Service Militaire

Comme la plupart des jeunes de mon âge (20 ans), j’ai effectué mon service militaire en 1980. Sans dévoiler la branche d’arme, je peux dire que j’ai pu choisir mon armée. Et au lieu de traîner dans des casernes, j’ai pu me rendre utile.
Après quelques mois de classe, j’ai été affecté, début 1981, dans une unité qui gérait les trafics routiers. J’étais en compagnie de neuf autres appelés. Et nous nous trouvions logés avec des sous-officiers dans des tours d’immeubles en milieu civil.
Pour les appelés, il y avait deux appartements à occuper (F.4 et F.2). Chaque jour nous avions des missions avec les autres militaires. Et chaque jour, il devait rester aux appartements l’un d’entre nous, pour faire le ménage, recevoir la nourriture d’un traiteur, la faire chauffer et aussi assurer la garde du téléphone. Si le téléphone sonnait, le jour ou la nuit, il fallait répercuter l’appel aux militaires de permanence.
Un jour de semaine, je me trouvais de garde dans l’appartement du téléphone. C’était le matin, j’effectuais le ménage. Pour cette journée, la tenue était le survêtement.
En milieu de matinée, le téléphone a sonné et j’ai donc répondu. Il s’agissait d’une femme, une épouse d’un sous-officier. Visiblement embêtée, elle m’expliquait qu’elle se trouvait seule depuis deux semaines, son mari étant parti en stage encore pour trois semaines. Ce matin-là, elle avait fait fonctionner sa machine à laver, mais elle était tombée en panne. Ne sachant trop que faire, elle me demandait si je pouvais connaître le problème.
A l’époque, les machines à laver comportait une pompe avec un filtre et lorsque celui-ci était plein, cela créait des pannes. Pensant à cela, je lui ai dit que je pouvais venir voir, ce qui réjouit la femme.
Au cinquième étage, la femme m’ouvrit. Devantmoi, elle est alors apparu, une femme d’une quarantaine d’années en peignoir. Le peignoir tenait seulement fermé par un cordon sur le ventre. Et le haut du peignoir était assez ample pour voir le début des rondeurs de la poitrine.

Après les présentations, elle me fit entrer. Elle n’emmena directement à la salle de bains où se trouvait la machine. Elle m’expliqua ce qu’elle avait fait avec la machine, se pencha à plusieurs reprises dévoilant ainsi sa poitrine. Ses seins étaient bien galbés et j’avais du mal à en détacher mes yeux.
Après avoir démonté la pompe et l’avoir nettoyée, la machine fut de nouveau opérationnelle. La femme était restée auprès de moi et bien entendu, se penchant pour voir ce que je faisais. Et chaque fois le peignoir s’ouvrait, laissant paraître ses deux seins.
Heureuse de la réparation, la femme m’offrit le café, que d’ordinaire je ne buvais pas. Mais la vue de sa poitrine, m’avait encourager à le boire.
Elle me fit asseoir sur un fauteuil face à une table basse et un canapé. A aucun moment, elle ne sait habillée et toujours gardé le peignoir, moitié fermé, moitié ouvert. Penchée en me servant la café, je pus admirer une nouvelle fois ses seins. Il me fallut beaucoup de sang froid pour ne pas les empoigner tellement que j’étais excité.
Elle vint ensuite s’asseoir en face de moi,sur le canapé. Le peignoir glissa, alors de chaque coté des cuisses, les dévoilant quasiment. Elle ne toucha pas son peignoir et ne serra pas ses jambes. Je pus donc voir une tache sombre à l’entrejambe. Elle me parla du service militaire, me demandait si ce n’était pas trop dur d’être constamment avec des garçons et jamais avec des filles. Qu’elle se demandait comment on faisait pour ne pas avoir d’envie, car elle savait ce que c’était, son mari étant parti depuis deux semaines et qu’il fallait encore attendre trois autres. C’était trop pour elle. Et comme mon regard allait de son visage pour l’écouter à son entre jambes, je m’aperçus que celles-ci s’écartaient de plus en plus.
J’étais excité, on sexe était en érection, Cela devenait gênant mais je n’avais pas envie de partir. Elle continuait de parler de la jeunesse, qu’il ne fallait pas se priver, etc. C’était plein d’appels du pied pour baiser.
Mais je n’osais pas y croire.
Tant bien que mal, je finis par me lever, mettant ma main à la hauteur de mon sexe pour ne pas montrer la bosse qui se formait. J’allais lui dire au revoir, lorsqu’à son tour, elle s’est levée, faisant tomber le cordon du peignoir. Celui-ci s’ouvrit entièrement et je la vis complètement nue. Elle me demandait si je bandais, s’approcha de moi, et baissa mon pantalon de survêtement, Mon sexe dépassait du slip. Elle me sourit et me dit « tu vois que tu as envie ». Puis, elle baissa mon slip et me branla vigoureusement, puis doucement, alternant ces deux phases. Alors j’ai empoigné ses seins, les ai léchés, Elle me repoussa en me lâchant mon pénis. Elle fit le tour de la table basse, vint se mettre à quatre pattes sur le canapé, tout offerte. Elle tourna la tête vers moi et dit « viens ». Je me suis approché, derrière elle, est guidé mon sexe dans sa chatte et l’ai pénétré d’un coup de rein. Elle laissa échapper un râle, Je l’ai ensuite maintenue par les hanches et l’ai pilonnée de toutes mes forces. Visiblement habituée à ce genre d’activité, elle finit par glisser une main sous ventre et à se caresser, Les râles ont laissé place à des hurlements et on a atteint l’apothéose lorsque j’ai éjecté ma semence dans son sexe. J’ai pétri ses seins qui pendaient dans le vide. J’ai martelé ses fesses blanches et enfoncé un doigt dans son rectum, après avoir caressé sa rosette.
Après avoir retrouvé nos esprits, j’ai rejoins l’appartement, la laissant nue sur le canapé.
Les mois après, j’ai toujours espéré qu’elle me rappellent. Mais cela n’a pas été le cas.
A la fin du service, lors d’un repas pris avec les neuf autres camarades, nous avons parlé des femmes des sous-officiers. Et on s’est aperçu que six d’entre nous avaient été appelés par cette femme pour des raisons différentes, mais dont le but était qu’elle se fasse baiser.

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