Maria 9 : Epilogue

Depuis Joe Dassin on appelle cette période de l’automne où le temps est splendide, l’été indien, mais les gens de la région connaissent bien ce moment depuis longtemps. Ce « petit été », moment où les touristes ont déserté les plages et où les locaux se retrouvent entre eux pour profiter d’un soleil radieux mais beaucoup moins agressif qu’en pleine saison. Les jours sont encore longs et il fait encore très bon sur la plage après 19h00.
J’avais donc invité Laurence à la soirée chez Valérie et Jérémy, quelle connaissait (voir épisode Emmanuel et Laurence), c’est d’ailleurs pour cela qu’elle avait accepté de m’accompagner. Elle allait ainsi faire la connaissance de Maria et d’Emmanuel. Je lui avais dis simplement qu’il y aurait un autre couple, sans préciser autre chose.
C’était aussi le soir des retrouvailles entre tous, car Maria et Emmanuel venaient de passer plus d’un mois en Espagne et je n’avais vu nos deux hôtes que de rares fois depuis notre premier séjour avec Maria. Juste un week-end avec Hélène qui désirait tellement les connaître et qui n’avait d’ailleurs pas été déçue. Je raconterai peut-être cet épisode là une autre fois, mais revenons à ce jour où nous retrouvions les deux amoureux ayant vécu hors du temps depuis deux mois et demi.
Maria était resplendissante ! Elle semblait rajeuni de dix ans grâce à son bronzage – que nous savions intégral – elle portait une robe légère, évasée vers le bas et qui virevoltait. On devinait qu’elle était nue en dessous, ses gros seins ballottant à chaque pas, fière et heureuse d’être au bras de son jeune amant, lui aussi rayonnant et beaucoup moins gêné que lors de notre première rencontre. On le sentait plus mûr. Plus sûr de lui. Sachant aussi que nous connaissions leur aventure, il n’avait pas besoin de se cacher et il était d’autant plus fier de se trouver au bras de sa maîtresse.
Nous étions arrivés les premiers avec Laurence et celle-ci se trouvait à la cuisine avec Valérie lorsque les deux tourtereaux arrivèrent.

Jérémy et moi les accueillîmes gaiement. Maria n’hésitant pas à se jeter dans nos bras et à nous embrasser sur la bouche malgré la présence de son jeune amant. Lui avait-elle confié nos relations ? En tout cas il ne semblait pas trop surpris. Il nous salua d’une vigoureuse poignée de main comme s’il retrouvait des vieux amis alors que nous ne l’avions vu que quelques minutes tout au plus. Maria se charge alors des présentations.
- « Vous connaissez Emmanuel ? Voici Jean, celui qui a déclenché cet été formidable que je ne croyais pas vivre un jour. Et voici Jérémy qui est notre hôte et dont tu as abusivement utilisé la maison le premier jour ! 
Nous rions franchement de la pique de Maria qui arrive à faire rougir un peu son amant.
• Je suis heureux qu’elle ait été le premier refuge de vos amours, et rassure-toi Emmanuel – je peux te tutoyer ?
• Bien sûr Monsieur !
• Pas de ça entre nous ! Appelle-moi Jérémy
• D’accord, Jérémy. C’est vrai que nous nous sommes imposés un peu brutalement ce jour là et je voudrais vous remercier d’avoir accepté cela, car avec Maria cela a été si … soudain... je n’avais jamais éprouvé cela et depuis, nous ne nous sommes pratiquement pas quittés, nous avons passé un été extraordinaire, grâce à v… à toi
• Tu pouvais dire vous car Jean y est aussi pour beaucoup. C’était lui l’ami de Maria et c’est lui qui t’as laissé la place !
• Merci à toi aussi Jean et... je suis désolé de …
• Ne t’excuses pas, tu sais, j’ai l’esprit large et Maria a dû t’expliquer que en fait je ne la connaissais ... intimement que depuis quelques heures
• C’est vrai, intervient Maria qui s’était tue jusque là mais tu étais mon amant « en titre » et aussitôt mon cocu. Ça aussi c’était une première. »
Elle oublie de dire que Jérémy était lui aussi passé par là, ne sachant pas le niveau de confidences qu’elle a pu avoir avec Emmanuel, je n’aborde pas ce sujet, Maria se glisse entre Emmanuel et moi et nous prend chacun par un bras déclare tout en me faisant un clin d’œil « Vous êtes mes chéris », puis s’adressant à Jérémy, lui demande :
• « Valérie n’est pas là ?
• Oui, elle est à la cuisine avec Laurence pour préparer le dîner
• Laurence ?
• La nouvelle amie de Jean !
• Ah, je vois que tu ne m’as pas pleuré longtemps !
• En fait, dis-je, je l’ai rencontrée en compagnie de Jérémy et Valérie le jour même où vous nous avez lâchement abandonnés tous les deux sur la plage !
