Andromaque Et Le Pere Fouettard

De retour de vacances, nous avions repris le travail, avec un grand nombre de projets et notamment l’ouverture d’une agence dans l’ouest de la France afin de pouvoir couvrir la région nantaise. Richard avait décidé depuis plusieurs années d’investir en province et de délaisser la région parisienne, et même si nous avions ouvert depuis plusieurs années une agence commerciale sur Paris, notre développement commercial se concentrer sur le grand est, le Luxembourg et la Suisse et toute la partie sud-ouest. Richard avait décidé depuis plusieurs années d’investir en province et de délaisser la région parisienne, et même si nous avions ouvert depuis plusieurs années une agence commerciale sur Paris, notre développement commercial se concentrer sur le grand est, le Luxembourg et la Suisse et toute la partie sud-ouest. Le projet avait bien avancé avec la nomination de notre futur directeur d’agence, et je devais m’occuper du choix des locaux. J’avais pris contact avec plusieurs agents immobiliers spécialisés dans les espaces pour professionnels, recherchant à proximité de Nantes et plus précisément dans le parc tertiaire Ar Mor, situé à Saint-Herblain. Zone d’une cinquantaine hectares qui accueillaient le Zénith de Nantes et de nombreux sièges sociaux de grandes entreprises avec une forte proportion d’entreprises du numérique, l’emplacement était idéal avec un joli paysage et des facilités de transport. J’étais venue plusieurs fois, en repérage, afin de visiter différents bâtiments et avais pré-sélectionné plusieurs plateaux de 300m2 dans des immeubles tertiaires à énergie positive certifiés. La société immobilière qui s’occupait du projet avait mandaté un agent, Pierre, beau brun de 39 ans, marié, qui s’était occupé de me véhiculer dans sa Peugeot 5008. C’était un homme charmant qui à priori aimait les femmes plus agées que lui, à en croire par les allusions parfois un peu lourdes qu’il me faisait et le poids de ses yeux marrons, que je devinais mater mes courbes pulpeuses et matures, pendant nos visites de bureau.

Le soir de retour à l’hôtel je debriefais de ma journée avec mon mari.
- Donc, voilà, il reste 3 options, mais maintenant, il serait bien que tu puisses visiter aussi toi-même.
- Je n’ai pas le temps en ce moment pour un déplacement à Nantes, ne peux, tu pas me faire visiter par vidéo, et une fois qu’on a retenue un, je viendrais voir ?
- Bon d’accord, je vais essayer d’y retourner demain si l’agent immobilier est disponible
- Ohhh, pour toi, j’ai aucun doute, il va trouver du temps, tu as qu’à lui faire du charme
- Ohhh, Richard, tu es vraiment incorrigible…
- J’ai trop envie de toi ma belle. Je n’arrête pas de penser à toi...
- Tu es un vicieux et un pervers…
- Je sais que tu adores allumer les petits jeunes...
- Non, s’il te plaît...
- Je veux que demain, après m’avoir fait visiter le bureau virtuellement, tu poses ton téléphone et tu ailles draguer ton agent immobilier.
- Richard, tu es totalement fou…
- Ce n'est pas une option ma belle, maintenant mets toi en facetime et masturbe toi, je veux que tu m’excites et te voir jouir.
J’activais ma caméra que je posais sur la table en direction du lit, sur lequel je m’étais installée, remontant ma chemise de nuit, afin de glisser mes doigts entre mes cuisses bien écartées. Je fixais de mes grands yeux bleus mon téléphone, dans lequel je voyais mon mari surexcité en train de se caresser dans notre salon en me regardant. Ma main droite pétrissait mes gros seins que j’avais libérés de la soie de ma chemise de nuit, alors que ma main gauche avait plongé entre mes jambes, entre lesquelles je faisais coulisser mes doigts. Mes caresses déclenchèrent rapidement une réaction de plaisir jouissive dont la manifestation vocale résonnait dans ma chambre d’hôtel au travers de mes gémissements.
