Une Methode Pour Payer Ses Interets De Retard

L'hiver et le printemps 2020 étaient enfin terminés. Nous avions passé le confinement à la maison, Richard et moi, essayant de minimiser les impacts de cette crise sans précédent, qui avait fortement impacté notre business avec une baisse de plus de 30% de notre chiffre d'affaire. Chômage technique pour beaucoup de nos collaborateurs et télétravail pour les autres. Notre centre en Pologne avait aussi souffert, mais moins que les autres grâces notamment aux activités d'infogérance et nos gros contrats historiques. En parallèle, nos travaux de piscine à Saint-Tropez avaient pris du retard, et la finalisation avait été faite mi-juillet, juste à temps pour profiter de l'été. La piscine était splendide. Grace aux ristournes généreusement accordée et gagnée à Troyes l'année d'avant, nous avions modifié nos plans et intégré un second petit bassin de relaxation dans le prolongement du premier, juxtaposé et en contre bas avec une vitre en débordement séparant les 2 bassins, mais permettant d'avoir une vue en perspective de toute la piscine. Nous nous étions installé dans la villa pour 3 semaines et profitions du soleil tous les 2. Les soucis financiers de Richard le rendaient inquiet et il n'était pas aussi détendu que d'habitude, appréhendant aussi la rentrée et un éventuel rebond de l'épidémie qui aurait une conséquence négative sur la reprise tant espérée. Ses troubles érectiles continuaient, et pour éviter les pannes, il faisait preuve d'une grande imagination en laissant libre cours à ses fantasmes les plus obscures. Je me pliais à ses désirs, voulant absolument retrouver mon homme. De plus, j'étais harcelé de SMS de la part d'Hubert, qui me demandait de payer le dernier tiers de la piscine, que Richard n'avait pas réglé, préférant attendre le mois de septembre. Richard, finalement, traita directement avec le PDG de la boite d'Hubert, qui devait passer à la villa pour discuter des conditions de paiement et signer la réception des travaux.

L'homme était aussi en dette morale, car nous avions embauché son fils William et sauvegardé son emploi et cela malgré les mauvaises conditions économiques.

Quelques jours plus tard, alors que je profitais de notre nouvelle piscine dans mon fauteuil de piscine gonflable semi-immergé, la cloche de l'entrée sonna, et Richard alla ouvrir. Richard fit entrer un groupe de 5 hommes, dont l'un devait être le patron d'Hubert et le père de William, et les autres vraisemblablement des sous-traitants qui venait aussi se faire payer. De la piscine et masquée par mes lunettes de soleil, je l'ai observé, et reconnus les 4 sous-traitants !!! Il s'agissait des play-boys que j'avais rencontrés l'année précédente, et qui avait abusé de moi lors d'un pool party. Alors que Richard s'assit sur la terrasse avec le directeur, les 4 hommes s'approchaient de la piscine prenant place sur les transats. Je répondis à leur salut, espérant qu'ils ne me reconnaissent pas cachés derrière mes lunettes. Je sentais malgré tout leur regard sur moi et mes formes pulpeuses uniquement protégée par un maillot de bain triangle de la collection balnéaire Mogador de la marque Prima Donna. Le haut de maillot de bain à rayure bleu horizontale, était rembourré triangle possédant un décolleté en V mettant ma poitrine en valeur avec beaucoup de sensualité me donnant un look maritime glamour très séduisant. Le slip de bain à lacets avait la taille basse ultra sexy et une touche nautique très séduisante.
Richard négocia pendant une bonne demi-heure, alors que les hommes autour de la piscine discutaient entre eux tout en me matant, sur ma bouée. Richard, se leva enfin serrant la main du directeur, et se dirigea vers moi.
- Ca y est mon chéri s'est réglé, vous êtes tombé d'accord sur le délai de paiement ?
- Oui ma chérie, on a un accord, pour différer au mois de septembre, par contre il y a des intérêts...
- Oui, ca ne m'étonne pas, on leur doit quand même encore 50.000 Euros... Et combien il demande
- Une après-midi.
..
- Une après-midi ! Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Une après-midi avec toi...
- Richard !!! Tu rigoles, j'espère...
- Non ma chérie, c'est la seule option, sinon, c'est l'huissier et tu sais que je n'ai pas besoin de ce genre de pub... Et puis en plus à priori, tu en connais déjà certain, et ce ne sera pas la première fois...
