Cabine D'Essayage Iii

Elle plongea ses yeux dans les miens à travers le miroir. Elle fit un petit oui de la tête tout en se mordant la lèvre inférieure.
Je léchai le lobe de son oreille. D'une main je caressai son corps et vint attr un sein. Je m'amusai à faire rouler son téton entre mes doigts. Elle souffla fortement. Je murmurai à son oreille :
-Dis-le.
Je la sentis réticente, honteuse à l'idée d'exprimer ce qu'elle désirait, ce que son corps attendait, ce dont son esprit était affamé.
Je descendis mon autre main sur son bas ventre que je caressai doucement. Je la collai à moi un peu plus pour qu'elle sente ma bite bien dure dans son dos. Son sein entre ma main, je le palpai et le malmenai.
-Tu en rêves alors dis-le.
Je caressai ses cuisses écartées, je repassai sur son bas ventre, effleurant son intimité sans jamais la toucher. Je suçai le lobe de son oreille, léchai son cou. Je fis de très légers mouvements de rein, assez pour qu'elle les sentit mais qu'elle se demanda si c'était moi ou son imagination qui s'emportait.
Elle nous regardait dans le miroir, hypnotisée par le spectacle de mes mains parcourant son corps aux formes envoûtantes. Des seins lourds et encore fermes, de longues jambes nues, une intimité humide et exposée, un visage au maquillage défait où se lisait la honte et l'envie de continuer nos ébats.
Elle se leva en se dégageant de mon étreinte. Je ne la retins pas. J'avais une vue imprenable sur la galbe magnifique de ses fesses. Elle se retourna et son regard fut directement attiré par mon membre en érection. Elle se mordillai la lèvre inférieure, encore en proie au doute.
Puis sa réticence s'effaça. Elle se mit d'abord à genou puis s'allongea sur le dos. Elle écarta les jambes qu'elle replia légèrement. Elle me fixa du regard et murmura :
-Baisez-moi.
Mes lèvres se fendirent en un léger sourire.
Je me levai à mon tour et vint m'agenouiller devant cette quinquagénaire au désir si brûlant.