- Ohhhhh, oui ma belle, vas-y caresse-toi, tu es magnifique, fais-moi coulisser tes doigts dans ta chatte bien trempée.
- Ohhhhhhhhh, Ouiiiiiii
- Hummmmm, continue, tu me fais bander comme un fou… Lèche tes doigts, tu vas sentir l’odeur de ta chatte humide…
- Ohhhhhhhh, Ohhhhhhhh
Je suçais mes doigts, recouverts du liquide qui dégoulinait entre mes cuisses, mes yeux posaient sur la vitre de mon téléphone, ou j’observais sa main serrant sa queue bien tendu qu’il masturbait avec passion.
Il se branlait avec vigueur, tout en continuant à me prodiguer ses ordres et recommandations, alternant avec des insultes et des mots cochons.
- Tu aimes regarder ma belle bite bien dure, je suis sûr que tu révérais de l’avoir dans la bouche…
- Ohhhhhhhhh, mon amour, Ouiiiiiiii
- Tourne-toi et mets-toi un doigt dans ton petit trou…
Je me plaçais à quatre pattes, mes fesses face à la caméra et m’enfonçait mon index dans mon anus, réagissant instantanément à cette caresse. J’avais fermé mes yeux, et me mordais les lèvres afin d’atténuer mes gémissements, et me doigtais l’anus avec frénésie, alors que mon autre main continuait à malaxer mes grosses mamelles qui pendouillaient, tel les pies d’une bonne laitière à l’étable prête pour la traite du soir…
- Ohhhh, oui salope, continue, c’est bien, quelle belle génisse, vas-y plus vite, je veux te voir jouir.
- Hummmmmmmm !!!!!!!
- Ohhhh, demain, tu vas me branler ton agent immobilier et je veux te regarder !!!!!!
- Ohhhhh Richard, je vais jouir !!!!!!
- Ahhhhhhhhhhhh !!!!!!
Il se vida dans sa main, alors que dans un dernier élan, je m’écroulais sur le lit épuisé et vidé, me laissant la nuit pour me reposer avant d’attaquer la journée du lendemain qui promettait d’être animée. J’adorais nos échanges à distance, imaginer mon mari jouir en me regardant me masturber à plusieurs centaines de kilomètres me procurer toujours un plaisir intense.

J’attaquais donc la journée du lendemain, fidèle aux instructions de mon époux, et contactais l’agent immobilier afin de pouvoir organiser cette visite virtuelle. Il m’avait proposé de déjeuner ensemble avant de nous rendre à Saint Herblain. Je profitais de la matinée pour visiter Nantes que je ne connaissais pas très bien, profitant de cette ville agréable et animée. J’avais souhaité déjeuner dans un restaurant que j’avais fréquenté 20 ans plus tôt, « La Belle Heloise », et dont j’avais gardé un souvenir exceptionnel. Je retrouvais donc Pierre, pour le déjeuner au restaurant, profitant de ce moment pour faire plus amples connaissances.
La discussion était agréable, et révélait un homme affable et charmeur. Il m’avouait être attiré par les femmes plus mures que lui, ce que j’avais suspecté à notre première rencontre, tout en profitant de cet aveu pour me complimenter.
- Vous ne faites pas votre âge Patricia, vous êtes une femme magnifique…
- Le vilain charmeur, ne comptez pas m’amadouer, je reste une négociatrice exigeante.
- J’aime les femmes exigeantes, en plus je suis sûr que vous devez avoir beaucoup de sollicitations…
Je sentais son regard lourd et gourmand posé sur moi. Habillée d’un ensemble, un tailleur noir, avec une jupe moulante qui m’arrivait au-dessus du genou et d’une veste coupe droite fermée par deux boutons, ma poitrine était mise en valeur par un pull blanc élégant, manche longue avec col en V portefeuille offrant un décolleté plongeant dans une matière élastique et moulante. J’avais noué un foulard en soie blanc à pois noir autour de mon cou, et planté sur des escarpins de 12 cm, j’étais, sans aucun doute, très désirable. On se rendit sur site, juste après le déjeuner pour le rendez-vous virtuel avec mon mari. Arrivé sur les lieux, j’appelais mon mari par facetime et après avoir fait les présentations rapidement avec mon jeune agent, je démarrais la visite virtuelle. Airpods dans l’oreille, je déambulais dans les bureaux, expliquant à mon mari la future disposition, alors qu’il me parlait dans mon oreille.