- Richard, non s'il te plaît, la dernière fois, ils m'ont pratiquement violé...
- Ne t'inquiète pas, je serais la, je surveille....
- Non, je ne veux pas, je ne suis juste pas un objet ou une vulgaire pute qu'on donne en échange.
- Arrête de discuter ma belle, sinon je te mets à la diète de shopping pour 3 mois, ca couvrira le prix de la piscine ...
- Richard comment peux, tu faire ça...
- J'ai envie de te voir te faire prendre par ces hommes aussi, en plus ca m'excite de te voir te faire baiser... Alors prépare toi, c'est maintenant...
Sans me laisser protester, il se releva, se dirigea vers les 5 hommes, pour leur donner son autorisation... J'attendais sans rien faire, regardant les hommes s'approcher. Richard était allé chercher une bouteille de champagne, et s'installa dans le petit bassin avec le directeur. Il avait une vue imprenable. Deux hommes se déshabillèrent entièrement et plongèrent dans la piscine pour me rejoindre, alors que j'observais les autres s'installer sur les transats. Ils étaient autour de la bouée, me prenant par la main pour m'entraîner au milieu du bassin. Le premier m'attrapa par la nuque et entraîna ma bouche vers la sienne, pour m'embrasser sauvagement. Sa langue m'envahissait, il me roulait une pelle gourmande, alors que je sentais sa grosse main sur mon 95 C, qui me malaxait les seins au travers de mon maillot raffiné. Une autre main s'insinua entre mes cuisses et se glissa sous mon maillot. J'étais écartelée sur ma bouée, les bras coincés par chacun des hommes autour de moi, alors que mes jambes, écartées au-dessus de la bouée, laissaient libre accès à mon entre-jambe, envahi par la main du second homme.
Mes lunettes de soleil furent jetées dans l'eau, et ils m'entraînèrent vers la vitre de la piscine afin de donner une vue inégalable à Richard et notre créditeur.
- Quelle belle femme vous avez cher ami... Quel âge a-t-elle sans indiscrétion.
- 54 ans...
- Ouhaaaa, elle a le corps d'une actrice de porno de 40 ans. Pulpeuse à souhait, gros seins, gros cul et une bouche de suceuse, en plus elle a l'air d'aimer le sexe.
- Oui, c'est une vraie gourmande... Une affamée de la bitte... Comme je vous l'ai dit au téléphone, vous ne serez pas déçu des prestations et d'avoir accepté ma proposition...
Mon mari avait donc tout manigancé. Il m'avait proposé, échangé, négocié pour bénéficier d'un délai de paiement, et maintenant, il allait me mater pendant que je me faisais violer par ces hommes en ruts...
Un doigt me pénétra, alors que je sentais le pouce me caresser la chatte en dessous de mon maillot. La langue de l'autre homme jouait avec ma langue tout en me maintenant par les cheveux... Ils s'amusaient avec mon corps, abusant de mes formes généreuses, tout en m'insultant devant mon mari, qui m'observait au travers de la vitre de la piscine...
- T'aimes ca, grosse pute, ca te rappelle ton gang bang de l'année dernière... T'avais aimé qu'on te chevauche à tour de rôle comme une jument, hein salope...
- Oui, elle s'en souvient, j'en suis sur, regarde comme elle se cambre avec ma main entre ses cuisses... T'es en train de jouir ma cochonne
Ils me malaxaient mes gros seins, me titillant les tétons pour les faire durcir, et venant les sucer comme un nouveau-né affamé tète sa mère. Je perdais le contrôle, me sachant prisonnière de ses 5 hommes dont j'étais le jouet et le trophée pour l'après-midi...

Au bout d'un certain temps, alors que je m'étais entièrement abandonnée à leurs caresses, ils me basculèrent hors de la bouée, et me poussèrent contre la vitre de la piscine, faisant face, à mes 2 mateurs en train de siroter leur champagne.
