Baisée Devant Mon Homme

On sonne à la porte. C'est Albert.
Norbert file se cacher derrière un paravent.
- Bravo ma chérie, tu es une vraie gamine comme cela. Mon père va beaucoup aimer.
Le père d'Albert a 50 ans. J'ai honte de ce que je vais faire, mais Norbert l'a exigé, alors, alors comme je lui ai promis, je ne peu que lui obéir. Le quinquagénaire, qui est un cérébral, a monté un scénario. Je suis allongée sur le lit, je me branle en lisant un bouquin porno. Lui c'est mon papa. Il entre dans la chambre et me surprend.
- Salope, je t'y prends à te branler à ton âge. Tu n'as pas honte.
La situation équivoque m'excite. J'ai honte en même temps. Je suis tellement entrée dans la peau de mon personnage que j'ai l'impression que mon père vient de me surprendre en train de me branler. Je rougis en essayant de cacher ma moule.
- Tu mérites une bonne punition.
Il me saisit par le bras et se dirige vers une chaise. Il s'assoie et me fait mettre à plat ventre sur ses cuisses, relevant ma jupette, il m'administre une fessée. Surprise par les premières claques, je voulus protester.
- Silence petite putain, je vais te faire passer l'envie de te branler.
Sa main claquait avec une régularité de métronome mon fessier. Après la douleur des premiers coups, une douce chaleur commençait à envahir ma chatte. Avec stupeur, je m'aperçus que j'adorais être fessée. Mes cuisses s'ouvraient et se resserraient, je frottais mon clito sur la toile rugueuse du pantalon. Je cambrais les reins pour aller au devant de sa main, m'écartant au maximum pour qu'il puisse admirer ma chatte béante et ma rosette. Je mouillais comme une chienne. Soudain j'eus un orgasme fulgurant.
- Mais elle jouis en plus la salope. Tu es vraiment une pute.
Il me fit mettre à genoux devant lui.
- Sort ma bite et suce moi salope. Suce ton père puisque tu n'es qu'une putain.
Je déboutonnais sa braguette. J'eus du mal à sortir son braquemard, tant il bandait.

Quand je l'eus enfin dégagé, je restais muette de surprise. Comme Albert, il était monté comme un âne. Au moins aussi longue que celle de son fils, mais plus épaisse. Le gland avait la taille d'une balle de tennis. J'en restais le souffle coupé.
- Mais je ne pourrais jamais la sucer, vous êtes trop gros.
Il me gifla.
- Quand tu me parles appelle moi papa et tutoie moi.
- Papa tu es trop gros.
- Mais non tu as une vraie bouche de salope. Je suis sur que tu vas y arriver, et que tu vas aimer.
Brusquement je pensais à Norbert, je me demandais ce qu'il faisait derrière son paravent. Ce qu'il pensait de moi, de ma soumission, il me voyait nue devant ces deux hommes, prête à sucer ce gros zob qui m’était présenté, avant de me faire baiser. Cette pensée me fit rougir de honte et déclencha un premier orgasme.
- Regarde dit le père d'Albert elle jouis déjà à la pensée de me sucer, quelle salope.
Saisissant le monstre entre mes mains, je lui léchais le gland. Ma langue s’appliquait à lui faire du bien. J'ouvris la bouche pour l'avaler. Avec beaucoup de difficultés je réussis à l'engloutir. J'étais fière de moi. Aucune bite ne me faisait reculer. J'avais la mâchoire distendue, les larmes aux yeux, mais je suçais ce gros braquemard avec toute ma science.
- Qu'en penses tu papa? demanda Albert.
- Ta soeur est une vraie salope, elle ne doit pas en être à son coup d'essai, elle suce comme une pute. Sa bouche est douce, ses caresses me font encore grossir.