- Est-ce qu’il est en train de te regarder ?
- Oui, je crois ?
- Mets ta main sur tes fesses, et prends une position aguichante !!!
J’obéissais aux instructions de mon mari qui ne s’intéressait pas à la visite, mais plus à la réaction de Pierre qui me fixait de loin.
- Tourne-toi vers lui et pendant que tu me parles, je veux que tu le regardes et que tu te caresses...
Une fois de plus, j’obtempérais, me tournant vers mon jeune agent, le fixant dans les yeux, tout en caressant mes lèvres avec ma langue alors que ma main libre se posait doucement sur mes gros seins.
Ébahi, il me fixait avec ses yeux écarquillés, alors que Richard continuait à me parler.
- Tu vas lui faire croire que j’ai pris un appel, je veux que tu poses ton téléphone avec un bon axe de vue, et que tu t’occupes de lui... Garde tes Airpods...
- Oui, OK mon chéri, prends ton appel, je patiente...
Je posais mon téléphone, sur une table, de manière verticale afin que la caméra reste bien dans l’axe, permettant à Richard de ne pas perdre une goutte de ce qui allait suivre. Je me dirigeais vers Pierre, langoureusement avec une démarche chaloupée et mes mains posées sur mes hanches. Une fois à son niveau, je me frottais contre lui, tout en chuchotant à son oreille...
- Vous croyez que je n’ai pas remarqué la façon dont vous me matez depuis le début de la semaine, je suis sûr que vous bandez comme un fou...
- Heuuuu, mais non, enfin, je veux dire...
- Quoi je ne vous plais pas ?
- Hooo, mais si...
- Alors laissez-vous on a que quelques minutes avant que mon mari revienne...
Debout à ses côtés, je faisais glisser ma main entre ses cuisses, baissant sa braguette pour libérer son sexe bien dur que je prenais à pleine main. Il se laissait faire docilement, alors que mon mari continuait à me donner des instructions dans mon oreillette.
- Oui, branle le bien ma belle, doucement, dis-lui que tu trouves sa grosse bite superbe... Parle-lui et dis-lui des trucs bien cochon...
- Tu aimes bien que je te masturbe ta grosse bite... Je suis sûr que tu rêvais de te faire branler par une belle bourgeoise mature... Ça te plaît...
- Ohhhhh, Ouiiiiii, continuez, oui comme, branlez moi bien... Vous m’excitez trop...
- Je suis sur que tu as envie de me caresser mes gros seins de salope...
- Ohhhhh, oui, je vais te bouffer tes grosses miches...
Il écarta l’encolure de mon pull, révélant mon soutien-gorge en dentelle blanche dont il baissa les balconnets afin d’attr ma volumineuse poitrine. Il me malaxait mes gros seins, alors que j’activais ma caresse, face à la caméra. Je le masturbais de plus en plus vite, alors qu’il grognait tout en me dévorant les seins, toujours debout dans cette immense pièce.
- Oui ma salope, branle le bien, dis lui que tu es une grosse pute...
- Tu aimes te faire branler par une grosse pute, ça te plaît...
- Oui, continue t’es une vraie cochonne toi... J’ai envie de te baiser la salope...
- Tu es un petit vicieux qui aime se taper des femmes mures aux gros seins...
- Ouiiiiiiii, Ohhhhhhhhhhh
Il plongea sa main sous ma jupe qu’il releva, dévoilant mes portes-jarretelles blancs, et alors que je continuais à le masturber, il fit de même glissant sa main sous ma culotte blanche, pour plonger ses doigts entre mes cuisses. Il me doigta rapidement, alors que j’accélérais ma pression sur son sexe, sentant qu’il allait se libérer...
