L'Interimaire - Chapitre 1

Martine, jolie blonde d’1m67 venait de trouver un job dans une grande agence bancaire parisienne comme intérimaire afin de remplacer une employée partie en congé de maternité. Agée de 26 ans, Martine était une jeune femme réservée aux rondeurs très appétissantes. Elle était mariée à Jérôme, un trentenaire à la santé fragile au chômage depuis plusieurs mois. La jeune épouse avait donc été heureuse de décrocher cette mission. A son arrivée dans l’agence, elle fut reçue par Valérie B. une femme de 43 ans très maquillée, vêtue d’un ensemble de cuir marron et juchée sur des escarpins à talons aiguilles. Valérie était l’adjointe de Samuel G. , le directeur de l’agence, un colosse d’1m85 au système pileux très fourni. Valérie fit entrer la jeune femme dans son bureau avant de s’asseoir dans son fauteuil. Lorsqu’elle croisa les jambes, Martine put entrevoir le haut des bas coutures de la directrice adjointe et debout face à cette dernière, elle avait une vue plongeante sur son décolleté aussi profond que bien garni. « Alors, ma petite, j’espère que vous êtes consciente de votre chance en ayant obtenu cette place » commença Valérie d’une voix ferme. « Oui madame » répondit Martine poliment « Bien et vous aimeriez sans doute que cette mission se prolonge le plus longtemps possible n’est-ce pas ? » « Bien sûr » répondit la jolie blonde avec espoir. « Très bien ! alors il faudra que vous soigniez votre présentation ! Monsieur G. est très pointilleux à ce sujet . Il aime que ses collaboratrices soient avenantes, voyez-vous. » « Oui… bien sûr... répondit Martine d’une voix hésitante. « Parfait ! alors demain, mon chou, il faudra remiser cet accoutrement au placard et porter une tenue plus engageante» « bien madame » répondit Martine les yeux baissés. « Je vais vous présenter Brigitte, elle va vous expliquer ce qu’on attend de vous ! » reprit la sous-directrice avant de décrocher son téléphone puis de prononcer ces quelques mots : « Brigitte, j’ai besoin de toi immédiatement, viens vite dans mon bureau ».

Le ton péremptoire de Valérie impressionna la jeune intérimaire tandis que l’on frappait à la porte. Lorsque l’occupante habituelle du bureau l’autorisa à entrer, une brune sexy vêtue d’une robe verte et légère à brides découvrant les genoux, de bas à larges résilles marrons et de sandales à hauts talons pénétra dans la pièce. « Bonjour madame Valérie » dit-elle d’un air enjoué. « Je te présente Martine » répondit la chef en désignant l’intérimaire « tu as la journée pour la briefer et la mettre aux normes avant que M. Samuel la rencontre demain matin » « Bien madame » répondit l'employée d’une voix faible et elle quitta aussitôt le bureau suivie de Martine. Lorsque les deux femmes furent seules, Brigitte essaya de mettre à l’aise sa nouvelle collègue. Se sentant en confiance, Martine finit par risquer quelques questions. « Comment est l’ambiance ici ? » commença-t-elle . Ca dépend répondit Brigitte avec prudence. « Le directeur est sympa ? » continua la nouvelle. Après un moment d’hésitation, Brigitte finit par répondre : « Si tu fais ce qu’il te demande, ça ira … Dans le cas contraire tu ne feras pas de vieux os ici. » Un peu étonnée, Martine demanda en rosissant « Ah bon, Euh.. Est-ce-qu’il te euh t’ennuie ? » « Au début, il a essayé mais en fait, il ne peut pas grand chose contre moi car c‘est le siège qui nous attribue nos postes. Mais… toi en tant qu’intérimaire, tu es largement à sa merci. » Martine frissonna d’inquiétude mais l'autre ne lui laissa guère le temps de gamberger. « Bon d’abord, je vais t’expliquer le boulot et ensuite je t’invite à déjeuner dans un petit resto chinois du quartier très sympa. Après je t’aiderai à te choisir une tenue plus seyante » « Mais je n’en ai pas envie » répondit Martine avec émotion . « Comme tu voudras… mais si tu n’es pas sexy un minimum, le chef va te faire gicler rapidement » La jolie blonde faillit s’ « C’est absolument dégueulasse. Il n’a pas le droit » « je sais, mais ça ne le gène pas beaucoup ». Malgré l’ambiance feutrée et accueillante du « Palais de Nankin », Martine eut du mal à avaler les délicieux pâtés impériaux ainsi que le riz cantonais.