• D’accord, un point pour toi, et depuis ce jour là, tu …
• Non, c’est un peu plus compliqué, je vais vous raconter cela quand tout le monde sera là, car il y a plusieurs épisodes et aucun de vous ne les connaît tous !
• Voilà une histoire, je suis sûre avec toi, qui va nous réjouir, et ta bonne amie est jeune ?
• Je dirais entre Emmanuel et toi
• C’est vague !
• Ben, non ! prends la moyenne et tu ne seras pas loin
• Vilain méchant que tu es ! Tu te moques !
• Non, je vous taquine tous les deux car je vous trouve très beaux ensemble.
Vos regards et vos attitudes font plaisir à voie, n’est-ce pas Jérémy ?
• Tout à fait ! Mais, assez parlé, allons nous installer sur la terrasse pour prendre l’apéritif, j’appelle ces dames. »
Nous allons tous les trois, les deux hommes encadrant Maria vers le côté de la maison où la table est dressée, pendant que Jérémy va chercher Laurence, Valérie et les glaçons.
• « Quel bel endroit ! Dit Maria vous ne trouvez pas qu’un chien se plairait dans cette prairie lance-t-elle en m’adressant un clin d’œil me rappelant l’épisode que nous avions vécu avant qu’elle connaisse Emmanuel.
• Oui, je suis sûr, que bien dressé, ce serait agréable de le faire gambader et jouer ici, dis-je en riant. C’est alors que Jérémy revient en compagnie des femmes »
• Maintenant que tout le monde est là nous allons pouvoir prendre l’apéro ! C’est alors que je vois la tête de Laurence figée en regardant Emmanuel. Celui-ci s’en rend compte et semble tout à coup un peu gêné, Valérie qui ne s’est rendu compte de rien, en parfaite hôtesse, fait les présentations.
• Voilà Laurence, je te présente Maria et Emmanuel dont je t’ai parlé.
• Mais … je te connais, dit-elle, tu es le fils de Madame S. ?
• Je... Oui ! Mais, vous êtes ?
• La commerçante du magasin « La Fileuse » au centre ville
• Ah oui ! S’il vous plaît, ne dites rien à ma mère ! Elle...
• D’abord, tu peux me tutoyer et ensuite rassure-toi, même si elle vient dans mon magasin parfois, nous ne parlons pas de cela. Son rire et son regard, - je suis le seul à le comprendre et je dois me détourner pour ne pas exploser de rire, imaginant la mère d’Emmanuel couchée sur le comptoir et fessée par Laurence- . Jérémy se doute un peu de quelque chose mais comme je n’ai pas raconté la suite de notre visite et les dernières trouvailles de Laurence, il ne fait pas tout de suite le rapprochement avec notre première visite dans le magasin et la fessée reçue par Valérie, qui a déclenché la suite.

Emmanuel, rassuré, se détend un peu et laisse Maria lui reprendre la main qu’il avait lâchée sous la surprise. Celle-ci, ne connaissant pas les petits travers des clientes de Laurence, ne peut comprendre ce qui se passe et elle tient à montrer à tous son attachement pour Emmanuel. Quand à lui, il observe Laurence tentant de se rappeler s’il l’a déjà rencontrée, découvrant une femme de son village, charmante au demeurant, dont il n’a pas souvenir, pourtant. Depuis tout petit, il a toujours joué dans les rues, notamment l’hiver quand les rues sont vides de vacanciers. Mais il faut dire que depuis le début de l’été, Laurence a beaucoup changé dans ses tenues. Elle arbore aujourd’hui, une robe légère et colorée qui fait ressortir ses yeux bleus. Je me la rappelle le jour de notre rencontre et je dois dire quelle a beaucoup changé en deux mois.
- « Je me rappelle de toi, continue Laurence, lorsque, tout petit, tu venais avec ta maman au magasin, mais tu es aujourd’hui un beau jeune homme et moi aussi j’ai bien changé. Allez, profitons de ces beaux jours, nous aurons bien le temps ensuite de retourner aux vicissitudes de la vie. »
Nous-nous installons à table, les couples de recomposent, Valérie et Jérémy Maria et Emmanuel enfin Laurence et moi. Nous sommes heureux de nous retrouver et d’intégrer Laurence et Emmanuel dans notre groupe, même s’ils ne sont pas encore au courant de nos relations. Valérie est impatiente de savoir comment s’est passé notre été et plus particulièrement celui de nos deux tourtereaux qui nous sont « abandonnés » durant tout ce temps pour se consacrer à leur amour. Elle trouve cela naturel mais sa curiosité féminine et surtout je crois, la relation « particulière » entre ces deux êtres qui ont cinquante ans de différence d’âge et qui sont manifestement amoureux fous l’un de l’autre.
J’avais informé nos hôtes, que Maria avait loué une maison dans le village mais ils ne se sont jamais trouvés, y compris sur la plage que pourtant ils fréquentaient tous les quatre.
