Maria 7 : Viva Espagna

Le dix neuf juillet, à la veille de partir, nous étions seuls sur la plage, Emmanuel et moi, seuls depuis trois semaines passées avec Hélène et franchement, malgré le plaisir que nous avions avec elle, cette « intimité » nous plaisait. Allongés en amoureux sur notre serviette, nous séchons tranquillement après le bain, lorsque Emmanuel suggère de partir le soir même afin de quitter cet environnement où nous sommes obligés d’être prudents, tout au moins en ville et dans l’appartement.
Je trouve l’idée excellente, aussi nous filons à l’appartement, préparer les valises, Emmanuel fait le ménage comme promis à sa mère, puis nous passons chez elle pour lui donner les clés. Pendant qu’Emmanuel se prépare, je parle un peu avec ma « belle-mère » qui me recommande une nouvelle fois de sermonner Emmanuel s’il ne se tient pas bien, qu’il ne soit pas envahissant chez mes amis et ne fréquente pas n’importe qui.
• "Vous me raconterez à votre retour, entre femmes on peut se soutenir et puis il pourrait être votre fils !
• Petit-fils ! Dis-je pour m’amuser. N’ayez crainte, j’aurais un œil sur lui – et autre chose pensais-je – je veillerais de près – très près – à son comportement.
• Merci beaucoup ! Vous permettez que je vous embrasse ?
• Bien sûr »

Nous-nous embrassons comme de vielles amies, elle est un peu émue et me serre entre ses bras, c’est à ce moment qu’Emmanuel revient avec ses bagages et nous trouve enlacées, je suis face à lui et sa mère ne le voie pas, son air surpris laisse place à un sourire et il lève le pouce en riant.
• "Je vois que vous vous entendez bien dit-il ! »

Sa mère, surprise se détache comme prise en faute, les joues un peu rouges.
• "Madame est très gentille de t’emmener avec elle, alors ne me déçois pas. Sois très gentil avec elle ! Elle me tiendra au courant si tu te comportes mal et ne fais pas bien tes devoirs ! Et puis, tu pourras tout de même t’occuper un peu d’elle !
• Mais oui Maman, ne t’inquiètes pas, je m’en occuperais, je serais gentil et je ferais mon devoir !
• Tes devoirs ! Que tu parles mal ! Ça aussi tu pourras faire attention, ne me fais pas honte !
• Oui pardon Maman dit-il en l’embrassant, ne t’inquiète pas !

Avant d’éclater de rire à cause de ses sous-entendus et phrases à double sens, nous montons en voiture et après un dernier adieu, nous prenons la direction du sud ;
A peine sortis de la ville, Emmanuel glisse une main sous ma robe, d’une tape, je lui intime l’ordre de reste sage.


Je n’ai pas promis à ma mère de rester sage, mais d’être gentil, dit-il en maintenant sa main et même en la remontant sur mes cuisses. J’abandonne la bataille et toute pudeur lorsqu’il atteint la fourche humide et chaude où il insère un doigt. La route s’élargit ensuite et je peux écarter un peu mes jambes. Sa main va rester ainsi tout le voyage, même au passage des péages où la vue plongeante de l’employé ne peut pas louper le manège.
A la deuxième gare j’essaie de prendre la file automatique mais le voyou m’oblige à emprunter celle où il y a le contrôleur, il remonte même ma robe, dévoilant la quasi-totalité de mes cuisses. Je dois être cramoisie et le sourire amusé de la dame dans la cabine me confirme qu’elle se rend compte de la situation, ceci d’autant plus que mon bourreau, voyant qu’elle paraît intéressée, me demande d’attendre un peu plus, relève encore ma robe sur mon ventre et enfonce un peu plus sa main dans ma fente. Un coup de klaxon derrière nous, nous rappelle tous les trois à la réalité. Je démarre rapidement, à la limite de la jouissance, tellement la situation m’a excitée.
L’aire de repos suivante sera le théâtre de mon orgasme, sous les doigts fureteurs de mon jeune amant.
Nous franchissons la frontière et l’envie nous prend de faire notre première étape à Saint Sébastien. Par chance nous trouvons assez vite un hôtel confortable où l’employé me propose une chambre à deux lits ! ! Après une douche nous-nous habillons pour la soirée. J’explique à Emmanuel qu’en Espagne, il est de tradition de bien s’habiller pour le paseo avant de dîner.
Nous flânons dans les vielles rues de « Sansé », sans nous être concertés, nous marchons main dans la main. C’est lorsque j’aperçois le regard de deux femmes sur nous, regard plutôt réprobateur, que je me rends compte de que notre couple peut surprendre, ici en pleine lumière, notre différence d’âge se voit bien plus, je lâche la main d’Emmanuel qui se retourne vers moi surpris, voyant mon trouble il me demande ce qu’il y a, je lui explique en lui disant que ce n’est pas correct, pour réponse, il prend ma taille fermement et même m’embrasse sur les lèvres, déclarant :
• " Ici on ne nous connaît pas, nous sommes majeurs et je suis fier que les gens sachent que je suis ton amant !
• Mais voyons !
• Il n’y a pas de mais, moi je n’ai pas honte, tu n’as pas a en avoir honte, ce ne sont que des préjugés, quand je te baise, je ne pense pas à cela autrement je t’aurais quittée il y a longtemps.
Je t’aime pour ce que tu es, je vais même te dire que j’ai beaucoup plus de plaisir avec toi qu’avec Hélène ! Parce que je t’aime !»

Cette déclaration en pleine rue, ne peut que me rendre heureuse, nous prenons un léger apéritif avec des tapas en regardant passer les gens, je me rends compte qu’il y a d’autre couples aussi disparates que nous, interraciaux, ou inter-générations, avec beaucoup d’hommes plus âgés accompagnés par des jeunes femmes. Un seul couple « comme nous » avec toutefois une différence qui semble moins grande.
Nous entrons ensuite dans une sidrerie, pas loin de la « Plaza de la contitucion » où nous dégustons une belle côte de bœuf avant de revenir tranquillement vers l’hôtel. Lorsque nous passons la belle place de la mairie, nous voyons une discothèque en forme de bateau et Emmanuel propose d’y aller.
• "Tu n’y penses pas, à mon âge !
• J’ai envie de danser avec toi ! allez, viens! »

Il m’entraîne sur la passerelle qui sert d’accès, le garde à l’entrée hésite un peu mais nous laisse tout de même entrer, lorsque je lui parle en espagnol.
Il y a du monde dans la boite, nous dansons un peu puis trouvons une place dans un coin pour boire un rafraîchissement, mon jeune compagnon boit du coca, boisson de son âge, je prends plutôt un jus d’ananas.
Lorsque le disc-jockey met un slow, Emmanuel m’entraîne sur la piste où nous nous enlaçons langoureusement, j’ai perdu l’habitude, mais je me laisse faire lorsque ses mains me caressent, quand il prend mes lèvres je bascule les yeux clos dans un délire sensuel, je sens mes seins se gonfler et les pointes dures s’électrisent contre le torse d’Emmanuel, je sens entre mes cuisses, mon sexe se liquéfier, je mouille comme une folle et si nous étions seuls je violerais mon partenaire, mais nous ne sommes pas seuls et c’est cela aussi qui m’excite !
Emmanuel me ramène à la table toute flageolante, le ventre noué par le désir.
Il y a à peine quelques secondes que nous sommes assis qu’un homme s’approche et m’invite à danser en français. Je vais lui refuser, lorsque Emmanuel dit mais oui vas y, profite un peu ! Comme une somnambule, je suis l’homme qui a pris ma main. Il m’enlace sur la piste et prend ma mollesse et ma langueur pour une acceptation à ses avances, il me pelote sans vergogne, croyant que l’excitation qu’il ressent en moi vient de lui, il va même jusqu’à m’embrasser mais je ne lui accorde que mes lèvres serrées, cela ne le freine qu’un peu, une main sur un sein dont il sent la pointe dardée sous le léger vêtement, il infiltre sa jambe entre les miennes, me faisant sentir la dureté de son sexe qui gonfle le pantalon.
