Prisonnier 156770

Patricia et Jonas se sont mariés un beau jour de printemps, dans une petite chapelle juste à l'extérieur de la ville. 
Patricia espérait un mariage heureux, car elle ne savait rien du passé criminel de son mari.
Mais elle n’aura pas eu le temps d’en profiter. Deux semaines après la lune de miel, la police a surgi dans sa vie. 
Patricia a été choquée en voyant son mari être emmené, menotté, entre deux policiers. 
Accusé de trafic de drogue et de complicité de , la justice a décidé de le garder en prison en attendant le procès.
Comme il refusait de coopérer, Jonas a été envoyé dans une prison à l’autre bout du pays. 
Privé des visites de sa femme, qui ne pouvait pas le visiter à cause du manque d’argent, la justice espérait lui mettre la pression pour le faire parler. Patricia a réussi à obtenir une aide pour voir son mari au bout de huit mois de séparation.
Pour cette première visite, ils ont été autorisés à passer environ une heure ensemble.

Patricia s’est jetée dans les bras de Jonas, en larmes : "Chéri, tu m'as tellement manqué !" 
"Tu m'as manqué aussi, ma chérie."
"Pourquoi ne m'as-tu jamais parlé de tes ennuis avec la police ?"
"Je ne t'ai pas vu depuis presque neuf mois et tu ne veux parler que de mes ennuis avec la justice. Pas question. Je veux te baiser. Nous n’avons que très peu de temps. Il ne faut pas traîner." 
"Jonas, tu n'as pas besoin d'être grossier. Moi aussi, j’ai envie de toi, mais cet endroit me donne la chair de poule, n'importe qui pourrait nous voir."
"Je m'en fiche bébé. Je te veux. Enlève tes vêtements." 
Jonas enlaça sa femme et l'embrassa profondément, poussant sa langue dans sa bouche. 
Bien que Patricia redoutait d’être baisée avec seulement des rideaux mal fermés autour d'eux pour un peu d'intimité, elle désirait ce moment de tendresse avec son mari depuis si longtemps, que l’émoi provoqué par l’étreinte brutale de son mari mouillait ses profondeurs.

 
Jonas a soulevé le polo de sa femme, fait glisser les bonnets de son soutien-gorge, pour dénuder ses seins. 
Il a sucé un mamelon dans sa bouche en le mordillant doucement, puis fit subir le même traitement à l’autre. 
Il dégrafa son pantalon et le laissa glisser au sol. Patricia l’imita en dégrafant sa jupe, et la laissa tomber au sol. 
Jonas ne perdit pas de temps à ôter la culotte de sa jeune femme. 
Ses doigts repoussèrent le frêle rempart de côté, et s’enfoncèrent dans sa chatte désireuse. 
Le souffle coupé par la vigueur de l’intrusion, Patricia pouvait sentir deux doigts s’agiter en elle.
Oubliant sa douleur, elle ouvrit davantage ses jambes pour laisser les doigts s’enfoncer plus profondément. 
"Oui, chéri, je veux ta bite. Baise-moi. Tu m'as tellement manqué." 
"Tu vas l’avoir, bébé, ne t'inquiète pas. Monte sur la table, écarte bien, chérie." 
Patricia s’allongea sur la table, les fesses juste au bord, écartant les jambes au maximum pour que Jonas s’installe.

Le directeur était confortablement assis dans son fauteuil, dans son bureau, et profitait du spectacle sur son moniteur.
Le nouvel équipement vidéo permettait une vision parfaite dans les alcôves du parloir, malgré le manque de luminosité.
Il a zoomé pour observer le prisonnier 156770 actionner sa bite dans la chatte de sa jolie jeune femme.

"Chérie, j'avais oublié à quel point ta chatte était serrée ! Putain, comme t’es bonne !" 
"Et j'avais oublié à quel point tu aimes être grossier. Mais ça fait rien. C’est tellement agréable, je te pardonne !"

Jonas s’était introduit dans la chatte de sa femme, ses mains repoussant ses jambes repliées contre sa poitrine. 
Il martelait durement la chatte de sa jeune femme, ne pensant qu’à son propre plaisir.
"Oh ! Merde ! Chérie ! Je vais déjà jouir. Putain, je jouis !" 
"Oui, chéri, viens, je suis prête. Vas-y, chéri, donne-moi tout !" 
Patricia sentit un jet de sperme frapper son col, suivit d’un autre, puis d’un autre.
 