- Fais le jouir sur ta jupe, je veux qu’il te couvre de sperme salope...
Je dirigeais son sexe vers le haut de mes cuisses alors que les premiers jets de sperme se répandaient sur le tissu noir de ma jupe retroussé sur mes hanches. Il me recouvrit de son liquide chaud, tout en grognant de plaisir, alors que Richard profita de ce moment pour reprendre la visite.
- Oui mon chéri, tu as fini ? Ohhh attends, j’ai posé mon téléphone sur la table, je continue la visite...
Surpris au plus mauvais moment, Pierre se rhabilla rapidement, alors que je me dirigeais vers la table afin de continuer la visite virtuelle. Après une dizaine de minutes, je négociais un délai de 24 H avec mon agent immobilier afin de lui faire part de notre décision. Le soir même, Richard, qui avait bien aimé les locaux, me fit part de sa décision de prendre un bail de 3 ans, que je devais négocier avant mon départ. Je rappelais Pierre, lui fixant rendez-vous pour le lendemain avec son responsable afin de finaliser notre engagement.

Le taxi me déposa en début d’après-midi, et je rentrais dans l’immeuble ou Pierre devait m’attendre. La situation équivoque de la veille, ne devait pas occulter l’objectif du jour, j’avais donc la ferme intention d’ignorer et de repousser les avances qu’il allait sans aucun doute me faire. J’avais mis une jupe mi-longue élégante noire en satin de type crayon à taille haute, avec un chemisier à boutons devant, en soie noire à manches longues bouffantes et transparente et une ceinture large en cuir PU. La porte était ouverte, mais il n’y avait aucun bruit à l’intérieur. J’arpentais les différentes pièces de ce grand espace à la recherche d’une présence, pénétrant dans ce que j’imaginais être notre futur bureau de direction générale, quand je sentis une présence derrière moi, cachée derrière la porte, m’attrapant par les hanches pour m’attirer vers lui. Sa main se posa sur ma bouche afin de m’empêcher de crier, alors que l’autre s’était saisie de mes avant-bras les tenant fermement coincés dans mon dos.
- Chut, silence ma beauté, tu vas te laisser faire maintenant….
- Hummmmmm, Hummmmmmm
- Sois docile ma belle, tu vas prendre ton pied, je vais bien m’occuper de toi !!!!!
Rapidement, il sortit une paire de menottes, qu’il utilisa pour m’attacher les mains derrière le dos, alors que ma bouche était entravée par une boule de latex en guise de bâillon… J’étais entièrement à sa merci, seule avec lui dans cet immense espace de bureau, attachée et soumise à tous ses désirs et fantasmes. Je savais qu’il allait me faire payer le petit jeu de la veille, et qu’il allait sans aucun doute m’utiliser de toutes les façons possibles, sans se préoccuper de mes protestations. Il se frottait à moi, collé contre mon dos, continuant à me serrer de ses bras qui s’étaient posés sur ma poitrine qu’il malaxait avec désir et gourmandise.
- Tu t’es bien amusée hier à me branler la queue hein ? Je sais que tu avais tout manigancé et que ton mari nous a regardé pendant que tu jouais avec ma bite !!!!
- Hummmmm, Hummmm Hummmmmm
- Va falloir payer le prix la bourgeoise. Tu crois quand même pas que tu vas me laisser sur ma faim…
- Hummmmm, Hummmmm
- Oui, c’est cela gigote bien ma salope, tu vas déguster… Tous tes petits trous vont être à moi maintenant…
J’essayais de me débattre, malgré les entraves qui encerclaient mon corps, debout dans cette pièce, coincée entre les mains de ce jeune agent immobilier qui allait sans aucun doute profiter de notre intimité et de cet après-midi pour me violer en toute liberté… Il s'écarta de moi, me laissant seule debout et attachée au milieu de cette pièce et me tournant autour tel un prédateur près à s'abattre sur sa proie. Je le regardais soumise cherchant une opportunité pour courir vers la porte et m'échapper. Je sentais ses mains se posaient sur ma croupe, palpant mes fesses avec délectation comme un chasseur fier de sa prise, de sa captive et soupesant chaque partie de sa victime afin d'en apprécier toute la qualité. Je choisis ce moment afin de tenter une sortie vers le grand hall, et à ma grande surprise, il me laissa partir en courant. Les mains bien attachées dans le dos, je m'empressais d'atteindre la porte d'entrée que je ne parvenais pas à ouvrir.
