Nympho Man 1

Nymphomane... C'est le mot utilisé pour qualifier une fille incapable de résister à ses pulsions sexuelles. Ce terme, généralement médical voire psychiatrique, à connotation pathologique, fait de la fille qui a beaucoup envie une malade...

J'aime ces malades alors ! Et je suis probablement aussi malade de la sorte... Si j'ai trop de respect pour chacun et chacune pour savoir freiner mes hormones et contrôler leurs effets, les réservant pour ceux et celles avec qui le courant passe et le consentement ne fait pas de doute. Mais oui, moi aussi, devant une occasion de passer une bonne nuit torride à prendre mon pied avec des personnes sexuellement enthousiastes, je dis oui !

Après tout, même les croyances les plus castratrices promettent un paradis où sexe débridé et ouvert fait partie du nirvana, et où les fantasmes les plus forts s'assouvissent dans l'atteinte du sommet de la spiritualité.... En parallèle de l'intense sensation érotique qui, parait-il, est ressentie lors de la pendaison peut-être ? Mais bon, je divague...

Personnellement, mon équipement est opérationnel depuis un peu avant mes quatorze ans. Et je l'ai expérimenté avec une voisine un peu moins attardée que moi sur ce plan. Avec fragilité et maladresse la première fois. Et beaucoup de discrétion, nos parents ne devant l'apprendre d'aucune manière bien sûr ! D'autant moins que, d'un commun accord, nous avions fait cela par attirance de l'acte, pas de l'autre. Une fille si jeune qui pousse déjà en 90C a de quoi intimider à son âge, et si je me suis alors mis à préférer les filles plus menues de poitrine, elle s'est plutôt mise à courir non pas 2 ans de plus qu'elle mais allègrement 4 à 6 ans, pour de son côté avoir des... Des membres plus âgés, plus corpulents... Elle m'a avoué tout de même qu'elle comprenait le proverbe "mieux vaut une petite travailleuse qu'une grosse paresseuse". Elle voulait courir les grosses travailleuses.

La dernière fois que je l'ai croisée, nous étions tous deux majeurs, elle me racontait avec une joie forte sa dernière avec un martiniquais, un guadeloupéen et un réunionnais qui se la faisaient à qui la tire le mieux.

.. La mère de famille qui se la jouait oreille indiscrète a probablement été guérie de sa curiosité, elle en a cramoisi à vue d'oeil, et s'est trouvée à la limite de la nausée. Et quand elle a cru bon réagir, mon amie m'a érigé en bonne expérience pour entrer en la matière et se déniaiser pour de vrai. Sa tête rendait particulièrement difficile l'abstinence... de fou rire. J'ai réussi à lui glisser dignement que la curiosité n'était pas de mise chez les gens "bien élevés" dont elle se réclamait. Nous parlions avec enthousiasme, mais tout de même sans exagération, et pour nous entendre si précisément elle avait sûrement tendu l'oreille.

Bref, on a éclaté de rire dès qu'elle fût partie. Après une telle histoire, une mise au point s'imposait. Dans un lit. À baiser.

Comme d'habitude, j'ai commencé par la lécher doucement derrière l'oreille, par la pinçoter dans le cou, par la vampiriser délicatement... Par lui prendre les mains et les emmener délicatement à se caresser avec douceur, dans un partage de sensations souvent gagnant. Je sais qu'elle est prête quand ses mains cherchent mes fesses, sous mon pantalon, et deviennent subtilement fébriles en approchant ma virilité prête à assumer ma libido débordante...

Je romps le rythme une première fois en l'allongeant alors, dans le but de lui servir, dans une illusion de reprise de contrôle, un cunilingus dont elle raffole. Et si elle exprime clairement son envie de "oui" clairs au début, c'est bientôt qu'elle sussure plus qu'elle ne s'exprime, que ses paroles deviennent des soupirs d'aise, qu'elle se laisse vocalement aller au rythme de mes passages, au frisson que ma langue suscite en elle et qui monte doucement et sûrement, alors que je passe délicatement autour du haut de son puits, de la source de ses orgasmes...

Quand ma langue entre, le puits est déjà délicieusement lubrifié, elle me connait, sait la suite que j'ai dans les idées, et elle sait que la sensation qu'elle approche va concurrencer le souvenir de son dernier cri de joie d'origine sexuelle, et qu'on n'en est qu'au début.
.. À peine ma langue entame-t-elle une descente douce, au simple premier contact du bout de ma langue et de son petit clitoris, elle se tend, se crispe, inspire, et libère sa voix.

Ouiiiiiiiiii. Elle a joui.

Elle n'a pas fini, et je prends ce succès, cette consécration féminine de mon travail initial comme un encouragement à engager la suite à l'image des promesses qu'un tel début fait apercevoir.

