L'Interimaire - Chapitre 2

Martine était fascinée par ce qu’elle voyait sur l’écran de surveillance. En compagnie de Brigitte elle profitait de l'absence du vigile qui pour pouvoir partir plus tôt avait confié à l'employée la clef du Bureau de la sécurité situé au sous sol de l'agence. Elle en avait alors profité pour emmener sa nouvelle collègue dans le local et lui faire découvrir le système vidéo interne de l'agence. En navigant entre les multiples caméras et elles étaient tombées sur les images de celle qui était planquée dans le Bureau du directeur. Sur l'écran noir et blanc, on distinguait parfaitement La bourgeoise sophistiquée qui était arrivée 10 minutes plus tôt dans un superbe manteau de fourrure. Elle se tenait debout face à Samuel les mains sur les hanches juste après avoir dénoué la ceinture de sa robe portefeuille qu'elle venait de jeter nonchalamment sur la photocopieuse. Face à la caméra invisible, elle apparaissait seulement vêtue d’un large serre-taille blanc à jaretelles, de ses bas blancs brillants et de ses escarpins à talons aiguille en peau de serpent noir et ocre. Ses seins droits et siliconés pointaient fièrement leurs bouts turgescents vers Samuel G. à qui elle exhibait sans pudeur sa chatte à la toison blonde. "On dirait que madame Devernois a oublié sa culotte pour rendre visite à son banquier" lâcha Brigitte en rigolant. J’ai l’impression qu'elle a un gros besoin de liquide. Avec Samuel, elle ne va pas être déçue ajouta t-elle toute guillerette. Le directeur apparut alors devant la caméra alors qu’il rejoignait la bourgeoise. De sa main gauche, il saisit sa taille et l’attira vers lui pour l’embrasser à pleine bouche tout en introduisant deux doigts dans la toison soignée de sa cliente. Celle-ci écartait les cuisses pour faciliter l'accès de son vagin tout humide au banquier. Loin de rester inactive, elle dégraffa rapidement la ceinture de Samuel, baissa sa braguette et glissa sa main par la fente du caleçon pour extirper l’énorme bite du mâle.

Martine lâcha un cri de surprise en découvrant le concombre qui pendait entre les cuisses de son chef. Stupéfaite elle découvrait un calibre bien plus imposant que celui de Mathieu qu'elle avait pourtant trouvé plutôt bien équipé lorsqu'elle avait couché avec le beau noir la veille au soir. La réaction de Martine fit sourire Brigitte, qui ne put s’empêcher de commenter la scène. Admirative elle se tourna vers sa copine : « Le salaud est encore mieux monté que mon Félicien ». Elle découvrit alors le trouble de sa jeune collègue et déclara mutine. « On dirait que le spectacle te fait de l’effet mon chou» A sa grande honte, Martine avait la chatte trempée d’excitation et elle parvint à peine à bredouiller deux mots à l’attention de sa collègue qui ajouta taquine « à mon avis ça ne te déplairait pas de faire joujou avec l’engin de monsieur G.». Martine se mit à rougir de plus belle alors qu’à l’écran Samuel venait d’introduire son pieu dans le cul charnu de la bourgeoise qui attendait jambes écartées les mains appuyées sur le Bureau que le macho lui défonce le fion à grands coups de boutoir. La jolie intérimaire se demandait comment la cliente pouvait accepter un gourdin pareil dans le fondement. C’est à ce moment que Brigitte fit revenir les filles sur terre. Elle rebascula l’écran de surveillance sur la caméra de la porte d’entrée et ajouta « Il vaut mieux ne pas trop traîner. Ce serait idiot de se faire surprendre ici par le vieux». Les deux copines quittèrent alors le local qu’elles verrouillèrent avant de retourner à leur bureau. Brigitte toute excitée par ce qu'elle venait de voir à l'écran déclara « ce queutard m’a mis dans tous mes états. Félicien va devoir assurer ce soir. Quand à toi ma belle, je suis sûre que tu vas être convoquée par le boss quand il en aura fini avec sa bourge. Je te recommande de retirer ton slip pour aller le voir. Cramoisie, Martine s'insurgea « Mais tu es folle ! Pourquoi ferais je un truc pareil ? Devine ! Parce que tu meurs d'envie de te faire tringler par le bazooka de G.
