Grillé (Épisode 1)

Personnellement, je ne me suis jamais extasié sur moi-même devant un miroir, même si cet accessoire, le miroir, m’a toujours un peu fasciné et même excité pour peu qu’un joli corps nu, homme ou femme, s’y reflète. Je n’ai toutefois pas été insensible aux compliments reçus à l’adolescence et lorsqu’une « vieille » de 30 ans me matait de façon insistante, je rougissais comme une pivoine. Bien sûr, comme tous les garçons et toutes les filles de mon âge, je fantasmais et je m’abandonnais aux plaisirs solitaires. Plus tard, j’ai expérimenté l’ivresse du plaisir partagé dont je reste un inconditionnel.
Généreux de nature, j’aimerais partager plus souvent des jeux amoureux avec toutes les personnes de mon entourage. Qu’elles soient initialement consentantes ou qu’elles le deviennent par la force des choses. C’est ce qui s’est passé aujourd’hui avec mon cousin Gaëtan.
Grillé à deux reprises en une même matinée, ce grand dadais de 18 ans s’est trouvé contraint d’accepter mes fantaisies sexuelles pour éviter l’humiliation d’une dénonciation, preuves à l’appui, à ses parents.
La première fois que je l’ai surpris en train de se branler dans notre maison de vacances familiale, c’était au petit matin, il devait penser que je dormais encore. Il était couché sur le ventre et ondulait en cadence son jeune corps sous les draps. J’avais chaud pour lui. Je devinais l’activité de plus en plus rapide de ses mains sur sa queue et ses couilles. Le drap glissa soudain et je fus satisfait au-delà de mes pensées : il se branlait aussi son petit trou à l’aide de 2 doigts.
J’attendis qu’il jute pour prendre quelques photos en douce.

La seconde fois, je l’ai provoquée le même jour vers 9 heures, je me suis promené nu dans la chambre en sortant de la douche et lorsqu’il a commencé à bander, je lui ai laissé la place libre pour aller prendre mon petit déjeuner, sans lui dire, bien sûr, que ma webcam l’espionnait. Il a donc été filmé en train de s’astiquer le poireau en pensant à mes courbes et à ma queue appétissante.


Avant qu’il ait quitté la salle de bain, je l’ai rejoint avec les images gênantes de ses exploits. Il s’excusa et demanda à réparer ses fautes, que surtout ses parents, sévères et religieux, ne sachent rien. Je lui répondis qu’il était trop tard, qu’il fallait réfléchir avant. Toutefois, lui dis-je, si tu supportes sans crier, ni pleurer, 7 coups de badine sur tes fesses nues, je verrais si je peux me montrer clément.

C’est ainsi qu’il s’est agenouillé face au dossier d’un sofa, à demi dénudé, short et boxer sur les chevilles, son tee-shirt vert bouteille, lui couvrant à peine le haut des fesses. Il se sentait prêt à recevoir sa punition. Je lui ai demandé de compter avec moi : un et clac - aïe, deux et clac - c’est douloureux déjà, s’il ne retient pas ses larmes, il aura perdu ce défi. Courage... et 3 et 4 - les fesses sont zébrées, meurtries, chauffées à l’extrême. Un temps d’attente et, Dieu merci, la main remplace la baguette pour les 3 dernières tapes. C’est soutenable.
Après le petit déjeuner, le jeune fessé s’apaise un peu dans la piscine mais il sait que je n’en ai pas fini avec lui. Je l’attire dans le pool house : « - allez vire ton maillot de bain et retourne-toi sans me faire attendre ».
Lisse et doux était son cul sous la caresse de mes doigts. Il se tendait vers la main, oublieux des tapettes du matin. Il voulait sa récompense car il avait été brave, calme, endurant. À présent je vérifiais rapidement d’un geste vif de la main gauche que son sexe s’était endurci.
« Oh oui, oui, tout doux, ne jouis pas vite. »

Il est en forme, c’est sûr, ma langue, ma bouche, prennent le relais de ma main avec précision et lenteur. Je m’applique par derrière son cul et par en dessous, entre ses cuisses, à lui mordiller les couilles sans appuyer, sans douleur, il aime, il couine pour me le faire savoir. Ma bouche engloutit une belle bourse, qu’elle fait rouler un instant de raison, avant de la recracher et hop, c’est le tour de l’autre couille puis des 2 ensembles.
Là, il a besoin d’appui, je l’entends souffler de désir et je lui mets un doigt d’abord dans sa bouche, pleine de bave ensuite dans son anus détendu et j’alterne - il goûte son odeur intime et en salive à qui mieux mieux et moi, cette salive me sert à pistonner son cul.

Pas de gel, que du bio, de la baise écologique en somme.

