Cabine D'Essayage I

Nous étions samedi, 18h30.
À une demi-heure de la fermeture, il y avait de moins en moins de clients dans le magasin.
Je tenais une petite boutique de lingerie dans le centre-ville. J'avais renvoyé mes employées chez elles au vu du peu de personnes présentes. Je pouvais gérer seul.
Alors que la plupart des clientes étaient parties, une petite dame d'une cinquantaine d'années fit son apparition. Habillée d'un tailleur beige avec des talons noirs, elle dégageait une aura sexy. Ses longs cheveux blonds ondulés et son maquillage léger lançait un message d'une femme sûre d'elle.
Alors qu'elle furetait dans le magasin, je pus à loisir la contempler. Particulièrement sa poitrine qui peinait à rester discrète dans le tailleur. Surement devait-elle attirer les regards de bon nombre d'hommes, le mien compris.
Mon esprit divagua et je m'imaginai passer mes mains sur ses seins, les malaxant à loisir, leur faisant subir tous les outrages.
J'interrompis ma rêverie alors qu'elle venait vers moi, quelques ensembles à la main.
D'un sourire elle me demanda où était les cabines d'essayage. Je lui répondis poliment tout en pensant au grand panneau pile en face de l’entrée marqué “Cabines d’essayage”. Sûr qu’elle ne l’avait pas loupé.
Son sourire rouge carmin me donna quelques idées et je repartis à mes rêveries tandis qu'elle se diriger vers les cabines. Avais-je imaginé ou roulait-elle du cul ?
Les minutes défilèrent pendant lesquelles je rangeai le magasin avant la fermeture. Il ne restait plus que cette dame et moi.
-Excusez-moi, entendis-je.
Je me dirigeai vers les cabines pour voir ma sublime cliente, la tête passée par le rideau.
-Que puis-je faire pour vous ?
Elle me tendit un ensemble de dentelles noires dès plus sexy tout en dissimulant son corps avec le rideau.
-Je me suis trompée, le soutien-gorge est trop petit. Pouvez-vous m'apportez la taille au-dessus ?
Je la dévisageai en souriant.


