Les Colocataires

Les colocataires

Je m'appelle Marc, 35 ans et ma troisième année de kiné fut particulièrement active sexuellement. C'était il y a quelques années j'avais 22 ans et j'étais en colocation avec quatre autres étudiants, deux filles et deux garçons. D'un coté Ariane, une jeune d'origine asiatique de 22 ans qui était en étude de droit et Julie, 23 ans étudiante en ingénierie et de l'autre coté Julian, un anglais de 21 ans lui aussi étudiant en ingénierie et Alain, français , 25 ans en dernière année d'informatique.

Nous habitions dans une maison de maître aménagée en kots. Chacun de nous avait sa chambre mais nous partagions une cuisine, une salle de détente et une bibliothèque pour nous étudier. Je dois avouer que nous étions des privilégiés. La configuration de l'habitat favorisait les moments passé ensemble et une grande amitié nous unissait. Les seuls moment où nous étions dans notre chambre, c'était pour dormir. La seule exception me concernait car j'avais profité de cette particularité pour installé dans ma pièce un divan-lit et une table de massage qui me permettait de proposer mes services aux étudiants du campus et parfois à leurs amis où même leurs parents.

J'avais quelques patients, mais le premier de mes colocataires à me demander un massage fut Ariane. La fin des cours avait été difficile pur elle d'autant que sur le trajet du retour, elle avait été surprise par une averse orageuse. Quand elle passa la porte, je l'entendis râler et elle monta dans sa chambre en pleurant submergée par cette journée pourrie. Julie et Julian étaient dans la bibliothèque et n'avaient sûrement rien remarqué, tandis que Alain était encore au restaurant où il était travailleur étudiant. J'ai attendu quelques minutes, mais inquiet de la voir pour la première fois dans cet état, je suis monté. A travers la porte, je l'entendais sangloter et j'ai doucement frappé à sa porte.
Oui ? Qu'y a-t-il ? Me dit-elle d'une voix hésitante.


C'est moi, Marc. Je voulais savoir si je pouvais faire quelque chose pour toi ?
Après quelques instants, elle entrouvrit la porte et je vis son visage rougit par le froid et les larmes.
Ne t’inquiète pas, j'ai eu une journée difficile et je suis trempée avec cette foutue averse. Je vais me changer, prendre une douche et me reposer. Après ça ira mieux.
Je comprends, mais si tu veux après que tu ais pris ta douche je veux bien te faire un massage pour te détendre. Ne t'inquiète pas ce sera gratuit, je te dois bien ça pour toutes les fois où tu m'aides pour remplir mes papiers.
Elle hésita mais finit par accepter.
Quand tu viens, mets juste un peignoir et prends tes vêtements pour te changer. J'ai tout les reste.
OK, merci.
Elle ouvrit la porte et prenant ma tête entre ses mains, elle posa un baisé sur ma joue.

Je suis alors descendu prévenir Julie et Julian que j’étais en haut pour faire un massage. C'était une habitude, ainsi ils ne me cherchaient pas et évitaient de me déranger avec un patient. Je frappa donc doucement et ouvris la porte de la bibliothèque. J'allais les informer, mais je fus pour le moins surpris de ne voir que Julian. Je lui demandais donc de prévenir Julie quand il la verrait, mais en sortant je sus que ce ne serait pas nécessaire car j’aperçus ses pieds sous la table, le restant étant dissimulé par une chaise. Faisant semblant de rien je quittais la pièce tout en étant certain qu'elle n'était pas là pour ramasser un crayon ou tout autre chose, sinon elle se serait manifestée. Cela fait, je suis remonté préparer la table de massage et me changer pour enfiler juste un fin pantalon blanc et une chemise blanche en lin, l'uniforme « traditionnel des masseurs ».