C'est vrai que la pine gonflait encore dans ma bouche, j'avais de plus en plus de mal à la sucer. Albert nous regardait en se branlant. Le père d'Albert se dégagea, se couchant sur le dos, il m'attira au-dessus de lui. Son braquemard pointait comme l'Obélisque. Je m'accroupis au dessus du gland et me laissais descendre doucement pour jouir de ce sentiment d'écartèlement que me procurait son mufle énorme. Je sentais mes lèvres s'écarter sous la poussée de son gland, puis ce fut le tour de mon conduit.
Ma chatte n’avait jamais été remplie de cette manière, quand j'eus englouti les 30 centimètres, je me laissais aller sur sa poitrine, haletante.
Je m'étais tellement mis dans la peau de mon personnage, que j'avais vraiment le sentiment d'accomplir un e, ce qui malgré ma honte décuplait mon plaisir.
- Oh que c'est bon, Papa! Tu as la plus belle bite que j'ai jamais vue. Tu sens comme je te serre. Tu m’as rempli la chatte comme personne ne l’avait jamais fait.
Je baisais avec mon père, et, dans la logique des choses, mon frère qui assistait à ma dépravation n'allait pas tarder à vouloir en profiter. Albert était entré également dans le jeu. Je le soupçonnais d'ailleurs d'avoir, lui aussi envie de baiser sa soeur (la vrai).
Il s'approcha de nous, se plaçant derrière moi, il me saisit les hanches.
- Je vais t'enculer petite soeur chérie.
Il appuya son gland sur ma rosette, sous sa poussée celle-ci s'écarta, le sphincter céda, sa bite envahit mes intestins. J'éprouvais une sensation de jouissance inouïe. J'avais deux bites exceptionnelles en moi. Trente centimètres dans chaque conduit. Un vrai bonheur. Une nouvelle fois j'étais prise en sandwich, je du m'avouer que j'aimais cela. Norbert avait raison quand il insistait pour me faire prendre par deux queues. Puisqu'il voulait que je sois une salope, j'allais lui donner satisfaction. J'aime me faire baiser, alors pourquoi m'en priver. Mes deux baiseurs se mirent à limer ensemble. Ce fut du délire. Le forage écartelait ma chatte et mon cul, déclenchant des spasmes à chaque mouvement. Je hurlais sans discontinuer. Quand enfin ils éjaculèrent j'eus l'impression de recevoir des litres de spermes dans ma chatte et dans mon cul.
Ils sont partis. Je suis allongée sur le lit, les cuisses écartées encore sous le choc de ma jouissance. Norbert sort de sa cachette, il se précipite vers moi, il se penche sur ma chatte et me lèche, sa langue parcours ma vulve. A ma grande surprise, il boit mon foutre mêlé au sperme d'Albert et de son père.
Me faire lécher par mon mari après avoir été baisée par deux belles bites déclenche un nouvel orgasme.
- Salope, tu aimes ça, te faire enfiler, à partir de maintenant tu m'obéiras en tout. Si tu baises hors de ma présence, je veux que tu me racontes tout en détail.
- Oh mon chéri! Je suis heureuse, tu es merveilleux, tu m'a révélé, je serais ta salope ta poufiasse.
Pour sceller notre accord, sa bite s'enfonça dans ma chatte encore gluante du foutre dont elle avait été envahie. Après le calibre du père d'Albert, Norbert me paru bien ridicule, mais il y avais si longtemps qu'il ne m'avais baisé que je jouis quand même.