La danse s’interrompt et galant, me ramène à ma table avec l’intention de poursuivre son avantage, mais Emmanuel se lève à ce moment en déclarant :
• "Désolé mon vieux, merci de l’avoir bien chauffée mais maintenant c’est moi qui vais la baiser! »
Nous abandonnons le bonhomme frustré, mais aussi surpris de la tournure de ce couple étrange. Il pensait que j’étais la mère ou la grand-mère du grand jeune homme et comptait bien me faire connaître sa bite. Il fait une drôle de tête alors que nous sortons de la boite serrés l’un contre l’autre. Dehors, je me rends compte que l’atmosphère était enfumée et oppressante, l’air frais me fait du bien, je retrouve mon calme et en profite pour traiter Emmanuel de voyou et de malade – sans le penser vraiment –
Nous retrouvons notre belle chambre à l’hôtel et celle-ci ayant un balcon donnant sur la célèbre « Concha » la plage de Saint Sébastien, nous contemplons le superbe panorama nocturne avec à nos pieds la foule des promeneurs.
Accoudée à la rambarde, je laisse Emmanuel m’enlacer, excité lui aussi par l’épisode de la boite, il empaume mon sein en glissant sa main sous ma robe – sous laquelle il avait tenu à ce que je sois nue, d’où l’état d’excitation que cela a entretenu, notamment, lorsque l’homme a dansé avec moi.
Je ne sais si celui-ci s’est douté, dans la pénombre, avoir à faire à une – presque- septuagénaire, mais son érection n’était pas feinte. Décidément, ma vie a bien changé en quelques semaines !
Alors qu’à nos pieds, les passants déambulent, à la fois lointains et si proches, Emmanuel se place derrière moi et tout en m’embrassant dans le cou, sensation qu’il sait que j’adore. Il glisse ses mains sous ma robe et la remonte sur mes hanches. Coincée entre son corps et la rambarde, je ne peux m’y soustraire, c’est vrai que je n’en ai pas non plus très envie. Néanmoins, dans un reste de pudeur, je tente de le retenir. Tout en mordillant mon oreille il me murmure son désir de me prendre là, face à la baie, devant tout le monde. C’est vrai qu’à notre hauteur et derrière la barrière formée par le balcon on ne doit pas nous voir, mais faire l’amour ainsi, en se figurant que l’on peut se rendre compte de notre acte, me fait à la fois peur, mais aussi très envie. Ma chatte dégouline ! Malgré tout, mon éducation me bloque encore. Je tente de le retenir, mais le bougre est fort et je suis obligée de m’incliner – cet état de soumission me plais d’ailleurs-. M’incliner, c’est ce que fais Emmanuel qui me fait reculer les jambes et les écarter, pendant ce temps, il à ouvert son pantalon et se guide en moi sans trop de problème. Son sexe énorme me pénètre et je fonds littéralement. Il va en moi, lentement, me faisant sentir toute la longueur de son chibre. Penchée sur la main courante, je cambre mes reins à la possession délicieuse de mon jeune amant. Après avoir coincé le bas de ma robe dans la ceinture, Emmanuel s’agrippe à mes hanches afin de me pénétrer à fond. Je m’imagine les fesses- que j’ai bien développées -, exposées nues à la vue de tous, en fait personne ne peut nous voir d’en bas, mais cela alimente ma libido. A ce moment, un couple, dans la rue fait de grands signes dans notre direction, voient-ils quelque chose ? Ils insistent, car j’ai bien du mal à répondre, je lève ma main pour rendre le salut. Ils me disent quelque chose que je n’entends pas, faisant signe de descendre les rejoindre, je me rends compte alors que les mouvements de mon amant, font que moi aussi j’avance et recule au dessus du balcon trahissant mon activité. Peu m’importe ce que ces gens peuvent penser, leur regard m’électrise et je coule sur la verge qui me laboure, mordant ma main pour ne pas gueuler mon plaisir. Emmanuel se vide en moi, serrant mes fesses à me faire mal, longtemps il continue à me baiser, son sexe restant raide dans ma fente qui se régale, je n’en peux plus de jouissances, mes jambes sont molles, je suis tenue par les mains de Emmanuel à ma taille et le pat du balcon sur lequel je suis couchée. Tout à coup je me lâche complètement, mes muscles ne commandent plus et je vide ma vessie, inondant la verge et le pantalon de mon bel amant, mais peu m’importe, le soulagement est tel, que j’ai l’impression de continuer à jouir. Ce plaisir de pisser me rappelle Jean qui me l’a appris. Mon Dieu ! Comme j’ai changé depuis sa rencontre ! Je ne me reconnais plus. Emmanuel qui s’est rendu compte du spectacle que nous donnions, dégrafe l’attache du haut de ma robe derrière mon cou et dévoile mes seins. Ma robe forme une espèce de ceinture, ne couvrant que ma taille. En appui sur les coudes, mes seins se balancent à l’air au rythme des allées et venues d’Emmanuel dans mon antre. Je suis anéantie, complètement à la merci de ce magnifique étalon dont j’adore être la femelle consentante. A son tour, il vide sa vessie dans mon vagin, l’urine déborde de mon ventre et vient augmenter la flaque sous nos pieds. Je suis heureuse d’être le réceptacle de son envie, d’être son urinoir dévoué, une sorte d’ivresse me prend, prête à accepter tous ses caprices. Emmanuel a empaumé mes seins lourds et les malaxe sans vergogne. Je sais qu’en bas le couple qui nous observe, sait ce que nous faisons, mais je n’en ai cure, abandonnée à « mon homme » je suis soumise à ses désirs même s’il a cinquante ans de moins que moi, fière qu’il me trouve à son goût.
Enfin il me retourne, se plaque à moi et m’embrasse face à cette splendide baie de la « Concha » qui restera à jamais dans ma mémoire. Puis, me saisissant dans ses bras il m’emmène dans la chambre où après une rapide toilette nous tombons sur le lit et nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Lorsque le matin la femme de chambre entre dans la chambre pour porter le petit déjeuner, elle nous trouve nus sur le lit, quelle n’est pas sa tête de voir ce jeune homme dont l’érection matinale est impressionnante, couché avec celle qui prétend être sa grand-mère (c’est le prétexte que j’ai donné pour prendre une seule chambre). Surprise par son entrée, je n’ai pas eu le temps de me couvrir non plus. Emmanuel, afin d’ajouter à la confusion de la femme, lui demande de nous porter le plateau sur le lit. En se penchant elle touche involontairement (ou pas?) la verge d’Emmanuel et peut sentir l’odeur de nos corps. Elle se retire rapidement sûrement choquée de notre attitude et du fait que ce beau jeune homme couche avec une vieille femme. Avant de sortir, elle se retourne tout de même une dernière fois. A notre départ de l’hôtel les regards du personnel sur nous, prouvent qu’elle a tout raconté à ses collègues.
Nous quittons Saint Sébastien, direction le sud, je ne suis pas pressée d’arriver à destination car, j’ai envie de profiter d’Emmanuel pour moi seule pendant quelques jours. La prochaine étape nous emmène à Madrid où je fais visiter cette magnifique ville et ses environs à mon jeune amant. Nous restons deux jours dans la capitale. J’ai trouvé une chambre chez l’habitant. C’est une dame sensiblement de mon âge qui semble toute réjouie de côtoyer notre étrange couple. Au moment du départ, elle vient spontanément m’embrasser en me glissant « muchas gracias para todo » (merci beaucoup pour tout) preuve qu’elle a du entendre nos ébats nocturnes, « estupendo este chico con usted » (magnifique ce garçon avec vous). Le tout agrémenté d’un clin d’œil complice
La dernière étape de notre voyage a lieu à quelques kilomètres de notre lieu de vacances. J’ai peur, tout à coup, d’affronter nos hôtes. Emmanuel qui en dînant se rend compte de mon état me questionne et je dois lui avouer la raison de ma peur !
• "Pourquoi as tu peur donc, si ce sont tes amis, ils ne doivent pas te juger, ou alors c’est moi qui te fais honte ?
• Mais non… C’est que…. C’est un peu particulier !
• Dis-moi tout !
• Voilà ! Ces amis, ce sont en fait, ma sœur et mon beau frère ! Ils vivent ici depuis deux ans et je ne sais pas comment ils vont réagir. Je panique à l’approche de la rencontre, que vont-ils penser de moi ? Ne suis-je pas folle de m’afficher ainsi ? Je leur ai dis que je venais avec un ami, ce qui a enchanté ma sœur qui me reprochait ma solitude après mon veuvage, mais je n’ai pas précisé ton âge !
• Je crois que tu te fais du mouron pour rien, ta sœur et ton beau-frère t’aiment, puisqu’ils se soucient de toi.