Jonas a continué de la baiser, au moins d’essayer, malgré son sexe en détumescence.

Le directeur a réajusté son pantalon, pour que son érection soit confortable, pendant que Jonas ralentissait son rythme.
Puis il a arrêté l'enregistrement en cliquant sur l'interrupteur.

"Jonas, j'aimerais te rendre visite plus souvent, mais tu sais, l'argent manque."
"Je sais, bébé, tu fais de ton mieux. Je comprends que tu ne puisses pas venir plus souvent ici. Tant que tu m’écris, mon moral est bon."
Ils s'habillèrent rapidement au son de la cloche qui signalait la fin des visites. 
"Chérie, promets-moi de me rester fidèle." 
"Mon amour, je t’aime, tu es le seul, et tu resteras le seul, je te te l’ai juré. Je suis ta femme, maintenant !"

Mais le maton est entré et il a séparé les amoureux, interrompant leurs serments d’amour éternel.
Patricia, en larmes, criait : "Je t'aime, chéri !" à Jonas qui s’éloignait dans le couloir qui mène aux cellules.

Le directeur s’est retourné vers le reste de l’auditoire : "Alors, les gars, elle est bonne, n’est-ce pas ?" 
Le gardien en chef donna son avis : "Elle est parfaite, mais elle ne voudra jamais baiser avec nous !"
"Je n’ai pas l’intention de lui laisser le choix. Laissez-moi faire. D'ici peu, j’aurais cette salope à ma botte."
Le directeur a congédié le reste de l’équipe. Il lui fallait cette petite poupée, sa réputation en dépendait.

Environ trois mois plus tard, Patricia a reçu une lettre de la prison lui disant que son mari avait de gros problèmes.
Dans la lettre, il y avait aussi un billet de train, et il lui était recommandé de venir dès que possible. 
Morte d’inquiétude, elle est partie le jour-même pour la prison. 

Elle a été accueillie par le gardien-chef et conduite dans la partie administrative de la prison, jusqu’au bureau du directeur. Il n’était guère aimable. Elle est restée debout, encadrée par deux matons.

Le directeur l’ignorait, restant assis à son bureau, compulsant une pile de paperasses.

Patricia s’est impatientée : "Qu’est-il arrivé à mon mari ?"
"Je ne vais pas tourner autour du pot, Mme Martin, je vous ai fait venir ici pour vous montrer cette vidéo."

Le directeur alluma le système vidéo géant au mur derrière lui, et fit signe à Patricia de regarder l’écran. 
Quand l’image apparue, elle eut le souffle coupé. 
La scène sur l’écran montrait une femme nue, menottée, chevauchant la bite d'un mec allongé sur le dos.
Un deuxième type lui baisait la bouche en la maintenant solidement par les cheveux. 
Un troisième gars, accroupi derrière elle, lui doigtait le trou du cul en caressant son énorme bite. 

Patricia était subjuguée par les images projetées devant elle, d’autant plus qu’elle reconnaissait le décor du parloir. 
Le troisième a arrêté de doigter le cul de la femme, et il a positionné sa queue à l'entrée de l’anus. 
Il a commencé à pousser en avant, Patricia a pu voir l'expression de douleur sur le visage de la femme lorsque l’énorme bite força son anus. "Mon Dieu, quelle horreur !" s’est exclamée Patricia. 

C’est à peine si elle sentait la main lui caresser les fesses, essayant de s’insinuer entre ses globes rebondis.
Pendant une seconde, elle ferma les yeux, écœurée par la vision d’horreur projetée sur l’écran, mais le hurlement de douleur de la femme enculée par cette monstrueuse bite l’a tirée de sa passivité.
Quand elle a rouvert les yeux, le deuxième était en train d’éjaculer sur le masque de souffrance de la femme. 

Elle n'allait pas en supporter plus. Elle s’adressa au directeur : 
"Qu’est-ce que ça signifie, pourquoi me montrer ces horreurs, en quoi cela concerne mon mari ?"
"J’ai pensé que vous pourriez être intéressée par la façon dont une jeune femme, bien de sa personne, comme vous, pouvait obtenir un meilleur traitement pour son petit mari.
"
"Cette jeune femme peut visiter son mari aussi souvent qu’elle le veut. De plus, son mari bénéficie d’un traitement de faveur, il est en prison comme un coq en pâte, sans bourse délier."
"Mais je me trompe, peut-être ? J’avais supposé que vous étiez amoureuse de votre mari, et qu’il vous manquait ! Et je m’aperçois que vous vous fichez de son sort ! Laissez-moi vous montrer quelque chose."