- Et bien ma salope, tu penses aller ou comme ça ?
- Hummmmm, Hummmm Hummmmmm
- Je vois que Madame fait de la résistance alors qu'au fond d'elle, elle n'attend que ça pour se faire baiser !
- Hummmmm, Hummmm Hummmmmm
- Une petite punition s’impose la belle bourgeoise, pour t’apprendre les bonnes manières, tu me sembles un peu trop rebelle.
- Hummmmm, Hummmm Hummmmmm
Il m’entraîna vers une table dans le milieu de la salle ou se trouvait un sac, me tenant fermement par le bras, et sorti un martinet en cuir noir avec de longs brins et une poignée solide. Debout à mes côtés, il m’appliqua un premier coup sur les cuisses, le long de ma jupe crayon. Je sursautais, honteuse et excitée à la fois du traitement qu’il allait me faire subir. Il exécutait ses mouvements avec la cravache en frappant à l’arrière de ma jambe avec un maniement parfaitement réalisé, qui au moment de la frappe, faisait résonner un bruit sec. Les coups infligés n’étaient pas réguliers, attendant mes réactions de sorte que celles-ci soient en concordance avec ses coups. Il me donnait également des consignes, sensibilisait par un coup de cravache derrière la jambe ou sur les fesses quand je n’obéissais pas.
- Bouge-moi ton gros cul...
- Hummmmm, Hummmm Hummmmmm
- Clac !!!!!!
- Voilà, c’est bien comme ça, une vraie putain !!!!!
- Dis-moi que tu veux que je te prenne par tous les trous !!!!!
- Hummmmm, Hummmm Hummmmmm
- Clac !!!!!
- Je n'ai pas compris !!!!!
Le mauvais traitement qu’il m’infligeait ranimait mes sens endormis, créant une émulation sexuelle au grès des coups de martinets. Ces sévices amplifiaient ma sécrétion naturelle poussant l’ensemble de mon corps à devenir une source de plaisir. Je m’abandonnais, me lâchais, prise en charge par ce « père fouettard » qui s’occupait de moi, ne cherchant qu’à soumettre une pouliche rebelle. Il continuait à me donner des ordres auxquels j’obtempérais docilement redoutant une pluie de coups de martinet sur ma croupe.
- À quatre pattes sale pouliche !!!!!
- Hummmmm, Hummmmm
Avec un mélange de frayeur et de délectation, je me pliais à ses instructions. Il m’attrapa par les cheveux de sa main gauche, afin de pouvoir m’appliquer de petites gifles de sa main droite. Les coups de martinets claquaient sur mes fesses, et je commençais à ressentir une brûlure lancinante malgré la protection de ma jupe de satin.
- Tu dois avoir ton gros cul bien rouge maintenant. En attendant que je m’occupe de ta croupe, on va voir ce que tu sais faire avec ta langue. Tu vas me faire une bonne turlutte.
- Hummmmmm, Hummmmmm
Toujours accroupie face à lui, il me faisait face, libérant son sexe juste au niveau de mon visage et baissant ma boule de latex, afin de pouvoir pousser son membre entre mes lèvres. Sans aucun préliminaire, il poussa son sexe décalotté dans ma bouche, me serrant fortement par les cheveux pour éviter ou mieux contrôler toute résistance de ma part. J’avais son sexe enfoncé jusqu’au fond de ma gorge et pouvais sentir l’effet des va-et-vient entre mes lèvres pulpeuses de bourgeoise mature.
- Oui, c’est bien, tu es une vraie bouffarde, broute moi bien la tige.
