Vacances À Benidorm - 1 - Deux Couples À La Villa

Après une année de travail bien remplie Marc et Lydie avaient choisi de passer leurs vacances d'été en Espagne bien décidés à profiter du soleil et de leur temps libre pour faire l'amour aussi souvent que possible. Marc était un solide gaillard brun de 37 ans d’un mètre 85 environ. Il était doté d’un système pileux abondant et d'imposants attributs virils qui faisaient le bonheur de Lydie son épouse et de ses nombreuses maîtresses. Lydie était une plantureuse brune aux yeux bleux d’un mètre 72 qui était folle de son mari et qui s'accommodait fort bien de ses infidélités. Elle ne s interdisait d'ailleurs pas de coucher de temps en temps avec des mâles alpha drôles, bien élevés et très généreusement dotés. Elle considérait ces brèves aventures comme autant de moments de respiration qu'elle aimait partager avec Marc lorsqu'elle retrouvait son époux après une partie de jambes en l'air animée. Marc n'ignorait donc rien des amants et des aventures de sa femme adorée qui de son côté préférait par coquetterie en savoir le moins possible sur les jolies femmes que son étalon honorait avec tant d'ardeur. Leur Entente sexuelle était ainsi quasi parfaite et tous leurs amis admiraient ce couple magnifique qui débordait d'amour et de sensualité.
Marc et Lydie représentaient l'archétype du couple libre même s'ils ne s'étaient jamais risqués au libertinage. Aussi lorsque Lydie avait proposé à son époux d'inviter Pierre et Martha à partager la grande maison avec piscine qu'ils avaient louée pour 3 semaines non loin de Bénidorm sur la Costa Blanca espagnole, Marc avait souri avec une pointe d'étonnement. Ma magnifique femme aurait elle une petite idée derrière la tête demanda t'il à Lydie en la serrant dans ses bras. Commencerais tu à penser que baiser avec un seul partenaire à la fois manque de saveur. À moins que tu aies envie de goûter aux plaisirs saphiques avec ta nouvelle amie. Lydie se contenta d'un sourire énigmatique avant de répondre: comme tu le sais j'apprécie beaucoup Martha.

