J'Aurai Du Me Mefier.

Elle me reproche souvent que l’on ne voit plus ses amis depuis que nous sommes ensemble, aussi lorsqu’elle me demanda si elle pouvait inviter à diner un de ses anciens camarades de fac qu’elle avait revu par hasard, je ne me méfiais pas plus que ça et j’acceptais sans problème.
Le deuxième signal qui aurait dû m’alerter, c’est lorsque ledit camarade arriva à la maison. Il avait une grosse moto et lorsqu’il retira son casque, je remarquai qu’il était plutôt beau gosse, un métis baraqué au regard bleu et au sourire enjôleur. (Tout le contraire de moi).
Le diner se passa simplement, ils évoquaient leurs souvenirs de fac, elle semblait heureuse et riait beaucoup (Troisième signal d’alerte ?).
Il nous apprit qu’il s’était reconverti depuis la fac de droit et que maintenant il donnait des massages relaxants (4ème ?), elle lui raconta ses problèmes de dos et tout naturellement il lui proposa de passer le voir un soir pour qu’il la soulage (là vous vous dites qu’il est vraiment con le mari).
Mais je ne voyais pas ce qu’il y avait de mal à ça et puis si ça résolvait son mal de dos.
Donc la semaine suivante elle m’informa qu’elle allait passer ce soir chez David pour le fameux massage et qu’elle rentrerait plus tard que d’habitude. Je cru faire de l’humour en lui recommandant de ne pas faire de folies, remarque qui la fit sourire.
Je commençais à m’inquiéter lorsque je vis l’heure tourner et que mes multiples appels sur son portable tombaient irrémédiablement sur sa messagerie.
Enfin elle rentra, il était 23 heures et je remarquais qu’elle avait plutôt l’air radieuse et le rouge aux joues.
- Tu m’as inquiété, je t’ai appelé toute la soirée, tu aurais pu répondre.
- Tu t’inquiètes pour rien, j’avais éteint mon téléphone pour ne pas être distraite pendant le massage.
- Quand même, il aurait pu arriver n’importe quoi, et puis je ne sais pas ce que vous avez fait.
- Tu es jaloux maintenant, c’est n’importe quoi, il m’a juste massé le dos et d’ailleurs je suis crevée je vais me coucher.


Si elle trouva le sommeil rapidement ce ne fut pas mon cas, je ressassai mes idées noires et le lendemain au petit déjeuner je ne lui adressai pas un mot.
- Tu penses encore qu’il s’est passé des choses hier soir avec David, tu es ridicule c’est un copain c’est tout, d’ailleurs il faut qu’il me masse régulièrement, mon mal de dos ne va pas passer comme ça.
- Ben voyons, tu crois que je vais passer mes soirées à t’attendre pendant que madame fait je ne sais quoi avec son copain.
- Si ça peut te rassurer, la prochaine fois, il me massera ici comme ça tu ne t’inquièteras plus.
Je me senti rassuré par cette proposition et me dit que décidemment j’avais tort de voir le mal partout.
Comme on dit dans la chanson : « la suite me prouva que non ».
Une semaine après, notre motard masseur débarqua sur son cheval d’acier une petite mallette à la main.
Ma chère et tendre l’accueillit à bras ouvert (en attendant d’ouvrir autre chose), moi je faisais la gueule mais fit quand même bonne figure (ce qui n’est pas si simple convenez en).
- On va s’installer dans la chambre pour ne pas te déranger, bien sûr David tu restes pour le diner.
Et ils disparaissent à l’étage, pendant que moi je reste comme un con dans le salon à siroter un whisky en regardant BFM (c’est mon côté maso).
Je commençais à trouver le temps long et au bout de mon troisième verre, je me décidais (Enfin !!!) à monter voir ce qui se passait dans cette chambre.
Comme je suis bien élevé, je frappais à la porte avant de rentrer.
Dire que je fus surpris par ce que je vis serait mentir. Ils ne m’avaient pas entendu toquer et pour cause, le massage décontractant avait pris une orientation quelque peu originale.
Ile étaient complétement nus (décidemment ce garçon était canon) et ma chère épouse calée entre les cuisses du masseur lui prodiguait une de ses pipes dont elle avait le secret.
Le gars lui tenait la tête fermement et l’encourageait de la voix.