A la fin du repas, Brigitte la relança « Alors tu as réfléchi ? Je t’emmène te fringuer ou tu laisses tomber le boulot » « Il n’y a pas d’autre solution ? » demanda Martine contrariée « Si tu préfères tenter le coup à ta manière. Tu es majeure non ? » « Bon ok, je te suis » finit par répondre la jolie blonde dépitée. « n'aie crainte, je vais t'emmener dans des boutiques sympas et pas chers » Les deux collègues se dirigèrent alors vers la rue Chaussée d’Antin où Brigitte conduisit sa copine dans un magasin spécialisé dans le prêt à porter discount. Martine sélectionnait des articles plutôt sages, mais à chaque fois, Brigitte les lui faisait reposer au profit de tenues plus suggestives. « Je suis sûre que cette jupe portefeuille t’ira à ravir » lança la brune en tendant une jupe courte à Martine. Le vêtement n’avait pour toute fermeture qu’un bouton sur le devant permettant de maintenir superposés les deux pièces de tissu. « Mais, quand je m’assiérai, on va voir le haut de mon collant protesta la blonde» « Ca m’étonnerait » dit Brigitte d’une voix affirmée. « Comment ça ? » lâcha Martine avec surprise. « On ne verra pas le haut de ton collant car au bureau tu devras porter des bas » « Tu plaisantes ! » répondit Martine stupéfaite. « En ai-je l’air ? » dit Brigitte avant d’ajouter : « Dès qu’il se rend compte qu’une intérimaire ne porte pas de bas, G. la fait gicler dans les deux jours. Et… crois-moi il a l’œil ! » Joignant le geste à la parole Brigitte saisit un porte-jarretelles mauve dans un bac et le tendit à Martine. « Tu vas être tout à fait craquante avec çà . » ajouta-t-elle. Brigitte choisit encore un ensemble string soutien-gorge vert ainsi que des bas assortis et elle donna le tout à Martine qui empilait les vêtements sur son bras. « Vas donc essayer tout ceci ! » conseilla-t-elle alors à l'interimaire. « Si ça te va, nous irons ensuite acheter une paire d’escarpins plus appropriés ». Brigitte accompagna sa nouvelle collègue dans les cabines et elle assista à tout l’essayage.
« Tu es vraiment bien foutue ! » lâcha-t-elle admirative en détaillant la jolie blonde. « Tu ne devrais porter que des tenues sexy. Tous les mecs seraient à tes bottes. » Malgré sa contrariété, Martine se trouvait effectivement très attirante et ce sentiment plutôt nouveau lui permit de se décontracter. Aussi était-elle beaucoup moins tendue lorsque sa nouvelle amie l’emmena essayer des chaussures à talons hauts. Martine opta de son plein gré pour de fines sandales marron à brides et talons aiguilles ce qui ravit Brigitte qui trouvait sa copine très bandante. « le directeur va grimper aux rideaux quand il te verra accoutrée de la sorte » s’exclama la jeune femme . Cette remarque rembrunit Martine qui retira les chaussures avant de se diriger vers la caisse pour les payer. Lorsque les deux collègues réintégrèrent l’agence, il était plus de 15h30. Le bureau du directeur d’agence était vide et Valérie B. était absente elle aussi. « Tiens ! G. et sa poule doivent être en train de forniquer à l’hôtel du coin » s’exclama Brigitte - On devrait être peinard jusqu’à 17 heures. –Ça arrive souvent demanda Martine avec étonnement –Tu parles, le chef est un vrai obsédé. Quand il ne tire pas sa pouffe, c’est qu’il drague ou qu’il s’occupe d’une autre pouliche. –Ben ! dis-donc lâcha Martine interloquée et anxieuse, il est inquiétant ce mec.