Comme elle est d'origine allemande, elle n'a pas de problème avec le naturisme. On pourra donc vivre à poil tous les 4 sans arrière pensée tout en passant du bon temps avec un autre couple. Marc connaissait peu Martha et Pierre son mari de 35 ans. Mais sa femme et Martha se fréquentaient depuis près de deux ans et elles étaient devenues très proches. Pierre était aussi grand que Marc. Un peu plus mince, il entretenait néanmoins sa musculature avec beaucoup d’assiduité. Martha était une blonde charpentée de 33 ans dotée de formes plantureuses. Elle mesurait 1m74 et possédait de grands yeux bleux qui mettaient en valeur son beau visage.
Les deux couples étaient installés dans la grande villa depuis plusieurs jours et ils avaient commencé à prendre leurs aises. Les femmes déambulaient nues dans le grand jardin sous le regard brillant des hommes nonchalamment allongés au bord de la piscine exposant sans pudeur leurs attributs au soleil, un verre à portée de main. Le spectacle de leurs épouses offertes ne laissait pas les mâles indifférents et ils se levaient souvent pour accompagner leur moitié dans leurs chambres afin d'y passer un moment torride. Ce soir là – il était près de 17 heures- Marc venait de s’endormir près de la piscine nu dans un Transat après une étreinte passionnée avec son épouse. Peut-être rêvait-il encore de cette séance de galipettes car il se mit à bander comme un cerf. En découvrant le pieu superbe dressé vers le ciel, Lydie se mit à rire. tandis que Martha fascinée ne put retenir un cri d’admiration. « Bon sang ! quelle queue ! s'exclama t-elle avant de se tourner vers son amie. Tu ne dois pas t’ennuyer dis-moi ! » ajouta t-elle fortement impressionnée. « J ‘avoue que je suis une petite vernie» répondit Lydie avec un sourire satisfait. Sur le ton de la plaisanterie, Martha ajouta alors « tu n’as pas envie de me prêter ton joujou par hasard ? ». Après une courte hésitation, Lydie répondit sur un ton mystérieux: « Pourquoi pas si Pierre est d’accord… » .
En écoutant son nom, celui-ci délaissa son journal et s’adressa aux deux femmes. « Qu’y a-t’il mes mignonnes ? » demanda t'il. Sans se démonter, Lydie répondit : « Et bien figure-toi que ta chère et tendre aimerait essayer le membre de mon mâle ». Pierre se tourna alors vers son voisin et découvrit l’érection qui avait tant impressionné sa femme. « Ah la vache ! lâcha-t’il je la comprends ! A sa place, j’aurais le même désir. -C’est vrai ça ne te gênerait pas ? » demanda Lydie d’une voix ferme. « Non… à condition que je puisse assister au spectacle bien sûr » répondit Pierre à l’aise. « Je ne te savais pas si voyeur mon chéri» s’étonna Martha visiblement troublée. « Ca te déplaît mon ange ? » répondit Pierre « Oh non ! au contraire » s’empressa Martha de plus en plus émoustillée. Prise au jeu à son tour, Lydie proposa alors : « Pourquoi n’irais tu pas réveiller mon étalon de mari comme je le fais souvent moi-même : Prends sa queue dans ta bouche et fais lui du bien ! ». Martha hésita quelque peu mais sous le regard de Pierre et de Lydie elle ne voulut pas se défiler. Elle se leva donc et alla s’agenouiller près de Marc avant de prendre le dard de l’homme dans sa main droite et d’enfourner le gland somptueux dans sa large bouche. Tout en massant la hampe avec douceur, Martha suçait le bout avec délectation tandis que sa chatte s'humidifiait de plus en plus. Marc réveillé depuis plusieurs minutes se laissait faire avec plaisir ravi que son épouse toute excitée encourage Martha avec énergie. « Je vois que Lydie est aussi voyeuse que moi » lâcha alors Pierre qui bandait maintenant comme un cerf. Sa queue ne pouvait certes rivaliser avec le braquemard somptueux de Marc mais elle était néanmoins de bonne taille et assez volumineuse pour intéresser Lydie qui s’approcha alors du mari de son amie pour lui présenter sa belle croupe nue. Pierre la saisit à pleines mains et écartant les fesses fermes et rebondies commença à lécher l'oeillet de la jeune femme d’une langue experte lui arrachant des gémissements de plaisir.
Marc venait d’ouvrir les yeux. Une ultime aspiration de Martha déclencha son éjaculation et il déchargea dans la bouche de la jeune femme. Ravie Celle-ci lécha et avala jusqu’à la dernière goutte de semence de l’étalon. Pas encore remis de sa jouissance il découvrit alors le spectacle de son épouse qui se tortillait sous les savants coups de langue de Pierre. Martha regardait elle aussi fascinée, son amie en se caressant avec frénésie de la main droite tandis que de la main gauche elle rendait de la vigueur au membre splendide qu’elle avait si bien sucée. Admirative, elle put bientôt le revoir au mieux de sa forme et sans retenue réclama à Marc : « Baise moi maintenant ! j'ai trop envie de sentir ton engin au fond de mon con» L'homme la fit s’allonger sur le dos puis lui demanda d’écarter les cuisses. Il posa son gland turgescent sur la fente trempée de Martha et la pénétra avec douceur. Au fur et à mesure que la bite de Marc s’immisçait en elle, Martha les yeux clos sentait le plaisir la gagner et après quelques va et vient réguliers du membre qui la remplissait intégralement, elle se tendit comme un arc en criant de plaisir. Marc la laissa souffler quelque peu puis il reprit son mouvement en accélérant progressivement arrachant de nouveau des gémissements à Martha si bien que lorsque l’homme éjacula enfin, elle jouit de nouveau intensément. De leur côté, Lydie et Pierre n’étaient pas restés inactifs. Le léchage savant de Pierre avait totalement décontracté Lydie dont le petit trou était désormais prêt à recevoir le membre turgescent de son ami. Doucement, il aida la jeune femme à s’empaler sur sa queue lui arrachant au début quelques piaillements de douleur. Mais assez vite, le fondement de Lydie qui avait déjà accueilli des calibres beaucoup plus épais s’adapta au dard de Pierre et elle se mit à gémir de bonheur tandis que de sa main experte l’homme massait son gros clitoris gonflé par le désir. Lorsque Pierre déchargea dans son fion, elle sentit le plaisir la submerger et elle ferma les yeux de bonheur.
Le couple s’écroula alors épuisé sous les applaudissements de Marc et Martha qui n’avaient pas perdu une miette de l’emballage final. « Je crois que nous avons tous mérité une bonne bière n’est-ce pas ? » proposa Marc aussitôt après. Les filles éclatèrent de rire et Martha ajouta : « Tu l’as dit. Quel festival ! Allez viens Lydie, on va faire le service. On leur doit bien ça à nos deux mecs. » En revenant avec un plateau chargé de canettes et d’amuse-gueules elles retrouvèrent les deux hommes en train de s’épancher sur leur vie sexuelle. Marc avouait à son nouvel ami que son couple était très libre et bien qu'ils n'aient jusqu'à ce jour jamais pratiqué l’échangisme, ils aimaient en revanche draguer chacun de leur côté et séduire de beaux spécimen du sexe opposé. Martha regarda Lydie avec surprise : « Ah bon… tu vas avec d’autres hommes quand ton mari n’est pas là ? » lâcha-t’elle interloquée. « Bien sûr, j'aime séduire et je ne me gêne pas pour trouver de belles queues qui sauront bien me satisfaire. –Mais tu as déjà un superbe étalon à la maison ! -Et alors… j’aime le changement et puis je suis très friande de sexes énormes et crois-moi, j’ai déjà accueilli des calibres bien plus gros que celui de Marc. –Vraiment ? » lâcha Martha stupéfaite. « Quelle cachottière tu fais… ». Lydie reprit alors : -Tu sais : il m'arrive aussi de draguer en compagnie d’une belle copine au tempérament de feu. Marc confirma: c'est vrai, j'adore quand Lydie me délaisse pour une soirée entre copines et qu'elle oublie sa petite culotte en partant. La plupart du temps, je ne la revois pas avant le lendemain soir. Et je sais qu'elle aura plein de trucs à me raconter quand on se retrouvera. Ça te plairait que nous sortions ensemble toutes les deux un de ces soirs écumer les boîtes de Bénidorm » reprit alors Lydie après la confession de son mari. Martha rosit sous la proposition et se tourna vers son mari. « Pourquoi pas ma chérie » dit alors Pierre, « Si tu as envie de t ‘éclater, ne te gêne pas pour moi. Je pense comme Marc qu'une belle femme a le droit de varier le menu de et de s'offrir un bon restaurant de temps en temps». La métaphore fit rire Lydie. Ton mari a raison ma chérie déclara t'elle à Martha. Lorsqu'on a très faim, il ne faut pas hésiter à déguster un très gros morceau. Martha s'esclaffa avant de lui répondre « Et bien soit ma chère Lydie, je te propose que demain soir nous allions nous trouver deux beaux hidalgo pour nous faire danser -Pour danser seulement ? » lâcha Pierre avec un clin d’œil et les 4 amis éclatèrent de rire.

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