Sécurité

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

La jeune femme a été arrêtée pour un vol à l'étalage. Elle a été conduite à l’écart, dans une alcôve sans fenêtre.
Elle était en larmes lorsque les deux matrones de la sécurité ont fini de lui expliquer durement ce qui pouvait lui arriver.

"S'il vous plaît, ne me dénoncez pas à la police, oh, s’il vous plaît, je ne veux pas aller en prison".
Elle se tordait les mains, plongée dans le plus profond désespoir.

"C’est pour votre bien, pour que vous ne recommenciez plus jamais, vous devez être punie pour ce que vous avez fait, que cela vous serve de leçon, petite idiote !"

La jeune femme mit ses mains sur son visage et se mit à pleurer abondamment en hoquetant bruyamment. 
La femme de la sécurité la plus âgée l’a prise dans ses bras, et lui a tapoté et caressé le dos pour la consoler.

"Bon, d’accord, calmez-vous, il y a peut-être une autre façon de sortir de ça".

"Et laquelle est-ce ?" demanda la fille à travers ses sanglots.

"Si vous vous déshabillez entièrement, pour que nous puissions être sûres que vous n’avez rien caché d’autre sur vous, nous pourrions prendre quelques photos pour témoigner que vous avez été loyale et coopérative."

La jeune femme était à la fois soulagée et étonnée. Elle pouvait se déshabiller devant les deux matrones, mais leur chef restait là, assis d’une fesse sur le bureau, les bras croisés sur la poitrine, et il n’était pas encore intervenu.
C’était un noir gigantesque, bâti comme une armoire normande, avec le crâne rasé et des lunettes de soleil sur le nez. Elle ne savait pas ce qui l’impressionnait le plus, sa carrure phénoménale ou son visage énigmatique.

"Doit-il rester ici ?"

"Oui, bien sûr, c’est le chef, il doit témoigner."

La fille hésita un peu trop longtemps, soupesant le pour et le contre.

"Très bien, oubliez" dit l'homme en décrochant le téléphone.



"Non, je vous en prie. Attendez, je vais le faire."

La fille commença à déboutonner son chemisier. Elle l'ôta, suivi de sa jupe et de son soutien-gorge. Elle a hésité au niveau de la culotte, mais elle a tourné le dos à l'homme et a baissé sa culotte.

Le chef de l’équipe de sécurité a bien vu la chatte de la jeune femme lorsqu'elle s’est penchée pour retirer sa culotte au niveau des pieds. Les matrones ont préparé l’appareil photo et ont demandé à la fille de se positionner face à elles, un peu à l'écart. L’endroit qu’elles lui désignaient se trouvait très près du chef, juste devant lui.

Malgré sa répulsion, elle a dû s'accroupir en écartant les lèvres de sa chatte. Puis finalement, au grand dégoût de la jeune femme, elle dut se pencher pour écarter ses fesses. Dans cette position, elle faisait face au chef.

Elle pensait qu'elle en avait fini, mais elle a vu l'homme sortir un gode long et fin, et le lubrifier avec de la vaseline.

"C'est pour quoi faire ?" haleta la fille.

"Nous devons aussi vérifier en toi, chérie" prétextaient les femmes.

La fille recommença à sangloter, mais elle obéit aux ordres des deux mégères de se positionner sur le bureau, et de se détendre. Même si elle a eu du mal à se détendre quand elle a senti les mains de l'homme sur elle, elle s’installa à demi allongée, le buste posé sur la table, les pieds au sol, jambes écartées, les mains écartant ses fesses. 

Elle sentit quelque chose pousser contre sa chatte et ferma les yeux. Cela la pénétra profondément et elle le sentit toucher son col de l'utérus. C'était beaucoup plus volumineux que l'instrument lubrifié par l'homme. Elle sentit une pression sur son trou du cul et essaya de se détendre lorsque la chose pénétra en elle. 

C'était plus froid et plus mince que ce qui était dans sa chatte. Ça devait être le gode que l'homme avait lubrifié, pensa-t-elle. La matrone qui prenait des photos à l'insu de la fille s’était troussée et se frottait la chatte entre les prises de vue.
 

Penchée sur le bureau, avec une bite dans la chatte et un gode dans le cul, le chef a commencé à prendre son rythme, pénétrant au plus profond la vulve de la fille. Elle gémit un peu, troublée par autant de sensations diverses, et le ventre de l'homme claquant contre ses fesses, enfonçant le gode profondément dans son cul. 

Elle regarda par-dessus son épaule et vit l'homme qui la baisait en lui souriant, une main posée sur ses reins. Elle essaya de s’esquiver, mais l'homme la retint contre le bureau. Elle a regardé la femme, comme pour lui demander du secours, et l'a vue, robe troussée, avec le doigt dans sa chatte, et l’appareil photo dans l’autre main.

La jeune femme laissa docilement l’homme la baiser. Elle ne pouvait rien faire contre, de toute façon. Elle avait trop peur de lui, de son aspect effrayant. Peu de temps après, elle sentit le sperme de l'homme gicler en elle. Soulagée, elle pensait à tort que c'était fini. La plus vieille femme s’est assise à côté d’elle, sur la table, a saisi la fille par les cheveux pour presser son visage contre sa chatte.

"Lèche ma chatte, bébé, lèche-moi ou je vais dire à Fred de casser ton petit cul serré."

La fille lécha et suça la chatte de la vieille femme. Cela n'avait pas si mauvais goût, alors elle la lécha de plus en plus fort, dans l'espoir de faire jouir la dame plus rapidement.

Elle sentit l'homme retirer sa queue et son gode, mais ne fut pas surprise de sentir la bite ouvrir son trou du cul. 
Il est entré sans ménagement et, après quelques pompages, il était en elle jusqu'à la garde. Les yeux de la fille se remplirent de larmes. L’humiliation, la honte de l’avilissement autant que la douleur, la submergeaient.

Elle ne pleurait pas ouvertement, elle ne voulait pas leur donner ce plaisir.

Ils l’ont utilisée pendant l'heure suivante, prenant des photos, la baisant dans tous ses orifices, se faisant lécher. 
Lui demandant de sucer et de lécher la bite ou la chatte jusqu'à l'orgasme.
 Quand ce fut fini, elle rassemblait ses affaires pour partir, seulement l'homme lui dit qu'elle était incompétente et qu’elle devait revenir une fois par semaine.

L’homme a dit qu’il s’occuperait lui-même de son dressage, et que si elle n’obéissait pas, il distribuerait les photos à tous ceux qui voudraient voir une salope se faire baiser. Elle a grogné qu'elle reviendrait. Elle savait qu’elle n’avait clairement pas le choix, et quelque chose en elle lui disait que c'était peut-être profitable.

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