Collection Lesbiennes. Découverte (2/2)

- Quel cri du cœur…

Ce sont les mots de Sabine, la patronne du club rempli de lesbiennes en tout genre et de toutes raisons sociales ou contre toute attente Marie-Ange, mon amie m’entraine.
Elle disparaît rapidement avec Viviane qui semble déjà dans ses bonnes grâces me montrant par là même que la femme de Boris est bisexuelle et aime les chattes.
Sabine la patronne du club, grande femme blonde au corps délié, s’intéresse à moi.
Je suis mariée avec Luis, d’origine portugaise, parfait macho qui en ce moment me croit au cinéma pendant qu’il s’empiffre de pizza et de bière devant PSG contre OM à la télé.

- Patricia, si Marie-Ange revient, offre-lui une coupe en attendant, je vais faire visiter mes appartements à Claire.

Elle me prend par la main et m’entraîne avant que j’aie le temps de comprendre ou elle veut me conduire.
Au fond du club, un escalier en métal et en colimaçon monte vers l’étage supérieur.
Je suis en tailleur de femme du monde, mais la main qui me pousse aux fesses les brulants divinement m’aide malgré mes talons hauts.
Je sais que je vais vivre une expérience autre que celle que j’ai vécue à ce jour. Alors que j’aurais dû m’offusquer et me rebeller, d’avance j’accepte cette expérience extraordinaire.
À l’étage, une seule grande pièce ou Sabine à tous pour vivre.
Coin cuisine, rideau cachant certainement une salle d’eau et en plus une table ou traîne une assiette avec quelques légumes et une miche de pain.
Un lit gigantesque comme j’en ai vu dans les films des princesses ou des rois où l’on doit se perdre sans le baldaquin bien sûr.
C’est vers lui qu’elle m’entraîne, mais avant elle me prend dans ses bras et nos lèvres se rejoignent.
Je m’attendais à un baiser fougueux, mais je suis agréablement surpris, car c’est un tendre baiser que je reçois.
Avec Luis, l’amour est rudesse, rien que rudesse.
Au début, j’ai aimé, mais la douceur de Sabine contraste tellement que je sens que ma chatte s’humidifie.


Il y a quelque temps que cette sensation d’inonder ma petite culotte a disparu de nos relations avec mon macho.
Quand le fourreau de Sabine quitte son corps, ma main naturellement va sur son sein fripon.
Mes vêtements me quittent un à un, avec au passage de sa part un baiser sur chaque partie découverte.
Jusqu’à ou Claire va-t-elle m’empoter ?
Je m’en fiche, je m’en contrefiche.
Marie-Ange est bien loin de mes préoccupations.
Pourquoi avec moi, son amie est-elle restée si secrète sur ces amours interdit, du moins avant de venir dans cette pièce, je le pensais ?
J’aurais su quoi faire devant cette femme gracieuse et sa fourche blonde impeccablement entretenue.

- Je te sens tendu, c’est normal la première fois.
On se demande si c’est bien raisonnable de sacrifier son couple à un moment de plaisir.
- Toi, as-tu été mariée ?
- Quelle horreur, une bite en moi, jamais ça je peux te le jurer.
- Comment devient-on lesbienne ?
- On naît lesbienne, du moins au plus loin de mon existence, ce corps longiligne était fait pour être caressé par des femmes et non des hommes.
Toi, tu l’ignores encore, mais moi je le sens, tu es née pour être la parfaite petite maîtresse d’une femme bien dans sa peau sur le plan sexuel.
Allonge-toi, je vais te montrer, je veux goûter à ton parfum de femme.
Chacun de nous à son parfum, le mien de rousse, est caractéristique.
Laisse-moi découvrir le teint.

Je me laisse emporter quand ma nouvelle amie avance sa bouche sur mon abricot et qu’écartant mes grandes lèvres, ses propres lèvres viennent se coller aux miennes .
La comparaison avec Luis est facile à faire, supporter de l’OM, c’est droit au but.
Chaque fois qu’il a envie de moi, il bande facilement, les préliminaires se terminent avant d’avoir commencé.
Mon clito se retrouve en première ligne alors que je suis persuadée que ma bite sur pied ignore son existence.


- Tu aimes !
- Continue, c’est divin.

Sa langue repart allant même par moments au plus profond de moi.
Ses doigts viennent me pénétrer.
J’ignorais que j’étais capable d’en recevoir quatre sans avoir mal.
Seul son pouce est en dehors, mais les autres viennent appuyer sur la partie haute de mon vagin et rapidement je sens des irradiations partir de là et emporter mon corps.
Jouir sous des doigts et une langue qui l’eût cru, pas moi, mais c’est si bon de sentir l’orgasme monter en moi et éclater au point que mes cris de plaisir doivent s’entendre jusqu’au bar sous nous.