Il a posé ses genoux à terre, c’est un peu gênant pour un mec d’être à 4 pattes car on ne peut pas vraiment serrer les cuisses, les couilles et la bite font obstacle à la chose et en l’occurrence la chose est longue et épanouie. Je la remercie d’un coup de langue sur le gland, bite dans la poigne de ma main droite, tirée en arrière entre ses cuisses, plaquée contre ses fesses - je sens que je vais bientôt me régaler de son sperme chaud ! Mais pas trop tôt. Ou bien ce sera lui, qui sait ? Je le pompe en reprenant mes quartiers dans son beau cul que je doigte de plus belle.
C’est à ce moment que me vint l’idée de diffuser les images sur un site de messagerie vidéo pour adulte. Le temps de regagner la maison, Gaëtan s’est couvert d’un léger paréo. Dès que nous franchissons le seuil de la chambre, il se dénude et me présente sa bite et son cul à bouffer tandis que je branche ma webcam et que je rejoins le site pour adultes. Très vite, malgré l’heure du déjeuner généralement consacrée à d’autres appétits, une dizaine de personnes suivent la scène en connectant leur propre caméra. Dans le cliquetis des ceintures défaites, les fermetures éclair et les boutonnières des jeans et des pantalons de toile s’ouvrent sur des slips et des boxers moulant une armée de bites tendues.
Devant mes yeux ravis, le grand écran de notre chambre retransmet l’obscénité de la scène centrale suivie par tous et cette scène est encadrée des petites exhibitions des participants.
Les commentaires fusent :
« À poil, montre ta bite »
« Oui frotte ta bite contre la sienne »
« Léchez vous mutuellement les couilles et le petit trou »
« Oui en 69 les salopes, faites-vous un anulingus »
« Baise-le comme une chienne ! »
De nature obéissante, je me mets à poil : mon tee-shirt blanc vole découvrant les abdos sur ma peau hâlée par 3 semaines de vacances dans le sud de la France, puis je défais mes Stan Smith et la caméra zoome enfin sur mes mains descendant mon jean 501 sur mes chevilles.
Mon boxer rouge est déformé par ma queue à demi tendue, je me retourne pour offrir la vision de mes jolies fesses en tirant d’un coup sur mon boxer. Je finis ma mise à nu en exhibant fièrement mes attributs virils.
Comme ordonné, je frotte ma bite contre celle de mon partenaire et ce ballet sensuel nous engaillardit. Nos bites se frôlent, se cherchent, se choquent. Elles semblent dotées d’une vie autonome. Leurs propriétaires suivent comme ils peuvent, en geignant. On va au sol sur les tapis en 69, le nez dans mes fesses, il me lèche les couilles. Je lui rends la pareille et nous poursuivons nos explorations par la raie du cul et son ognon renfrogné.
À grands coups de langues, nos trous chéris s’élargissent. Sur le grand écran, je ne vois plus que des branleurs grognant de plaisir, prêts à expulser leur sperme. C’est alors que je le retourne et que je m’introduis d’un coup dans son cul offert. Mes couilles claquent contre ses fesses dans un bruit marin. Nous sommes encouragés par tous, plusieurs lâchent leur sperme dans un râle ou en criant. Je continue de baiser ma chienne, moi, derrière, énergique, elle, à quatre pattes, gloussant, jappant, agitée de soubresauts incontrôlables. Elle me demande l’autorisation de se branler. J’y consens en l’accompagnant d’une main ferme. Tout à coup, n’y tenant plus, elle m’implore : je peux jouir ?
Alliant le geste à la parole, d’une main de maître, je resserre mon étreinte pour faire durer son plaisir, en lui soufflant : « Oui viens maintenant ! » De longs jets de foutre s’écrasent soudain sur le sol, il hurle son plaisir.

Autour de nous 8 branleurs sur 10 se sont finis. Ils regardent hébétés les derniers rebondissements de la scène érotique, leurs queues à demi bandées à la main, les 2 derniers s’activent de plus belle. L’un d’entre eux s’introduit un énorme gode entre ses fesses musclées et jouit enfin par le cul.
Je me sens au bord de l’explosion aussi. Je me retire des entrailles chaudes pour présenter ma bite lubrifiée et parfumée au visage de mon jeune compagnon de baise.
Il l’engloutit goulûment avec des bruits de bouche au plus profond et de plus en plus vite.
« Ah oui, oui c’est bon, doigte-moi, en même temps, oui comme ça ! mmmmmoui ah ah je viens ! » « Prend tout ! Avale mon salaud ! vas-y ! oui oui : un et deux et trois jets dans ta gorge…mmmm, et 4 et 5 ! »
« Maintenant lèche l’extérieur, je ne veux pas me laver de suite. »

A ces mots le dernier branleur laissa partir son sperme dans un râle d’une voix rauque. On décida de prendre son téléphone pour se retrouver bientôt à trois dans mon appartement parisien. Mais cela c’est une autre histoire...

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