***
Ce matin, je me suis maquillé la chatte et les seins avec le produit que Rosine avait utilisé le jour de mon mariage. J'ai envie d'être excitée toute la journée, d'être disponible pour me faire enfiler. J'ai basculé dans le camp des salopes. Moi qui, il y a quelques jours encore, me voulais fidèle, je ne suis plus qu'une chienne en chaleur qui ne pense qu'à se faire enfiler, défoncer par de grosses bites. J'ai revêtu un short très fin et très moulant, sans slip bien sûr, qui dessine les moindres détails de ma chatte, et un tee shirt à maille large qui laisse voir mes seins. Pour circuler dans la rue j'enfile une veste. Le maquillage commence à faire son effet. Mes tétons durcissent et s'allongent, ils percent à travers les mailles de mon tee-shirt. Mes grandes lèvres gonflent, mon clito bande mon short pénètre dans ma moule et dans ma raie culière. Je mouille. J'ai négligé de boutonner ma veste. Les passants se retournent sur moi, n'en croyant par leurs yeux. Je prends le métro. C'est l'heure de pointe il y a beaucoup de monde. Je suis coincée entre une fille de ma taille et un mec. La fille est plaquée contre moi. Je sens sa poitrine sur la mienne, son pubis contre le mien, ses lèvres sont à quelques centimètres des miennes. Elle à, bien sûr, remarqué ma tenue, mes seins gonflés, mes tétons qui bandent. Elle me sourit, je réponds à son sourire.
Sa main se plaque sur ma moule, elle est surprise de me trouver dans cet état. Ma chatte est ouverte et la finesse du tissu du short lui permet de la palper comme si j'étais nue. Elle ne s'en prive pas. Son doigt s'attarde sur mon clito, le caresse. Le mec qui est derrière moi se plaque contre mon cul. Je remue les fesses contre sa bite qui bande dure. La fille continue son branlage sans se préoccuper de nos voisins. A travers mon short ses doigts parcourent ma moule, soudain elle pose ses lèvres sur les miennes, sa langue force ma bouche, elle m'embrasse. Nos voisins regardent d'un air offusqué mais ne disent rien. Elle me retourne, me mettant face au mec. Elle me murmure à l'oreille
- C'est mon mari, tu veux bien le faire jouir ?
Je ne réponds pas, mais j'écarte les cuisses et plaque mon pubis contre sa bite. J'écarte le tissu qui protège ma chatte, Le mec a sorti sa bite. Nous sommes si serrés que personne ne peut voir nos sexes nus. La position n'est pas commode, il ne réussit pas à me pénétrer de cette manière. Je me retourne vers la fille et cambre mes reins pour lui permettre de m'enfiler. Son gland cherche l'entrée de ma moule. La fille passe la main sous ma chatte pour l'aider. Soudain je sens son gland forcer mon vagin. Il est en moi, ma chatte dilatée par son gros braquemard, je me sens enfin comblée. A petit coup de reins discrets, il me lime. La fille pendant ce temps branle mon clito d'une main, son autre main est invisible.
- Tu sais ce que je fais avec mon autre main ?
- Non
- Je branle un mec, je ne sais même pas qui c'est.
Le mec continue de me limer. Sa bite me fait un bien immense. Le rythme lent imposé par la discrétion me donne des frissons, je mouille sans arrêt. Je sens soudain sa pine se contracter, il jouit, son sperme chaud gicle dans ma chatte, déclenchant mon orgasme. Je rajuste mon short. Je suis arrivée à ma station. Après un rapide baisé à la fille je descends du métro.
Au salon, un client m'attendait. Je n'eus même pas le temps d'aller me changer. Mon short était plein de foutre. J'ôtais ma veste, je lu la surprise dans les regards d'Albert et du client. Ils connaissaient tous deux mon côté exhibitionniste, mais là, je m'étais surpassée. De plus le liquide excitant continuant son effet, mes tétons, bien visibles à travers les mailles de mon tee-shirt avaient atteint la grosseur d'un pouce, ma chatte béante avait absorbé le tissus de mon short qui était trempé à l'entrecuisse par le mélange de mouille et de sperme. De dos, le short entrait dans la raie de mes fesses. Le client désirait une manucure. Je m'installais face à lui, les cuisses écartées pour qu'il puisse bien profiter de la vue. Je pris sa main que je posais sur ma cuisse et entrepris de lui faire les ongles. C'était un beau mec, quarante ans environ, bien conservé. Le genre sportif. Sa main sur ma cuisse me donnait des frissons. Il s'aperçût vite de l'effet qu'il me produisait. Au moment de partir il me glissa sa carte. Ayant un moment de calme, je descendis aux toilettes. J'étais sur la cuvette entrain de pisser quand Albert descendit. J'avais laissé la porte ouverte.