• Oui mais les préjugés …
• S’ils sont venus s’installer ici c’est qu’il ont un esprit jeune et indépendant »

Emmanuel finit par me rassurer et est particulièrement tendre avec moi durant la soirée … et la nuit, il me saoule de caresses et de baisers et je finis par m’endormir dans ses bras. Réveillée de bonne heure, je prends un long bain et attache une attention particulière à ma tenue et mon maquillage, je veux paraître le plus à mon avantage aux côtés de mon superbe compagnon. Lorsque je sors de la salle de bain, Emmanuel lance un sifflement admiratif à mon attention, preuve que mon travail a porté ses fruits. Quand il me prend dans ses bras et m’embrasse, je le retiens en lui disant qu’il va ruiner mes efforts.
Les quelques kilomètres qui nous séparent de ma famille, je les parcours à très petite allure, retardant au maximum le moment de la rencontre. Pourtant ils me paraissent très courts ! Très vite nous arrivons à « La Torre », petit village au bord de la mer entre Alicante et Murcia. L’autoroute nous y amène à moins d’un kilomètre. Ce sont juste quelques maisons de pêcheurs. Je me retrouve devant l’entrée de la propriété, incapable de sortir de la voiture, figée par la panique, le cœur battant à deux cent à l’heure. La silhouette de ma sœur sortant de la maison et venant à notre rencontre avec un grand sourire, me réconforte, je suis heureuse de la revoir. C’est la première fois depuis le décès de mon mari. Cela me fait oublier le stress et je descends de la voiture pour tomber dans ses bras, les retrouvailles sont joyeuses, elle me félicite de ma bonne mine :
• "Mais tu rajeunie ma chérie ! C’est le soleil ou l’amour ?
• Un peu les deux… dis-je, troublée malgré moi.
• Présente-moi à ton bel ami, il est très beau ! …Et très jeune ! Elle ne semble pas choquée et il n’y a aucun reproche dans sa remarque, mais mon cœur s’accélère !
• Je te présente Emmanuel, dis-je sans plus de précision, Emmanuel, voici ma sœur Ginette, mais au fait où est ton mari ?
• Oh lui ! Il part tous les matins en mer pour pêcher et ne rentre que vers une heure, comme nous ne savions pas quel jour vous arriviez….
• Vous avez bien fait ! Nous avons fait du tourisme à Madrid.
• Vous avez raison, c’est une ville superbe. Mais ne restons pas là, entrez donc ! Elle s’approche d’Emmanuel On s’embrasse ? Après tout vous êtes un peu mon … beau-frère ! »
Eh bien ! Ma petite sœur a l’air de bien prendre la chose ! Voilà au moins un poids en moins pour moi. Il est vrai que nous-nous sommes toujours bien entendues ensemble, bien qu’elle ait dix ans de moins que moi. Avec ma sœur aînée, qui n’a pourtant qu’un an d’écart avec moi, nous n’avons jamais eu cette complicité. Nous vidons la voiture et Ginette nous emmène dans notre chambre qui est immense avec un superbe lit à baldaquin. Une grande salle de bain comme savent faire les espagnols. Azulejos de bas en haut et couleurs chatoyantes. Le balcon couvert qui court autour, donne sur le patio au milieu duquel un jet d’eau sur un bassin, apporte une note de fraîcheur.
• « Vous serez bien ici, me dit ma sœur, un vrai « nid d’amour » ! C’était notre chambre au début, mais maintenant, Dédé préfère rester en bas »
Ginette nous laisse seuls pour nous installer. Une fois installés, alors que je redescends voir ma sœur, Emmanuel décide de rester dans la chambre pour bûcher son examen, je le soupçonne de vouloir nous laisser seules ensemble entre sœurs et puis, il est un peu intimidé par la situation. Jusqu’à présent, il ne se trouvait jamais avec moi face à des personnes nous connaissant et étant au courant de notre situation, ni susceptibles de nous juger. Pour la première fois sans doute, il ressent la pression que génère notre drôle de couple, dont la plupart des gens n’accepterait pas l’existence. C’est difficile pour un jeune homme de découvrir qu’il n’est pas dans la « norme » et qu’il pourrait être mal jugé. Aujourd’hui, ma sœur semble accepter cette situation mais qu’en sera-t-il de son mari ou d’autres personnes ?
Je retrouve Ginette dans la cuisine, nous sommes très heureuses de nous revoir. Elle me demande des nouvelles du pays, de notre sœur aînée, pensionnaire dans une maison de retraite et qui dépérit lentement, ne se relevant pas d’une attaque cérébrale il y a cinq ans. Je lui demande si cette vie choisie au fond de l’Espagne, dans ce petit village, lui convient. Elle m’assure que oui, ayant maintenant quelques amies et profitant de sa retraite allègrement, oubliant le froid qui chez nous la paralysait chaque hiver.
C’est vrai qu’elle semble plus épanouie, le teint mat lui va bien et elle qui n’a jamais été épaisse, elle semble musclée, à ma remarque elle me précise qu’elle marche et fait de la natation quasiment tous les jours, bref, le climat et la cuisine à l’huile d’olive sont d’excellents médicaments, quand à l’isolement, Alicante est à vingt minutes en voiture, avec ses boutiques, ses théâtres et autres attraits de la grand ville. Elle m’avoue ne pas éprouver le besoin d’y aller fréquemment. Ayant épuisé les sujets de discutions « bateaux », Ginette déclare tout d’un coup :
• « Mais, dis-moi, toi, tu l’as pris au berceau ton petit ami, il est très jeune !
• A ton avis, quel âge a-t-il ?
• Je ne sais pas vingt cinq, vingt sept ?
• Dix neuf !
• Mais …Tu es folle !
• Pourquoi ?
• Tu te rends compte ! Mais il pourrait être ton …
• Petit fils ! Oui ! Mais je te signale tout de même que ce n’est pas moi qui l’ai cherché, c’est lui qui m’a draguée !
•  ! ! Ah bon ? Mais comment çà ?
• L’histoire est un peu longue, mais il faut que je t’explique ! »

Je parle rapidement de Jean, de ses amis, en passant sous silence les épisodes un peu « scabreux » que nous avons commis. Lorsque je précise que la plage sur laquelle Emmanuel m’a rencontrée est une plage naturiste, elle ne peut s’empêcher de paraître horrifiée
• "Comment ? Nue ? Mais tu n ‘as pas honte ?
• Pas du tout, tu verrais comme c’est agréable ! une vraie sensation de liberté !
• Tout de même ! Je crois que je n’oserais pas me montrer comme ça
• Si tu veux, nous pourrons trouver un endroit car Emmanuel et moi adorons dorer et nous baigner ainsi
• Tu sais ici, c’est plutôt pudique !
• Il y a bien des criques sauvages où l’on peut être tranquille ?
• Faut voir avec Dédé, lui qui est toujours sur son bateau. Mais ne compte pas sur moi pour vous suivre !
• On verra. Ce n’est pas la peine d’en faire une montagne, c’est tellement agréable ! C’est le début septembre. En ce dimanche où la petite station retrouve un peu de calme, je suis passé voir Maria et Emmanuel qui sont rentrés d’Espagne. J’ai bien senti qu’ils avaient envie d’être seuls, ce qui ne me dérange pas. J’ai été à la plage quasi déserte maintenant et avant de prendre la route, je sirote une bière bien fraîche sur le mail promenade.
• J’aperçois la commerçante en lingerie qu’en compagnie de Jérémy et Valérie, nous avions rencontrée alors que Maria et Emmanuel étaient seuls à la maison. Elle s’approche moi pour me saluer. Je lui propose de s’asseoir pour prendre un verre, ce qu’elle accepte. Après quelques banalités, elle se rapproche de moi afin de me parler plus bas.
• " Vous savez, pour ce que vous m’avez fait découvrir l’autre jour ?
• Quoi donc ? Dis-je pour la taquiner.
• Vous savez bien, enfin… avec... la règle et... les photos !
• Oui bien sûr ! Et alors ?
• Eh bien, des clientes ont vu les photos, certaines ont rougi, mais aucune ne s’est offusquée. J’ai profité d’un week-end pour équiper mon magasin de miroirs afin de surveiller tous les coins.
• Vous n’avez pas pensé à une webcam branchée sur votre PC ?
• Oui... Comment l’avait vous su ?
• Simplement une idée, mais je ne pensais pas que vous pouviez l’avoir, vous !
• Vous me trouvez … vicieuse ?
• Coquine dirons-nous, qu’avez-vous fait alors ?
• J’en ai acheté une, mais je n’ai pas su la faire marcher.
• Pour ça je peux vous aider, mais racontez moi un peu.
