Collection Cocu. Le Poulain. Saison Vii (28/29)

Je disais souvent, « non jamais, » étant la dernière devant qui John s’agenouille ayant refusé la bague aux quatre autres candidates des divers clans qui sont présentes à la fête organisée pour ma venue en Écosse.
Je suis persuadée que je suis montée sur la scène pour de la figuration.
Je suis assez intelligente pour comprendre que je suis tombée dans un gentil piège.
John connaissant la tradition de présentation de candidate a montré à tous qu’il savait rester maître de son clan.
La venue de Jules, Sonia et Poupette qui ont revêtu le kilt des Cromwell, proposant ma candidature était loin d’être fortuite.
Les propos qu’il me tient en me présentant la bague de sa grand-mère sont cousus de fil blanc, dès le début, avec la complicité des s, c’est moi qui étais son centre d’intérêt.
En prenant le chemin de la corde qui me donne l’impression que je viens de me pendre, je suis le cul d’Adelia que j’entends renifler.
Je sais qu’elle va être une candidate redoutable contre moi si par malheur son clan tombe contre le mien.
Le mien, maintenant que j’ai dit oui, je me trouve totalement investi du rôle que j’ai accepté d’endosser.
Lady Cromwell, qui aurait dit que la petite normande deviendrait Lady !
Nous arrivons à l’éviter jusqu’à la finale ou en demi-final les Grant battent les Macdonald.
Je suis un peu fatiguée de tirer sur cette putain de corde.
Pardon pour ces propos dans la bouche d’une Lady, à l’avenir il faudra que je me contrôle.

Ça fait dix minutes que l’on tire.
À un moment, les Grant font un effort, sûr d’emporter la victoire.
Le chiffon aux couleurs des kilts de notre clan est à deux doigts de nous donner la défaite, mais la foule nous galvanise et nous rétablissons la situation.

- Allez-y mes amis, tirez, gros cul est fatigué et va le mettre par terre.

Et dire que je viens de dire que je dois contrôler mon langage, mais c’est efficace, ses grosses pommes se retrouvent au sol entraînant l’ensemble des Grant dans la même position, le chiffon passant la ligne de leur défaite.


Le repas suit avec bien sûr du saumon et du haggis.
Combien de femmes me prennent la main pour admirer ma bague ?
Même Élisabeth vient me féliciter jusqu’aux départs des clans, bien pintés sur leur terre.
La nuit, c’est dans le lit qui va devenir le mien dans quelques semaines que je m’endors la queue de mon homme bien collée à la raie de mes fesses.
Voyez, malgré ma fatigue, je respect ma promesse de châtier mon langage, j’aurais pu dire la raie de mon cul.

Voilà, c’est la fin de mon histoire.
Je me rends compte en écrivant ces quelques chapitres de ma vie, tout le chemin parcouru.
Ça fait cinq ans que j’ai épousé Lord John Cromwell, devenant Lady Marie Cromwell.
John a respecté sa parole pendant toutes ces années, je fais fréquemment le voyage en pilotant notre jet avec Aisy, ma co-pilote.
J’ai souhaité passer mes brevets et c’est John qui m’a mis le pied à l’étrier sur un avion d’entraînement avec double-commande, jusqu’au jet que je pilote en toute sécurité.
Qu’est-il arrivé à la plupart des gens que j’ai côtoyés au long de ces années ?

À tout honneur, Adelia, pendant la soirée, j’ai parlé à Jules et Élisabeth leur demandant de consoler cette jeune fille.
Ils ont exaucé mes vœux, mais nous reparlerons d’elle plus loin.
Lorsque je suis rentré en France, j’ai reçu un coup de téléphone de la maison de retraite où se trouvait Isabelle, ma belle-mère, elle était partie avec une petite valise.
Elle a pris l’avion pour Sydney où elle a retrouvé Louis, son fils et Lucrecia avec laquelle il vit un rêve d’amour.
Sonia et Poupette sont aller là-bas l’an passé.
Le couple ayant entraîné ma vie jusqu’à ce que je sois une Lady vit sur le port où ils ont ouvert un commerce de shipchandler avec les cargos faisant étape et les ravitaillent.
Malgré son âge avançant elle tient la comptabilité et reçoit ces hommes aux gros bras tatoués.
Poupette m’a glissé à l’oreille, qu’il est rare qu’elle finisse sa nuit seule aimant que ces hommes maltraitent son corps pour son plus grand plaisir comme je l’ai dit malgré son âge.


En France, j’ai retrouvé Magalie et son mari ayant réalisé les travaux sur mon manoir.
À sa gauche, une tour a été ajoutée permettant de descendre dans le couloir chauffé l’hiver menant à la piscine, elle aussi chauffée et pouvant se découvrir l’été.
Salle de sport avec tous les engins de pour ma ligne alors que ceux dans notre château sont là pour nos plaisirs sexuels.
John était là quand le projet a été dévoilé, il a tenu à participer financièrement.
C’est lui qui a tranché pour le haras.
Là encore nous en reparlerons.