De toute façon que tu le veuilles ou non tu vas y passer rétorqua Brigitte en haussant les épaules. Puis elle remit sa veste prit sons sac et disparut avant que Martine ait pu trouver quelque chose à lui répondre. Peu de temps après celle ci entendit le directeur raccompagner sa cliente en s'adressant à elle avant de refermer la porte de l’agence: J’espère que vous appréciez les services de notre succursale chère madame. Mme Devernois répondit d’un ton mutin. « Avec un taux aussi avantageux que le vôtre, je reviendrai souvent vous voir mon cher Samuel. » Ce sera avec plaisir Nadège. Saluez bien Monsieur Devernois pour moi. Je n’y manquerai pas" conclut la bourgeoise dans un grand éclat de rire. Après avoir verrouillé la porte, le banquier retourna dans son bureau. Moins d’une minute après le téléphone de Martine sonnait. C’était bien le directeur qui la convoquait de manière péremptoire : Je vous attends dans mon bureau Martine. Ne traînez pas. Bien monsieur répondit la jeune femme alors que son cœur s’accélérait. Elle hésita un court instant mais finit par écouter le conseil de Brigitte et rangea son string dans son sac. Elle tremblait légèrement en se rendant chez G. Elle frappa à la porte attendant que le directeur s'adresse à elle. Entre ! aboya t-il d’un ton sec. Le tutoiement inattendu déstabilisa un peu plus la jeune femme. Samuel G. était installé à son bureau la chemise largement ouverte sur son torse velu. Il se leva et pria Martine d’aller s’asseoir sur le canapé. Tu as l’air un peu tendue lâcha-t-il. Veux tu un verre de remontant ? Je n’ai pas trop l’habitude balbutia Martine. Allons! ne fais pas ta mijaurée çà te fera le plus grand bien. Samuel ouvrit la porte de son placard derrière lequel se trouvait un petit frigo. Il en sortit une bouteille de whisky et deux verres qu’il remplit copieusement. Puis il en tendit un à Martine en lui disant de le boire cul sec. Celle-ci hésita un peu avant de s’exécuter. Le feu de l’alcool la détendit un peu ce qui fit qu'en déplaçant ses jambes, elle dévoila le haut de ses bas au banquier.
Celui-ci en profita pour s’asseoir à ses côtés et attaquer : çà fait longtemps qu’on a pas eu une intérimaire aussi bien roulée que toi à l’agence. Tu es très sexy et ce que tu portes montres que tu aimes plaire aux mâles. En disant cela il avait posé sa main sur la cuisse de Martine assez haut pour que ses doigts puissent toucher le liseré des bas de jeune la femme qui sursauta et tenta de retenir la main un peu trop familière. mais le chef était tout en muscle et il poussa son avantage avec une facilité déconcertante. Allons ! Ne joue pas les sainte nitouche. Tu m'as bien écouté en venant travailler dans une tenue sexy prenant même le soin de retirer ta culotte avant de rentrer dans mon Bureau. Alors tu ne vas pas tout gâcher maintenant ! En plus je suis sûr que tu meurs d’envie de découvrir ce que je cache difficilement dans mon caleçon. Crois moi je sais reconnaître les bonnes salopes comme toi au premier coup d'oeil. Choquée, Martine se mit à rougir violemment. G. en profita et posa sa main sur le sexe humide de la jeune femme. Tu devrais ôter ta jupe avant qu’elle se transforme en serpillère et sans lui donner le temps de répondre, il plaqua sa bouche sur les lèvres de la blonde forçant l’entrée avec sa grosse langue puissante tout en introduisant son pouce dans la fente humide de Martine. Vaincue celle ci répondit avec fougue au baiser de Samuel qui déboutonna le chemiser tendu de la belle libérant ses seins opulents aux pointes tendues par le désir. La jeune femme se retrouva très vite le torse nu et Samuel fasciné par ses gros nichons bien fermes lui ordonna de retirer sa jupe. Martine se leva pour obéir au chef finissant seulement vêtue de son PJ, de ses bas résille et de ses sandales marrons à talons aiguilles. Bien ! lâcha le chef avec satisfaction. Ainsi accoutrée, tu seras beaucoup plus à l'aise pour me sucer. Le macho se cala au fond du canapé et écarta largement les cuisses. Allez viens t'occuper d'un vrai mâle. Ça te changera de l'ordinaire. Martine alla s’agenouiller entre les jambes de son chef et elle entreprit de lui retirer le pantalon.