– Et encore, t’as pas tout vu, il y a quelques mois, une fille est venue faire un remplacement dans l’agence. Elle avait 25 ans, des rondeurs qui plaisent aux mecs et pas froid aux yeux. Alors tu parles que Samuel G. lui a vite fait mis le grappin dessus. Mais Josie et moi, c’est comme ça qu’elle s’appelait, on a sympathisé et elle m’a tout raconté. –Tu plaisantes ? ! –Pas du tout. Figure-toi que d’après Josie, le père G. , c’est un super baiseur avec un engin hors norme. Josie m’a avoué que c’est le meilleur coup qu’elle ait connu. « Ah bon ! tu veux dire que ta Josie , elle s’est fait sauter par le directeur » lâcha Martine médusée. « Tu parles ! on l’a pas vue beaucoup au bureau.
A mon avis, elle devait préférer avoir le chef dans son intimité plutôt que sur le dos. » Sa réflexion fit éclater de rire Brigitte. Comme elle avait un peu trop bu lors du déjeuner, elle continua sur sa lancée : « Tu sais, moi les gros engins j’adore ça. Mon mec est super monté. Il est camerounais. Avec lui je grimpe aux rideaux à chaque fois. Vu comme tu es gaulée, tu devrais essayer les africains. Je suis sûre que tu serais pas déçue » « Mais je suis mariée ! » s’offusqua Martine outrée. « Et alors, t’es pas obligée de tout lui raconter » continua Brigitte en s’esclaffant avant de jeter un coup d’œil à sa montre. « Il est déjà 5h et quart. Je crois que je vais te laisser. Cette conversation m’a un peu chauffée. J’ai besoin d’un bon coup de lance à incendie. » Et après un dernier clin d’œil à Martine, la jeune femme retourna dans son bureau avant de quitter l’agence laissant Martine seule et inquiète. La jeune femme attendit patiemment 18h00 avant de se lever pour passer son manteau. Comme elle sortait de l’agence, elle tomba nez à nez avec l’adjointe du directeur qui venait faire sa petite visite de fin d'apres midi. « Alors, cette journée s’est bien passée ? » demanda-t-elle à Martine. Celle-ci répondit doucement « Oui, je vous remercie ! -Je vois que vous avez fait des emplettes. C’est très bien. » Puis en détaillant la jeune femme sans pudeur elle ajouta : « Nous comptons sur vous demain pour être à la hauteur n’est-ce pas ? » En baissant les yeux, Martine acquiesça doucement. Satisfaite, la responsable disparut dans l’agence laissant Martine en plan. La jeune femme se dirigea alors vers le métro le plus proche. Alors qu’elle passait devant la terrasse d’un bistro, elle entendit une voix l’interpeller. C’était Brigitte qui buvait une bière en compagnie d’un grand black distingué. «Viens donc boire un coup avec nous, t’as pas l’air dans ton assiette » Martine refusa d’abord l’invitation, mais sous l’insistance de sa collègue finit par accepter. Elle s’assit à côté de Brigitte qui lui présenta son compagnon. « Voici Mathieu un vieux copain qui sait remonter le moral des jeunes femmes tristes. Il bosse juste à côté et je suis tombé sur lui par hasard. Ce coquin m’a invité à boire un coup et tu me trouves encore ici à 18h15. Que veux –tu boire ? –Un coca s’il… Brigitte interrompit son amie : « Allons prends donc une boisson un peu plus corsée, ça te remontera le moral. » Avant que Martine ait pu protester, son amie commanda un mojito au garçon qui venait de se pointer. « J’étais en train de raconter à Mathieu nos emplettes de l’après-midi et il était drôlement intéressé. Pas vrai ? » Le type répondit d’une voix chaude et enjouée qui plut tout de suite à Martine « Il est certain que j’aurais aimé être à la place de Brigitte pour vous conseiller dans vos achats » La remarque fit rosir