Le directeur, avec sa télécommande, a démarré une autre vidéo, qui montrait un gars, attaché au mur, en train de se faire tabasser par deux costauds.

La voix du directeur était mielleuse : "Le côté pratique de la prison, c’est qu’il y a des tordus prêts à tabasser un type sans raison. On n’a pas besoin de se salir les mains. On leur donne le gars en leur recommandant de bien le soigner."
"Pourquoi est-il traité ainsi ? Sa femme n’a pas voulu être gentille … Elle ne s’est souciée que de sa petite personne."
"Mais ce n’est pas votre cas, n’est-ce pas ? Vous, vous êtes préoccupée par la façon dont votre mari est traité ?"

Patricia était tétanisée. Elle ne sentait même plus la main entre ses fesses, qui cherchait le chemin ...
"Ce n'est pas juste. Je suis inquiète pour mon mari, mais je ne peux pas ... Ce n’est pas possible !" 

"C'est votre choix, Mme Martin. Je ne peux plus rien pour vous, ni pour votre mari."
Le directeur s’est adressé aux deux matons : "Raccompagnez madame jusqu’à la sortie."

Patricia s’est révoltée: "Hé, non ! Et mon mari, je suis venue pour voir mon mari !"

Mais le directeur fut inflexible : "Je suis désolé que vous ayez fait tout ce chemin pour rien, mais vous ne pourrez pas le voir pour le moment. Il va tomber malade, très malade."
Il accompagna sa déclaration d’un geste explicite, avec son poing frappant le creux de sa main.

"Espèce de salaud, vous n’avez pas intérêt à taper mon mari, j’aurais votre peau !"

"Allons, allons, Mme Martin, calmez-vous. Vous avez encore le choix, c’est vous qui décidez du sort de votre mari."

"Si vous croyez que je vais me taper tous les mâles de cette prison, vous êtes complètement cinglé ! En plus, le traitement que subissais cette pauvre femme, non merci !"

"Mme Martin, je vous ai donné un choix simple. Soit vous acceptez, soit vous refusez. Maintenant, les choses sont aussi simples que ça. Prenez soin du bien-être de votre mari, où rentrez chez vous !"

Patricia fut prise d’une crise de rage et se précipita vers le directeur pour lui arracher les yeux.
Mais les gardiens étaient rapides et l’ont retenue. 

Patricia s’est effondrée. Elle sanglotait :
"Vous savez que je ne pourrai pas revenir de sitôt si je repars maintenant. Je n’ai pas les moyens."
Patricia s’est laissée tomber à genoux pour émouvoir le monstre : "S’il vous plaît, oh, s’il vous plaît !"

La voix du directeur est devenue encore plus sirupeuse :
"Peut-être devriez-vous voir cette vidéo, Mme Martin, cela pourrait vous aider à prendre votre décision." 

Avec sa télécommande, le directeur a proposé une nouvelle vidéo, sur laquelle une toute jeune femme pratiquait une fellation à un gars. La fille mettait du cœur à l’ouvrage, mais la vision en gros plan empêchait de voir le visage du type.
Quand elle s’est redressée pour chevaucher le gars, le champ s’est élargi et Patricia a reconnu son mari.

"Non, c’est impossible. C’est truqué. Il ne ferait jamais une chose pareille. Jonas m’aime !"

"Une vidéo ne ment pas, Mme Martin." Le directeur saisit un micro, appuya sur un bouton, et ordonna :
"Jonas Martin ! Détenu 156770. Cessez immédiatement d’importuner cette jeune femme !"

Jonas a sursauté, regardant tout autour de lui d’un air effaré. Le directeur a éteint l’écran.

Patricia était effondrée. Agenouillée au sol, elle sanglotait naïvement en voyant son mari baiser une autre femme. 

L'un des matons est venu derrière Patricia, l’a saisie par les cheveux pour l’obliger à se relever. Brisée, elle s’est soumise. Il a glissé sa main dans l’échancrure de son chemisier. Elle sanglotait, tête basse, mais elle l’a laissé faire.

Le gardien a poussé son avantage sur la jeune femme. Il a dégrafé son chemisier, puis il a sorti ses nichons des bonnets en fine dentelle. Ses tétons se sont érigés sous la brutale caresse de l’homme.

