Les Plaisirs Du Bureau

Tout avait commencé lors d'un voyage d'affaire où Corinne avait suivi Ludovic, son nouveau patron. Il avait tenu à se faire accompagner par son assistante de direction, grande première pour elle depuis le début de sa carrière. Elle avait ainsi découvert Londres et bénéficié d'un quartier libre de deux heures pour du shopping. Elle avait dîné avec des grands pontes, sans toujours comprendre ce qu'ils disaient mais elle s'en fichait bien, tant elle était exaltée par cette situation nouvelle. Elle avait mis sa plus belle robe pour le dîner, franchement sexy puisque révélant son dos nu par une fente de haut en bas et par conséquent son absence de soutien-gorge. Pour faire bonne mesure, la robe était également fendue également jusqu'à mi-cuisse, découvrant ses longues jambes galbées. Si les commensaux anglais avaient connu son âge (50 ans), ils en aurait été sûrement surpris tant était séduisante cette assistante. Dans la journée, pour le travail, elle s'était contenté d'un jean moulant sa croupe pulpeuse, sans excès car Corinne était de ces femmes portant aussi bien la robe courte que le pantalon. Ses faux cheveux blonds tombant sur ses épaules, ses yeux émeraude et sa distinction naturelle n'avaient pas manqué d'intéresser le nouveau patron, quadragénaire type hipster, qui l'avait aussitôt valorisée relativement à d'autres collègues plus jeunes, ce qui n'avait pas manqué de susciter quelques jalousies. Ce voyage, c'était donc le pompon, mais Corinne n'en avait cure. Son mari Christophe avait bien tordu un peu le nez de la voir partir pour trois jours et deux nuits avec un autre homme mais Corinne était tellement enjouée qu'il avait tu ses réticences devant l'enthousiasme de son épouse.

La première nuit, elle avait mal dormi dans sa chambre d'hôtel tant elle était excitée. Elle avait dû forcer un peu sur le "trompe couillon" pour masquer les effets de son insomnie mais son ardeur au travail avait effacé la fatigue. D'autant que le voyage se révélait un franc succès pour Ludovic.

Fascinés par Corinne, les Anglais n'avaient pas marchandé leur soutien. Dans la voiture qui les avait raccompagnés à l'hôtel, le regard de Ludovic était tombé sur la longue jambe de Corinne généreusement découverte et il lui avait adressé un compliment assez leste qui l'avait un peu surprise. Même si elle voyait bien qu'il l'avait "à la bonne", Corinne n'avait pas imaginé qu'il aurait pu aller jusqu'à la draguer. Elle avait quand même dix ans de plus que lui et il était marié. N'empêche qu'elle fut flattée de sa remarque et dans l'état d'esprit où elle était après cette journée mémorable, il était hors de question de l'envoyer paitre. Lorsqu'il lui prit le bras jusqu'à l'ascenseur, elle ne ne repoussa pas. Et lorsqu'il lui proposa par téléphone, une fois qu'elle fut rendue dans sa chambre, de fêter la réussite de l'opération au champagne en le rejoignant dans son antre, elle réenfila sa robe de soirée qu'elle venait d'ôter et répondit à son invitation.

La suite se déroula tellement vite qu'elle se demanda plus tard si elle n'avait pas rêvé. Après avoir bu sa coupe dans l'un des deux fauteuils, face à lui, jambes haut croisées, il lui avait pris son verre puis sa main et l'avait attirée vers le lit XXL. Un court instant, tout s'était bousculé dans sa tête légèrement embrumée par l'alcool. Son patron était en train de lui faire commettre l'adultère et elle résistait à peine. Coincée sur le lit, il l'embrassa goulûment et, ô faiblesse coupable, elle répondit à son baiser. Lorsqu'il fit glisser son mini slip le long de ses longues jambes et posa un doigt fureteur sur sa fente déjà humide, elle sut qu'elle allait capituler sans condition. Elle ôta quand même sa robe avec soin tandis qu'il libérait un pénis qui la suffoqua par son volume. C'est tout juste s'il entra dans sa bouche après l'avoir invitée à le sucer.