J'étais debout, avec le premier homme dans mon dos, sa langue sur ma nuque et ses énormes mains me tenant fermement mes gros seins dont il avait enlevé le soutien-gorge qu'il jeta en direction du directeur. Le second sur le côté avait replongé une main entre mes cuisses me doigtant farouchement, tandis que son autre main me caressait mon gros cul... Je n'étais qu'une poupée entre 2 deux hommes vigoureux et assoiffés de mon corps et de mes formes généreuses... Ils avaient toute l'après-midi et prenaient leur temps retardant la pénétration afin de ne pas jouir trop vite... Je sentais toutefois leur sexe bien dur se frottaient contre mon corps... L'homme derrière moi tout en tenant mes gros nichons qu'il continuait à malaxer avec vigueur, plaça son sexe à l'entrée de mon vagin protégée par ma culotte que son acolyte écarté pour lui laisser la place libre pour me pénétrer... Il poussa son énorme dard au fond de moi, m'empalant d'un coup... Les yeux mis clos, je pouvais voir Richard qui se caressait écoutant son voisin commenter ma prestation...
- Quelle belle pouliche... Regarde comme elle jouie ta femme, écoute la miauler comme une chatte en chaleur... Regarde-la se faire pétrir ses grosses mamelles, je vais traire ta femme quand ils en auront fini avec elle...
Il se caressait le sexe avec mon soutien-gorge, alors que je me faisais sauvagement baiser par ses amis... L'homme me souleva par la cuisse afin de faciliter ma pénétration et me pilonna comme une machine alors que l'autre s'était emparé de mes gros seins qui ballotaient au rythme effréné des coups de bites dans mon vagin... Je gémissais, suppliais, alors que la vitesse du marteau-piqueur dans mon sexe accélérait...
- Prenez-lui le vagin à deux à cette grosse bourge, je vais la voir s'évanouir sous vos coups de bites...
Ma seconde cuisse fut écartée également, j'étais suspendue à ces deux hommes, pendant qu'un second sexe se présenta devant mon vagin en feu... Doucement, il me pénétra pour se placer contre son collègue, j'avais ces deux sexes en moi, doublement pénétrée sous les yeux de mon mari, qui se branlait en me regardant me faire violer...
- C'est la meilleure négociation que j'ai faite de ma vie... Vas-y ma chérie prends ton pied, ce n'est que le début...
Cette double pénétration vaginale avec mes 2 partenaires était unique. Alors que j'appréhendais une pénétration désagréable, cela m'apporta un plaisir ultime et me fit lâcher prise... Ils m'avaient suffisamment lubrifié pour que leur un pénis trop large ne soit pas douloureux. Je sentais lors de ce coït animal qu'ils continuaient à me stimuler engendrant une lubrification naturelle en se concentrant sur la zone clitoridienne me faisant jouir telle une folle. Ils étaient deux véritables machines, faisant durer le plaisir le plus longtemps possible, pour leur seul plaisir. Mes gros seins étaient malmenés par leur coup de bitte ou leurs mains calleuses me malaxant mes nichons. Je l'ai supplié de jouir, je n'en pouvais plus... Alors qu'ils me bâillonnaient pour accen encore plus ma soumission et leur domination... Je sentis enfin leur sperme se répandre en moi, presque en même temps, se vidant de leur semence comme pour m'engrosser, tel un taureau sur une génisse après la salie... J'avais presque perdu connaissance...

Sans un bruit, et sans une parole, je fus porté au bord de la piscine ou 4 mains m'attendaient. Soulevait hors de l'eau, je fus entraînait vers les transats, ou je fus couché avec autour de moi les 2 autres hommes. Je me souvenais également d'eux pour les avoir subies lors d'une soirée du 15 août, où ils m'avaient violé sur le bateau d'Hubert... J'étais donc à nouveau à leur merci.... Ma bouche fut d'emblée envahie par un sexe lourd et débordant. Je sentais le désir de cet homme monter. Je lui stimulais son pénis avec ma bouche, mes lèvres, ma langue espérant que ce préliminaire le conduise à un orgasme rapide.
- Vas y salope, taille moi une bonne pipe, bouffarde, fais moi une bonne turlute, pompe moi la bitte gourmande... Oui, c'est cela une bonne gâterie, ..... Hummm t'es une vraie butineuse
- Laisse-moi une petite place on va voir si elle aime la gorge profonde cette pute
Il enfonça son sexe long et fin au plus profond de ma gorge me tenant fermement par les cheveux pour me pousser en avant. Allongé sur le transat il était debout au-dessus de moi, sa bitte dans ma bouche ses mains accrochées à ma chevelure rousse. Un réflexe nauséeux naturel se déclencha lorsque son sexe toucha mon palais. Ma langue immobilisée m'interdisait toute succion, mais je sentais le gland de son pénis intensément stimulé par l'étanchéité de mon pharynx.