• Eh bien, après mon installation, je pouvais contrôler pratiquement toute ma boutique, mis à part la cabine d’essayage derrière mon bureau, d’où l’idée de la caméra. Ce n’est pas très légal mais… Je ne sais si c’est l’effet des photos, ou des miroirs, mais j’ai remarqué dès la première semaine une dame qui dissimulait une culotte dans son sac.
• Vous l’avez interpellée ?
• Noon... je n’ai pas osé, dit-elle penaude.
• Oh dommage !
• Oui mais j’étais plus gênée que la dame en fait.
• C’est sûr ! Mais vous pensez qu’elle l’avait fait exprès ?
• Je ne sais pas, elle se cachait bien.
• Elle n’allait pas le faire au grand jour tout de même !
• Détrompez-vous ! Vous-vous rappelez la dame qui était venue le même jour que vous ?
• Bien sûr ! Très belle dame et distinguée !
• Oui ! C’est une habituée. Eh bien, elle est revenue le lendemain du jour où j’avais surpris l’autre dame. Elle a regardé « sa » photo, m’a regardée dans les yeux et est partie dans le fond de la boutique. Arrivée devant le présentoir, elle a bien vérifié que je la voyais dans le miroir et bien en vue, a mis un soutien gorge dans son sac. Elle est revenue à la caisse, l’air sûre d’elle et s’est plantée devant moi, elle n’avait rien dans les mains.
• Vous ne me demandez rien ? demanda-t-elle. J’étais horriblement gênée, mais j’ai pris conscience qu’elle attendait de moi que je recommence la séance comme avec vous. Alors, me redressant je demandais :
• Pourriez-vous me montrer votre sac s’il vous plaît Madame ? » Elle le pose sur le comptoir et l’ouvre sans vergogne. « Je crois, Madame, que vous avez dérobé ce soutien gorge ! Vous savez ce qui vous attend ?
• Oui, madame, je m’excuse ! Elle prend aussitôt l’attitude d’une petite fille prise en faute.
• Vous n’avez pas d’excuse ! Sale petite voleuse, vous allez être punie, mais auparavant vous allez me régler le prix de cet article !
• Bien sûr Madame ! Pardonnez-moi ! Combien vous dois-je ?
• Ce sera 40 euros – le prix normal est augmenté de 25 pour cent - La cliente paye immédiatement. Merci, maintenant mettez vous en position ! »
•
• Sans se faire davantage prier, elle se retrousse et je découvre qu’elle à des bas à jarretelles et ne porte pas de culotte !
• « Petite cochonne ! Vous-vous promenez les fesses nues !
• Oui, j’aime sentir le tissu ainsi !
• Pour cela vous aurez droit à cinq coups supplémentaires !
• Oh non ! S’il vous plaît !
• Pas de discussion ! Allez ! Écartez bien les jambes, je vais bien rougir votre joufflu, j’ai l’impression que vous aimez ça, vous allez être servie !
•
• J’att ma règle et avant de commencer je tape dans ma main en la faisant claquer, la cliente se retourne et frissonne
• " Relevez bien votre jupe ! Vous allez rester un moment comme çà !
• Mais… Si quelqu’un vient ?
• Eh bien il vous verra ainsi, comme vous avez vu la dame l’autre jour
• Mais ... on me connaît !
• Et bien, on saura comme ça la belle voleuse que vous êtes et que vous aimez vous faire fesser.
• C’est pas vrai !
• Mais si ! la preuve vous avez tout fait pour que je vous vois.
• Je l’avoue.
• C’est bien, faute avouée, à moitié pardonnée ! Aussitôt je frappe un bon coup de règle sur ses fesses qui ne l’attendait pas. La dame sursaute et sa peau se marque de rouge, j’enchaîne les coups en alternant les coups rapprochés ou en attendant un peu pour la surprendre. J’interromps son récit.
• Je vois que vous apprenez vite ! dis-je pour manifester mon intérêt
• Ou...oui dit-elle en baissant la tête, confuse. J’y... ai... pris ... goût !
• Petite coquine lui dis-je. Vous prenez du plaisir ?
• Ou…Oui Oh ! ! Avoue-t-elle encore
• Bien ! Continuez ! Dis-je alors. Votre cliente a reçu tous les coups sans broncher ?
• A la fin elle criait en mettant son poing dans la bouche pour ne pas qu’on entende. Le dernier coup, je crois qu’il a porté sur ses grandes lèvres et elle a sauté haut. Quand j’ai eu fini elle est restée couchée un bon moment sans se soucier de sa pudeur ni de savoir si quelqu’un pouvait rentrer. J’avais un peu de crème sur mon bureau et j’ai enduit ses fesses avec l’onguent ;
• Ben dites donc ! Et je suis sûr que ça aussi vous avez aimé !
• Oui répond-elle les yeux brillants. Je… C’est à dire …
• Oui ? Que voulez vous dire ?
• Que … Que … Enfin….. j’ai vu depuis que certaines ... de mes … clientes… prenaient .. du plaisir... quand … je les fessais ...
• Elles … jouissent ?
• Oui ! Et je… Il y en a qui … se … caressent !
• Non ! Et ... vous ? Dis-je, puisque nous en sommes aux confidences intimes.
• De plus en plus souvent … quand elles sont parties, je dois me caresser !
• Et ... vous même, vous avez pensé à recevoir une fessée ?
• Cramoisie, elle balbutie un oui quasi-inaudible. Pour changer une conversation qui commence à la dérouter, elle me dit avoir trouvé un petit appareil photo numérique elle augmente sa galerie de « portraits ». D’ailleurs « elles » viennent de plus en plus et certaines ont même ajouté leurs initiales à la main sur les photos. Bref les affaires marchent de mieux en mieux et dernièrement une femme est même venue avec son mari, qui a assisté à la scène très intéressé, ils sont ensuite partis très vite et vu la bosse dans le pantalon du monsieur ils ont dû en profiter. Surtout vu les cernes de la dame entrevue le lendemain à l’hypermarché du coin, la nuit a dû être agitée !
• Finalement, c’est une bonne chose pour votre commerce. Si vous voulez je peux essayer de faire marcher votre webcam.
• Je ne voudrais pas vous déranger !
• Ce n’est rien, ça devrait aller vite !  Nous terminons nos boissons et, à pied, nous gagnons le magasin. Arrivé devant, les grilles sont tirées.
• C’est fermé cet après-midi, mais nous allons passer par derrière, me dit la dame en prenant le couloir à côté de la boutique. Elle débloque la sécurité et nous pénétrons à l’intérieur par la réserve. Le magasin est sombre ce qui donne une atmosphère étrange, lorsqu’on est habitué à voir un magasin éclairé. Nous-nous installons au bureau pour allumer l’ordinateur, je vérifie les branchements et après quelques essais, j’obtiens une image, mais pas très claire.
• Il faudrait plus de lumière dans la cabine.
• Je vais allumer, il y a des spots.
• Je vais faire des essais, vous n’avez qu’à y rester pour que je règle, je vous direz quand cela sera bon. Elle passe dans la cabine et avec la lumière, j’arrive assez rapidement à avoir une image correcte. Je teste des prises de photo et bien que j’ai fini je la laisse un peu, pour l’observer. Pensant que je n’ai pas terminé  et pour passer le temps elle s’admire dans la glace, remet les cheveux en place, passe la langue sur ses lèvres et s’admire sous toutes les coutures. Oubliant même la caméra elle masse ses seins, relève un peu sa robe de plage et admire ses jambes. Bien qu’un peu ronde, elle est tout à fait appétissante. Pour faire semblant de régler encore je lui demande de bouger. Alors elle lève les bras, se tourne, se penche.
• Ça y est, je commence à voir, dis-je, continuez ! Prise dans son jeu, elle joue au mannequin et prend des poses, je rentre dans son jeu : Levez les bras ! Tournez vous ! Mettez vos mains derrière la tête, cambrez-vous ! Elle obéit à mes ordres, aussi j’en profite. Penchez vous, relevez le bas de la robe ! Bien ! Parfait ! Je prends quelques photos pour lui montrer le bon fonctionnement puis je l’appelle. Elle sort de la cabine, un peu émoustillée par l’intermède, les yeux brillants.
• Alors ? Ça marche ?
• Bien sûr, regardez, j’ai isolé quelques photos !
• C’est super ! Elle rougit tout de même en se rendant compte de quelques poses assez suggestives.
• Vous-vous encanaillez ! Dis-je pour la taquiner
• C’est ... c’est vous qui me faites faire des horreurs !
• Je crois que vous méritez une punition pour votre attitude !
• Oh ! Mais pourquoi ?
• Ne m’avez vous pas dit que vous aimeriez connaître ce plaisir qu’ont certaines de vos clientes ?
