Chapitre 6 : Candaulisme Ou Triolisme.

Pour les fidèles de mes récits, au dernier chapitre, le numéro 5, Marie, ne veux pas revoir Denis pour la morale, c’est le milieu catholique et l’éducation reçu par ses parents qui lui provoquent des blocages. Elle ne peut se comporter comme une « pute » dit-elle !!!
Mais au fond d’elle-même, elle a très envie, c’est pour cela, que je ne l’ai pas brusqué, jouant l’indifférence en attendant que cela vienne d’elle. Et c’est donc à sa demande que nous allons retrouver Denis.
Ne voulant pas que ses parents (qui gardent notre fils) se doutent de quelque chose, Marie préfère voir Denis plus près de chez nous, pour nous éviter les longs trajets, et simplement un après-midi… Et dans un endroit plus simple… Là, c’est pour ne pas passer pour une « pute »
Nous convenons de la date du 1er juin, c’est un samedi après-midi, et Denis réserve une chambre dans un hôtel « Campanile » dans une zone commerciale à Barentin, près de Rouen, pratique pour nous qui habitons à trente minutes de l’hôtel.
C’est tout simplement moins glamour que le Normandy de Deauville, et Marie va beaucoup regretter « son luxe ».
Nous nous retrouvons sur le parking de l’hôtel, Marie porte les sous-vêtements de Denis avec une petite robe à volants manches courtes à fleurs plutôt sexy… Les retrouvailles sur le parking, ce n’est pas le bar du « Normandy »… Puis nous pénétrons dans la chambre simple…qui semble ne pas faire rêver Marie…Nous discutons sur le lit, personne n’est à l’aise, ou plutôt nous sommes tous coincés, Marie a la tête des mauvais jours, je vois que ça ne pas…Je connais bien Marie…
- Ça n’a pas l’air d’aller Marie… Lui lance Denis
- Eh bien, je me demande ce que je fais là Denis dans cette petite chambre avec deux hommes !!!
- T’inquiètes pas Marie, je ne t’oblige à rien, c’est l’endroit qui ne te convient pas…Éric m’a demandé de choisir un hôtel simple car tu ne veux pas passer pour…
- Eh bien justement, dans cette chambre j’ai vraiment l’impression d’en être une, tu vois !!!
- Calme-toi, Marie, si tu le souhaites, tu peux rester spectatrice.


Pendant que je réponds à Marie, Denis sort une petite « glacière », il est arrivé avant nous à la chambre et a déposé des surprises avant de nous attendre sur le parking. Il recouvre la petite tablette d’une petite nappe blanche, dépose des petites coupelles, dispose des macarons, des fraises et des framboises, sort trois coupes et ouvre une première bouteille de champagne.
- Tu vois Marie, j’ai bien noté que tu aimes le champagne, c’est le même qu’au « Normandy », et puis tu m’as dit que tu aimais les framboises et les fraises !!!
- Oh merci Denis, tu es un amour…
- Les macarons, c’est pour Éric, je sais que tu aimes ça Éric !!!
Marie retrouve le sourire, et semble oublier la tristesse d’une chambre d’un hôtel Campanile quand on a d’autres projets que de dormir. Nous prenons la première coupe…
- A nos retrouvailles, et… Carpe diem !!! Dit Denis.
- Oui, je suis bête, profitons de l’instant présent, je suis en train de gâcher votre fête !!! Lui répond Marie.
- Ça peut être la tienne aussi, « ma chérie »… S’aventure à lui répondre Denis.
- Ah Oui… Répond Marie en lui souriant gentiment comme pour accepter la proposition.
- Denis, nous devons te présenter ton dernier « cadeau »… Marie, tu peux passer entièrement la tenue offerte par Denis ?
- Maintenant ?
- Ah Oui, je suis vraiment impatient, je veux savoir si j’ai bon gout !!!