Une bosse énorme déformait le caleçon que la blonde s’empressa de faire glisser le long des cuisses de Samuel. Enfin libéré, son braquemard tout raide effraya la jeune femme. Il était encore plus impressionnant qu'à l'écran et Martine n’était pas certaine de pouvoir accueillir un tronc pareil. Malgré cela, elle était folle d’excitation et elle avait trop envie de la bite monstrueuse pour s’arrêter en si bon chemin. Elle happa le gland énorme dans sa bouche et se mit à le sucer avec délectation en branlant sa tige démesurée et en caressant ses grosses couilles de taureau. Le directeur était aux anges et entre deux grognements satisfaits il complimenta Martine pour son savoir-faire. Au bout de quelques minutes de ce traitement, le mâle fut à point et il saisit la tête de l'interimaire alors que sa verge enflait encore un peu plus prélude à une éjaculation explosive. La jeune femme dont la tête était fermement maintenue par le mâle en rut n'eut pas d'autre choix que d'avaler la semence abondante avant de lécher les ultimes gouttes avec application.. Tu caches bien ton jeu lâcha Samuel après avoir repris ses esprits. Tu suces comme une reine. Déshabille moi complètement maintenant. Il est temps que je te baise comme tu le mérites ma belle salope. Martine aida son amant à enlever sa chemise et son caleçon en l’embrassement fougueusement. Bien vite le membre du directeur retrouva de la vigueur et lorsqu’il fut nu sa queue était fièrement dressée. Il pelotait les seins opulents et fermes de la jeune femme de la main gauche tout en introduisant ses doigts dans la moule juteuse de Martine qui gémissait langoureusement.Il la coucha alors dos sur le canapé. Folle de désir, elle écarta ses jambes au maximum. L'homme satisfait déclara d'un ton assurré: Tu vas voir ma belle salope comme je vais te baiser et défoncer ta chatte avec mon énorme bite » Joignant le geste à la parole Samuel posa son gland gorgé de sang sur la fente trempée de Martine et poussa pour pénétrer le con de la jeune femme jusqu’à ce qu'il percute sa matrice écartelant ses chairs intimes comme jamais. Martine fut aussitôt submergée par un orgasme fulgurant malgré la douleur procurée par le cep monstrueux. Cette première jouissance déchaîna Samuel qui se mit à pilonner rageusement la chatte de la jeune femme déclenchant des orgasmes en rafale chez la belle blonde.
Alors que Martine pensait qu'elle allait s'évanouir de plaisir, Samuel se raidit soudainement et déchargea une fois de plus de longues rasades de foutre dans la chatte de son employée lui procurant un nouvel orgasme avant de s’affaler sur elle. Les deux amants restèrent ainsi un long moment épuisés par ce coit animal. Samuel fut le premier à parler. Si je n’avais pas déjà enculé la mère Devernois tout à l’heure, je m’occuperais bien de ton petit trou. Mais je crois qu’il va falloir remettre çà à une autre fois. Martine voulut protester. Oh nooon! Je ne pourrai jamais accueillir votre bite dans mon cul. Elle est bien trop grosse. N’aie crainte. Quand tu l’auras eu une fois tu ne pourras plus t’en passer. En attendant, je compte sur toi demain après-midi. Nous irons améliorer ta garde robe. Bien sûr, j’exige que tu ne portes plus ni slip ni sg et que tu me sois complètement soumise jour et nuit déclara t-il d'une voix dominatrice. Mais je ne peux pas, je suis mariée. Et bien tu expliqueras à ton cocu que tu appartiens à ton chef désormais et que si j’ai envie de te baiser la nuit ou le week-end, tu n'as pas le droit de refuser. C’est compris ! Aboya l'homme. Soumise, Martine parvint à articuler un acquiescement timide malgré ses larmes naissantes. Parfait rentre chez toi maintenant. Tu en profiteras pour expliquer à ton mec comment va désormais évoluer votre relation.
Penaude mais inconsciemment ravie par son nouveau statut d'employée soumise, Martine retourna à son Bureau remettre un peu d'ordre dans sa tenue puis elle quitta l'Agence pour rejoindre son domicile.

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