• Oui ! Non ! Mais, c’était une parole comme, ça … en l’air. Vous n’êtes pas sérieux ?
• Si ! Tout à fait, dis-je en prenant un ton volontairement plus grave, allez ! En position ! Vous savez où vous mettre ?
• Je ... Ne ... me faites pas mal ! » Elle accepte par là le principe de la fessée, mais avec tout de même une réticence, ou une dernière pudeur. Elle se penche sur la table où ses clientes sont déjà passées, elle s’agrippe au rebord attendant et redoutant la correction. Je relève la légère robe de plage, dévoilant des fesses dodues, dans un maillot de bain des plus réduits. J’att celui-ci et je baisse sur les jambes sans qu’elle proteste, déjà soumise. Ses fesses sont entièrement bronzées, sans la moindre trace blanche prouvant qu’elle fait de l’intégral.
• Je vois petite coquine que vous fréquentez les casernes ! Dommage que je ne vous y ai jamais vue !
• Non ! Oh ! C’est que…
• Ne vous excusez pas je trouve ça très bien y allant moi même. Bon, maintenant passons aux choses sérieuses. Combien pensez vous que vous méritez de coups ?
• Je … ne sais pas… cinq ? dit-elle d’une petite voix.
• Voyons ! Vous n’êtes pas sérieuse !
• Dix ?
• Là vous vous moquez de moi ! J’avais pensé à vingt mais vu votre manque de participation, j’en rajouterai cinq de plus !
• Non ! S’il vous plaît !
• Ça suffit ! Je passe la règle sur les fesses et entre les cuisses pour bien les écarter puis je commence doucement à frapper sur l’ensemble de la surface pour bien la rosir. Malgré quelques sursauts elle supporte bien cette « prise en main ». Après un court arrêt, je reprends la fessée mais en appuyant plus les coups. Ma soumise se met à chanter au rythme des frappes, un chant lancinant entre plainte et mélodie inarticulée. Son souffle s’accélère. Je dépasse la ration promise sans qu’elle manifeste quoi que ce soit. Je m’arrête enfin et devant cette lune opulente et bien rouge qui m’attire, j’ouvre mon pantalon et je guide ma queue dans son antre chaude et ruisselante, preuve du plaisir qu’elle prend à recevoir la fessée. J’empoigne ses fesses et les malaxe, accompagnant ce coït de la douleur occasionnée par mes doigts. La commerçante gémit, mais c’est plutôt de plaisir et alors que ne pouvant me retenir, je jouis dans son antre, elle pousse des cris et se pâme avec moi. Nous revenons doucement sur terre et lorsque je me retire et l’aide à se relever, son visage est cramoisi et ses yeux plein de larmes. Son air heureux compense l’impression et cela me rassure. Je la prends dans mes bras et déclare :
• Pardon ! Je n’ai pu me retenir en vous voyant ainsi !
• Ce n’est rien ! Mais…Vous êtes le ... premier !
• Co...Comment ? mais, vous n’étiez pas …
• Vierge ? Non des objets y sont passés … mais jamais… un … homme !
• Oh ! Je ne pensais pas.
• Eh bien voilà, c’est fait ! Par contre, mon cher ami, tu m’as volé quelque chose
•  ! !
• Et oui ! Tu m’as volé mon pucelage ! Tu connais la sanction ?
• Mais…
• Il n’y a pas de mais. En position ! Puisque tu baisses facilement ton pantalon, dépêche toi !
• Elle att la règle et reconnaissant que mon prétexte ne valait pas plus que le sien, je suis bien obligé de m’incliner, au sens propre du terme et me voilà couché à la place de la commerçante et de certaines de ses clientes.
• « Ce seront mes premières fesses d’homme ! ajoute-t-elle, mais c’est un juste retour des choses puisque c’est toi qui as tout déclenché ! »
• Je ne peux malgré tout m’empêcher de frissonner, ce que remarque la drôlesse.
• « Ah Ah ! ! On rigole moins ! Ne t’en fais pas, tu vas être servi ! »
•
• Les premiers coups tombent, mais pas trop fort et sont supportables, ma fouetteuse n’ayant pas bronché tout à l’heure, je me force à ne rien dire. Mais néanmoins les fesses commencent à me cuire ! Elle arrête un peu tout en promenant la règle sur mon postérieur, puis, d’un coup, sans que je m’y attente elle frappe fort ! Je retiens le cri de surprise et de douleur qui allait jaillir de ma bouche en serrant fortement les dents. Elle alterne maintenant les coups rapides, puis espacés, ce qui fait que je ne sais jamais quand le prochain va tomber. La correction dure longtemps, mes fesses brûlent, mais je ne sens plus la douleur, comme anesthésié, je suis dans une sorte de brouillard, lorsque j’entends :
• « Lève toi maintenant et viens ici !  Comme un automate je me relève, les yeux embués mais avec une trique bien dressée. Approche ! Tu n’es qu’un chien ! A genoux ! Puisque tu n’es qu’un chien tu va lécher ce que tu m’as mis dedans ! »
• Elle att ma tête, pose un pied sur un tabouret et plaque mon visage sur sa motte frisée. Nettoie bien ! Qu’il ne reste rien ! Elle accompagne ses ordres de coups de règle sur mes fesses déjà bien endolories. La séance dure longtemps et même plus qu’il ne faut au nettoyage, car la bougresse y prend plaisir. J’ai mal partout, aux fesses, bien sûr, mais aussi aux reins et la nuque, ainsi qu’aux genoux. Elle n’en a cure.
• Enfin elle me lâche et je peux me relever. L’état de ma bite ne s’est pas amélioré et elle est toujours aussi raide. Viens ! Dit-elle. Avant, tu m’as baisée par surprise, mais maintenant je te veux en moi ! Elle relève sa robe et me prend la verge, m’attire ainsi, contre elle en la guidant dans son sexe. Déchaînée, elle m’enlève le polo et elle fait passer sa robe par dessus sa tête en dessous elle ne porte rien, et je découvre sa superbe poitrine lourde et bronzée. Je plonge mon visage sous son aisselle pour m’imprégner des son odeur de femelle en chaleur et pose les mains sur ses seins pour en malaxer les tétons. Ma partenaire se pâme et collabore activement. Les pieds entravés dans le pantalon, nu au milieu du magasin en train de forniquer avec la patronne, la situation bien que excitante n’en est pas moins fatigante. Heureusement encore, que les rideaux sont tirés et que l’on ne peut pas nous voir de l’extérieur. Nous sommes en nage et ma « fausse vierge » se régale, nos corps et nos mains glissent sur toutes les parties de celui du partenaire. Nous haletons, cherchant l’air, plusieurs fois nos mouvements provoquent des « déboîtements » intempestifs, tout à coup, La commerçante se met à gueuler et je plaque ma main sur sa bouche pour qu’elle n’ameute pas le voisinage, elle agrippe mes fesses avec ses ongles pour se plaquer à moi, m’occasionnant d’autres douleurs qui me font jouir en elle, les yeux exorbités elle s’éclate longuement.
• Nous récupérons lentement de ces débauches enlacés et ruisselants, elle entoure mes épaules avec ses bras et m’embrasse, les yeux, le nez le visage, revenant régulièrement enrouler sa langue à la mienne.
• « C’était bon ! C’était, bon…. Répète-t-elle sans fin. Qu’est-ce que c’est bon un homme ! Rien ne vaut cette chose vivante ! Si j’avais su, je n’aurais pas attendu tout ce temps ! »
• On se détache tout de même et me prenant la main elle m’entraîne vers l’arrière du magasin. Je suis obligé de l’arrêter car j’ai toujours les chevilles entravées dans mon pantalon, je dois le remonter, ce qui la fait rire. Dans l’arrière boutique une porte cachée derrière un rideau donne accès à son appartement. On se dirige vers la salle d’eau, qui est superbement équipée avec un spa, une douche à jets et une table à bronzer, d’où le corps sans traces de ma maîtresse.
• "Je comprends le bronzage intégral ! dis-je. Quel superbe endroit ! Mais tout de même ça ne vaut pas la plage et la mer
• Je n’ai jamais osé ! Tu sais, en fait, si je n’ai jamais eu d’homme avant toi, ni fréquenté la plage c’est que j’étais enfermée dans un système, mais prenons une douche, je te raconterai après ! »
•
• La douche fraîche avec des jets venant de partout, est un délice. Nous la quittons à regret et après un séchage rapide, ma compagne reste nue et m’entraîne dans son salon.
• "Chez moi je suis totalement impudique et pratiquement nue en permanence.