Marie passe dans la salle de bains, la porte n’est pas complètement fermée, elle porte déjà le soutien-gorge et le string en dentelle et soie de couleur blanche de chez Lise Charmel. Elle retire sa petite robe, et prend le serre-taille porte-jarretelles et enfile la petite nuisette de la même collection… Se refait une beauté, rouge aux lèvres, coiffure…
Nous nous regardons Denis et moi, Denis semble apprécier le spectacle, d’un moment volé, car Marie ne se doute pas qu’elle est observée, elle repositionne la ficelle de son string, s’admire à nouveau et revient vers nous.

Marie est sublime, il n’y pas d’autre mot, je lui demande de se tourner, elle s’exécute délicatement, sensuellement…
La petite nuisette est bien transparente, nous invitons Marie à nous rejoindre sur le lit, mais elle souhaite une deuxième coupe et vole au passage quelques framboises.
Marie est maintenant allongée, Je caresse ma femme adorée, je dégrafe son soutien-gorge sous la nuisette, je suis dans un état d’excitation maximal, Denis lui prend alors une main, la porte à ses lèvres pour l'embrasser, puis la garde serrée entre les siennes. Denis me sourit, Marie semble sereine complètement abandonnée, avec le regard interrogateur. Elle me sourit aussi. Ils ont l'air complice.
Denis prend son autre main et l'embrasse dans le cou, puis sur la bouche tandis que sa main libre va caresser un de ses seins. Elle répond à son baiser, malgré mes recommandations d’éviter de le faire… D’une main je lui caresse l'autre sein. Ses tétons durcissent et son petit string doit commencer à être humide. Marie se dégage, nous nous regardons tous les trois et… trois grands sourires finissent de décoincer la situation. Denis et moi, nous lui donnons alors un gros bisou sur les joues. Puis nous lui retirons sa nuisette.
Son serre-taille porte-jarretelles ne tarde pas à rejoindre la nuisette et elle découvre le plaisir d'avoir les deux tétons sucés en même temps. Je connais le comportement intime et les réactions de son corps. Au bout d'un moment, Marie demande une nouvelle coupe de champagne…Elle est toute excitée torse nu devant ses deux hommes, je passe ma main sur son petit string qui est de plus en plus humide.
Marie reçoit de notre part des bisous, des bisous partout. Seins, ventre, cuisses. Je sens qu’elle plane sans réagir. Puis une main de Denis s'insère dans son string et commence à caresser sa petite toison tandis que je commence à lui caresser les lèvres par-dessus le tissu.
- Mais elle est complètement trempée la coquine !!! S’exclame Denis
C'est la fin de son petit string qui va rejoindre la nuisette et nous, les deux hommes nous nous mettons à l'aise.

Nous sommes allongés nus tous les trois, Marie prend le sexe de Denis en bouche et commence à le sucer. Je lui écarte ses cuisses et vient coller ma bouche à sa fente. Quelle merveilleuse sensation, je vois en plus les mains de Denis qui excitent ses seins. Je joue avec deux doigts dans son vagin et ma langue joue avec son clitoris. Je sens son plaisir monter, elle gémit… gémit encore et dans un cri elle ressent son premier orgasme de l’après-midi.
Il lui faut quelques minutes de récupération durant lesquelles nos mains (Denis et moi) se promènent sur son corps en évitant les endroits sensibles. Marie ouvre les yeux, nous fait un sourire et prend nos sexes, un dans chaque main. Nos sexes sont bien raides, Elle nous branle doucement. Quelle étrange sensation de voir sa femme avec le sexe d’un autre homme dans la main. Denis la fait mettre sur le côté, lui tournant le dos. Il se prépare, soulève une de ses cuisses et je vois son sexe à l'entrée de son vagin. Elle est trempée, il la pénètre facilement et commence de lents va et viens. Je me place face à elle, tête-bêche. Elle prend mon sexe en bouche pendant que je regarde le sexe de mon ami Denis aller et venir dans son intimité.