Je restais prostré à les regarder, partagé entre la colère et l’excitation, au lieu de jouer les maris bafoués je refermais la porte et retournais dans le salon (et hop un autre verre).
Quand ils descendirent enfin, je décidai de ne rien dire même si leur air enjoué m’agaçait au plus haut point.
Néanmoins, je fus incapable de jouer la comédie et ne pipais mot durant tout le repas (je sais, l’emploi du verbe piper n’est peut-être pas idéal vu la situation).
La soirée s’étirait en longueur (un peu comme ce texte) et devant le malaise palpable ma femme s’agaça.
- Tu peux nous dire pourquoi tu fais la gueule, tu pourrais au moins être poli avec David.
- Il me semble qu’en matière de politesse, tu as déjà plus que donné.
Ils se regardèrent comme deux s pris en faute.
- Ça veut dire quoi ce sous-entendu vaseux ?
- Puisque tu demandes, sachez que tout à l’heure je vous ai vu à l’œuvre, enfin surtout toi ma chérie.
- Et tu n’as rien dit, ça devait t’exciter, depuis le temps que tu voulais me voir baiser avant un autre.
Là je dois avouer qu’elle avait vu juste, j’avais déjà évoqué ce fantasme avec elle mais loin de moi l’idée qu’il se concrétise un jour.
- Tu as raison, on en avait déjà discuté mais là tu l’as fait dans mon dos et je me sens trahi.
Il y a des phrases que l’on regrette au moment où on les prononce.
- Si je comprends bien, tu aurais préféré que l’on fasse ça devant toi ?
David suivait la conversation d’un air interloqué, se demandant où tout cela allait nous mener.
Il n’eut pas à patienter longtemps, mon épouse lui pris la main.
- Viens avec moi dans le canapé si Monsieur veut du spectacle on va lui en donner.
Elle l’entraina sur le sofa et lui déboutonna son jean, notre invité bandait déjà comme un cerf, elle le branla un peu puis se penchant elle l’engloutit, alternant les gorges profondes et les léchages le long du membre, elle crachait dessus, s’attardant sur les couilles.

Le garçon était aux anges.
- Vas y suces ma grosse bite salope, ça t’excite de faire ça devant ton cocu.
Il lui avait retroussé sa jupe et claquait les fesses de ma femme avec application.
Chaque coup sur son cul lui arrachait un grognement et elle suçait encore plus rapidement et semblait dans un état second.
Moi je regardais le spectacle de ma femme si mijaurée d’habitude, qui se conduisait comme la dernière des putes et je dois avouer que je ressentais plus de l’excitation qu’autre chose.
Bientôt elle se retrouva à poil et David la fit mettre à quatre pattes sur le sol, Il la pénétra violemment tout en continuant à lui claquer le cul qui commençait à prendre une jolie couleur écarlate.
- Tu aimes ça ma grosse pute, te faire défoncer comme une chienne.
- Oui, vas-y plus fort.
Malgré la médiocrité des dialogues, je restai fasciné par le spectacle et commençais à me caresser
- Regarde ton mari, il se branle, vous êtes deux beaux pervers, écarte ton gros cul avec tes mains je vais t’enculer.
Elle avait toujours refusé ce genre de pratique mais elle obéit et notre invité la sodomisa brutalement ce qui lui arracha un cri de douleur. Mais à ma grande surprise elle bougeait son cul en rythme pendant que l’autre la pilonnait.
Moi je n’y tenais plus je me branlai frénétiquement.
Il sorti du cul de mon épouse et se présenta face à elle.
- Vas-y pompe ma bite tu vas avaler le jus et gouter ton cul.
Là encore à ma grande surprise au lieu d’avoir l’air dégoutée elle l’enfourna et lécha avec application.
- Hé le cocu viens te soulager sur la gueule de ta pute de femme.
Je ne me fis pas prier et je continuais à me branler en frottant ma queue sur le visage de mon épouse qui sorti sa langue. Je ne fus pas long à éjaculer et dans un geste que je ne saurai expliquer je lui étalais mon foutre sur la tronche.
David lui aussi gicla et lui fit nettoyer son membre avec la langue.
- Regarde-moi cette truie, elle avale tout.
Salope, tu en a fait tomber sur le parquet tu vas nettoyer tout ça.
Ma femme s’allongeât sur le ventre et commença à lécher le sol avalant chaque goutte de sperme.
- He ben ma salope, dire que quand tu étais étudiante tu ne voulais jamais coucher avec personne, quand je vais raconter ça on ne va pas me croire.
Il se rhabilla nous laissant tous les deux prostrés ne réalisant pas ce qui venait de se passer.
- Je me casse, merci pour la soirée, je reviendrai la semaine prochaine avec des potes, ce serait dommage de ne pas faire profiter les copains de la salope que tu es devenue.

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