- Alors ma salope, tu m'as l'air bien excitée.
- Je me suis faite baisée dans le métro.
- C'est pas vrai, t'est vraiment une pute. Quand je pense que tu ne voulais pas tromper ton mari. S'il était au courant de ta conduite, qu'est-ce qu'il dirait.
Norbert ne voulait toujours pas que je dise à Albert qu'il savait tout alors je ne lui dis rien.
- J'aime baiser, j'aime me sentir défoncée par une belle bite, j'aime le goût du foutre. Alors j'ai décidé de ne plus m'en priver. Tant pis pour Norbert.
- Tiens, puisque tu aimes ça suce moi.
Il me présenta sa bite. Toujours assise sur la cuvette, les cuisses bien ouverte, la chatte béante, je la pris dans mes mains, léchant le gland, ma langue en fit le tour, je lui léchais le méat. J'aimais ce gros gland qui m'avait si bien défoncée. J'engloutis la pine, la faisant coulisser dans ma gorge, mes mâchoires étaient distendues par cette bite énorme. Je la recrachais, l'avalais de nouveau, ma langue léchait la colonne, je lui caressais les couilles en même temps. Abandonnant sa bite, je lui suçais les boules, les prenant dans ma bouche, puis je remontais le long de son braquemard en lui donnant des petits coups de langue, j'absorbais de nouveau le gland, faisant tourner ma langue autour.
Je me branlais en même temps, mon clito était énorme, ma chatte dégoulinante de mouille. J'aime bien sucer une belle bite, mais j'aurais bien voulu qu'elle me défonce la chatte ou le cul, mais Albert était trop excité.
- Salope tu es la reine des pipeuses. Tiens prend ça.
Il jouit à grandes giclées, j'avalais son sperme sans en perdre une goutte. Mon orgasme se déclencha pendant que son foutre envahissait ma gorge. 
***
Norbert ne voulait pas en rester là avec Albert. Un jour il décida qu' 'il était temps de lui dire qu'il était au courant. Mais pour cela il voulait organiser une soirée et inviter Albert et sa fiancée Marie-France. Celle-ci était très mignonne, brune, les yeux mauves, une bouche qui donnait envie de s'y enfoncer, des seins en poire qui n avait besoin d'aucun soutien-gorge, malgré leur masse, une taille fine qui surmontait un cul à faire bander un eunuque Marie-France n'avait que 18 ans et était un peu timide, mais, selon Albert, elle était très chaude.
J'invitais donc Albert sans lui dévoiler les intentions de mon époux.
Norbert avait veillé tout particulièrement à ma tenue. Une minijupe large et très courte, un caraco lacé sur le devant, au laçage très lâche qui laissait voir mes seins, bas noir, porte-jarretelles, hauts talons et bien sûr pas de slip.
Lorsque nos invités arrivèrent, bien que n'ignorant rien de mon goût pour l'exhibitionnisme, ils furent tous de même un peu surpris.
Nous nous installâmes au salon pour prendre l'apéritif. Obéissant aux consignes de mon époux, je fis le service en me penchant plus qu'il ne fallait pour remplir les verres.
A chaque fois mon décolleté baillait révélant une grande partie de mes seins, et ma jupe remontait très haut, dévoilant mes fesses, comme j'écartais un peu les jambes, ma chatte et ma rosette étaient bien visibles. Albert, gêné par la présence de Norbert et Marie-France ne savait où poser les yeux. Marie-France me regardait sans comprendre. Je m'assis ensuite à côté de Norbert, face au couple, je me laissais aller contre le dossier du canapé, en écartant légèrement les cuisses, ma jupe, que je ne faisais rien pour rabattre, dévoilait ma moule humide et gonflée de désir.