Je savoure ce moment, Denis accélère, je devine ses contractions, il jouit avec un râle. Marie se libère. Moi, sur le dos, je la regarde. Elle s'empale sur moi et commence ses mouvements frénétiques sur mon sexe qui la remplit totalement. Je sens venir « son »plaisir, j’effleure son clitoris et elle jouit en criant. Je ne peux plus résister, elle continue ses mouvements et je jouis en elle en grognant. Elle me garde en elle pendant que Denis vient se placer face à elle pour la serrer dans ses bras. Nous restons ainsi tous les trois un long moment à récupérer. Puis nous séparant, nous décidons d'aller profiter d'une bonne douche.
Marie n’a jamais été aussi bien lavée. Deux gants, très doux, parcourent avec délicatesse la moindre parcelle de son corps. Elle se laisse faire longtemps avant de remarquer que nos deux membres reprennent de la vigueur.
Elle nous laisse alors terminer notre propre toilette. Elle se sèche et va s'allonger sur le lit en reprenant au passage une coupe de champagne. Nous ne tardons pas à la rejoindre, et chacun d'un côté recommencent à la caresser. Connaissant la sensibilité de ses tétons je m’y attarde plus particulièrement. Nous lui suçons les seins tour à tour. Ma main écarte ses cuisses, un doigt s'introduit dans son vagin. Une autre main (Denis) se pose sur sa toison et un doigt commence à tournoyer sur son clitoris. Nous accélérons. Elle gémit de plus en plus. Nous l'achevons.
- Oh ouiiiiiiiii !!!
- Tu aimes ça hein… Profites bien… ma petite salope préférée !!!
Je la fais mettre à genoux, je me place derrière elle et lentement introduit ma queue dans son vagin à nouveau détrempé. Elle fait signe à Denis qui vient présenter aussi sa « grosse » queue. Elle la caresse puis commence à la sucer. Je m'active de plus en plus puissamment. Je remplis bien ma salope offerte. Elle contracte son vagin tout en continuant à masturber Denis, de plus en plus vite. La tension monte encore. Denis et moi commençons à grogner.
- Oh ouiiiiiiii !!! Les garçons, je sens une grande chaleur m'envahir.
- Ça vient pour moi !!!
- Ca y est !!!
Marie est déchainée, elle crie, nous sommes trop occupés pour répondre. J’accélère encore. Je me contracte pendant que je me vide en elle. Denis ne peut plus se retenir, elle le prend en bouche juste à temps pour recevoir son jus. Elle continue à le branler pour le vider complètement. Nous nous écroulons tous les trois, le souffle court.
Petite douche rapide et nous revenons dans la minuscule chambre du Campanile, nous nous rafraichissons… Champagne, Marie se siffle encore une coupe de champagne. Nous plaisantons. Marie se moque de nous avec nos petits sexes dégonflés. Marie, par contre, a les lèvres toutes gonflées qui ressortent plus que d'habitude. Je le remarque en me moquant d’elle à mon tour. Nous restons ainsi une demi-heure à discuter joyeusement, de l’avenir, du futur anniversaire de Marie, le 11 juin, c’est dans dix jours. Denis nous propose de le fêter ensemble.
Mais le dimanche précédent, Marie a invité ses parents, sa sœur et son frère et leurs s… Ce n’est pas possible de voir Denis.
- Et le 10 et 11 juin, c’est possible pour vous ? Demande Denis.
- Non, nous travaillons Denis !!! Répond Marie.
- Vraiment pas possible ? Je vous propose deux jours en Bretagne !!!
- Ah oui !!! Répond Marie.
- Je vous propose : Trébeurden sur la côte de Granit rose, un manoir avec une vue panoramique sur la mer, tu vas adorer Marie.
- Oui Denis, mais nous travaillons et puis notre fils ? C’est ma réponse.
