Le Cadeau D'Anniversaire

Cette date est sacrée pour nous ; c’est le jour, où en regardant un aquarium à La rochelle, nos mains se sont jointes, pour ne plus se quitter, et j’essaie tous les ans de trouver un cadeau, jamais le même bien sûr. C’est un 23 quelques années plus tard que je lui ai avoué, après un trio, lors d’un repas avec un voisin de vacances que je prenais beaucoup de plaisir à la voir et l’entendre jouir dans les bras d’un autre homme, en un mot que j’étais candauliste. C’était le début de nos jeux libertins.
Plus tard, alors que nous étions en club, j’ai eu l’occasion de sucer son amant d’un jour, et alors qu’à la maison, nous faisions un « débriefing » de la soirée, comme à notre habitude, elle m’a avoué avoir beaucoup aimé me voir, et qu’elle avait eu envie qu’à son tour, il me possède. C’est ainsi qu’elle m’a offert à un homme lors d’une soirée plutôt arrosée et que si cette fois, j’ai plutôt subit, la situation s’est reproduite et cette fois j’y ai pris beaucoup de plaisir ; mais c’était toujours après qu’elle a eu des rapports, parfois multiples avec l’homme en question. C’était donc toujours après qu’elle ait joui avec lui. J’avoue cependant mon plaisir. Je tenais peut-être un scénario pour ce 23 : m’offrir à un homme, devant elle, seulement pour moi.
Je n’ai pas eu de mal à trouver un homme pour jouer avec moi. Brigand, c’est son surnom est un rugbyman de 2m et 100kg, tout en muscle, que j’avais eu l’occasion de soigner, et j’avais vite découvert son penchant pour les hommes. Cela n’a pas été très dur de lui faire comprendre que j’avais envie de lui. Par contre mon envie qu’il le fasse devant Nicole a été beaucoup plus dur à accepter. Il m’a fallu beaucoup de persuasion, et aussi plusieurs verres.
Le jour venu, j’ai annoncé à Nicole la venue de mon ami, sans lui préciser que c’était avant tout pour moi. Préparation d’un apéro, puis préparation de sa tenue vestimentaire, comme à son habitude très sexy, excitation pour elle de découvrir un nouvel homme.

A son arrivée, manifestement pour lui la situation était difficile et j’ai dû me lancer pour débloquer la situation. A la grande surprise de Nicole, habituée à une attaque directe, il ne tentait rien envers elle, et quand elle m’a vu me pencher vers lui et l’embraser, sa surprise a été totale. Me plaçant entre les jambes de brigand, je lui ai ouvert la braguette, pour faire sortir sa queue, encore au repos, mais de très belle dimension puis fixant Nicole, attentif à sa réaction, je lui ai découvert le cadeau de cette année :
« me faire jouir avec lui, devant toi, comme tu le fais généralement avec un autre homme, sans que tu participes. «
La surprise passée, elle m’a embrassé tendrement, puis s’est lovée dans un fauteuil, face à nous. Sous l’emprise de mes doigts et de ma langue, il n’a pas tardé à reprendre vigueur et c’est un très beau sexe, gros, long, le gland déjà décalotté que j’ai commencé à branler, alors que ma deuxième main titillait son petit trou. Je le sentais prêt à juter, mais ce n’est pas ce que j’attendais et l’entrainant vers la chambre, où se déroule généralement les ébats de Nicole, je me suis offert à ses caresses. Pour elle c’est au pied du lit qu’elle s’installe, le string écarté, se doigtant doucement en nous regardant ; son visage est brillant d’excitation, attendant la suite.
Sous ses caresses, j’ai chaud et ses mains me sont agréables ; c’est lui qui provoque ; il me caresse les fesses, m’embrassant dans le cou, me léchant les tétons ; sa main effleure mon sexe, me tortille les couilles , avant de me retourner sur le ventre, ; il se met sur moi et je peux sentir son sexe bandé contre mon sillon ; doucement il le plaque contre mon petit trou ; je m’en peux plus, je suis là, offert devant ma femme et je m’attends plus qu’une chose : absorber sa grosse bite. S’écartant de moi, il me lèche le sillon, puis me passant du gel, il commence à me doigter, un puis deux doigts s’enfoncent dans mon fondement, ; la sensation est divine et quand il s’enduit le sexe de gel, j’écarte mes fesses dévoilant ainsi l’objet de mes envies. Je suis à sa merci, ou plutôt à mes envies ; doucement son gland me pénétré, mon anus s’ouvre, il est enfin en moi et commence alors ses va et vient.
Ses burnes tapent contre les miennes, des frissons me parcoururent le dos ; son rythme s’accélère, il me défonce, me traitant de petite salope qui aime la bite ; il devient bestial, va au plus profond de mes entrailles, voulant sans aucun doute prouver à Nicole que je lui appartenais totalement, puis s’adressant à elle, les cuisses écartées, se masturbant frénétiquement :
« Tu vois, il aime ma queue, c’est une petite lope «
« Oui je le voie, vas-y, défonce-le, encule-le profondément » ; une claque sur les fesses
« Tu vois, c’est elle qui le réclame ! »
A sa demande, il devient plus puissant dans ses possessions, il me démonte le cul, accompagnant sa sodomie de puissantes claques, qui si sur le moment, elles me font mal, c’est aussi pour moi, le signe de ma soumission ; je m’abandonne complètement à ses coups de butoirs, je transpire, lui aussi, alors que dans mon extase, je perçois les gémissements de Nicole ; des spasmes me parcourent le dos et sans aucun geste sur mon sexe, j’éjacule.
Sentant son plaisir arriver, il me retourne ; son éjaculation est soudaine et ses jets se diriges vers mon visage et mon torse. Pour moi, c’est une jouissance totale et profonde ; non seulement il m’a bien pris, mais surtout devant ma belle qui semble ravie :
« Une vraie sodomie pour mon coquin de mari »
J’aurais voulu qu’il me prenne une deuxième fois, mais pour lui, c’était terminé et se rhabillant, il nous a quitté rapidement. Il nous restait le lit pour nous deux, pour compléter ce cadeau un peu exceptionnel, mais qui manifestement lui avait plu ; elle me l’a prouvé ensuite.