Puis ce fut une cavalcade effrénée menée par un infatigable baiseur qui transporta Corinne dans des sommets d'érotisme qu'elle croyait inaccessibles.
Elle y répondit du mieux qu'elle put car elle ne voulait surtout pas passer pour une "planche à pain". Cette queue plantureuse la remplissait merveilleusement et lui procura plusieurs orgasmes qui enthousiasmèrent son partenaire. Il se doutait qu'il y avait du feu sous ce corps de sylphide, mais pas un incendie. Elle le griffait, le talonnait, ruait sous lui, accompagnait ses coups de boutoir d'approbations vocales témoignant de sa totale adhésion. Quand il la prit par derrière, elle virevolta tellement du cul qu'elle le sortit plusieurs fois de son antre trempée et c'est son énième coup de rein qui finit par le faire éjaculer. Elle lui adressa ensuite un regard éperdu de reconnaissance tant il l'avait fait jouir et ils s'embrassèrent avec passion. Toute distance entre employeur et employée était abolie.

- Tu es un coup en or massif, finit-il par lui dire.
Elle pouffa et lui répondit :
- C'est vrai que j'aime faire l'amour mais c'était encore plus que ça ce soir. Tu m'as transportée et je me suis sentie totalement libérée. Je ne me suis pas reconnue, j'étais une autre. C'était très physique.
- Avec ton mari, ça ne se passe pas de la même façon ?
- Non, c'est autre chose. On fait l'amour de temps en temps, comme un couple normal. C'est agréable bien sûr mais je ne jouis pas comme ce soir. Là, j'étais vraiment en transes, je n'étais plus qu'un sexe.
- En fait, tu n'as pas fait l'amour avec moi. Tu as baisé.
- Oui, c'est sans doute ça. Et sans doute que j'avais besoin de ça. Que mon corps exulte (en fait, elle voulait dire qu'elle avait adoré être chahutée, fouillée, écartelée par un mâle en rut et que leur rapport avait été pleinement et formidablement sexuel).
- Ah ça, ton corps, pour exulter, il a exulté ! Et j'ai bien l'intention de le faire exulter encore.
Et sur ce, il l'embrassa à nouveau tandis que Corinne saisissait sa queue pour le ranimer. Et quelques minutes plus tard, il la reprenait à nouveau pour une nouvelle séance torride qui les laissa rompus de plaisir.
..
*********
Lorsque Corinne retourna chez elle pour retrouver son environnement familial, quelque chose en elle s'était profondément modifié, qui ne pouvait se voir à l'oeil nu. Elle avait trompé son mari Christophe avec son patron, en pleine connaissance de cause, et si la culpabilité l'assaillait désormais, elle avait bien conscience d'avoir atteint un point de non retour. Elle était accro à la queue de Ludovic comme il était accro à sa chatte. A son domicile, la vie continuait comme avant. Corinne se comportait en bonne épouse et bonne mère de famille, avec sa fille adolescente. Au bureau, la tension régnait dès qu'elle se trouvait en compagnie de Ludovic. Afin de ne pas alerter, elle n'avait pas modifié sa façon de s'habiller, alternant robe courte et pantalon moulant comme une femme consciente de l'attrait de son corps. Sexy elle était, sexy elle resterait, au grand dam de certaines collègues moins gâtées par la nature. C'est à peine si on remarqua qu'elle restait un peu plus tard que les autres à son poste, prétextant un travail à terminer et arguant d'une fonction plus proche du patron. Quand tout le monde était parti, Corinne entrait dans le bureau directorial, un léger sourire aux lèvres. Alors, la collaboratrice s'effaçait derrière la maitresse pour un scénario immuable. Ludovic fermait à clé, mettait son téléphone portable en mode silence, et venait enlacer Corinne pour un long baiser qui le faisait raidir et la faisait mouiller. Puis elle s'accroupissait, ouvrait sa braguette et en sortait son pénis bien rigide pour s'en remplir la bouche. Une fellation plus ou moins longue commençait, selon l'appétit du récipiendaire.

