoulée. Nous sommes toujours à coté de lui, chacune une main sur sa verge toujours prise dans cet anneau denfer.
Je suis toujours en admiration devant cet épi majestueux que lanneau a ramené à la vie, retenant le sang dans les corps caverneux pour en faire un tel braquemard malgré sa dépense physique des dernières heures.
Je ny tiens plus et enjambe son corps pour me pourfendre encore une fois sur cet obélisque de chair. Les genoux posés sur le divan, mes mains autour de son cou, je monte et descends sur son jonc vigoureux, la tête vide mais ma gaine de velours défoncée par son manche. On dirait quil reprend ses esprits, comme sil sortait dun rêve, mais je ne mattendais pas à sa réaction.
Soudain, il saisit mes cuisses de ses mains et se redresse comme mû par un ressort. Je me retrouve en lair, suspendue uniquement par mes mains et retenue par sa formidable bite dans ma grotte.
Je suis assez menue et il na aucune difficulté pour soulever mes 48 kg et les laisser sécraser sur son pieu qui senfonce un peu trop loin, me faisant gémir de douleur. Il sen aperçoit et maintenant joue de mon corps au millimètre près pour que la douleur vire au plaisir, puis à lorgasme.
Si je mattendais en faisant ce cours déducation sexuelle pour éduquer ces jeunes cons à ce que ça se retourne contre moi et que ce soit moi qui prenne des leçons !!!
Il me soulève des fois trop haut, et Agnès qui nen manque pas une en gobant ses noix, joue à la chaise musicale, une fois dans la chatte une fois dans le cul
Je déguste encore car la pénétration est violente et rapide, heureusement que mon anus a déjà pris la mesure de son gros dard.
Mais il est déchainé et me jette sur le divan, relève Agnès et lui fait subir le même sort.
-Espèces de salopes ! Petites vicieuses de prof ! Vous marcherez en canard quand jen aurai fini avec vous !
Je ne sais pas doù il tire encore autant dénergie mais je déguste fort. Le pire, cest quAgnès vient en remettre une couche en occupant le trou libre avec le gode qui traine toujours dans la pièce.
Mais tout a une fin, il sécroule sur le divan avec Agnès toujours fichée sur son tenon et cette folle continue de se troncher jusquà ce quil demande grâce.
Nous finissons le supplice par une branlette double et malgré ses exploits précédents, il arrive encore à cracher son venin, bien moins abondant évidemment, mais lanneau produit toujours son effet et les quelques jets puissants sélèvent avant de retomber sur son corps luisant de sueur.
Nous croyons avoir gagné contre sa jeunesse, mais il nest pas de cet avis. Il se redresse, la bite pendante mais toujours gonflée, nous jette sur le divan et nous rend la pareille, se laissant aller sur nos fentes débordantes de mouille. Il lape mon entrejambe, sétranglant presque de mon jus, plongeant de plus en plus loin en moi sa langue, remontant vers mon clitoris gonflé qui accueille sa langue comme le petit Jésus. Nous nous laissons faire à tour de rôle, couinant comme des truies quon égorge. Il nous mène du bout de sa langue, nous sommes ses choses...
Le combat a été rude mais je ne sais pas qui est le vainqueur. Agnès lui retire enfin lanneau de caoutchouc en tirant dessus pour faire passer une boule, puis lautre, et enfin le retire de son tuyau.
Elle soupèse une dernière fois le service trois pièce, et se retournant vers moi :
-Sylvie, si tu as dautres loustics comme ça dans ta classe, je suis preneuse, et toi, Olivier, ne crois pas que parce que tu nous as sautées, que tu auras un traitement de faveur
Ce sera plutôt des gages à payer en nature !
Je ne sais pas ce quil en pense, mais à sa place, je me ferais coller régulièrement
pour notre plus grand plaisir, à Agnès et à moi
Fin.
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