Il faut dire que les deux tourtereaux cherchaient à s’isoler, surtout Emmanuel qui ne voulait pas tomber sur des connaissances. Maria le comprenait même si elle le regrettait. Ils nous racontent alors, avec moins de détail que ne le fera plus tard Maria et que j’ai relaté dans les épisodes précédents, mais leur récit excite particulièrement ces dames, surtout Valérie la plus dévergondée, qui demande tout le temps des détails croustillants, notamment sur le passage en Espagne.
A un moment, c’est pourtant Laurence qui intervient en demandant à Emmanuel.
• « Et ta mère n’a aucun soupçon ?
• Non ! Ne lui dites rien surtout ! Elle voit Maria comme une vieille dame, qu’elle ne croit pas du tout indigne – nous éclatons de rire – qui est contente d’avoir de la compagnie. Même depuis notre retour elle me répète que je ne dois pas l’embêter et insiste auprès d’elle, pour qu’elle n’hésite pas à me remettre à ma place. Je pense que la pensée que nous puissions être proches ne l’a jamais effleurée. Ce midi, elle avait invité Maria à déjeuner pour la remercier des « vacances » en Espagne. J’ai fais exprès d’arriver une demi heure en retard, alors que j’étais tout à côté à attendre, elle m’a demandée de m’excuser auprès de Maria. Vous savez ce que celle-ci a fait alors ?
• Dis nous vite ! » lance Valérie alors que Jérémy remet une tournée de punch.
• « Maria dit très sérieusement à ma mère, Vous savez, que même en Espagne j’étais obligée de le gronder souvent, le matin il traînait au lit – tout le monde est écroulé de rire – Il faut dire que le soir il n’était jamais prêt à dormir. – re fou-rire général – Et ma mère qui continue.
• Ici c’est pareil, la nuit il rentre à pas d’heure – ment il est avec Maria – A-t-il bien travaillé tout de même ?
• Oh ça oui ! Il est ensuite très appliqué ! Ma sœur elle-même a participé et était enchantée de son … application.
• Ta sœur ?
• Oui, Emmanuel a fait l’amour à ma sœur.
• Et toi aussi renchéri le jeune homme.
• C’est vrai nous avons été si loin dans notre folie !
• Je ne trouve pas ! Je crois même que nous avons bien fait pour elle
• Sûrement ! Et puis à nos âges – je parle de ma sœur et moi – il est un peu tard pour être choquées.
• Et vous ne vous êtes pas trahis ?
• Nous avions du mal à tenir le sérieux, mais ma mère est à mille lieues de ce genre de chose et puis, connaissant Maria, elle ne pense pas qu’une dame de son âge – pardon chérie – puisse avoir une activité voire des pensées sexuelles, et encore moins avec un garçon de mon âge.
Pendant le récit d’Emmanuel je remarque de Laurence est particulièrement attentive au jeune homme. Je ne sais si c’est de l’intérêt pour l’histoire, assez croustillante, ou pour le garçon lui-même. Je me dis qu’il faudra approfondir ce point.
• « Mais… faire l’amour avec ta sœur, ça ne te gêne pas ? intervient-elle justement.
• A un moment, je dois dire que oui, Jean m’avais fait découvrir les amours homosexuelles avec Hélène. Au début c’était une femme, puis je me suis posée la question, mais j’ai vite oublié cela car nous avions beaucoup de plaisir et puis, à mon âge, il n’est plus temps d’avoir ce genre de tabou. Je crois que cette « expérience » nous a beaucoup plus rapprochée que ce que nous avions vécu avant, je ne regrette pas du tout celle-ci et je la conseillerais même, si on me le demandait, entre adultes consentants bien sûr.
• Tout de même, dit Laurence, je me verrais mal avec quelqu’un de ma famille, même si je n’ai ni frère ni sœur je crois que ma vieille éducation m’en empêcherait. En plus avec une autre femme !
• Oui, moi aussi je n’aurais jamais pensé possible il y a trois mois de cela. En deux jours, ce diable de Jean m’a fait basculer dans une débauche totale. Rends-toi compte ! Un amant de vingt ans plus jeune, puis, le même jour avec une femme et je ne dis pas les pratiques un peu spéciales ! Ensuite, le naturisme, l’amour à quatre, le sadomasochisme et enfin un amant de cinquante ans plus jeune. Tout çela en moins de quarante huit heures !
• Des pratiques spéciales ? le sadomasochisme ? S’interroge Laurence, décidément très surprise par cette « vieille dame indigne »
• Oh ! pardon de vous choquer, mais … Jean m’a … uriné dessus et … même dans la bouche et ensuite il m’a demandé … de … pisser sur lui. Il m’a aussi fait un lavement avant de me sodomiser et aussi de me vider dans les toilettes devant lui.
• Eh bien ! quand vous-vous lâchez vous ! dit Laurence
• Tu ne m’as pas raconté cela lui dit Emmanuel.