• Je ne m’en plains pas !
• Viens ici, dans mes bras! »
•
• Nous-nous étalons sur le canapé et niché l’un contre l’autre, ma compagne commence à se confier
• "Quand j’étais jeune, j’étais complexée parce que j’étais grosse. Ma mère, qui était une grande femme autoritaire, n’arrêtez pas de m’humilier car je ne correspondais pas à la fille qu’elle attendait, en fait, elle me faisait payer pour mon père qui nous avait abandonnées à ma naissance. Je devais tout faire à la maison, le ménage, la lessive, la vaisselle. Elle m’habillait comme une souillon et je n’avais le droit de sortir que pour l’école ou les commissions, elle surveillait le temps et si j’avais un peu de retard elle me flanquait une fessée !
• Eh ! Eh dis-je, voilà pourquoi ce goût est vite revenu !
• Oui ! dit-elle d’une petite voix en rougissant Je te dégoûte ?
• Mais non voyons ! Moi aussi je t’ai prouvé que j’aimais ça, continue,
• Oh c’est vrai ! Tu te rends compte qu’on a fait l’amour et que l’on se connaît même pas nos prénoms ! Moi c’est Laurence !
• Joli ! J’aime bien, moi c’est Jean !
• J’aime aussi ! Donc je n’avais pas d’amis ni d’amies. Les autres s se moquaient de moi et ça a duré jusqu’à que j’ai vingt cinq ans. A ce moment, ma mère est tombée malade et j’ai dû m’occuper d’elle, en plus du magasin. Pendant dix ans je l’ai soignée, lavée, habillée, fait manger, elle était comme un légume, ne parlait pas, seul ses yeux suivaient mes mouvements sans que je sache ce qu’elle pensait. J’étais une vieille fille, que personne ne regardait et ma vie était limitée à ce petit espace entre la boutique et l’appartement.
J’ai découvert le plaisir toute seule, d’abord avec mes doigts, puis divers objets ou légumes – pardon – puis j’ai découvert dans une revue, l’existence de ces godemichés et autres instruments. J’en ai commandé par correspondance et je les cachais dans ma chambre pour la nuit où je me donnais du plaisir.
• Pauvre de toi tu devais être malheureuse !
• Non car je ne connaissais rien d’autre et puis, on se fait à tout. Ce n’est qu’à la mort de ma mère que j’ai éprouvé le besoin de changer. Elle m’a laissé un bon pécule, qu’en fait j’avais moi même contribué à amasser, ne sortant pas et n’ayant pas de dépenses à faire. J’ai commencé par refaire la boutique et changer la gamme, ensuite, j’ai arrangé l’appartement à ma convenance en l’équipant au mieux.
• C’est vrai qu’il est superbe !
• Tu n’as pas tout vu, mais veux-tu rester dîner et … un peu plus ?
• Écoute, je ne m’ennuie pas et n’est pas marre de toi, mais je dois rentrer chez moi ce soir, par contre, demain soir, je reviens et je reste toute la semaine, demain, je suis invité à une soirée chez mes amis, tu sais, ceux qui étaient avec moi le premier jour ?
• J’aimerais rester avec toi.
• D’accord, mais je leur ai promis d’y être. Tu peux venir, ça me fera plaisir de t’emmener.
• Bon d’accord, si je ne dérange pas, mais …après … tu t’occuperas de moi ?
• Ne t’inquiètes pas ! (je me dis, que là ou je vais l’amener, il y aura bien quelqu’un pour s’occuper aussi d’elle)»
•
• Avant de partir, nous faisons une fois encore l’amour, mais très tendrement et je la prends au bord du canapé, jouissant de la vue de sa croupe opulente ornée de deux fossettes craquantes. Une fois fini elle me prend dans sa bouche « pour te nettoyer comme tu l’as fais et pour sentir cette bonne chose entre mes lèvres ». J’ai droit ensuite à une séance où à cheval sur le bidet elle procède à sa toilette intime sans la moindre gêne. Deux doigts enfoncés dans le vagin, puis mettant le jet du bidet semblant y prendre plaisir.
• Nous-nous quittons en prenant rendez-vous pour dix neuf heures trente le lendemain. Tenue décontractée de rigueur. Je la laisse nue dans son appartement, ce qui semble être sa tenue préférée.
•
En rentrant je téléphone à mes amis leur annonçant une compagnie surprise pour le lendemain.
• "Aucun problème ! Me dit Jérémy. Te connaissant ce sera sûrement une belle surprise !
• Tu sais que Maria est revenue avec son amoureux ? Ils sont rentrés il y a quelques jours de leur escapade espagnole.
• Ah bon ? Ils sont invités aussi bien sûr je vais les appeler ! Mais pas de problème, on s’arrangera bien. Plus on est de fous plus on rit !
• Je crois qu’on ne va pas s’ennuyer !
•
• ***
• VIVA ESPAÑA !
•
• ****
•
• Le dix neuf juillet, à la veille de partir, nous étions seuls sur la plage, Emmanuel et moi, seuls depuis trois semaines passées avec Hélène et franchement, malgré le plaisir que nous avions avec elle, cette « intimité » nous plaisait. Allongés en amoureux sur notre serviette, nous séchons tranquillement après le bain, lorsque Emmanuel suggère de partir le soir même afin de quitter cet environnement où nous sommes obligés d’être prudents, tout au moins en ville et dans l’appartement.
• Je trouve l’idée excellente, aussi nous filons à l’appartement, préparer les valises, Emmanuel fait le ménage comme promis à sa mère, puis nous passons chez elle pour lui donner les clés. Pendant qu’Emmanuel se prépare, je parle un peu avec ma « belle-mère » qui me recommande une nouvelle fois de sermonner Emmanuel s’il ne se tient pas bien, qu’il ne soit pas envahissant chez mes amis et ne fréquente pas n’importe qui.
• "Vous me raconterez à votre retour, entre femmes on peut se soutenir et puis il pourrait être votre fils !
• Petit-fils ! Dis-je pour m’amuser. N’ayez crainte, j’aurais un œil sur lui – et autre chose pensais-je – je veillerais de près – très près – à son comportement.
• Merci beaucoup ! Vous permettez que je vous embrasse ?
• Bien sûr »
•
• Nous-nous embrassons comme de vielles amies, elle est un peu émue et me serre entre ses bras, c’est à ce moment qu’Emmanuel revient avec ses bagages et nous trouve enlacées, je suis face à lui et sa mère ne le voie pas, son air surpris laisse place à un sourire et il lève le pouce en riant.
• "Je vois que vous vous entendez bien dit-il ! »
•
• Sa mère, surprise se détache comme prise en faute, les joues un peu rouges.
• "Madame est très gentille de t’emmener avec elle, alors ne me déçois pas. Sois très gentil avec elle ! Elle me tiendra au courant si tu te comportes mal et ne fais pas bien tes devoirs ! Et puis, tu pourras tout de même t’occuper un peu d’elle !
• Mais oui Maman, ne t’inquiètes pas, je m’en occuperais, je serais gentil et je ferais mon devoir !
• Tes devoirs ! Que tu parles mal ! Ça aussi tu pourras faire attention, ne me fais pas honte !
• Oui pardon Maman dit-il en l’embrassant, ne t’inquiète pas !
•
• Avant d’éclater de rire à cause de ses sous-entendus et phrases à double sens, nous montons en voiture et après un dernier adieu, nous prenons la direction du sud ;
• A peine sortis de la ville, Emmanuel glisse une main sous ma robe, d’une tape, je lui intime l’ordre de reste sage.
• Je n’ai pas promis à ma mère de rester sage, mais d’être gentil, dit-il en maintenant sa main et même en la remontant sur mes cuisses. J’abandonne la bataille et toute pudeur lorsqu’il atteint la fourche humide et chaude où il insère un doigt. La route s’élargit ensuite et je peux écarter un peu mes jambes. Sa main va rester ainsi tout le voyage, même au passage des péages où la vue plongeante de l’employé ne peut pas louper le manège.
• A la deuxième gare j’essaie de prendre la file automatique mais le voyou m’oblige à emprunter celle où il y a le contrôleur, il remonte même ma robe, dévoilant la quasi-totalité de mes cuisses. Je dois être cramoisie et le sourire amusé de la dame dans la cabine me confirme qu’elle se rend compte de la situation, ceci d’autant plus que mon bourreau, voyant qu’elle paraît intéressée, me demande d’attendre un peu plus, relève encore ma robe sur mon ventre et enfonce un peu plus sa main dans ma fente. Un coup de klaxon derrière nous, nous rappelle tous les trois à la réalité. Je démarre rapidement, à la limite de la jouissance, tellement la situation m’a excitée.