Pendant que le premier violait ma bouche et ma gorge avec sa main droite me tenant par les cheveux pour accélérer ses va-et-vients et sa gauche tenant mes poignets au-dessus de ma tête, l'autre m'avait écarté les jambes et ma culotte et plongea sa langue pour me lécher la vulve. Je sentais un expert dans la pratique et l'art de ce baiser intime. Il s'attardait sur toutes les parties du corps me donnant un plaisir ultime avec sa langue. Bien que mon vagin n'ai pas autant de terminaisons réceptives que mon clitoris, sa langue me dévastait, provoquant des orgasmes à répétition impressionnants. Je prenais beaucoup de plaisir à être pénétrée avec la langue, avec cette légère pression sur l'ouverture de mon vagin qui s’avérerait très érotique, en totale opposition à la violence de la gorge profonde que je subissais avec l'autre.
- Tu devrais venir me tenir compagnie dans sa bouche, y a de la place pour deux, tu sais....
Ils se positionnèrent tous les deux devant et au-dessus de moi toujours maintenant fermement mes poignets. Leurs sexes forcèrent l'entrée de ma bouche qui trop petite ne pouvait les avaler en même temps. Je pris leurs deux sexes, essayant de jouer de ma langue dans l'espace exiguë de mon palais envahit par ces deux bâtons de chair... De long filet de bave pendait de ma bouche et j'essayais de prendre des pauses posant un peu de salive sur le bout de leurs gland, avant de le faire re-glisser dans ma bouche.
- Allez, la grosse pute soit démonstrative, on veut t'entendre couiner... Montre-nous que tu aimes ce que tu fais.
Sans être trop timide, je poussais quelques gémissements discrets accentuant le bruit de ma respiration. Pour parfaire à ma soumission totale et montrer comme leur virilité me faisait jouir je les regardais dans les yeux. Bien que la hampe soit la partie du sexe la moins sensible, je léchais à grand coup de langue leur membre afin d'éviter de reprendre ces deux bittes dans ma bouche et de retrouver un peu de respiration. J'adaptais la pression sur les zones de leur pénis en étant agile avec ma bouche. Je masturbais l'un, en parallèle de la fellation à l'autre. J'enchaînais aussi les mouvements, lentement, avec douceur, et augmentant progressivement la cadence des aller-retours, espérant les faire jouir rapidement dans ma bouche. J'étais épuisée et pour reprendre un peu de repos léchait le sexe de ces deux hommes, du bas vers le haut, comme si je dégustais un cône, répétant ce geste plusieurs fois lors de la fellation...

Je n'arrivais malheureusement pas à bout de mes tortionnaires, qui prirent enfin possession du reste de mon corps. L'un se coucha sur le transat pour me prendre au-dessus de lui en missionnaire alors que l'autre debout replaça son sexe dans ma bouche. Il me pilonna les hanches me tenant par la croupe fermement. J'avais toujours ma culotte ridiculement écarté comme une marque ultime de ma résistance, mais qu'il utilisait comme un harnais ou une bribe de jument revêche qu'on souhaite dompter. Je pompais l'autre homme alternant les coups de langue alors que le second sexe coulissait en moi. Ils m'avaient soumise. J'étais défaite, prise, pénétrée, violée, agonisante de désir, sous le regard de mon mari qui toujours dans le petit bassin m'observait me faisant baiser par ces rustres utilisant mon corps comme un jouet qui leur appartenait... Ils échangèrent les positions me pénétrant en levrette, profitant de ma position pour abattre leurs claques sur mes grosses fesses qui rougissaient sous les coups de mes amants. Bâillonnée par un sexe énorme, je ne pouvais protester, mais que gémir sous les orgasmes multiples que me donnaient ses deux animaux en ruts... Ils se déchaînaient, sans aucun respect de ma condition de femme mature et bourgeoise. Ils me souillaient comme une vulgaire catin... Après plusieurs changements de position multiples, je sentis le premier jouir au fond de ma bouche... Sa sève se rependant, me forçant à le garder en bouche afin de ne pas perdre une goutte de sperme...
- Avale-moi tout cela grosse cochonne, hummm quelle gourmande....
Je m'appliquais à avaler tout son liquide, sentant les va-et-vient frénétiques de son collègue qui continuait à me défoncer par-derrière...
- C'est ca bonne pouliche, bouge moi ton gros cul, empale toi bien sûr ma bitte... Hummmmm... Elle va me faire jouir cette salope, je vais tout balancer......