Après une bonne demi-heure, Ariane frappa à ma porte je la fis entrer. Avec son mètre soixante cinq, elle faisait une quinzaine de cm en moins que moi. Elle avait mit son peignoir comme je lui avais demandé, je pris ses vêtements et les posa sur une chaise.
Elle me dit alors :
Je n'ai pas mis de soutien car je n'en porte pas d'habitude, mais j'ai mis un string. Que dois-je faire maintenant ?
Je crois que j'ai voulu la tester car habituellement je ne fais pas cela avec mes autres patients. Je lui ai dis en montrant la table :
Idéalement il faudrait le retirer et après t'être couchée sur le ventre, poser cet serviette sur tes fesses.
Je la lui tendis et me suis retourné.
C'est fait. Me dit-elle.
Elle était couchée sur le ventre, les bras le long du corps et la tête tournée vers moi. Elle me souriait et ferma les yeux. Je me suis approché et je pus pour la première fois la voir un peu dénudée. En effet, le plus souvent elle était habillée de façon assez stricte, ne laissant voir que très peu son corps. Mais ici je pouvais voir sa peau légèrement bronzée et ses formes pour le moins agréables à regarder. Bien que cachée sa poitrine ne devait pas être énorme, mais assez pour quand même soulever son torse, ses fesses elles étaient discrètes sous la serviette et ses jambes étaient épilées et assez musclées. Je commençais par la rassurer en lui expliquant ce que j'allais faire.
Fais ce qu'il faut Marc, je suis épuisée et cela ne peut que me faire du bien.
Je me huilais les mains et les frottais les mains pour chauffer l'huile. Ensuite, tout en la prévenant, je les posaient sur ses omoplates et commençait à la masser. Je fis son dos, ses bras et ses jambes. Pendant tout ce temps, elle se laissa aller et me dis combien cela lui faisait de bien. De mon coté je lui expliquait ce que j'allais faire et les bienfait que cela lui apporterait. Je recto presque fini, je lui demandais si elle me permettait d'enlever la serviette pour que je puisse lui masser le haut des cuisses et éventuellement les fesses. Elle ouvrit pour la première fois les yeux et se redressa sur ses coudes, me laissant ainsi apercevoir ses seins semblables à deux jolis pamplemousses.
Tu veux masser mes fesses ? Me demanda-t-elle ?
Oui, pour plusieurs raisons.
Premièrement cela permettra de faire pénétrer de façon uniforme de l'huile sur tout ton corps et ensuite on oublie souvent que le massage du fessier et une bonne façon de prévenir l’installation de cellulite. Mais rassure toi je ne serai pas vexé si tu ne veux pas, c'est un soin comme un autre mais qui demande l'accord du patient.
Dans ce cas OK. Mais n'en profite pas je me doute que tu vas déjà en profiter pour me mater, c'est bien suffisant.
Elle se recoucha et me sourit avant de refermer les yeux. Je repris de l'huile et commença par le haut de ses cuisses pour remonter doucement vers ses fesses. Elles étaient rondes et fermes. Je pris mon temps remontant jusque sur ses hanches pour mieux redescendre sur son fessier. Après quelques vas et vient je remarqua que sûrement involontairement elle avait quelque peu écarter les jambes et alors que jusque là, je ne n'avais pas encore osé. Je commença à lui masser l'intérieur des cuisses. Je sentis alors qu'elle se crispait mais ne disait rien. Pour ne pas la mettre mal à l'aise je lui dis :
Ariane, si tu trouve que je vais trop loin où que ce la te met mal à l'aise, dis le moi.
Après un instant d'hésitation, elle répondit :
Non, non, ça va, continue.
Je n'ai rien tenter à ce moment là et quand j’eus fini, je lui tendis à nouveau la serviette pour qu'elle se retourne. J'ai profité de ce moment pour boire un peu. Alors que j'étais toujours dos à elle, elle me demanda comment faire pour ses seins.
Il y a deux possibilité, soit tu ne les couvres pas, soit, mais c'est comme pour le fessier, je te donne une autre serviette.
Il me sembla qu'elle hésita, mais finit par me dire que c'était bon, je pouvais me retourner. Je me trouvais à nouveau face à une partie d'elle que je n'avais jamais vu. Ses seins étaient de beaux pamplemousses biens fermes. Je repris le massage, mais j'évitais pour le moment sa poitrine. Je pus toutefois constater que plus le temps passait plus ses tétons pointaient.
Manifestement elle devait prendre du plaisir aux caresses de mes mains. Avant de m'occuper de ses seins, je l'ai prévenue et je senti qu'elle eu une certaine réticence. J'ai essayé de la rassurer en lui disant :
Si tu veux, on n'est pas obliger ? On peut très bien en rester là.
Désolée, je ne voulais pas, c'est juste que c'est la première fois que l'on me masse et je n'ai pas l'habitude. Mais vas-y continue.
Je vais faire attention, mais si à un moment tu veux arrêter, dis-le.