Norbert s'amusait de la tournure que prenait notre réunion. Passant son bras autour de mes épaules, il introduisit sa main sous mon caraco et me caressa les seins. Je me laissais aller contre lui, écartant un peu plus les cuisses. Albert n'en pouvait plus. Je voyais son braquemard bandé sous son pantalon. Marie-France ne nous quittait pas des yeux en s'agitant dans son fauteuil. Elle avait bu le cocktail que Norbert avait préparé selon une recette d'Arsène, une recette qui vous mettait le feu au cul dés la première gorgée. Comme moi elle était vêtue d'une minijupe, elle portait un corsage très échancré, ses seins étaient gonflés de désir. Ses tétons semblaient vouloir percer le corsage.
- Chérie si tu nous mettais la dernière cassette que j'ai enregistrée me demanda Norbert.
Je compris aussitôt ce qu'il voulait. Je me dirigeais vers la télé et enclenchais la cassette demandée par mon seigneur et maître.
Dès les premières images, je vis la surprise envahir le visage d'Albert. C'était la cassette de nos ébats avec son père.
Il pu assister au début de la scène, quand je lui téléphonais. Marie-France nous regardait tous les trois, cherchant à comprendre. Lorsque je fis ma déclaration à Albert, lui disant mon envie de me faire baiser par lui, elle fit mine de se lever. Norbert fut plus rapide, il s'installa à ses côtés.
- Reste, tu n'as pas vu le plus beau.
Albert voulut intervenir, mais je m'assis à ses pieds et lui posant la main sur sa bite je lui dis
- Il a raison restez, vous allez voir comme c'est beau.
Me revoir subissant les assauts d'Albert et de son père faisait monter mon excitation. Ma chatte s'humidifiait de plus en plus. Je sentais mon clitoris durcir, ma moule s'écarter. N’y tenant plus j'ouvris la braguette d'Albert et sortis sa bite en jetant un regard vers Marie-France et Norbert. Norbert avait dégagé les seins de Marie-France et les lui caressaient. Celle-ci appuyée contre son torse se laissait faire. Ses tétons durcis par le désir en disaient long sur son excitation. Elle me regardait faire et cela avait l'air de ne pas lui déplaire. La bite d'Albert était énorme, encore plus que d'habitude me semblait-il. Comme à chaque fois que je la voyais, une douce chaleur envahit mon ventre, Je me penchais et entrepris de lui lécher le gland. Albert poussa un soupir de satisfaction. Il avait renoncé à comprendre, se laissant aller à son plaisir.
Norbert avait pris Marie-France sur ses genoux, il lui avait ôté son slip. Marie France se laissait faire, dans un état second. Il lui avait remonté les cuisses et les tenait écarté, exposant sa chatte luisante de mouille Sur un ordre de Norbert elle se mit à se branler tout en nous regardant Son doigt s'activait sur son clitoris, de l'autre main elle écartait sa chatte, Norbert lui pinçait les tétons, soudain il la souleva et lui enfonça sa bite jusqu'aux couilles. Marie-France poussa un cri de jouissance, elle commença a aller et venir sur le braquemard de mon époux, une pointe de jalousie me traversa, mais étant donné ce que j'étais en train de faire, je ne pouvais décemment pas protester. D'ailleurs j'avais la bouche remplie par la pine d'Albert, il m'était difficile de parler.
En voyant Marie-France jouir sous les coups de boutoir de Norbert, Albert ne put se retenir plus longtemps. Je sentis sa pine gonfler et il lâcha son jus que je m'appliquais à avaler sans en perdre une goutte. Cela déclencha la jouissance de Norbert qui cracha son foutre, emplissant la chatte de Marie-France.
