Le Garage (6)

Les deux jours suivants je pars en voyage en Espagne pour participer à une convention organisée par la marque Lexus pour le lancement de ses nouveaux modèles que nous aurons d’ailleurs l’occasion d’essayer dans les montagnes d’Andalousie. Avant de partir je suis passé au laboratoire pour ma prise de sang pour le test que Paul et moi sommes convenus de faire avant que je puisse m’abandonner au doux rêve de le prendre sans capote. J’en bande rien que d’y penser mais je ne déroge pas à mon principe de protection mutuelle.

Pendant mon absence, l’activité du garage ne va pas faiblir comme je l’apprendrai plus tard. Je suis parti prendre mon avion pour Séville le mercredi et c’est le jour qu’a choisi Marco pour passer au garage. Il avait besoin de conseils pour la préparation d’un examen et souhaitait savoir si je pouvais l’aider. Il a trouvé d’autres âmes bienveillantes prêtes à lui venir en aide…

- Tiens, salut Marco !
- Salut Sébastien !
- Tu vas bien ? Ca te plait tes études ?
- Oui c’est top, mais j’ai un exam super difficile la semaine prochaine
- On peut t’aider ?
- En fait je venais voir le boss pour ça. C’est des questions sur des moteurs de F1 et je ne suis pas sur de mon coup du tout.
- Eric est pas là
- Ah, bon. Il revient quand ?
- Il sera pas là avant vendredi. Il est parti en Espagne avec Lexus.
- Oh…cool…il en profite au moins
- C’est sur
- Tu veux qu’on regarde tes questions ensemble ?

Marco sourit et Sébastien comprend très bien ce que ce sourire signifie. Les deux amis se souviennent de leurs ébats déchainés dans l’atelier et les vestiaires certains soirs quand le reste de l’équipe était parti. Marco n’a jamais oublié le volume de la queue de Sébastien dans sa petite chatte, certes pas vierge, loin de là, mais qui n’avait jamais avalé une queue du modèle hors série de celle du beau mécanicien poilu.

- non, mais c’est sérieux Seb.

Il faut absolument que je décroche ce certificat.
- Mais je suis sérieux
- ….mouais….
- tu as peur de quoi ?
- j’ai pas peur, ……ou si mais juste d’avoir envie de toi comme un fou
- tu bandes ?
- …..oui
- moi aussi…
- pas la peine de le dire….
Marco peine à finir sa phrase et à avaler sa salive, les yeux fixés sur la combinaison déformée par un renflement impressionnant le long de la cuisse gauche du grand mec viril.
Sébastien n’est visiblement pas conscient que ses érections n’échappent à personne. Son pénis qui avoisine les trente centimètres dans ses meilleurs moments est digne de figurer au Guinness des records.

- on bosse alors
- OK, on va monter dans le bureau on sera plus tranquilles

Pendant une heure Sébastien et Marco travaillent sur la préparation de l’examen. En bas dans l’atelier les mécanos s'activent et le personnel des bureaux est concentré sur sa tâche.

- Marco….
- Oui….
- Caresse moi…
- Quoi ?????

Sébastien a ouvert la fermeture éclair à double sens de sa combinaison de mécano. Sous la table, invisible aux yeux des autres, se dresse entre ses cuisses puissantes son énorme engin, droit, épais, parcouru de grosses veines proéminentes. Le gland bute contre le dessous du bureau tant la taille de son sexe dépasse les normes, il en a presque mal et quelques gouttes de lubrifiant perlent à l’extrémité pour calmer le feu du frottement du méat contre le bois râpeux du mobilier de bureau de piètre qualité.

Marco se détourne de son cahier d’exercice et tend la main sous la table. C’est limite si il ne sursaute pas de surprise en rencontrant le sexe dressé de son copain.

- non mais t’es dingue
- pourquoi ?
- on va nous voir
- mais non. Allez prends moi bien dans ta main

Marco hésite mais la tentation est trop forte et il entoure le pénis de Sébastien de sa main gauche pendant qu’il prend des notes en se concentrant sur son cahier avec la droite.
Il ne peut pas enserrer totalement le sexe gonflé à cause du diamètre impressionnant qui appelle ses caresses. Marco a le cerveau coupé en deux : une moitié travaille pendant que l’autre est soumise à la fascination sexuelle que l’irrésistible pouvoir de séduction de Sébastien exerce sur lui.

- Tout va bien ?

Marco se fige. Alice, la très charmante assistante de Paul vient d’entrer dans le bureau sans prévenir.