Quand il le décidait, deux options s'offraient à lui. Soit il l'installait sur son bureau pour lui offrir un long cunnilingus avant de la pénétrer debout, soit il lui faisait mettre ses mains sur le même bureau, robe troussée ou pantalon baissé, pour la prendre par derrière et voir remuer son cul, vision qui le transportait toujours.
En général, ils commençaient à demi déshabillés et finissaient complètement à poil pour baiser sur la moquette ou bien lui assis sur son fauteuil et elle le chevauchant, ses seins dans son mufle.
Avec le temps, Corinne s'était pleinement libérée, encouragée par son amant qui lui avait signifié son plaisir de l'entendre s'exprimer dans le coït. Elle ne se contentait plus maintenant de "oui oui" ou de "encore encore" mais elle lui parlait crûment de sa bite, de sa chatte, de son cul dont il lui avait révélé la sensibilité. Un soir, il avait sorti un flacon de gel de son tiroir et l'avait initiée à la sodomie, pratique jusqu'alors inconnue d'elle, à quatre pattes sur la moquette du bureau. Quand un soir particulièrement chaud, elle lui avait soufflé d'une voix rauque "encule-moi maintenant", il comprit que Corinne, l'exemplaire assistante, était devenue une vraie cochonne et il se félicitait d'avoir éveillé en elle la bête qui sommeillait auparavant. Une bête qui n'allait pas se rendormir de sitôt, si bien que ce coup d'un soir devint peu à peu une liaison en bonne et due forme, sous couvert de relations professionnelles.
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L'ennui avec ce type d'adultère, c'est qu'il finit toujours par éveiller des soupçons. Les collègues de Corinne s'étonnaient de plus en plus de la voir faire du "rab" après ses heures de travail, et encore plus de constater que le patron l'emmenait systématiquement dans ses voyages d'affaire. On jasait dans la boite et Corinne faisait mine de ne pas s'en apercevoir, bien que cela l'inquiétait de plus en plus. Pourvu que Christophe ne soit jamais au courant !
Or, ce n'est pas de son mari que vint l'embrouille mais de l'épouse de Ludovic. Celle-ci était la fille du président du conseil d'administration de l'entreprise, qui n'avait pas été pour rien dans la promotion de son gendre. La DRH nommée Astrid était secrètement amoureuse du patron et ne décolérait pas devant son indifférence à son égard. Proche de l'épouse de Ludovic, elle procéda par allusion devant elle aux relations étroites entre son mari et l'assistante de direction, si bien que le poison du soupçon s'insinua dans la tête de l'épouse. Elle paya discrètement un détective privé pour suivre le couple supposé adultère dans ses déplacements professionnels. Lorsque celui-ci revint avec une photo où on voyait Ludovic et Corinne dans un restaurant, le premier prenant la main de la seconde pour l'embrasser, le doute ne fut plus permis. Entre le couple légitime, la scène fut violente : "c'est elle ou moi" déclara la fille du président du CA.
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Ce fut évidemment "elle". Corinne fut mutée dans une filiale assez éloignée du siège avec tout de même une promotion puisqu'elle en devint directrice adjointe de ladite filiale. Le chagrin de la séparation, ajouté au traumatisme d'un déménagement familial non désiré (surtout par Christophe et leur fille) laissèrent longtemps des traces. Mais la promotion spectaculaire et inattendue fit passer la pilule. Ce que l'épouse trompée ne sut pas, c'est que, sous couvert d'un autre voyage, Ludovic rendit visite à la filiale codirigée par Corinne avec la complicité du directeur du lieu, qui comprit très vite que son avenir était subordonné à son silence. Et c'est tout naturellement qu'aux alentours de 19h, une fois tout le personnel parti, Corinne fermait son bureau à clé où Ludovic venait d'entrer.

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