La jouissance passée, Marie-France retrouva sa timidité. Elle voulu remettre son corsage et son slip, Norbert l'en empêcha, en profitant pour lui ôter sa jupe. Marie-France était nue devant nous. Son corps splendide me donna envie de le caresser. Je me dévêtis à mon tour et m'approchant d'elle je la pris dans mes bras. Je lui saisis le visage et lui posais un baisé sur les lèvres. Marie-France se laissa faire, profitant de mon avantage, je poussais ma langue entre ses lèvres, après un instant d'hésitation elle céda, je lui caressais la langue, l'aspirais, voyant la tournure que prenait les événements, Norbert se leva et me céda le fauteuil. J'y entraînais Marie-France sans cesser de l'embrasser. Marie-France se laissait aller, elle était toute molle entre mes bras, poussant mon avantage, je lui caressais les seins, ses tétons durcissaient sous mes doigts, me révélant son excitation et son abandon. Abandonnant ses lèvres, je lui léchais les seins faisant rouler les tétons dans ma bouche, elle gémissait de plaisir, Je glissais ma main entre ses cuisses qu'elle écarta sans réticence. Sa chatte était trempée, sa mouille mélangée au sperme de Norbert coulait sans discontinuer. Mon doigt se posa sur son clito que je branlais doucement, elle poussa un cri de jouissance, elle était déchaînée, sa moule venait au-devant de mes doigts, elle jouissait sans arrêt. Norbert et Albert étaient assis en face de nous côte à côte, le spectacle que nous leur offrions les faisait rebander, ils se branlaient doucement pour entretenir leur érection. Sans doute voulaient ils profiter de notre état pour nous baiser de nouveau, mais j'avais d'autres projets en tête. Je voulais jouir de Marie-France sans que les hommes s'en mêlent.
Je filais vers la chambre et revint harnaché d'un god de belle taille, ainsi équipée j'avais l'air d'un travelo. Le braquemard que je m'étais fixé était double, une partie emplissait ma chatte, l'autre se dressait devant moi, prête à enfiler la belle moule de Marie-France. D'une taille bien supérieure à la bite d'Albert, il m'avait déjà fait jouir bien souvent et je comptais bien en faire profiter ma toute jeune maîtresse. Marie-France était restée telle que je l'avais laissée. Cuisse écartée, moule bâillante elle semblait n'attendre que moi et ma bite. Je me glissais entre ses jambes et présentais le gland gros comme une balle de golf à l'entrée de sa chatte. Quand elle sentit la pine écarter ses lèvres, elle écarquilla les yeux
- Oh chérie ! C'est gros tu vas me défoncer
- Tu veux que j’arrête ?
- Non baise moi, défonce moi la chatte, c'est bon.
Je continuais ma poussée, m'enfonçant dans son conduit
Les hommes s'étaient rapprochés pour admirer cette pénétration monstrueuse, et aussi pour essayer de profiter de notre excitation. Repensant à la scène du soir du réveillon, (Albert baisant David), j’eu soudain envie de voir Norbert se faire prendre par mon amant.
- Laissez-nous, si vous êtes trop excités faîtes comme nous débrouillez-vous entre vous.
Norbert me regarda étonné, puis il regarda Albert. Sa main s'empara de la bite de mon amant. Albert ne disait rien, attendant la suite.
- Vas-y Albert, traite le comme une femme, caresse le.
Albert entraîna Norbert vers le canapé, il le saisit dans ses bras et lui roula une pelle, Norbert se laissait faire, continuant de branler la bite de mon amant. Albert lui caressait les seins, lui pinçant les tétons, Norbert semblait apprécier énormément ce traitement. Albert lui fit mettre les pieds sur le canapé, il lui caressa le cul, enfonçant un doigt, puis deux dans sa rosette. Norbert se pencha et lui lécha le gland, puis il ouvrit la bouche et engloutit le braquemard de mon amant, lui taillant une pipe qui ne laissait pas Albert indifférent. La vue de mon époux suçant mon amant m'excita au plus haut point. Pour mieux les voir, je fis mettre Marie-France en levrette ainsi je pouvais la baiser sans les quitter des yeux et Marie-France pouvait aussi profiter du spectacle. Je me mis à la ramoner avec une ardeur décuplée. Elle n'arrêtait pas de gémir, me demandant de continuer à la défoncer. Ses propos joints au frottement du god sur mon clito et dans la chatte déclenchaient orgasmes sur orgasme. Norbert continuait de sucer Albert avec une technique digne de la mienne, Albert lui ramonait le cul avec trois doigts maintenant, Norbert s'écartait un maximum pour profiter de cette enculage qui avait l'air de lui plaire énormément, il envoyait son cul à la rencontre des doigts qui le transpercer. Je dois avouer que j'étais surprise de l'attitude de mon époux, mais moi même étant entrain de gouiner Marie-France, je trouvais cela normal.