• L’aire de repos suivante sera le théâtre de mon orgasme, sous les doigts fureteurs de mon jeune amant.
• Nous franchissons la frontière et l’envie nous prend de faire notre première étape à Saint Sébastien. Par chance nous trouvons assez vite un hôtel confortable où l’employé me propose une chambre à deux lits ! ! Après une douche nous-nous habillons pour la soirée. J’explique à Emmanuel qu’en Espagne, il est de tradition de bien s’habiller pour le paseo avant de dîner.
• Nous flânons dans les vielles rues de « Sansé », sans nous être concertés, nous marchons main dans la main. C’est lorsque j’aperçois le regard de deux femmes sur nous, regard plutôt réprobateur, que je me rends compte de que notre couple peut surprendre, ici en pleine lumière, notre différence d’âge se voit bien plus, je lâche la main d’Emmanuel qui se retourne vers moi surpris, voyant mon trouble il me demande ce qu’il y a, je lui explique en lui disant que ce n’est pas correct, pour réponse, il prend ma taille fermement et même m’embrasse sur les lèvres, déclarant :
• " Ici on ne nous connaît pas, nous sommes majeurs et je suis fier que les gens sachent que je suis ton amant !
• Mais voyons !
• Il n’y a pas de mais, moi je n’ai pas honte, tu n’as pas a en avoir honte, ce ne sont que des préjugés, quand je te baise, je ne pense pas à cela autrement je t’aurais quittée il y a longtemps. Je t’aime pour ce que tu es, je vais même te dire que j’ai beaucoup plus de plaisir avec toi qu’avec Hélène ! Parce que je t’aime !»
•
• Cette déclaration en pleine rue, ne peut que me rendre heureuse, nous prenons un léger apéritif avec des tapas en regardant passer les gens, je me rends compte qu’il y a d’autre couples aussi disparates que nous, interraciaux, ou inter-générations, avec beaucoup d’hommes plus âgés accompagnés par des jeunes femmes. Un seul couple « comme nous » avec toutefois une différence qui semble moins grande.
• Nous entrons ensuite dans une sidrerie, pas loin de la « Plaza de la contitucion » où nous dégustons une belle côte de bœuf avant de revenir tranquillement vers l’hôtel. Lorsque nous passons la belle place de la mairie, nous voyons une discothèque en forme de bateau et Emmanuel propose d’y aller.
• "Tu n’y penses pas, à mon âge !
• J’ai envie de danser avec toi ! allez, viens! »
•
• Il m’entraîne sur la passerelle qui sert d’accès, le garde à l’entrée hésite un peu mais nous laisse tout de même entrer, lorsque je lui parle en espagnol.
• Il y a du monde dans la boite, nous dansons un peu puis trouvons une place dans un coin pour boire un rafraîchissement, mon jeune compagnon boit du coca, boisson de son âge, je prends plutôt un jus d’ananas.
• Lorsque le disc-jockey met un slow, Emmanuel m’entraîne sur la piste où nous nous enlaçons langoureusement, j’ai perdu l’habitude, mais je me laisse faire lorsque ses mains me caressent, quand il prend mes lèvres je bascule les yeux clos dans un délire sensuel, je sens mes seins se gonfler et les pointes dures s’électrisent contre le torse d’Emmanuel, je sens entre mes cuisses, mon sexe se liquéfier, je mouille comme une folle et si nous étions seuls je violerais mon partenaire, mais nous ne sommes pas seuls et c’est cela aussi qui m’excite !
• Emmanuel me ramène à la table toute flageolante, le ventre noué par le désir. Il y a à peine quelques secondes que nous sommes assis qu’un homme s’approche et m’invite à danser en français. Je vais lui refuser, lorsque Emmanuel dit mais oui vas y, profite un peu ! Comme une somnambule, je suis l’homme qui a pris ma main. Il m’enlace sur la piste et prend ma mollesse et ma langueur pour une acceptation à ses avances, il me pelote sans vergogne, croyant que l’excitation qu’il ressent en moi vient de lui, il va même jusqu’à m’embrasser mais je ne lui accorde que mes lèvres serrées, cela ne le freine qu’un peu, une main sur un sein dont il sent la pointe dardée sous le léger vêtement, il infiltre sa jambe entre les miennes, me faisant sentir la dureté de son sexe qui gonfle le pantalon.
• La danse s’interrompt et galant, me ramène à ma table avec l’intention de poursuivre son avantage, mais Emmanuel se lève à ce moment en déclarant :
• "Désolé mon vieux, merci de l’avoir bien chauffée mais maintenant c’est moi qui vais la baiser! »
• Nous abandonnons le bonhomme frustré, mais aussi surpris de la tournure de ce couple étrange. Il pensait que j’étais la mère ou la grand-mère du grand jeune homme et comptait bien me faire connaître sa bite. Il fait une drôle de tête alors que nous sortons de la boite serrés l’un contre l’autre. Dehors, je me rends compte que l’atmosphère était enfumée et oppressante, l’air frais me fait du bien, je retrouve mon calme et en profite pour traiter Emmanuel de voyou et de malade – sans le penser vraiment –
• Nous retrouvons notre belle chambre à l’hôtel et celle-ci ayant un balcon donnant sur la célèbre « Concha » la plage de Saint Sébastien, nous contemplons le superbe panorama nocturne avec à nos pieds la foule des promeneurs.
• Accoudée à la rambarde, je laisse Emmanuel m’enlacer, excité lui aussi par l’épisode de la boite, il empaume mon sein en glissant sa main sous ma robe – sous laquelle il avait tenu à ce que je sois nue, d’où l’état d’excitation que cela a entretenu, notamment, lorsque l’homme a dansé avec moi. Je ne sais si celui-ci s’est douté, dans la pénombre, avoir à faire à une – presque- septuagénaire, mais son érection n’était pas feinte. Décidément, ma vie a bien changé en quelques semaines !
• Alors qu’à nos pieds, les passants déambulent, à la fois lointains et si proches, Emmanuel se place derrière moi et tout en m’embrassant dans le cou, sensation qu’il sait que j’adore. Il glisse ses mains sous ma robe et la remonte sur mes hanches. Coincée entre son corps et la rambarde, je ne peux m’y soustraire, c’est vrai que je n’en ai pas non plus très envie. Néanmoins, dans un reste de pudeur, je tente de le retenir. Tout en mordillant mon oreille il me murmure son désir de me prendre là, face à la baie, devant tout le monde. C’est vrai qu’à notre hauteur et derrière la barrière formée par le balcon on ne doit pas nous voir, mais faire l’amour ainsi, en se figurant que l’on peut se rendre compte de notre acte, me fait à la fois peur, mais aussi très envie. Ma chatte dégouline ! Malgré tout, mon éducation me bloque encore. Je tente de le retenir, mais le bougre est fort et je suis obligée de m’incliner – cet état de soumission me plais d’ailleurs-. M’incliner, c’est ce que fais Emmanuel qui me fait reculer les jambes et les écarter, pendant ce temps, il à ouvert son pantalon et se guide en moi sans trop de problème. Son sexe énorme me pénètre et je fonds littéralement. Il va en moi, lentement, me faisant sentir toute la longueur de son chibre. Penchée sur la main courante, je cambre mes reins à la possession délicieuse de mon jeune amant. Après avoir coincé le bas de ma robe dans la ceinture, Emmanuel s’agrippe à mes hanches afin de me pénétrer à fond. Je m’imagine les fesses- que j’ai bien développées -, exposées nues à la vue de tous, en fait personne ne peut nous voir d’en bas, mais cela alimente ma libido. A ce moment, un couple, dans la rue fait de grands signes dans notre direction, voient-ils quelque chose ? Ils insistent, car j’ai bien du mal à répondre, je lève ma main pour rendre le salut. Ils me disent quelque chose que je n’entends pas, faisant signe de descendre les rejoindre, je me rends compte alors que les mouvements de mon amant, font que moi aussi j’avance et recule au dessus du balcon trahissant mon activité. Peu m’importe ce que ces gens peuvent penser, leur regard m’électrise et je coule sur la verge qui me laboure, mordant ma main pour ne pas gueuler mon plaisir. Emmanuel se vide en moi, serrant mes fesses à me faire mal, longtemps il continue à me baiser, son sexe restant raide dans ma fente qui se régale, je n’en peux plus de jouissances, mes jambes sont molles, je suis tenue par les mains de Emmanuel à ma taille et le pat du balcon sur lequel je suis couchée. Tout à coup je me lâche complètement, mes muscles ne commandent plus et je vide ma vessie, inondant la verge et le pantalon de mon bel amant, mais peu m’importe, le soulagement est tel, que j’ai l’impression de continuer à jouir. Ce plaisir de pisser me rappelle Jean qui me l’a appris. Mon Dieu ! Comme j’ai changé depuis sa rencontre ! Je ne me reconnais plus. Emmanuel qui s’est rendu compte du spectacle que nous donnions, dégrafe l’attache du haut de ma robe derrière mon cou et dévoile mes seins. Ma robe forme une espèce de ceinture, ne couvrant que ma taille. En appui sur les coudes, mes seins se balancent à l’air au rythme des allées et venues d’Emmanuel dans mon antre. Je suis anéantie, complètement à la merci de ce magnifique étalon dont j’adore être la femelle consentante. A son tour, il vide sa vessie dans mon vagin, l’urine déborde de mon ventre et vient augmenter la flaque sous nos pieds. Je suis heureuse d’être le réceptacle de son envie, d’être son urinoir dévoué, une sorte d’ivresse me prend, prête à accepter tous ses caprices. Emmanuel a empaumé mes seins lourds et les malaxe sans vergogne. Je sais qu’en bas le couple qui nous observe, sait ce que nous faisons, mais je n’en ai cure, abandonnée à « mon homme » je suis soumise à ses désirs même s’il a cinquante ans de moins que moi, fière qu’il me trouve à son goût.