Voyant Patricia sans réaction, le directeur et l'autre gardien ont commencé à se déshabiller. Elle était parfaitement docile, et quand le gars l’a saisie par le menton pour l’embrasser à pleine bouche, elle n’a pas protesté. Elle a même répondu à son baiser, et ses tétons dardés témoignaient de l’intérêt qu’elle commençait à éprouver.

Avant de s’approcher de Patricia, le directeur a mit l’enregistrement vidéo en marche. On ne sait jamais, des fois, après coup, il y a des salopes qui prétendent avoir été violées.

Entourée par les trois hommes dénudés, Patricia, les yeux dans le vague, ne pleurait plus. Elle se laissait déshabiller, étrangement détachée, les mains occupées à caresser les verges qui se tendaient. Elle savait ce qui allait lui arriver, mais elle s’en fichait. Elle se fichait de tout, d’ailleurs, de son mari, de son mariage ...

Son esprit évoluait dans un monde étrange, elle se sentait impuissante. Impuissante à arrêter cet homme qui suçait ses mamelons, impuissante à empêcher ces doigts de s’insérer dans sa chatte. Impuissante à empêcher sa chatte de se remplir d’humidité, son souffle de s’accélérer.

Elle regardait la bite du directeur. Elle était belle, grande, beaucoup plus grande que celle de son mari. Il s’approcha et désigna sa bouche. Elle savait ce qu’il voulait. Elle le voulait aussi. Elle s’est penchée en léchant ses lèvres pour les humidifier. La tête penchée de côté, elle l’a pris en bouche sans le quitter des yeux.

Les yeux dans les yeux, elle l’a sucé, comme une bonne petite salope, pendant qu’il la filmait, et que les yeux matons exploraient ses ouvertures avec leurs gros doigts. Puis, l’un des gardiens l’a saisie par les hanches, a présenté sa bite tendue à l’entrée de sa chatte, et l’a poussée au fond. Le dernier a attrapé ses mamelons et s’est amusé à tirer dessus.

Patricia s’appliquait à synchroniser les mouvements de celui qui la baisait avec celui qu’elle suçait. Bientôt, les vigoureux coups de bite qu’elle recevaient dans la chatte ont propulsé la bite qu’elle suçait au fond de sa gorge, provoquant un malaise. S’escrimant à lutter, résistant au coups dans sa chatte, elle n’a pas senti venir son propre orgasme.

Les deux hommes ont continué de la baiser, le dernier patientait en tripotant ses nichons. Le premier garde pompa plus vite dans sa chatte, et Patricia sentit le sperme chaud de cet inconnu gicler et remplir sa vulve fertile. 
Elle n'avait même pas réalisé auparavant qu'elle baisait sans aucune protection. Il était bien trop tard pour cela. 

Elle adorait et redoutait les sensations que les jets de foutre lui procuraient en remplissant sa chatte. Elle était proche de son propre orgasme, et gémit de frustration lorsque la bite a glissé hors de sa chatte. Le directeur a retiré sa bite de la bouche complaisante et a aidé Patricia à se redresser. 

Quand le troisième gardien s’est allongé sur le sol avec sa bite rigide pointée en l'air, elle savait ce qui allait lui arriver. 
La vision de la femme dans la vidéo revint à son esprit. D’elle-même, Patricia enjamba l'homme allongé sur le sol. 
Elle le regarda dans les yeux puis, crânement, elle s'accroupit lentement, s'abaissant sur la bite dressée. 

Elle glissa facilement sa chatte lubrifiée par les jus divers sur le membre rigide. Patricia pensa qu'elle allait mourir de plaisir lorsque l'excitation en elle s'intensifia. Elle allait se faire enculer, elle le savait. Quelque chose qu'elle n'avait jamais envisagé. Une privauté qu’elle n’aurait jamais accordé à quiconque, même pas à son mari.

Son mari. Comme il avait dû souffrir, le pauvre, pour en arriver là. Probablement victime d’un odieux chantage pour accepter de baiser cette pétasse. Son fidèle mari, si tendre avec elle. Elle voulait souffrir, pour se punir, comme pour connaître les souffrances qu’avait dû endurer son gentil mari.

Patricia jeta un coup d’œil par-dessus son épaule. Le sexe du directeur qui s’approchait de son cul était énorme.
Il allait la déchirer avec cette monstruosité, elle en était sûre. Elle allait lui faire un mal de chien. Elle se souvenait de la femme hurlant de douleur, lorsqu’il l’a enculée. Elle voulait souffrir pour être digne de Jonas, son mari. 