Norbert abandonna soudain la bite d'Albert, et se mettant à quatre pattes, il lui offrit son cul.
- Vient mon chéri, vient me défoncer avec ta grosse bite.
Albert ne se le fit pas répéter, et se positionnant derrière mon époux, il se mit à lui forcer la rosette. Connaissant, pour l'avoir déjà eu dans mon cul, la grosseur de sa pine, je me dis que Norbert allait souffrir, mais son excitation était si intense qu'il se fit défoncer sans une plainte. A présent Albert lui avait enfilé sa bite jusqu'aux couilles, celles-ci battaient contre ses fesses. Norbert semblait heureux de se faire mettre.
- Défonce moi mon amour, je sens ta bite qui me remplit le cul, c'est bon, baise moi chéri, encule moi fort.
Albert se mit à le limer doucement.
- Plus fort, chéri, plus fort.
Albert ne se fit pas prié, il accéléra son ramonage, Norbert lançait son cul en arrière pour aller au-devant de cette pine qui le défonçait. De mon côté je continuais à pistonner Marie-France qui n'en pouvait plus de jouir. Soudain Albert se cabra, je compris qu'il était en train d'éjaculer. Son foutre envahissait les intestins de Norbert qui poussa un cri de jouissance. Ainsi nous étions à armes égales nous avions joui tous les deux par la pine d'Albert. Celui-ci décula, Norbert resta un moment à quatre pattes, le cul écarté. Sa rosette dilatée par son enculage laissait couler le foutre de mon amant. Albert s'installa dans le fauteuil épuisé. Norbert vint s'asseoir près de lui et lui roula un patin en caressant la bite qui l'avait fait tant jouir.
Nos invités étaient partis. J’étais quand même un peu surprise par la facilité avec laquelle Norbert avait accepté de se faire baiser par Albert.
Je décidais de lui en parler.
- Mon chéri, j’ai cru que tu n’allais pas accepter de sucer Albert, et surtout de te faire enculer par ce gros braquemard. Pour une première fois c’était énorme.
- Mon amour, si j’exige quelque chose de toi, je veux le faire. Je voulais savoir quel effet te faisait la bite d’Albert. J’ai compris, c’est formidable de la sentir progresser dans son conduit, de se sentir ouvert, envahi, rempli de foutre. D’ailleurs ce n’est pas la première fois.
Et il me raconta ses exploits lorsqu’il était à l’armée.

« A 18 ans je me suis engagé, pour échapper à la pesanteur familiale.
Lorsque je suis arrivé à la caserne de mon affectation, j’ai rencontré le capitaine commandant le camp.
Après une série de questions, et vu mes connaissances, il décida de me prendre comme secrétaire.
Cette nomination avait certains avantages. Le staff du capitaine comprenait déjà un secrétaire et un chauffeur. Nous devions partager une chambre à trois. C’était mieux que les chambrées à 12.
Lors de mon arrivée dans ma nouvelle chambre, je fus bien accueilli par les deux autres membres du staff. Deux mecs bien bâtis, et assez sympas.
Mon job consistait à filtrer les appels destinés au capitaine, prendre ses rendez-vous, et taper son courrier. Je ne m’en sortais pas trop mal. Ma première nuit dans ma nouvelle chambre fut assez tranquille quoique perturbée par certains bruits provenant de la couchette de l’autre secrétaire, ou, apparemment mes deux compagnons de chambrée s’étaient réunis.