la jeune femme. Brigitte fit mine de ne rien remarquer et ils passèrent tous les trois une demi-heure supplémentaire au cours de laquelle Brigitte descendit une seconde bière. Elle s’exclama alors en regardant sa montre. « Bon sang, je dois y aller, il faut que j’aille préparer un bon repas à mon seigneur et maître… avant d'ajouter avec un clin d’œil grivois: et que je me prépare à subir ses assauts » Mathieu éclata de rire tandis que Brigitte disparaissait. Martine allait partir à son tour mais l’homme l’en empêcha : « Reste encore un peu avec moi, il est à peine 18h45. – Mais moi aussi, je dois retrouver mon mari » protesta-t-elle. L’homme la fixa du regard : « Allons lâcha-t-il détends-toi. C’est ton premier jour. Profites-en un peu » Et avant que Martine ait pu protester, son compagnon avait passé commande d’un second cocktail. Puis il posa la main sur le bras de Martine ce qui fit sursauter la jeune femme. « Tu es drôlement nerveuse dis-moi » lâcha alors le noir tandis que le serveur déposait les boissons sur la table. Sous le regard insistant de Mathieu, la jeune femme baissa les yeux tout en bafouillant des excuses. « C’est vrai, je suis tendue… je me demande où je mets les pieds. – Moi j’ai l’impression que tu as besoin de passer une bonne soirée à t’éclater. » reprit l’homme. Martine sourit tristement avant de lâcher « Et vous seriez ravi de m’accompagner n’est-ce pas ? » Sans se démonter le black fixa intensément la jeune femme et répondit « En fait ce qui me ravirait c’est que tu passes les mignons vêtements que tu as acheté, et que nous allions ensemble dîner dans une boîte que je connais. –Mais ce n’est pas possible : Jérôme m’attend et il doit commencer à s’inquiéter de mon absence. » Tendant son mobile à la jeune femme, Mathieu répondit : « Et bien appelle-le et dis-lui que tu es conviée à une fête surprise. Martine tressaillit : c’est hors de question. Je...je ne veux pas… » Face à l’hésitation de la jeune femme, le noir poussa son avantage avec fermeté : « Allons dépêche-toi puis nous passerons chez moi pour nous changer. » En dévisageant Mathieu d’un air contrit, Martine saisit l’appareil et appela son mari. Elle prétendit qu’un pot prévu de longue date à l’agence était en cours et que les dirigeants avaient insisté pour qu’elle y participe. Et comme c’était le premier jour, elle n’avait pas osé refuser. Jérôme l’excusa et lui recommanda de ne pas rentrer trop tard. « Tu vois, c’était pas si compliqué que ça lâcha Mathieu lorsqu’elle eut coupé la communication » Martine baissa les yeux pas très fière mais déjà Mathieu s’était levé pour aller régler les consommations. Lentement la jeune femme quitta sa chaise et alla le rejoindre près de la sortie. « Allons ne fais pas cette tête » lacha-til et il passa son bras autour de l’épaule de la jolie blonde après avoir saisi ses paquets. Bien vite ils furent dans le spacieux deux pièces de Mathieu tout proche. Martine avait retrouvé le sourire grâce à la bonne humeur et aux blagues de son chevalier servant. Après avoir refermé la porte d’entrée, le jeune homme quitta sa veste et sa cravate avant de déboutonner sa chemise dévoilant son torse glabre et musclé. Puis il s’adressa à Martine : je suppose que tu aimerais prendre une douche avant de te changer . La jeune femme acquiesça et Mathieu la conduisit dans la chambre d’où on pouvait accéder à la salle de bains. Il lui tendit une serviette propre et la laissa seule avant de retourner dans le salon pour regarder les informations sur une chaîne du câble.