Ce fut à la fin des travaux mon mariage en deux temps.
Une première partie en France devant monsieur le maire, vieux et bedonnant et tous mes amis.
Je suis divorcé, impossible de nous marier devant monsieur le curé comme je l’avais fait avec Louis avant de découvrir sa vraie nature.
C’est au château devant tous les clans du moins leurs chefs avec leurs épouses que j’ai dit oui dans le rite anglican.
Ces deux fois a été location de grande fête avec à chaque fois pour le reste de la population des feux d’artifice tirés de ma pelouse en France et du toit du château en Écosse.

Comme convenu, les libertins viennent dans l’hôtel tenus par Sonia et Poupette et je dois reconnaître que, souvent je participe à leurs jeux érotiques surtout dans la piscine.
John est toujours présent dans ces soirées sinon je m’isole dans mes appartements.
Il adore me voir me faire baiser comme j’aime qu’il le fasse avec les nombreuses partenaires présente dans ces moments de débauche.
Parlons de Jules mon fils chéri.
À 23 ans, il a été élu maire de notre village.
A-t-il épousé Élisabeth, que nénies ?
Une âme bien intentionnée a parlé pensant que j’étais sourde.
Il se dit, qu’il passe de femme en femme comme Duc.
À son âge, il atteindrait le millier de compagnes les trois quarts pour une nuit.
Sauf Élisabeth avec qui il couche lorsque comme moi pour des problèmes de saillies, il traverse le Channel.

Élisabeth, nous avons assisté à la journée où elle est montée sur scène et que John le fils de Jamie Fraser lui a tendu une bague.
À cette occasion, je devais apprendre que tout était calculé d’avance et que dans les bourses, c’était les mêmes pièces anciennes datant des guerres perdues d’indépendance contre les Anglais qu’elles avaient cour qui y était placée.

Élisabeth a eu l’idée d’ouvrir la salle aux engins de s aux visiteurs.
Le nombre de pervers de tous sexes qui se sont précipités pour la visiter achetant par là même des chopes avec le château et certaines plus coquines avec le pilori ainsi que d’ autres instruments de on fait bondir les recettes du château.

J’ai dit que je reparlerais d’Adelia.
Élisabeth ayant pris la tête de la gestion du château ayant moi-même trop d’occupation en Normandie, l’a embauchée.
Elle est responsable de la cave et s’assure que les visiteurs évitent de franchir la corde protégeant les instruments de .
Quelques jours après mon mariage, elle est devenue notre maîtresse à moi et à John.
C’est Jules qui l’a dépucelé et avec John lorsqu’il la prend elle à un peu l’impression que la Lady s’est elle.
Je lui concède facilement cette impression surtout quand elle suce John à quatre pattes et que j’écarte son gros cul pour lui bouffer la chatte.
Et dire qu’étant Lady, je promettais un langage plus châtié.

Quand les visites sont terminées, il m’arrive d’emmener Adelia dans la salle des s si douces depuis que mon mari m’a initié au plaisir par la douleur.
Le banc aux godes est notre principal point d’intérêt.
J’ai franchi une étape, m’enfilant difficilement tout de même le gode quatre alors qu’Adelia fait entrer le cinq sans aucune difficulté.
Du temps où les maris avaient droit de regard sur la fidélité de leur femme, nul doute qu’elle aurait fini comme pute à la sortie du village offert à tous les hommes.
Certains soirs, elle sort au village et va au pub où j’ai découvert la sexualité d’Aisy.

Sans se faire payer, elle est un peu la pute du village, car depuis l’ouverture de son corps à la verge des hommes, bons nombres d’entre eux lui sont passés dessus.
Un soir où John était à la chambre des Lords, je suis venue avec Élisabeth boire quelques pintes dans la Ferrari que nous lui avons offerte avec John pour ses vingt ans.
C’est pour la séparer de Bonnie, l’épouse d’Alister que j’ai jouée mon rôle de Lady.
La jeune femme avait repéré que son mari rentrait épuisé lorsqu’il allait seul au bar surtout lorsqu’elle avait ses menstruations.
Bonnie était jalouse de la manière dont elle entreprenait son mari.

Aisy pour sa part vit une grande partie du temps en France où les gouines sont mieux acceptées que dans son pays aux vieilles traditions.
Elle forme un trio avec Sonia et Poupette étant souvent dans mon lit chaque fois que je me sens seule mon lord m’ayant abandonné pour sa putain de reine.
Mince voilà que je traite, celle qui est devenue ma reine de putain.
À y bien regarder, vu la petite mémé qu’elle est devenue, malgré les frasques de ses s ou petits s.
Il est mal venu de penser que la taille du gode humain qu’elle s’est enfilée, même s’il est grand par la taille, aurait pu faire d’elle la putain de nos villages écossais.

Que dire d’autre ?
À oui, mon dernier anniversaire préparé par Magalie et John en Normandie...

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