• Je ne voulais pas te choquer avec ces pratiques et puis je dois dire que je les avais un peu oubliées pendant cet été avec toi – Les deux amoureux s’embrassent sous nos yeux ravis de voir leur entente.
• Et, vous avez parlé de sadomasochisme ? renchérit Laurence décidément très curieuse
• Tu peux parler, toi, dis-je alors pour lui rappeler qu’elle-même ne se gêne pas avec ses clientes.
• Tu es tranquille toi, c’est bien toi qui a provoqué ça aussi !
• C’est la faute de Valérie !
• Ah ! Mais, nous ne sommes pas au courant déclare Maria », bien contente de ne plus être au centre de la discussion. « Qu’est ce que c’est que cette histoire avec Valérie, je ne savais pas que vous la connaissiez avant aujourd’hui ? Je reprends la parole :
• Il faut dire que ce jour-là vous étiez très occupés Emmanuel et toi, c’est à ce moment-là que nous avons rencontré Laurence et qu’elle a inauguré les punitions envers ses clientes voleuses !
• Inauguré ? Tu veux dire que tu as continué ? demande Jérémy
• Elle a même perfectionné la technique dis-je
• Racontez-nous s’il vous plaît, à votre tour, un peu
• Je retrace alors notre deuxième rencontre, l’installation de la webcam et la suite des événements.
• Eh bien, décidément, tu es un sacré numéro, chaque fois que tu rencontres quelqu’un, çà fini dans un lit et des pratiques particulières ! »
A la fin de mon récit, je remarque qu’Emmanuel est particulièrement intéressé par Laurence et que Maria l’a remarqué aussi. Je me demande si cela la chagrine de voir son jeune amant regarder une autre femme, plus jeune qu’elle.
Un peu plus tard, alors que nous-nous apprêtons à passer à table j’arrive à m’isoler un peu avec Maria et lui demande.
• « J’ai bien vu, et tu as remarqué comme moi, l’intérêt d’Emmanuel pour Laurence et réciproquement, tu es blessée ?
• Non ! Depuis le début de notre histoire avec Emmanuel je sais qu’elle ne durera pas, je savais que cela viendrait tôt ou tard, et même si c’est un peu dur, je suis heureuse que ce soit maintenant et que tu sois là avec moi. Écoute, je ne ferais rien pour les empêcher de se rapprocher, je crois qu’il est temps de tourner la page. Tu crois, qu’ils pourraient être heureux ensemble ?
• Tu es une vieille femme géniale ! Je crois que grâce à toi, Emmanuel a appris à aimer les femmes mûres et avec moi, Laurence s’est décoincée, je crois qu’ils feront un super couple, même s’ils ne le savent pas encore !
• Toi, tu as une petite idée derrière la tête !
• J’attendais simplement de savoir ce que tu pensais. Puisque tu m’as l’air d’accord, on va les rapprocher ces deux là, plus vite qu’ils ne le feraient tout seuls. J’en parle à Jérémy et Valérie et je crois que cela devrait bien se passer. Toujours d’accord ?
• Bien sûr mon chéri ! Tu es fabuleux ! J’ai vraiment eu de la chance de te rencontrer ! Grâce à toi j’ai rajeuni, fait des choses incroyables et en plus, tu m’enlèves les problèmes ! » Elle m’entoure alors de ses bras et m’embrasse passionnément. Emmanuel qui nous trouve ainsi nous interpelle en souriant
• Eh bien ma chérie ! Dès que tu retrouve un homme, tu me cocufie !
• Oh pardon mon chéri, mais Jean est un amour et c’est grâce à lui que nous-nous sommes rencontrés
• Mais je ne t’en veux pas ! Je vous trouvais même très mignons ! Allons, rejoignons les autres !
• Va avec lui, dis-je à Maria, je m’occupe de la suite ! »
Au passage, je briefe Valérie puis Jérémy, sur mon plan de rapprochement entre Laurence et Emmanuel, ainsi que de l’accord de Maria. Nos deux amis sont enchantés de la tournure de la soirée et adhérent bien-sûr à mon plan. Il ne reste plus qu’à l’appliquer.
Lorsque je reviens dans le salon, la situation a sensiblement évolué, car Laurence et Emmanuel sont côte à côte et manifestement très proches l’un de l’autre. Notre plan machiavélique n’a même pas besoin d’être mis en place, les choses se faisant tout naturellement. Je jette un regard à Maria en lui faisant un clin d’œil, Valérie aussi a compris, elle fait signe à Jérémy d’aller vers Maria et se rapproche de moi. Les deux autres ne se sont pas encore rendu compte, ni que leur histoire commence, ni du mélange des deux autres couples qui s’embrassent sur la bouche. Face à eux, maintenant, Jérémy est en train d’embrasser et de peloter Maria qui, un œil sur son amant attend qu’il se rende compte de la situation.
