Collection Vengeance. Vengeance Sans Limite (3/3)

Françoise si tu m’aimes c’est toi qui gagneras !
C’est par cette phrase que j’incite Françoise, ma femme et Adrienne sa maîtresse à combattre sous les yeux, hélas, fermés de Fred leur amant.
J’ai déjà piégé une à une les deux femmes afin de les enfermer dans cette cave, lieu de misère pendant la Seconde Guerre mondiale pour les partisans tombant dans les mains de la Gestapo.

Je sais que celle qui saura engager le combat aura une chance d’être celle à qui j’ôterais le rivet pour le fixer au cou de ce fumier de bellâtre, non content de nous snober à l’intérieur des douches avec son démonte-pneu, c’est permis de me voler ma femme.
L’avantage, elle le prend, surtout quand elle met les doigts dans la chatte de sa compagne de chaînes et qu’elle la fait voler hors du lit.
Les deux femmes se roulent au sol se couvrant de poussière, j’ai fait des travaux mais peu de ménage.
C’est loin d’être mon truc.
J’avais pris une femme pour ça.
Je sais, ces machos de dire cela, mais ma maman m’a élevé dans le culte du mâle dominant surtout ayant eu un fils unique.
Hélas, le destin a voulu qu’un camion abrège l’amour qu’elle avait pour son Dieu vivant que je représentais pour elle.
Et Adrienne prend le dessus, non, Françoise par une clef au bras renverse la situation.
Clef de bras, clef de jambes me montrant au passage que depuis huit jours étant enfermées, leur pilosité reprendre le dessus sur leurs chattes rasées chez l’esthéticienne, coutant un bras.
C’est pourtant beau des chattes avec leurs toisons brunes pour toutes les deux.
J’ai l’impression depuis mon fauteuil me caressant la queue, d’être un des commentateurs du catch américain dont je raffole.
Eh olé, que je te mets un coup de bourre-pif faisant couler le sang du nez de ma femme.
Eh olé, quand Françoise en retour met à celle qu’il y a peu et même pendant cette semaine lui bouffait la chatte de plaisir.


Merde, je suis passionné par leur combat que j’oublie d’être un arbitre impartial.
Pour ma défense, il faut dire que je viens d’éjaculer une nouvelle fois les yeux fermés par le plaisir de voir ces chattes et ces seins s’affronter.
Françoise a mis une des chaînes autour du cou de celle qui semble être devenue son ennemie et l’étrangle.
Mourir si jeune alors que votre amant est à vos pieds, certes, incapables de voir votre mort, c’est profondément injuste et je fini par intervenir.
Une simple trace des maillons de la chaîne restera quelques jours quand je la libère mais seulement des assauts de ma femme.
Je la replace sur le lit où elle est en pleure sachant que ma jalousie venait de la perdre.
Elle sait que j’ai une seule parole et que c’est ma femme à qui je scie son rivet la libérant qui va recouvrer sa liberté.
J’en rive un autour du cou de Fred qui dort toujours du sommeil de celui qui aura une grande surprise à son réveil.

- Adrienne, on te laisse le soin de dire à ce fumier, pourquoi il est là attaché par le cou à cette chaîne.
- Je verrais les bandes vidéo qui s’enregistrent de vos ébats, car la quantité de nourriture la semaine prochaine sera fonction de mon amusement à te voir te faire sauter.
Je viens de visionner celle de cette semaine, j’ai vu que vous avez été très ardentes toutes les deux pour mon plus grand plaisir.

Là je me fais plaisir.
Quand j’ai fait les travaux dans la cave, j’avais amené un vieux Caméscope que j’ai fixé au mur.
C’était pour me faire plaisir, car j’ai rapidement vu qu’il était foutu.
J’aime jouer au chat et à la souris avec celui et celles qui viennent de tomber dans mon piège.

J’emmène Françoise à notre maison près d’Orléans.
Elle me témoigne ce qui semble être son amour en mettant sa tête sur mon épaule l’autre sur ma braguette.
Je fais celui qui est intéressé, mais en moi, je suis froid comme la pierre.

Une fois dans notre chambre, elle constate un changement.
J’ai fait livrer deux lits séparés.

- Françoise, il est hors de question que je te touche dans notre maison.
Demain, tu récupères ton fils et tu t’en occupe comme la mère que tu aurais dû être.
Sinon, je refuse de t’entendre.

Elle respecte mes ordres et c’est le dimanche que nous conduisons Simon pour la journée chez mes beaux-parents.
Nous arrivons à Blois.

- Fumier, salopard, libère-moi.
C’est ta pute qui m’a attiré à l’hôtel, de toute façon elle est nul à se faire baiser.
- Adrienne, je t’avais dit de le mettre au courant de notre arrangement sur la quantité de nourriture que nous vous laisserons pour la semaine.
- Sylvain, je l’ai fait, mais il s’en est fichu.
Ça fait deux jours que nos vivres sont épuisés, ils mangeaient comme un cochon.
- Salope, tu y as bien participé, tu me badigeonnais la queue avec des crèmes-desserts au chocolat.
- Fred, tu vois nous avons apporté deux sacs de nourriture.
Fais-nous voir, comment tu baise ta pute sinon nous rapportons un sac jusqu’à dimanche prochain.
Cinquante pour cent de nourriture en moins, c’est ma méthode pour te voir ramper devant moi.

Je suis dans mon fauteuil quand je prononce ces mots.
Pendant qu’Adrienne sachant que mes dires sont vrais prend la queue de Fred et se met à le pomper.
Il me regarde essayant de prendre du poids sur moi par son regard.
Je sors ma queue et prenant Françoise par la main je la fais plonger dessus.
Elle devait penser que le sexe lui serait interdit après les lits jumeaux et mes propos froids aussi rapidement elle s’agenouille et sans aucune réticence me fait une gorge profonde.
C’est lui qui cède malgré la différence de nos queues et surtout quand ma femme vient s’empaler sur ma bite jusqu’à l’orgasme.
Nous leur laissons les deux sacs persuadés que Fred a compris le message que je voulais lui faire passer.


Ça fait presque deux mois en cette veille de Noël que nous venons approvisionner nos suppliciés.
Ça fait deux mois que je baise Françoise dans mon fauteuil seul moment où elle a le droit à ma bite.
Ça fait deux mois que je traite Fred comme une merde ce qu’il est d’ailleurs.
Ça fait deux mois que je lui donne des ordres qu’il exécute sans rechigner.
Il faut dire que ses muscles bien saillants commencent à se dégonfler.

Quand nous quittons la maison, nous reprenons la nationale.
Il neige légèrement.
J’arrive à l’endroit qui a vu la mort de mes parents.
Je repense aux noëls d’antans qui ont bercé ma jeunesse.
Quand il déboule de ma droite, à ce croisement protégé pour nous, je freine la voiture se déportant, projetant le côté où se trouve la place du mort le premier sous ce camion.
Le choc est violent.
J’ai le temps de voir Françoise, son corps sans tête quand je rentre dans un grand tunnel blanc.
J’ai le temps de penser aux deux salopards, ma haine étant toujours entière de ce qu’ils m’ont fait, qui vont se retrouver rapidement sans ressource de nourriture.
Je voulais une vengeance sans limite.
Je l’atteins sans penser qu’ils disparaîtraient dans de terribles souffrances.
Qui un jour découvrira leur corps mort depuis des lustres.
Le tunnel blanc devient de plus en plus lumineux.
J’ai envie de faire demi-tour pour retrouver mon fils, mais un dernier flash lumineux et !!!!!

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