La deuxième nuit il faisait lourd, je me couchais nu, un simple drap sur le dos. Comme à mon habitude, je dormais sur le ventre.

Je rêvais, une main s’était emparée de ma bite et me branlais doucement, je rêvais de ma nana, c’était elle qui me caressait. Deux mains m’écartèrent les fesses, une langue s’insinua dans ma rosette, me lécha. Je compris que ce n’était pas un rêve, je voulus me redresser, un corps me bloqua sur le lit. La langue abandonna ma rosette, vite remplacée par un doigt, puis deux. Les doigts me pénétraient, ils s’écartaient pour mieux m’élargir. A ma grande honte je bandais, excité par ces attouchements, ma bite devenait de plus en plus dure. Bien que n’étant pas homo, je trouvais cette situation assez agréable.
- Il bande s’exclama Marc, l’autre secrétaire, il aime ça le salaud.

Il présenta sa bite devant mon visage.
- Suce moi salaud.

J’essayais encore de résister, mais il me pinça le nez, je fus obligé d’ouvrir la bouche. Marc en profita, il m’enfonça sa bite.
C’était pour moi une première, mais à ma grande surprise, la présence de cette grosse bite ne me dégoûta pas au contraire, j’entrepris de la sucer. Pendant ce temps, Abdel, ce ne pouvais être que lui, continuait de m’astiquer la rondelle. Cette fois, c’était trois doigts qui me perforaient. Soudain les doigts cessèrent leur manège. Abdel me saisit aux hanches et me souleva les fesses. Il m’écarta les cuisses. Je me laissais faire tout en continuant ma fellation.
Je sentis sa bite s’appuyer sur mon œillet. Abdel s’enfonça doucement, je me sentais perforé par cette grosse pine qui m’envahissait peu à peu. Puis je sentis ses couilles battre mes fesses. Ça y est. Je suis enculé pour la première fois. Abdel commença à me ramoner le cul lentement. Une bite dans le cul, une dans la bouche, j’étais comblé pour une première. Ma bite me faisait mal tant je bandais, mes tétons également étaient dur. Abdel s’en saisit, les tordants, les pinçant. Je jouissais comme une petite salope. Marc se retira. Il se glissa sous moi, sa bouche s’empara de mon zob, je repris le sien. La bouche de Marc était chaude, vorace. Sa langue parcourrait ma bite, la léchant. Je lui rendais la pareil. Abdel continuait son enculage. Soudain il se raidi. Je sentis son foutre envahir mes entrailles, il se vidait à longue secousse. Marc ne tarda pas à suivre, me déversant son jus au fond de la gorge. Je m’empressais d’avaler le tout, ce qui déclencha ma jouissance, Marc avala tout lui aussi.
Nous nous retrouvâmes cote à cote, repus.
-
- C’est la première fois me demanda Abdel ?
- Oui
- Ben mon vieux on dirait que tu aimes ça.
- C’est vrai, j’ai adoré, ta grosse bite m’a fait beaucoup de bien. Mais il ne faudra rien dire aux autres.

Alors mes deux compagnons éclatèrent de rire et me fixèrent les règles de ce qui allait être ma vie dans cette caserne.

Tu vas être notre petite pute. Tu te soumettras entièrement à nos désirs, sinon ta vie va être un enfer, d’accord ? Effrayé par ces paroles, je ne répondis pas. Marc me saisit par le cou,

- Réponds salope, tu n’as plus le choix, on a filmé notre petite séance.

Je dus me résigner à accepter, et dans mon for intérieur, j’étais ravi. J’avais quand même une petite réticence, si Danielle, ma copine, apprenait cela. Mais elle était loin et il suffirait de ne rien lui dire. »
- Je te raconterais la suite une autre fois. Il est temps de se coucher
Me dit Norbert. Ces confidences me donnaient à réfléchir, j’étais pressée de savoir la suite.

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