Rien à faire, ils sont dans leur bulle ! Valérie, qui a décidé de s’amuser à fond, vient se mettre à genoux entre les jambes de Maria, alors que son mari continue à la lutiner, et avant de plonger sur sa chatte, dit bien haut :
• « Ma chérie ! il y a longtemps que je n’ai pas goûté à ta mouille ! laisse-moi te régaler avec ma bouche ! »

Elle relève le bas de la robe et glisse sa tête entre les cuisses de son amante. Jérémy ne s’en laisse pas compter et à ouvert le corsage, sorti les seins de Maria et prenant un téton dans la bouche, agace l’autre entre ses doigts. Le couple la couche alors par terre. Je profite de cet instant pour me déshabiller et venir présenter ma verge aux lèvres gourmandes de Maria qui n’hésite pas et avale mon chibre. Nous sommes tous les trois sur elle et les deux autres ne peuvent plus ignorer maintenant notre spectacle.
Ma position me permet de voir qu’après quelques instants de surprise, les deux amoureux – qui ne le savent pas encore – joignent leurs lèvres et s’embrassent goulûment. Emmanuel ne tardant pas à dégager les gros seins de Laurence qui ne tarde pas, d’une main, à ouvrir la braguette et de glisser sa main dans le pantalon du jeune amant de Maria qui est en train de devenir le sien. La partouze est lancée, reste maintenant à la mener à bon port. Emmanuel qui n’est plus le jeune homme timide qu’il était il y a trois mois, a entrepris de dévêtir sa partenaire, sans plus se préoccuper de Maria qu’il voit en de bonnes mains. Voyant cela, Jérémy fait relever celle-ci pour finir de la déshabiller, puis la positionne à genoux face au canapé à quelques centimètres de son jeune amant qui butine la chatte baveuse de Laurence. Il se positionne derrière Maria et sans problème tellement elle mouille, lui enfonce sa grosse bite, déclenchant un cri de plaisir si fort que un instant les deux nouveaux amants suspendent leurs ébats. Laurence tend la main à Maria qui s’en saisi, semblant de la sorte lui passer une sorte de relais. Valérie, qui n’en perd pas une, se met elle aussi à genoux, contre le canapé et vient embrasser Laurence à pleine bouche. Celle-ci, dont c’est la première expérience avec une femme, lui rend aussitôt son baiser, enflammée par la bite d’Emmanuel. Je prends place alors derrière Valérie et comme son mari avec Maria, je la baise en levrette.
La pièce résonne des cris et halètements de chacun, une odeur de sexe envahi la pièce et dans un quasi-ensemble, les femmes d’abord, suivies de peu par les hommes, Jérémy qui adore ça sur le dos de Maria, Emmanuel à l’intérieur du vagin de Laurence, quand à moi, je contourne Valérie et lui lâche mon sperme dans la bouche, sachant que la vicieuse se régale de la semence et en profite pour partager mon jus avec Laurence.
Le retour sur terre se fait lentement, chacun profitant de ce moment de béatitude en caressant ou en embrassant le ou les corps qui se trouvent à portée, je ne fais rien vers Emmanuel car je ne veux pas brusquer le jeune homme, mais Jérémy se jette sur ma bite en disant, viens que je retrouve ta bonne queue qui vient de régaler ma femme, il y a longtemps que je n’y ai pas goûté !
Emmanuel semble un peu surpris et regarde cet homme qu’il connaît tout de même assez peu, sucer un autre homme, qui ne semble pas homo, puisqu’il vient de baiser sa femme. C’est peut-être ce spectacle, ou bien le baiser sur la bouche que lui donne Maria, qui lui fait reprendre conscience. Avec la candeur de sa jeunesse et malgré tout un peu craintif, il déclare :
• « Ma chérie …. Je crois que... je suis ... amoureux de Laurence !
• Mon chéri ! Je l’ai su avant toi ! Et je ne suis pas la seule ajoute-t-elle en nous regardant Valérie et moi. J’en suis très heureuse ! Tu sais, depuis le premier jour, j’ai su que cela ne pourrait durer entre nous et c’est pour ça que j’ai voulu que nous en profitions au maximum ! J‘espère simplement que tu ne m’oublieras pas trop vite !
• Mais voyons ! Je ne t’oublierais jamais ! Et … je te garderai toujours une place privilégiée dans mon cœur et … dans mon lit !
• Voyez-vous ce jeune vicieux ! Il pense à se mettre deux femmes dans le lit ! Mais as-tu demandé son avis à Laurence ? Peut-être n’a-t-elle pas envie ?
• Ma chérie, tu n’as pas hésité toi-même à me mettre une autre femme dans le lit que ce soit Hélène ou ta sœur ! Alors, j’aimerais te  « mettre dans notre lit » comme tu dis, pour que la boucle soit bouclée, pour notre plaisir et surtout celui de Laurence, car je veux que ma femme soit une vicieuse au lit – et ailleurs- Tu m’as fait découvrir des choses que peu de ceux de mon âge peuvent soupçonner alors je crois que maintenant, ma vie sexuelle comptera autant que la vie tout court.