- Je dois pouvoir m’arranger en ce qui me concerne, Éric et puis pour Antoine je peux demander à mes parents de le récupérer le lundi soir chez la nounou !!!
Aussi étonnant que cela puisse paraitre, c’est maintenant Marie qui est motivée pour retrouver Denis…
Il est déjà très tard, l’après-midi est bien avancée, nous ne pouvons pas être en retard chez les parents de Marie. C'est Denis qui donne le premier signe de reprise. Son sexe commence à se remplir tandis qu'il ne quitte pas l’entrejambe de Marie des yeux. Je m'en rends compte et cela me donne des idées car moi aussi je commence à retrouver une petite raideur.
- Et bien les garçons, que vous arrive-t-il ? Nous demande coquine, Marie.
Sans un mot, nous nous levons, nous saisissons Marie, nous la jetons sur le lit et aussitôt Denis lui écarte les jambes et vient coller sa bouche à son sexe. Il est déchaîné, écarte ses lèvres pour introduire sa langue le plus loin possible. Je sens l'excitation de Marie remonter, elle gémit déjà. Pendant ce temps, j’ai pris une des mains de Marie pour la poser sur mon sexe. Elle me masturbe avec vigueur, elle est aussi déchaînée. Soudain Denis la place au bord du lit, se courbe, se met à genoux en plaçant les jambes de Marie sur ses épaules et la pénètre avec violence.
- Cela me semble encore plus gros que d'habitude Denis !!! Lui lance Marie, qui ruisselle de partout.
Pendant ce temps, elle continue à me branler, je m’active sur ses seins avec les doigts et la bouche. Nous accélérons tous les deux. Elle aussi. Elle ne sait plus où elle en est. Elle cri plusieurs fois en plus en plus fort. Nos sexes semblent de plus en plus gros. Soudain Denis se retire, se découvre et éjacule sur son ventre et sa toison. Je le remplace aussitôt. Mon sexe est très gros et je suis déchaîné, par la vision de mon épouse qui absorbe nos sexes comme une salope. Elle aussi est déchainée, je ne l’ai encore jamais vu comme cela, cela me fait même un peu peur, elle cri encore et encore, elle veut encore continuer. Mais je me retire pour mêler mon sperme à celui de Denis. Elle reste inerte, anéantie, à demi consciente.
Encore une douche. Il est dix-neuf heures. Nous sommes vraiment en retard, belle maman ne va pas nous féliciter et Marie est bien ébouriffée et en plus elle porte une robe beaucoup trop sexy pour sa maman…
Nous devons rentrer très vite, Denis offre un paquet cadeau à Marie, pour notre prochaine rencontre. Nous nous embrassons, Marie échange encore un baiser appuyé, beaucoup trop à mon gout avec Denis.
Sur la route du retour, Marie me confie qu’elle sent ses parties intimes toutes irritées et gonflées. Mais qu’elle a vraiment apprécié d’être prise comme cela…
- Tu penses que c’est normal, Éric ?
- Quoi, Marie ?
- Que tu prennes du plaisir à me voir baiser avec Denis !!!
- Je n’en sais rien, Marie, je ne me l’explique pas, et toi, ne me dis pas que tu n’as pas pris de plaisir !!!
- Ben oui, justement, j’adore être prise par vous deux, je ne comprends pas et Denis me fait me lâcher, il est doué pour cela, et puis je l’aime bien !!!
Epilogue :
J’ai recherché un homme pour une relation « bisexuelle », je l’ai trouvé, un homme bien trop âgé certainement, bien conservé ayant beaucoup de savoir-vivre, cultivé, bon baiseur, disponible et riche, nous permettant de vivre des expériences dans des endroits merveilleux, mais disons le directement, comme je suis plutôt passif, et que j’apprécie les bonnes « enculades » même encore maintenant à 64 ans, comment expliquer que le plaisir de voir mon épouse prise par Denis et plus tard par d’autres hommes ai pu supplanter mon besoin initial.
C’est une bonne question !!!

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