Martine ferma la porte de la salle de bains et fit couler la douche. L'eau brûlante la requinqua complètement. Après s'être essuyée consciencieusement, elle admira son corps dans le grand miroir. Elle se trouva belle et désirable et à sa grande surprise sentit sa jolie chatte devenir légèrement humide. À ce moment Mathieu ouvrit la porte de la salle de bains. Martine poussa un petit cri et tenta de cacher ses formes appétissantes ce qui fit rigoler l'occupant des lieux. Allons détends toi, avec un corps tel que le tien, il n'y a aucune raison de se cacher. J'ai posé tes sacs sur le lit. Je te laisse t'habiller pendant que je me lave. Mathieu se dévêtit alors entièrement dévoilant sa belle queue veineuse et ses grosses couilles aux poils frisés à la jeune femme. Celle-ci ne put s'empêcher de comparer ce sexe majestueux à celui beaucoup plus modeste de son mari Jérôme. Mathieu fit mine de ne pas voir le trouble de Martine avant de disparaître dans la salle de bains. Lorsqu'il en sortit dans le plus simple appareil, Martine avait revêtu les diverses pièces achetées avec Brigitte. Le noir laissa échapper un sifflement d'admiration impressionné par cette jeune femme si attirante dans sa tenue sexy. Martine se mit à rosir de contentement et sa rougeur s'accentua lorsqu'elle vit le membre de Mathieu se redresser légèrement. Je vais te laisser te préparer parvint elle à bafouiller avant de rejoindre le séjour. Une fois prêt, Mathieu prit Martine par la taille et l'emmena dans un restaurant indien situé à proximité de son domicile. Le rosé bien frais et les plats relevés eurent raison de la réserve de Martine. La jeune femme appréciait visiblement la compagnie de Mathieu et semblait avoir oublié l'inquiétant directeur d'agence ainsi que Jérôme son mari. Veux tu venir prendre un dernier verre chez moi lui demanda Mathieu alors qu'ils terminaient leur dessert. Le regard perçant de l'homme la perturbait et elle ne sut que répondre. De toute façon, il faut que tu récupéres tes affaires. Tu te décideras chez moi. 20 minutes plus tard, elle était étendue sur le dos entièrement nue dans le vaste lit de Mathieu gémissant sous la caresse prodiguée par la langue experte du mâle. Un premier orgasme la submergea. Son nouvel ami se redressa alors lui dévoilant sa magnifique queue dressée vers le ciel. Le noir vint se positionner entre ses cuisses puis saisit son manche pour introduire son gland turgescent dans la grotte brûlante. Puis il poussa lentement écartelant les chairs élastiques qui n'avaient jamais été aussi remplies. Martine reprit ses gémissements qui devenaient de plus en plus puissants alors que Mathieu accélérait le rythme de ses coups de rein. Je vieeennns ! hurla t'elle lorsque le membre superbe de son amant se mit à tressauter dans son con juste avant que des jets puissants de foutre tapissent les parois de sa grotte intime. Il fallut de longues minutes à Martine pour revenir sur terre. Elle venait de ressentir coup sur coup les deux orgasmes les plus intenses de sa jeune expérience. Veux tu passer la nuit ici lui demanda Mathieu. Je ne peux pas, tu t'en doutes, même si j'en meurs d'envie. Je dois aller retrouver mon mari maintenant. Le noir mollement étendu sur son lit regarda à regret sa maîtresse remettre ses vêtements habituels. Puis il lui proposa d'appeler un taxi pour la raccompagner chez elle. Je t'offre la course lui annonça t-il après qu'ils aient echangé un long baiser. 50 minutes plus tard, Martine retrouvait son appartement de banlieue. Elle se lava les dents puis passa sa chemise de nuit austère avant de rejoindre son mari à moitié endormi dans le lit conjugal.
Heureusement elle dormait généralement avec son slip ce qui s'avéra fort utile cette nuit là pour empêcher la sève abondante de Mathieu de souiller ses draps. Ça s'est bien passé ma chérie demanda Jérôme dans un semi sommeil? Pas trop mal répondit la belle brune en déposant un bisou sur le front de son mari. Il est plus de minuit, j'ai besoin de sommeil pour aller bosser demain.
Le lendemain matin, Martine eut tout le temps de se pomponner avant de passer les vêtements qu'elle avait etrenné la veille avec le beau Mathieu. En effet Jérôme son mari avait rendez vous tôt dans la matinée pour un examen médical et il n'eut pas le loisir de voir sa magnifique épouse quitter l'immeuble dans une tenue plutôt suggestive.

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