• Ta femme ? dis-je. C’est déjà une demande en mariage !
• Excuse-moi Jean, mais je crois que tu es plutôt ouvert, Oui je veux qu’elle soit ma femme – si tu le veux bien Laurence. Je sais que c’est toi la femme de ma vie. Veux-tu m’épouser ?
• Je … Oui mon chéri ! S’écrie Laurence en se jetant sur la bouche de son tout nouvel amant.
• C’est super ! Dis-je et … très rapide, mais je crois que vous avez raison
• Oui ! Tout à fait ! renchérit Maria, mais pour venir dans ton lit, dans votre lit, je pose une condition !
• Accepté ! disent aussitôt les deux fiancés
• Attendez, vous ne connaissez pas la condition
• Peut importe, c’est d’accord, venant de toi. Je veux que tu fasses connaître à ma femme les plaisirs lesbiens, alors ok
• Mais il y a aussi Valérie.
• Oui, mais tu seras la première, alors cette condition ?
• Eh bien … Maria fait durer le suspens volontairement, si tu veux que je me joigne à vous...
• Allez, allez ! S’impatiente Emmanuel
• Eh bien … Je ne viendrais … que … si Jean vient aussi
• C’est tout ? mais bien sûr ! D’autant plus que lui et Laurence sont déjà amants et qu’il me l’a fait connaître, alors, bien sûr !
• Doucement mon chéri ! Tu permets que je t’appelle encore mon chéri ?
• Bien sûr ma chérie, je t’ai dis que tu le seras toujours
• Je vais être jalouse ! Glisse malicieusement Laurence
• Mais non, mon amour !
• Tu ne marches pas tu cours ! C’est ça la jeunesse ! Je te disais donc que Jean se joindrai à nous et qu’il n’aime pas que les femmes !
• Oh ! Je... ne sais pas si …
• Tu vois qu’il ne faut pas se précipiter quand on donne son accord sans savoir
• C’est que... je ne suis pas …
• Pédé ? Mais Jean non plus ! Mais, comme tu as plaisir à me voir avec une autre femme, j’aurais beaucoup de plaisir à te voir avec un homme.
• Moi aussi ! déclare alors Laurence qui s’amuse déjà de la situation
• Et pour te montrer que c’est très bon – lance alors Jérémy – je vais prendre plaisir à le sucer de nouveau.
• Mais … et Valérie ? Dit Emmanuel
• Rassure-toi, elle adore nous voir ainsi
• Oui dit celle-ci, mais je ne voudrais pas être la seule à ne pas goûter à cette queue magnifique, si mes souvenirs sont exacts ! Tu me le prêteras un peu Laurence ?
• Mais, bien sûr, si tu me prêtes ton homme ! Vous savez que je suis la seule à ne pas l’avoir encore … goûté ?
• Il faudrait peut-être demander son avis à Emmanuel dis-je alors, il ne faudrait pas l’effrayer avec nos pratiques débridées !

Le dialogue est surréaliste ! Emmanuel est déjà amoureux d’une femme qu’il n’a pas encore baisée, Laurence connaît les fesses de Valérie et moi un peu plus, c’est finalement Maria qui connaît intiment le plus de monde, alors qu’elle est notre doyenne, elle a fait l’amour avec tout le monde, sauf avec Laurence.
Jérémy qui a envie que cette soirée reste mémorable en rajoute une couche.
• « Ç’a fait longtemps que je n’ai pas goûté ta bite, Jean et en plus de la sucer j’ai très envie de la prendre dans mon cul ! Allez, à poil ! Et joignant le geste à la parole, il enlève rapidement son tee-shirt et son pantalon sous lequel il ne porte rien, puis, vient à genoux entre mes jambes, défait mon pantalon et sors ma queue. Je vois que notre conversation te fait aussi de l’effet, tu bandes bien mon salaud !
• Tu sais bien qu’il ne m’en faut pas beaucoup, mais ne crois-tu pas que notre jeune ami va être choqué de nous voir ainsi
• Regarde s’il est choqué ! En effet Laurence d’un côté, Maria de l’autre ont entrepris de dévêtir leur jeune amant, ou peu s’en faut, qui se laisse faire comme un pacha, ne quittant pas des yeux notre couple un peu surprenant, il faut bien le dire.
• Eh bien, puisque personne ne s’occupe de moi, lance alors Valérie qui fait passer sa robe légère par dessus la tête, je vais me servir toute seule. Elle s’empare d’un gode caché derrière le canapé, écarte les jambes et se l’enfile tout en astiquant son bouton. »

Le salon, si tranquille quelques minutes avant, se transforme en lupanar ! Maria et Laurence ne tardent pas à dénuder Emmanuel qui arbore une érection fantastique ! Son sexe, que j’avais vu en semi repos à la plage me paraît gigantesque ! Laurence a un temps d’arrêt et Maria, habituée elle, s’en saisi et lui présente devant les lèvres.