Quand le doigt du directeur est entré dans son trou du cul vierge, elle a trouvé cela pas si douloureux qu’elle l’avait craint. Ça faisait un peu mal, mais elle était si excitée qu'elle aimait cela. Elle commença à pomper de haut en bas sur sa bite et elle a apprécié la sensation du doigt entrant et sortant de son cul étroit. 

"Tiens, mec, prends la caméra et choisit le bon angle de vue."

Patricia entendait les commentaires, mais s'en fichait complètement. Elle voulait la grosse bite du directeur dans son cul, souffrir pour être en osmose avec son mari. Le doigt quitta son cul et elle tourna la tête pour voir.

Le directeur s’était positionné derrière elle et pressait sa bite contre la petite rosette. Il a commencé à pousser, étirant l'anneau serré sur le gland bulbeux. Elle était bien lubrifiée, et la tête de bite a bondi à l'intérieur.

Patricia s'avança instinctivement, essayant de fuir, mais l'homme sous elle la maintenait fermement. La bite du directeur s’est enfoncée dans les profondeurs de son trou du cul serré. 

"Oh mon Dieu, ça fait mal, s'il vous plaît, doucement, brute." 

Le directeur a saisi Patricia par les hanches et lui murmura à l’oreille : "Tu vois que tu aimes ça, Patricia."

Un cri guttural s'échappa des lèvres de Patricia lorsque le directeur s’emboîta sans ménagement. Elle avait l'impression qu'un fer rouge s’enfonçait en elle. Son cul était tellement rempli et dilaté. Elle pensait qu'il était entré entièrement en elle jusqu'à ce qu'il progresse encore avec une deuxième poussée. 

"Ça y est, bébé, tu as tout pris. Tu vois, c’était pas si difficile !" 

Le directeur a commencé à la baiser. Patricia respirait comme un petit chien pour essayer d’atténuer la douleur. Les deux bites n’étaient pas synchronisées et lui déchiraient les entrailles. Son esprit ne pouvait pas gérer ce qui lui arrivait. 
Elle voulait qu'ils arrêtent de la baiser, mais l’orgasme qui grondait au fond de son ventre, embrouillait ses pensées. 

Elle pouvait ressentir le plaisir que lui procuraient les bites des deux hommes. Finalement, ses cris se sont calmés, remplacés par des soupirs et des gémissements. Elle a permis au directeur de réaliser son fantasme, baiser son cul aussi fort qu’il le voulait. Et il ne se privait pas de la baiser brutalement, férocement. 

Lorsque l'autre garde a présenté sa bite devant sa bouche, elle n'a pas fait sa mijaurée, elle l’a prise aussi profondément qu'elle le pouvait dans sa gorge. Un geyser de sperme a jailli dans la chatte de Patricia. Elle était si près de chavirer elle-même, mais le gardien se retira de sa bouche pour lui balancer la purée sur le visage. 

Le directeur se retira de son cul et s’allongea sur le dos. Patricia comprit le message. Elle enjamba le directeur et descendit s’empaler sur cette merveilleuse bite. Elle commença à chevaucher la bite, sous les encouragements du directeur. Le directeur pétrissait ses seins en faisant crier Patricia, mais c'était trop pour la jeune femme. 

L’orgasme l’a terrassée. Elle tremblait, un râle rauque s’échappait de sa gorge, elle s'effondra finalement sur l’homme. 
Il la repoussa de côté et la fit rouler au sol, l’allongeant sur le ventre. Il écarta les fesses dodues et planta sa bite dans son trou du cul. Patricia ressentit l’onde de choc, mais son frisson était engourdi par la rémanence de son orgasme.

Elle a subi l’assaut viril dans son cul meurtri sans se plaindre, écrasée par le poids de l'homme, et elle a trouvé la force de sourire quand elle a senti les flots de liquide chaud jaillir dans ses entrailles. 

Patricia est restée allongé sur le sol, dans la même position, pendant que les hommes se rhabillaient en discutant. 
Elle ne réalisait même pas qu’ils parlaient d’elle, de son potentiel, de ce qu’ils espéraient en obtenir.
Elle se redressa seulement quand les brûlures et les fourmillements dans son corps s'estompèrent. 

"Est-ce que je pourrais voir mon mari maintenant ?" 

"Bien sûr, ma chérie, mais tu dois aussi faire connaissance avec les autres membres de l’équipe." 

"S’il vous plaît ! Après avoir vu mon mari !?" 

"Ne sois pas idiote ... pendant que tu vois ton mari !"

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!