- Oui. Tout va bien. J’aide Marco à réviser en l’absence de Paul.

Sébastien se contrôle parfaitement et personne ne pourrait deviner qu’il est en train de se faire masturber avec frénésie par le petit Marco.

- C’est sympa. Bonne chance pour ton examen Marco
- Merci Alice….

Pendant ce rapide échange Sébastien a bloqué la main de Marco sur son sexe avec une de ses grosses paluches poilues et l’a à continuer à le caresser de haut en bas. Une deuxième giclée de lubrifiant s’écoule avec davantage de générosité sous l’effet de l’excitation et du frottement toujours légèrement douloureux contre le plateau de la table. Marco et Sébastien ont maintenant les mains poisseuses du gel naturel de Sébastien.

La conversation se poursuit à voix basse.

- Arrête Seb…Il faut que j’aille me laver les mains
- Non…
- Seb….
- Fais moi jouir, après tu pourras aller te laver
- ….Mais je vais en mettre partout sur mes bouquins
- …et alors ? ca te gène d’avoir mon bon precum sur tes petits cahiers ?
- S’il te plait…
- Fais moi jouir. Tu m’excites grave….

Marco n’y croit pas vraiment mais il commence à comprendre, en ressentant les contractions de la queue de Seb qu’il ne plaisante pas et que le beau géant sombre et viril n’est peut-être pas si loin de vraiment cracher sa semence. Il ne voit pas d’issue et n'en bande que plus fort au fond de son jean.

Il repense aux différentes expériences que Sébastien lui a fait connaître et à ses énormes éjaculations.
Tout est surdimensionné chez son ami, son corps, il fait deux mètres, sa queue indescriptible, ses éjaculations comme des douches interminables et sa lubricité qui ne connaît pas de limite.

- Sébastien…. S’il te plait…
- Arrête, tu en meurs d’envie…

Sébastien, bien que coincé sous la table par son pénis, trouve le moyen, par quelques mouvements de hanche bien contrôlés, de faire mieux coulisser encore sa queue dans le poing de Marco qui ne peut de toute façon pas lui échapper.

Marco sursaute. Encore un jet brulant de précum qui lui inonde la main, adoucit sa caresse sur la peau du sexe tendu à l’extrême. Il en sent chaque millimètre, chaque veine, chaque contraction qui annonce la montée de la délivrance juteuse.

- je viens

Marco n’ a rien à dire, rien d’autre à faire que de ressentir, sans la voir sous la table, l’éjaculation puissante de Sébastien. Il voit sans les voir les jets de sperme épais s’écraser sur le bois de la table et retomber sur sa main, à coté aussi le long de la queue du beau mécano et sur sa combinaison bleue dont le tissu fonce là où le sperme généreux finit sa course.

- ….merde, il y en a partout
- tu l’as cherché
- va me chercher un verre d’eau s’il te plait
- pourquoi ?
- on va faire comme si tu l’avais renversé sur moi….je peux pas redescendre à l’atelier comme ça…
- ok, je vois
- cool. J’ai encore envie de toi. Et toi ?
- faut que je travaille
- dis que tu bandes pas…
- nonnn…
- tu veux jouir ? Ouvre ton jean….
- nonnnn….pas maintenant
- Ok…pas de souci… je vais bien m’occuper de toi tout à l’heure. Patiente… Allez on révise

Sébastien attend quelques minutes que sa queue reprenne sa taille normale qui déjà l’obligera à quelques contorsions pour la réintégrer dans son caleçon. Marco va se laver les mains, dégoulinantes du sperme gluant et blanc de Sébastien et lui rapporte le verre d’eau demandé.
Il le jette sur la bosse encore impressionnante qui déforme l’entre-jambes du beau mâle et les tâches de sperme se fondent dans une auréole plus large. Sébastien ne quitte pas des yeux Marco qui semble finalement amusé par la situation.

- oh pardon, j’ai pas fait attention
- pas grave, c’est que de l’eau…

Puis à voix basse

- Merci Marco….tu me fais bander grave tu sais
- Toi aussi…
- Tu mouilles là ?
- Je veux bosser….


Les deux compères se replongent dans le travail comme si de rien n’était. Une fois que les questions les plus complexes sont traitées, Sébastien propose de redescendre à l’atelier. Le temps a passé plus vite que prévu et c’est déjà la pause déjeuner quand ils quittent le bureau. L’atelier est silencieux pendant que les mécaniciens sont partis déjeuner au routier de la zone d’activités.

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