Je posa mes mains sur ses seins et commença à les lui masser. Je sentais sa poitrine monter et descendre au rythme de sa respiration et à chaque fois je serrais ses tétons faisant ainsi volontairement, mais discrètement, monter son excitation. Sa poitrine terminée, je descendis à nouveau vers son ventre et repoussant un peu la serviette, je m'aventurais sur son bas ventre jusqu'à son pubis. Comme elle ne se manifestais pas je remontais sa serviette pour cette fois découvrir le haut de ses cuisses. Je vis qu'elle m'observait et c'est pour cela que je m’arrêta juste à quelques centimètres de sa fente. Elle fut sûrement rassurée. Comme j'avais vraiment envie devoir sa chatte, je changea de position et me déplaça à ses pieds. Me penchant sur elle je glissais cette fois mes mains sur l'intérieur de ces jambes. Je ne sais pas si c'était moi qui appuyais sur ses cuisses ou si c'était l'effet de l'excitation qui montait, mais le fait est qu'elle écarta un peu plus les jambe me laissant ainsi voir la fente de sa chatte. Elle était épilée et luisant du plaisir naissant. Je ne pouvais faire plus d'où j'étais, je me suis à nouveau déplacé pour me mettre au niveau de ses hanches, mais de l'autre coté. Là je lui dis :
C'est presque fini il ne me reste plus qu'a tester une chose si tu me le permet ? As-tu confiance en moi ?
Oui, mais de quoi s'agit-il ?
Je te demande de me faire confiance et de ne pas t'offusquer. Tu me diras juste si tu veux que j'arrête. OK ?
Elle tourna la tête vers moi et je vis qu'elle se doutait de quelque chose, elle savait ce que j’allai tenter. Mais allait-elle accepter ?
OK, vas-y.
Et elle ferma les yeux en reposant sa tête. Je pris la serviette et la posa sur une chaise. Elle eut un léger soubresaut mais ne dit rien. Je pouvais maintenant la voir complètement nue, les yeux fermé et les jambes légèrement écartées attendant que je m'occupe d'elle.Cela faisait plus d'une heure que je la massais et maintenant j'allais prendre le risque de briser notre amitié. J'hésitais ne voulant pas mettre en péril l'unité de notre groupe.Mais c'est alors que j'étais perdu dans mes pensées que je sentis une main se poser sur mon entrejambe. C'était Ariane, elle me regardait et avec sourire elle me dis :
Alors qu'attends-tu, je sais que tu envie de me baiser. Ne dis pas le contraire ta queue me le prouve.
En effet je bandais, mon pantalon était déformé par mon érection d'autant que je ne portait aucun sous vêtements.Et alors qu'elle avait commencer à glisser une main dans mon pantalon pour saisir ma bite, de l'autre elle me prit une main et la posa sur sa chatte. Alors qu'elle se penchais pour enfourner ma bite en bouche, je commençais à lui caresser le clito. A partir de ce moment là, tout s'est emballé. Elle s'activa autour de ma bite pendant que je me penchais pour lui lécher la chatte, je la fit mouillé et elle jouis une première fois. Je suis alors monté sur la table pour que nous nous mettions en 69 de façon beaucoup plus pratique. Après quelques minute dans cette position, je suis descendu, j'ai saisi ses jambe et la tirant au bord de la table je lui ai enfoncé ma queue dans la chatte. J'ai dés lors commencé à la labourer jusqu'à ce qu'elle décide de changer et descendant de la table de massage, elle s’accroupit et me proposa de la prendre en levrette. Je ne me fit pas prier et me positionnant derrière elle, je la pris en levrette. Elle aimait et je l'entendait gémir de plus en plus fort jusqu'à ce que tous les deux nous atteignons l'orgasme quasi simultanément. Je venais de lui remplir la chatte de sperme sans penser aux conséquences éventuelles. Je voyais maintenant mon sperme sortir d'elle et c'est là que j'ai réalisé, mais voyant que je commençait à presque paniqué, elle me rassura. Elle avait pris ses précautions. Elle passa ensuite ses doigts sur sa chatte pour récupérer le foutre en dégoulinant et le porta à sa bouche. Elle me dit alors :
Maintenant je sais où je dois venir quand j'ai envie d'un dessert.
Sur ce, elle attrapa ma bite et entreprit de la nettoyer avalant tout ce qu'elle pu récupérer dessus.

Après lui avoir proposer de revenir boire un verre après s'être rafraîchie dans la salle de bain, nous avons parler et elle m'avoua qu'elle avait flashé sur moi depuis un bon moment mais que jamais elle n'avait oser aborder ce sujet et aujourd'hui elle joua la timide afin que je ne la considéré pas comme une fille facile. Pour finir nous avons décidé d'approfondir cette relation naissante, mais nous garderions le secret tant que possible par rapport aux autres colocataires.

La suite dans une prochaine parution

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