- Hummmmmm, Hummmmmm
Je ne pouvais m’aider de mes mains, toujours menottées dans mon dos, donc passive, je le laissais jouer avec ma bouche, sortant son sexe, me tapotant avec sur le visage, le faisant coulisser entre mes lèvres, pour le renfoncer profondément au fond de ma gorge, et me baiser la bouche tel un animal en rut.
- Ohhhhh, qu’elle gourmande, une vraie butineuse, tu me donnes une trique d’enfer, dis moi que tu aimes me sucer...
- Hummmmm, Hummmmmm
Les bruits de succion et mes gémissements agissaient sur lui comme une forme d’aphrodisiaque, alors que dans ma position, il profitait du spectacle de ma croupe cambrée. Il me releva enfin, me replaça ma boule de latex entre les lèvres, et m’entraîna sur une chaise, sur laquelle il s’installa. Il remonta ma jupe dévoilant un galbe taille/porte-jartelles noir d’un chic infini, et après avoir écarté mon tanga, m’invita à m’asseoir sur lui, plantant son membre dur entre mes cuisses humides. Il me pénétra avec autorité, m’obligeant à chevaucher son sexe, dans une position ou la femme est censée dominer son amant, mais qui du fait de mes entraves et ma soumission accentuait encore plus mon attitude de proie captive. Telle Andromaque faisant l’amour à Hector, je chevauchais mon amant, qui profitait de la situation pour violer et r de mon corps offert. Il maîtrisait le rythme et la profondeur de sa pénétration me tenant fermement par les fesses afin de me faire coulisser sur son sexe. Surexcité, par la vue de mon décolleté pigeonnant, il écarta mon chemisier et mon soutien-gorge avec rage, arrachant quelques boutons et libérant ma poitrine pulpeuse qui ballottait maintenant sous les coups de sa bite bien raide.
- C’est bien comme ça ma salope, danse sur ma queue, profite en bien avec que je m’occupe de ton trou du cul...
- Hummmmm, Hummmmmmm
Il continua de stimuler mon vagin avec une violence inouïe en un temps record déclencha des spasmes d’orgasmes en vagues irrésistibles. Il accélérait le va-et-vient, avec une frénésie animale dont il était sûrement le premier surpris tout en plongea enfin son doigt dans mon anus ouvert alors qu’un premier orgasme intense me traversait le corps. Il joua de son doigt dans mon petit trou, violant l’intimité de mon anus alors que ma chatte était prisonnière d’un brasier permanent. Il se redressa enfin après de longues minutes de ce châtiment, qui avait déclenché plusieurs orgasmes, me poussant la tête sur le sol à quatre pattes en position de levrette, la croupe bien haute. Il m’arracha ma culotte d’un geste brusque, et se positionna derrière moi pour ce que j’espérais devrait être le dernier round. Il me sodomisa, introduisant son pénis dans mon anus bien lubrifié, enfonçant toute la longueur de son sexe. Son gland contre mon muscle que j’essayais de relâcher avec des contractions réflexes me donna une sensation intense et très agréable sans me faire mal.
- Hooooo, tu aimes ça grosse pute te faire foutre, mettre, empapaouter, empaler, endosser, casser le fion, taper dans la rondelle, enculer !!!!!!
- Hummmmm, Hummmmmm
Il me sodomisa avec force et vigueur pendant de longues minutes, s’aidant de son martinet pour motiver ma croupe de jument rebelle alors que mes gémissements de plaisir envahissaient l’espace. Il ne pouvait avoir aucun doute, sur le plaisir que me donnait cette soumission. Prise de force par cet homme, qui abusait de moi, me rendait folle de plaisir, alors que je sentais mon violeur au bord de la jouissance. Il se vida enfin sur mon visage et sur mes gros seins, déversant en quantité impressionnante son liquide chaud sur mes vêtements déchirés et mon corps souillé. Une fois soulagé, il me libéra enfin, et malgré le plaisir qu’il m’avait donné je l’abandonnais seul dans cet immeuble bien décidé à ne pas donner suite à notre aventure.

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