• « Vas-y ma chérie ! goûte-la toi aussi ! Tu verras comme elle te rendra heureuse !
• Putain quelle bite ! Dis-je, Regarde Jérémy nous sommes courts !
• Jaloux que vous êtes, intervient Valérie, moi aussi il me tarde d’y goûter et surtout de la voir vous enfiler espèces de pédés ! Je suis sûr que vous allez en baver ! »

A partir de là, les dialogues de sont plus de mise, chacun se concentre sur son plaisir et celui de son partenaire. Prestement j’enlève pantalon et tee-shirt pour me retrouver nu. En face, Maria et Laurence ont aussi déshabillé Emmanuel et Maria plus prompte s’est jetée sur le sexe de son jeune amant. Laurence après avoir embrassé très sensuellement ce jeune homme qui vient de lui faire une belle déclaration d’amour, puis, ne voulant pas sembler être bégueule, elle rejoint Maria pour goûter elle aussi cette merveilleuse bite. Comme un passage de témoin, Maria lui cède la place, concentrant ses caresses et ses baisers sur les couilles du garçon. Après un moment, elle laisse les deux amoureux, se lève, ôte sa robe et se dirige vers Valérie qui l’accueille avec un grand sourire, guidant sa tête entre ses cuisses.
Les soupirs remplissent la pièce et les trois couples constitués se prodiguent des caresses buccales. Valérie, qui comme Emmanuel et moi, peut voir les deux autres couples succombe rapidement à son premier orgasme, elle se lève alors et aidée de Maria s’équipe du gode ceinture, puis, prenant position derrière son mari qui continue à me sucer, l’encule sans coup férir. Jérémy quitte un instant ma bite pour crier de surprise et de plaisir, ce qui a pour effet de faire ouvrir les yeux d’Emmanuel, surpris de voir ce trio à l’œuvre. Le spectacle déclenche son éjaculation et il se vide dans la bouche de Laurence qui, bien que hoquetant un peu, avale la jeune semence. Je le suis de peu dans la bouche de Jérémy qui, profondément défoncé par sa femme, gicle à son tour sans se toucher.
Seules Maria et Laurence n’ont pas encore joui, alors, notre adorable doyenne, qui décidément n’en rate pas une s’en vint devant celle qui, à son corps défendant, a pris sa place, et la couchant sur le canapé, l’embrasse tout d’abord, la retrousse, et plonge sa bouche dans la chatte gourmande. Emmanuel qui, privilège de l’âge, bande dur à nouveau emmanche alors sa vieille maîtresse qui est ainsi comme un trait d’union dans leur nouveau couple. Les deux femmes de sa vie atteignent l’orgasme quasi simultanément, bouclant ainsi ce moment de sexe.
Vient enfin le moment où Laurence et Emmanuel se retrouvent ensemble. Maria s’écarte, se retourne et saisi la bite phénoménale de son amant. Elle le tire ainsi entre les jambes de Laurence, toujours pâmée après son orgasme et présente le magnifique instrument du jeune homme devant la chatte liquoreuse. Là aussi elle passe le témoin – et quel témoin ! –
Le silence s’est installé. Nous sommes tous conscients de vivre un moment spécial. Lentement, Emmanuel pénètre Laurence qui se rend compte alors des dimensions fabuleuses de la queue de son nouvel amant. Les yeux dans les yeux, eux aussi goûtent intensément ce premier accouplement. Quand la bite monstrueuse est entièrement logée dans l’étroit conduit, leurs lèvres se joignent dans un baiser intense et profond.
Laurence noue ses jambes autour de la taille du jeune homme comme pour le prendre encore plus profondément alors qu’Emmanuel débute ses va et vient au fond de l’antre onctueuse.
Nous laissons les deux amants goûter seuls ce moment rare et reconstituons notre quatuor dans lequel se mélangent les corps sans distinction de sexe.
La soirée et la nuit vont se prolonger fort tard, dans un mélange des corps, entrecoupé de moments plus calmes ou nous-nous restaurons et nous buvons. Nous dormons tous ensemble et c’est le jour qui nous réveillera les uns après les autres. Le jour et l’odeur du petit déjeuner.
Après cette nuit de débauche, la journée qui suit sera plus calme. Le dimanche soir, je dormirai avec Maria alors qu’Emmanuel, après être passé voir sa mère, ira dormir chez Laurence.