-Bien sûr.
Je partis chercher son ensemble et revins quelques minutes plus tard.
Je m'aperçus qu'elle n'avait pas totalement refermé le rideau. Je jetai un œil discrètement et put voir qu'elle ne portait qu'un string noir. Elle se contemplait dans le miroir. Particulièrement ses seins nus qu'elle soupesait par moment. Nos cabines étant assez grande, elle avait pris le loisir d’éparpiller ses affaires un peu partout.
Je me décalai contre le mur et me raclai la gorge.
-Madame, j'ai ce qu'il vous faut.
Elle tendit la main à travers le rideau et je lui donnai.
Après quelques minutes, elle lança :
-Celui-là sera parfait.
-Si je puis me permettre, madame, la couleur rouge vous irait mieux.
Elle passa une nouvelle fois la tête à travers le rideau.
-Et qu'est-ce qui vous fait dire ça ?
-Le rouge se marierait mieux avec la blondeur de votre chevelure et le carmin de vos lèvres.
Elle rougit légèrement avant de se reprendre.
-Alors va pour le rouge.
Je parti à la recherche du même ensemble avec la bonne couleur.
À mon retour, le rideau était correctement fermé. Était-ce une erreur tout à l'heure ? N'avais-je fait qu'interpréter tous ces signes depuis le début ? Ses sourires appuyés, son tortillement du cul, ce rideau mal fermé ?
Tentant le tout pour le tout, je décidai de rentrer dans la cabine.
Elle était là, au milieu, se contemplant dans son ensemble en dentelles noirs. Ses seins comprimés de manière sexy, rendant irrésistible l'envie de les regarder. Ce que je fis sans la moindre honte. De telles merveilles se doivent d'être contemplées.
En remontant mes yeux, je lus la surprise dans les siens. La bouche légèrement entrouverte, elle me donnait à nouveau des idées.
-Et bien vous ne vous gênez pas, vous !
J'avançai vers elle sans rien dire. Elle recula.
-Je peux savoir ce que vous faites ? demanda-t-elle, la voix chevrotante.
Je continuai d'avancer jusqu'à ce qu'elle bute contre le mur de la cabine.
Du haut de mes 1m80, je la dominai complètement. Je m'approchai d'elle et posai une main sur sa joue. Je lus dans ses yeux de l'appréhension et une pointe d'envie. Je me penchai et lui susurrai à l'oreille :
-Je sais ce que tu es, petite cochonne. Ton petit jeu avec tes sourires et ton cul en dit long.
Je sentis sa respiration s'accélérer.
-Sous tes airs de bourgeoise chic, tu rêves de te faire démonter par un homme. Lui être totalement soumise et qu'il fasse ce qu'il veut de toi. Être utiliser comme une salope et crier comme la petite chienne que tu es.
Je plongeai mon regard dans le sien et compris que j'avais raison. Mes quelques mots avaient réveillé quelque chose en elle.
Je passai une main dans son dos et défis le soutien-gorge qui tomba au sol. Ainsi libérés, ses seins pointaient vers moi de manière arrogante. Je les pris entre mes mains comme j'en avais rêvé quelques minutes plus tôt. Les massant, les malaxant. J'attrapai un téton entre mes doigts et tirai dessus. Elle couina de douleur et de plaisir. Je plongeai alors ma bouche vers ses seins pour les lécher. Du bout de la langue, je titillai ses tétons, les mordillai. Son souffle me confirma son plaisir. Je me délectait de ses deux mamelons comme un bébé tète sa mère. Suçant et léchant comme un affamé cette magnifique poitrine.
Ma main descendit plus bas et glissa à l'intérieur de son string. Elle y rencontra une chatte parfaitement épilée pour mon plus grand plaisir. Caressant ses lèvres, je les écartai très vite pour avoir accès à sa grotte d'amour. Mes doigts étaient déjà trempés de sa cyprine.
-Tu mouilles comme une petite chienne en chaleur.
Je la pénétrai d'un coup de deux doigts. Elle se cabra instantanément et gémit de plus belle. J'entamai des va-et-vient avec mes doigts. La pénétrant tantôt lentement, tantôt rapidement. Elle avait fermé les yeux, totalement soumise au plaisir que je lui donnais. Avec mon pouce, je caressais son clitoris et le faisais rouler.
Ses petits gémissements s'intensifièrent.
J'accélérai le rythme de mes doigts d'un coup. De mon autre main, j'agrippai son cou. Je plaquai mes lèvres sur les siennes pour un baiser fougueux. Ma langue força l'entrée pour rencontrer la sienne. Avide, elle me rendit ce baiser avec autant d'envie. Elle gémissait et se trémoussai sous les assauts de mes doigts. Je la sentis se cambrer. Elle rompit notre baiser avec force et cria son plaisir.
-Oh oui !!
Sa chatte se contracta sur mes doigts et les inonda. Je regardai cette quinquagénaire jouir de mes doigts, les yeux révulsés, la bouche ouverte par ses cris.
La jouissance passée, elle se laissa tomber au sol, les jambes flageolantes.
Je lui caressai les cheveux d'une main alors qu'elle posait sa tête sur ma cuisse.
Je la laissai là le temps qu’elle reprenne ses esprits. J'allai au milieu de la cabine et me déshabillai entièrement. Ma queue se dressa devant la vue de cette sublime femme offerte.
-Viens ici, ordonnai-je.
Encore dans un état second, elle voulut se relever.
-Non, reste au sol.
Elle rougit et avança vers moi à quatre pattes. Elle s'agenouilla à coté de moi et me regarda d'en bas, semblant appréhender la suite.
-Regarde, dis-je en désignant le miroir.
Elle obéit et nous vit. Elle, nue, ne portant que son string trempée, à mes pieds tandis que j'avais la bite dressée vers elle. Je pris son visage d'une main et de l'autre approchai ma queue de son visage.
-C'est ça que tu voulais. Être à genoux devant un homme qui va faire de toi ce qu’il veut pour ton plus grand plaisir.
Je tapotai son visage avec mon gland, le caressai, effleurant ses lèvres. Elle ne dit rien, hypnotisée par cette queue si proche de son visage. Un filet de pré-sperme resta collé de son menton au bout de ma queue.
-Sois un bonne chienne maintenant. Ouvre grand ta bouche.

À suivre...

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