• Enfin il me retourne, se plaque à moi et m’embrasse face à cette splendide baie de la « Concha » qui restera à jamais dans ma mémoire. Puis, me saisissant dans ses bras il m’emmène dans la chambre où après une rapide toilette nous tombons sur le lit et nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
• Lorsque le matin la femme de chambre entre dans la chambre pour porter le petit déjeuner, elle nous trouve nus sur le lit, quelle n’est pas sa tête de voir ce jeune homme dont l’érection matinale est impressionnante, couché avec celle qui prétend être sa grand-mère (c’est le prétexte que j’ai donné pour prendre une seule chambre). Surprise par son entrée, je n’ai pas eu le temps de me couvrir non plus. Emmanuel, afin d’ajouter à la confusion de la femme, lui demande de nous porter le plateau sur le lit. En se penchant elle touche involontairement (ou pas?) la verge d’Emmanuel et peut sentir l’odeur de nos corps. Elle se retire rapidement sûrement choquée de notre attitude et du fait que ce beau jeune homme couche avec une vieille femme. Avant de sortir, elle se retourne tout de même une dernière fois. A notre départ de l’hôtel les regards du personnel sur nous, prouvent qu’elle a tout raconté à ses collègues.
• Nous quittons Saint Sébastien, direction le sud, je ne suis pas pressée d’arriver à destination car, j’ai envie de profiter d’Emmanuel pour moi seule pendant quelques jours. La prochaine étape nous emmène à Madrid où je fais visiter cette magnifique ville et ses environs à mon jeune amant. Nous restons deux jours dans la capitale. J’ai trouvé une chambre chez l’habitant. C’est une dame sensiblement de mon âge qui semble toute réjouie de côtoyer notre étrange couple. Au moment du départ, elle vient spontanément m’embrasser en me glissant « muchas gracias para todo » (merci beaucoup pour tout) preuve qu’elle a du entendre nos ébats nocturnes, « estupendo este chico con usted » (magnifique ce garçon avec vous). Le tout agrémenté d’un clin d’œil complice
• La dernière étape de notre voyage a lieu à quelques kilomètres de notre lieu de vacances. J’ai peur, tout à coup, d’affronter nos hôtes. Emmanuel qui en dînant se rend compte de mon état me questionne et je dois lui avouer la raison de ma peur !
• "Pourquoi as tu peur donc, si ce sont tes amis, ils ne doivent pas te juger, ou alors c’est moi qui te fais honte ?
• Mais non… C’est que…. C’est un peu particulier !
• Dis-moi tout !
• Voilà ! Ces amis, ce sont en fait, ma sœur et mon beau frère ! Ils vivent ici depuis deux ans et je ne sais pas comment ils vont réagir. Je panique à l’approche de la rencontre, que vont-ils penser de moi ? Ne suis-je pas folle de m’afficher ainsi ? Je leur ai dis que je venais avec un ami, ce qui a enchanté ma sœur qui me reprochait ma solitude après mon veuvage, mais je n’ai pas précisé ton âge !
• Je crois que tu te fais du mouron pour rien, ta sœur et ton beau-frère t’aiment, puisqu’ils se soucient de toi.
• Oui mais les préjugés …
• S’ils sont venus s’installer ici c’est qu’il ont un esprit jeune et indépendant »
•
• Emmanuel finit par me rassurer et est particulièrement tendre avec moi durant la soirée … et la nuit, il me saoule de caresses et de baisers et je finis par m’endormir dans ses bras. Réveillée de bonne heure, je prends un long bain et attache une attention particulière à ma tenue et mon maquillage, je veux paraître le plus à mon avantage aux côtés de mon superbe compagnon. Lorsque je sors de la salle de bain, Emmanuel lance un sifflement admiratif à mon attention, preuve que mon travail a porté ses fruits. Quand il me prend dans ses bras et m’embrasse, je le retiens en lui disant qu’il va ruiner mes efforts.
• Les quelques kilomètres qui nous séparent de ma famille, je les parcours à très petite allure, retardant au maximum le moment de la rencontre. Pourtant ils me paraissent très courts ! Très vite nous arrivons à « La Torre », petit village au bord de la mer entre Alicante et Murcia. L’autoroute nous y amène à moins d’un kilomètre. Ce sont juste quelques maisons de pêcheurs. Je me retrouve devant l’entrée de la propriété, incapable de sortir de la voiture, figée par la panique, le cœur battant à deux cent à l’heure. La silhouette de ma sœur sortant de la maison et venant à notre rencontre avec un grand sourire, me réconforte, je suis heureuse de la revoir. C’est la première fois depuis le décès de mon mari. Cela me fait oublier le stress et je descends de la voiture pour tomber dans ses bras, les retrouvailles sont joyeuses, elle me félicite de ma bonne mine :
• "Mais tu rajeunie ma chérie ! C’est le soleil ou l’amour ?
• Un peu les deux… dis-je, troublée malgré moi.
• Présente-moi à ton bel ami, il est très beau ! …Et très jeune ! Elle ne semble pas choquée et il n’y a aucun reproche dans sa remarque, mais mon cœur s’accélère !
• Je te présente Emmanuel, dis-je sans plus de précision, Emmanuel, voici ma sœur Ginette, mais au fait où est ton mari ?
• Oh lui ! Il part tous les matins en mer pour pêcher et ne rentre que vers une heure, comme nous ne savions pas quel jour vous arriviez….
• Vous avez bien fait ! Nous avons fait du tourisme à Madrid.
• Vous avez raison, c’est une ville superbe. Mais ne restons pas là, entrez donc ! Elle s’approche d’Emmanuel On s’embrasse ? Après tout vous êtes un peu mon … beau-frère ! »
• Eh bien ! Ma petite sœur a l’air de bien prendre la chose ! Voilà au moins un poids en moins pour moi. Il est vrai que nous-nous sommes toujours bien entendues ensemble, bien qu’elle ait dix ans de moins que moi. Avec ma sœur aînée, qui n’a pourtant qu’un an d’écart avec moi, nous n’avons jamais eu cette complicité. Nous vidons la voiture et Ginette nous emmène dans notre chambre qui est immense avec un superbe lit à baldaquin. Une grande salle de bain comme savent faire les espagnols. Azulejos de bas en haut et couleurs chatoyantes. Le balcon couvert qui court autour, donne sur le patio au milieu duquel un jet d’eau sur un bassin, apporte une note de fraîcheur.
• « Vous serez bien ici, me dit ma sœur, un vrai « nid d’amour » ! C’était notre chambre au début, mais maintenant, Dédé préfère rester en bas »
• Ginette nous laisse seuls pour nous installer. Une fois installés, alors que je redescends voir ma sœur, Emmanuel décide de rester dans la chambre pour bûcher son examen, je le soupçonne de vouloir nous laisser seules ensemble entre sœurs et puis, il est un peu intimidé par la situation. Jusqu’à présent, il ne se trouvait jamais avec moi face à des personnes nous connaissant et étant au courant de notre situation, ni susceptibles de nous juger. Pour la première fois sans doute, il ressent la pression que génère notre drôle de couple, don

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