- A-toi ?

Je me redresse, Sabine prend ma place m’offrant sa toison rousse.
Je parlais d’odeur, je savais que les rousses étaient connues pour leur odeur caractéristique, mais là ce que mon nez reçoit comme effluve me fait moi-même coulée entre mes cuisses.

- Caresse-moi avec ton sein.
Non, pas vers ma bouche, promène ton sein sur ma chatte, tes fraises sont si grosses que tu dois t’en servir comme d’une petite bite.
Attends, je vais t’aider.

Elle se remonte un peu, ses jambes s’écartent la mettant dans une posture parfaitement impudique et avec ses mains ouvrent sa chatte.
Je promène mon sein, elle relâche ses grandes lèvres et j’ai l’impression d’être aspiré.
Alors que je pensais lui donner du plaisir, c’est toutes les deux que nous volons vers des sommets de lubricités.
Comment nous retrouvons-nous tête-bêche, moi dessous, elle dessus à nous lécher nos minettes et nous donnant un ultime plaisir, je l’ignore.
Ce que dont je suis sûr, c’est que la douceur de nos ébats que je souhaite être éternelle.
Je viens de découvrir ma vraie nature, je suis une lesbienne.
Une bisexuelle comme le dit mon amante lorsqu’elle a parlé de Marie-Ange.

- Sabine, je veux rester avec toi, nous avons encore tellement de choses à apprendre.
Surtout-moi !
- Ça me tente, moi aussi.


Pour nous dire ces mots, nous sommes, bouches contre bouches, ma main, pardons deux de mes doigts en elle et elle, caressant délicatement mon sein.

- Met, ce peignoir, j’en ai deux en soie et descendons voir Marie-Ange, elle doit être de retour, l’heure a filé si vite avec toi.

Encore une fois, qui eut pu dire quand j’ai quitté Luis que je redescendrais cet escalier en colimaçon en peignoir simplement fermé par une ceinture.
Il s’ouvre deux fois, montrant mon corps et surtout ma toison aux quelques clientes encore présentes.
Marie-Ange est là sans sa partenaire sexuelle étant certainement restée chez elle après les jeux identiques aux nôtres qu’elles ont dû pratiquer.
Une fois en bas des marches, Sabine entoure mon corps montant à toutes que je lui appartiens.

- Marie-Ange va dire au mari de cette dame, qu’elle le quitte, car elle a appris à aimer la douceur comparée à la rudesse dont il semble faire preuve.
- Sabine, avant que Claire décide de rester avec-toi, lui as-tu tout dit sur la manière dont tu traites tes maîtresses.
Lui as-tu dit ce que tu aimes trouver sur celle qui a ce jour, ont partagé ta couche.

En prononçant ces mots, elle écarte son chemisier faisant apparaître ses seins percés par deux piercings et d’un tatouage reliant ses deux seins.
C’est ainsi que je découvre que notre amie Marie-Ange a été la maîtresse de Sabine.
Je me souviens qu’un moment, j’avais entendu dire par une amie commune que Boris et elle s’était séparée.
C’est dans les bras de Sabine qu’elle a dû passer cette séparation.

- Pourquoi faire découvrir à Claire, tous mes plaisirs cachés ?
Pourquoi lui dire que si tu relevais ta jupe, c’est ta chatte qui est ornée d’autres piercings plaisant tant à ton mari depuis que, tu m’as quitté pour revenir vers lui ?
C’est vrai Claire, je vais te dominer, je vais martyriser ton corps pour notre plus grand plaisir à toutes les deux.

Il est exact que je t’ai donné, non offert à plusieurs de ces dames présente encore ce soir, mais c’est par amour pour toi que je l’ai fait.

Elle m’embrasse, je devrais remonter dans la pièce du haut récupérer mes affaires, mais je lui rends son baiser sans aucune pudeur d’embrasser une femme en public.
J’embrasse Marie-Ange sur les joues comme pour la remercier de m’avoir amené dans ce club.

- Patricia, champagne, tournée générale.

C’est un sein à l’air, mon peignoir ayant encore glissé que nous trinquons.
C’est avec les yeux de l’amour que nous nous entrechoquons nos verres.

- Marie-Ange, quand tu pourras revenir, je te promets, tu seras la première femme à qui je prêterais Claire.

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