De grands jets se répandirent enfin dans mon dos et sur ma culotte, appuyer par un grognement bestial de mal en rut qui vient de soulager sur sa proie défaite... Je fus relevé, du transat, par le premier homme qui me tenait par les cheveux, m'entrainant vers le petit bassin, ou m'attendait le directeur et mon mari... Sexuellement détruite, je ne pouvais tenir debout et avancer, ils me traînaient tous les deux vers le bassin, en claquant mon gros cul afin de me motiver.
- Oui, c'est bien ça, punissait moi, cette belle pouliche, qui a eu les yeux plus grand que le ventre... Faites lui rougir son beau gros cul les amis...
Richard ne disait pas un mot, et arrivant près du bassin et à la taille de son sexe bien dressé, je comprenais pourquoi. Il savourait chaque minute de cet après-midi, ou sa femme se faisait posséder par des hommes en ruts... Je pénétrais dans le bassin, saisi par le bras, attirais par le directeur qui m'assis entre eux. Je croisais les jambes, ultime protection, sachant que l'assaut final arrivait à grande vitesse. Mes gros seins à l'air, subirent une palpation en règle du directeur. Mes 4 violeurs s'étaient positionnés dans le grand bassin accoudé à la vitre afin de nous observer. Richard à ma droite, me prit par les cheveux et poussa ma tête vers son voisin.
- Roule-lui une grosse galoche ma belle, comme tu sais bien le faire.
Le directeur me prit ma main gauche qu'il poussa vers son sexe, me faisant clairement comprendre que je devais le branler, alors que sa langue s'enfonçait en moi. Richard s'occupait de mes gros seins.
- Hummm, elle est bonne ta bourgeoise, c'est une affamée de la bite... Qu'elle, bonne affaire, y a dû en avoir des bites qui ont coulissait entre ces deux belles miches...
- Ils te plaisent ses gros seins, tu veux qu'elle te prenne entre eux... C'est la reine des cravates de notaire... Allez ma belle, fais plaisir à notre créancier...
Je me positionnais à genoux devant lui, coinçant son sexe entre me sens, et m'appliquais à le branler entre mes belles miches de femme mure... Richard s'était mis debout et pendant que je branlais l'homme, il me plaça son sexe dans ma bouche, afin que je le suce... Je pouvais entendre les commentaires des autres hommes qui nous regardaient encore avec gourmandise...
- OMG, mais qu'elle salope....
- Oui une bonne laitière, bien mameleuse
- Ohh, elle va me faire rebander cette pute...
Je subis cet outrage pendant plusieurs minutes, quand le directeur décida de me prendre, il me releva et positionna sur lui. Je m'asseyais sur lui faisant face, toujours avec la bite de Richard en bouche... Ils me baisèrent, comme des fous, alors que je sentais aux commentaires des autres hommes que le désir remontait... L'un deux décida de nous rejoindre, et alors que je me faisais baiser par le directeur, je sentis l''un des hommes derrière moi...
- Oui, vas-y, tu peux l'enculer, elle adore l'anal, ma femme.
Son doigt pénétra en moi afin de me lubrifier l'entrée de mon petit trou, vite remplacé par son membre qui avait repris de la vigueur. Il me sodomisa, alors que bâillonnait par le sexe de mon, homme et prise par le directeur surexcité, je ne pouvais me soustraire... Je fus à nouveau prise comme un objet par ses 3 hommes, dont l'in était mon mari, qui m'avait donné en pâture à cette bande d'animaux. Mon corps ne répondait plus, juste une poupée désarticulé, les autres hommes nous avaient rejoins également, et se masturbaient au-dessus de notre groupe, palpant et caressant mon corps de toute part. Ils me giclèrent tous dessus, les uns après les autres. Richard s'était soulagé dans ma bouche, laissant le directeur me terminer seule dans le bassin. Il faisait preuve d'une résistance hors norme, et continua à me baiser pendant plusieurs minutes, jouant avec mon anus dans lequel il avait enfoncé son doigt. Ses grands jets sur mon visage sonnèrent la fin de l'après-midi et leurs départs, me laissant seuls avec mon mari, qui pour me récompenser m'ouvrit une bouteille de son meilleur rosé. Surexcité par notre après-midi et libéré de son bloquage psychologique, il me prit à nouveau le soir dans la chambre, me prenant par l'anus, afin de me débarrasser de la souillure de cet après midi de luxure.

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