Je pris mon membre en main et caressai du bout les contours de son sexe brillant de mouille.
-Tu peux demander mieux que ça, je suis sûr.
Elle me dévisagea, surprise, et le rouge lui monta encore plus aux joues. Elle regarda ma bite effleurer son antre de Venus.
-Baisez-moi, s'il vous plait. Baisez-moi fort, j'en ai envie !
Je tapotai de mon gland l'entrée de sa grotte d'amour. Je caressai ses lèvres et m'enfonçai très légèrement. Je plongeai mon regard dans le sien, attendant. Sa respiration s'était accélérée. Je voyais sa volumineuse poitrine monter et descendre de manière envoûtante.
-Baisez-moi ! Baisez-moi comme une salope ! Je veux être...
La fin de sa phrase se perdit dans sa gorge au moment où je la pénétrai. Lentement mais sans m'arrêter, je m'enfonçai complètement en elle. Sa bouche émit un « oh » des plus érotiques.
Je restai un moment figé ainsi, savourant la chaleur de son antre. Je sortis ensuite en ne laissant que mon gland. J'attrapai ses jambes pour la pénétrai à nouveau, lui arrachant un soupir. Je répétai ce mouvement quelques fois, savourant les traits de son visage se déformant de plaisir quand elle me sentait bien au fond d'elle.
J'accélérai un peu. Je sentais les parois de sa chatte serraient ma queue à chaque aller et retour. Ses soupirs se transformèrent en petits gémissements timides qu'elle peinait à retenir. Accélérant un peu plus, j'avais dans l'idée de la désinhibé. Elle qui semblait honteuse de s'exprimer, je voulais l'entendre.
Le traitement de ma queue écartant ses chairs à répétition la fit céder peu à peu. Alors que mes cuisses claquaient contre les siennes en rythme, elle attrapa ses seins avec force. Malmenant sa poitrine et ses tétons de manière erratique, elle commença à couiner. Les yeux fermés, elle bougeait sa tête de gauche à droite, en proie au plaisir que lui procurait mon sexe écartant le sien inlassablement.
Dans un grand coup de rein, j'enfonçai mon membre bien au fond de sa chatte, lui arrachant un petit cri.
Je me penchai sur elle et attrapai ses poignets. Elle rouvrit les yeux. Je lui tins les bras au dessus de sa tête. Mon visage proche du sien, je pouvais sentir son souffle chaud. Je l'embrassai, plongeant ma langue dans sa bouche, forçant la sienne à accepter cette intrusion. Je léchai ensuite ses lèvres. Je descendis ma langue sur son menton, son cou. Je remontai vers son oreille. Je sortis presque de sa chatte puis d'un grand coup de bassin, je m'enfonçai violemment en elle. Elle poussa un cri de surprise qui se transforma en plainte langoureuse.
-Tu veux que je te baise ?
Elle couina un « oui » à peine audible. Je lui mis un autre coup de boutoir qui lui arracha encore un cri.
-Tu veux que je te baise comme une salope ?
-Oui...
Je lui administrai un autre coup de rein.
-Tu veux te faire démonter comme la petite chienne en manque de bite que tu es ?
-Oui !
Un autre coup.
-Tu veux être prise sans ménagement par la queue d'un inconnu à qui tu appartiens ?
-Oui ! Faites de moi ce que vous voulez ! Baisez-moi ! Baisez-moi !
Je me remis sur mes genoux et sortit ma bite de son antre chaude. Je poussai ses jambes sur le côté et je la positionnai en levrette face au miroir. Sa croupe ainsi offerte était parfaite. Présentant mon membre devant l'entrée de sa chatte, je l'attrapai par les hanches et m'enfonçai d'un coup. Elle cria son plaisir de se faire empaler ainsi par ma verge. Sans plus me soucier d'elle, j'entamai de grands et rapides coups de reins. Je la pistonnai violemment. Le claquement de mes cuisses contre ses fesses résonnai dans la cabine.
Je continuai de lui démontai la chatte avec force tandis que ses cris se faisaient de plus en plus bruyant. Au comble de l'excitation, je l'attrapai par les cheveux et tirai sa tête en arrière.
-Regarde-toi, ordonnai-je.
À travers le miroir, elle put se voir. Offerte, la croupe tendue vers cette bite qui lui prodiguait tant de plaisir. Ses seins se balançaient d'avant en arrière au rythme de mes coups de queue dans sa chatte écartée.
La tête en arrière, agrippée par ma main, totalement soumise à ma perversion.
-Oh oui ! Baisez-moi fort ! Défoncez-moi ! Oui !
Je redoublai d'intensité tandis qu'elle hurlait son plaisir sans plus aucune retenue. À mesure que je la pistonnai, je sentais son sexe se contractai de plus en plus. Dans un ultime hurlement, je sentis son corps tremblait et les parois de sa chatte emprisonner ma bite. Je vis ses yeux se révulser, elle perdit le contrôle de son corps, complètement fauchée par l'orgasme qui la traversait. Elle s'écroula, le visage posé sur ses mains au sol, haletante.
Devant le spectacle de cette quinquagénaire ainsi exposée, la croupe encore en l'air, le visage rougi par la jouissance, le corps encore tremblant, je ne pus tenir plus longtemps. Sortant de son antre humide, je me répandis en longs et puissants jets sur son cul et son dos, marquant cette mature de mon sperme chaud.
Je m'assis sur le banc pour reprendre mon souffle. Elle n'avait pas l'air de vouloir redescendre de son petit nuage. Je m'habillai rapidement et la laisser là, le temps qu'elle retrouve ses esprits.
Alors que je sortais de la cabine, je vis une silhouette à la longue chevelure rousse quitter le magasin d'un pas rapide.
Évidemment. Nous n'avions pas été très discrets et je n'avais pas fermé le magasin avant de rejoindre mon amante. Je me maudis d'avoir agis sur un coup de tête, mais d'un autre côté, je ne regrettai pas vraiment. Si cela devait me faire perdre quelques clientes, tant pis.
Je fermai les stores du magasin et éteignit les lumières. Arrivé au comptoir, je vis une petite carte posée en évidence. Je lus :
« Joli spectacle » suivi d'un numéro de téléphone avec quelques cœurs de dessinés.
Intéressant.

À suivre...

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