Un mois plus tard, alors que je passe la nuit chez Maria, Emmanuel l’appelle pour annoncer, qu’il a présenté Laurence à sa mère, qui a tout d’abord été un peu paniquée de voir chez elle la commerçante chez qui elle a aussi sa photo « de dos ». La surprise passée, voyant que celle-ci n’avait manifestement rien dit, elle a été rassurée. Se demandant pourquoi son fils amenait cette dame à la maison. Sa réticence s’est manifestée, la différence d’âge, tout d’abord et là, Emmanuel l’a jouée fine en lui disant que Maria, qui connaissait leur relation et que sa mère appréciait beaucoup, l’encourageait car elle le trouvait très mûr pour son âge, qu’il était fait pour une femme plus âgée et non pour une jeunesse, « d’ailleurs, je vous la passe ! Dit-il en donnant le téléphone à sa mère.
C’est ainsi, que Maria se trouve à argumenter auprès de sa « belle mère » sur les qualités de Laurence dont elle ne connaît pas grand chose si ce n’est son corps, - mais ça, elle ne peut pas le dire -, tout comme concernant Emmanuel, mais la mère de celui-ci, écoutant les conseils de celle qu’elle considère comme une amie qui a une très bonne influence sur son fils, accepte petit à petit. Maria lui promet de veiller sur eux et de lui en rendre compte.
Ce qu’elle ne saura pas, est que si Maria veille, parfois avec eux, quelle baise avec eux, qu’elle sait que Laurence fesse parfois sa belle-mère dans la boutique, même si elle a retiré la photo de la liste, qu’elle sera la première à savoir que Laurence est enceinte, que Emmanuel a décidé de l’épouser, que nous serons les témoins, Maria d’Emmanuel et moi de Laurence.
Bref, au printemps, le mariage est célébré avec une mariée dont le ventre est déjà bien rond. Au mois de juillet suivant, la petite Marie-Jeanne faisait son entrée dans la famille, en même temps que Jean-Marie chez Valérie et Jérémy. Eh oui ! Il y a eu une « épidémie » de naissance à ce moment là !
Cette période idyllique se poursuivra pendant un an encore, jusqu’à la disparition tragique de Maria dans un accident de voiture, qui nous laissera tous un peu orphelins.
Le jour de ses obsèques, j’avais prévenu tout le monde bien sûr. Les gens du pays ont été surpris de nous voir regroupés autour du cercueil de notre amie. De voir un chagrin profond de personnes étrangères à la famille.
Notre groupe ne passant pas inaperçu, il fallu, étant le seul connu, que je donne plus tard des explications, restées très « vaseuses » sur la façon dont on se connaissait. La seule à qui j’ai pu en parler étant Ginette qui est venue spontanément avec Dédé, embrasser Emmanuel. Elle a dû d’ailleurs expliquer comment elle connaissait cet homme.
Après la cérémonie, nous nous sommes tous retrouvés chez moi. Nous rappelant les bons moments passés ensemble, en compagnie de Maria. C’est ainsi que la mère d’Emmanuel apprendra la relation de son fils avec la disparue. Choquée d’abord, c’est sa belle-fille qui lui fera comprendre que, elle le savait, et qu’elle n’y avait vu aucun problème.
La mère d’Emmanuel trouvera un réconfort dans mes bras. Elle aussi était très affectée de la disparition de celle qu’elle considérait comme une amie et qui avait mis son fils sur les rails. Elle m’invita plusieurs fois pour parler avec moi de Maria, ce qui me posait parfois des problèmes pour lui cacher certaines situations scabreuses ! Au fil des rencontres il lui arrivait de me serrer contre elle en partant et en arrivant la voir. Un jour, sans savoir comment, nos lèvres se sont rencontrées. Elle sentait bon, elle avait chaud et nous avons fini sur le tapis devant la cheminée.
Elle a ensuite culpabilisé, je ne pouvais décemment pas lui dire que je couchais aussi avec son fils et sa belle-fille, mais petit à petit elle a accepté ces moments, cachant notre relation à son fils et sa bru, - que, bien entendu j’avais mis au courant et qui s’en réjouissaient -. Laurence m’a même encouragé, connaissant les goûts de soumission de sa belle-mère, à user d’autorité et à la fesser parfois, car elle culpabilisait un peu de n’avoir jamais osé en parler à Emmanuel.
Clotilde, un prénom comme ça, cela ne s’invente pas, restera toujours très guindée en public, même si, en privé, elle pouvait se révéler une fieffée salope ! Elle n’a jamais avoué à son fils et sa belle-fille notre relation, ce qui nous amusait beaucoup lorsque nous nous retrouvions « par hasard » chez eux. En effet, ils m’invitaient parfois à déjeuner ou à dîner et Clotilde était aussi invitée.
Laurence adorait mettre ainsi sa belle-mère en difficulté. Celle-ci, se sentant coupable, passait quelques jours plus tard, se faire « corriger » par sa bru, se donnant l’impression d’expier sa faute. Laurence ne manquait jamais de m’appeler en suivant pour me relater la visite. Un jour, elle a même fait très fort, en m’appelant à l’insu de sa visiteuse, pendant qu’elle lui administrait sa fessée curative.

FIN
***

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!