Elle s'allonge et respire un peu, reprend des forces, et m'invite à me rapprocher. Sa main caresse distraitement, presque machinalement, mes hanches et se prépare à se glisser où elle ira bientôt chercher ses jouissances suivantes. Et les miennes. Elle glisse une main le long de ma bite tendue, prête à prendre d'assaut la première cible qu'on s'accordera à passer... J'aime tout. Elle aussi ;-)

Alors ?

On commencera très classique. Comme dans un bon vieux (ou jeune...) p0rn. Par la bouche. Elle veut me rendre la monnaie de ma pièce... J'apprécie et je relève le défi. Mais entre notre première, où seule la vaginale avait à peu près été à la hauteur de nos attentes, et maintenant, son niveau a au moins aussi progressé que le mien, et voilà ma virilité dans la bouche de la ceinture noire de fellation dont on ose à peine rêver... Et alors qu'elle commence doucement au bout, qu'elle parcourt doucement le tour du vit pour commencer, elle montre bien sa maitrise technique en mettant un petit coup d'accélérateur qui annonce qu'elle saura pousser le petit piston à l'explosion...

Quand elle passe à des taux de compression plus favorables, je veux dire quand elle commence à engouffrer mon membre dans l'ensemble de son volume, le passant d'une joue à l'autre, le poussant de son souffle puis l'aspirant comme une paille, l'intensité monte encore d'un cran. Et c'est moi que je surprends alors à haleter tel le petit chien auquel je l'aurais bien comparée tout à l'heure... Je résiste encore, cela dit. Et elle le sait. Elle le sent.


Alors...

Je sens mon gland entrer dans un endroit bien plus serré... Et je regarde, avec des yeux ébahis, cette fille passer mon gland dans sa gorge, et me gratifier d'une gorge profonde...

Elle ressort, son maquillage coulé par l'effort, et je jouis aussi sec. Elle récupère et m'en enduit le bas-ventre... Dessine des chiffres. 1 - 1.

Je me relâche alors, préparant le coup suivant ! Pour un orgueil dont nous deux seuls sauront qu'il a été... Pour la futilité du triomphe d'une sexualité commune, débridée, forte...

Je la félicite. "Tu suces vraiment bien maintenant"...

Elle m'embrasse. Et part chercher un verre d'eau chacun.

Pendant ce temps, mon téléphone. Je suis en bcc. En copie cachée. C'est un mail qu'elle envoie à une de ses copines. "Il lèche comme un roi, les blacks d'hier ont été moins bons avec leurs bites, mais je l'ai fait exploser en 3'26 !" Pendant qu'on boit notre verre, elle me tend la réponse "Je suis sûre que je pourrais faire mieux"... Elle lui propose une date, se faisant fort de me convaincre... Avec mon assentiment bien sûr ! Donc je vais encore baiser après-demain...

On reprend notre souffle, elle reprend ses caresses, je repreds les miennes, elle se glisse sur son ventre, et ma main parcourt son dos. Avec délicatesse. Douceur. Calme. Volupté. Et quand j'approche de ses fesses, je me sens rebander... Je remonte, glisse le long de ses seins, puis glisse un doigt en dessous, puis reviens, son dos, sa hanche, ses bras, elle se met encore un peu plus à l'aise... Ses jambes s'écartent un petit peu, je profite pour glisser une main le long de ses cuisses, qu'elle ouvre alors encore un peu...

À mesure que le passage se précise, je me sens de plus en plus raide. Un bon signe pour l'entame de la troisième manche ? Je glisse un doigt le long de ce que ma langue lui a déjà visité, doucement, subtilement...

Elle chuchote. "L'autre"...

Je reviens donc un peu plus haut, et commence à lui caresser doucement.
.. l'autre. Elle acquiesce. Un peu de lubrifiant s'impose alors. J'en glisse un peu sur mon doigt pour reprendre mes caresses, et son sourire soupiré me donne encore un peu plus envie... Le tour est prêt, je commence à préparer l'entrée, et elle ronronne à nouveau... Eh, c'est pas la chatte là ! Me dis-je en souriant.

Elle écarte alors grand, se relève un peu, et prépare l'entrée en levrette. Mais pour la petite porte. Elle m'engage à me placer - ou plutôt se place pour m'engager complètement dans ce mouvement. Et, aidé par le lubrifiant comme par l'expérience de la fille à cet exercice, je me trouve vite glissé dans son derrière. "Tu te fais souvent enculer", demandé-je ? "J'adore prendre là avant ma chatte", répond-elle. Elle initie des va et viens toniques au point que... Je me glisse sans effort dans son "petit" trou manifestement déjà bien ramoné... "Double anale avec les blacks hier", dit-elle. En tous cas c'est large, ça glisse bien...

ma première sodomie... Je n'ose lui avouer... Tout ému, je ressors, reviens fébrilement... Alros elle se retourne, m'allonge sur le dos, et vient se planter carrément ma bite dressée dans son cul, dans toute sa logueur. "C'est bon hein la première ?" demande-t-elle. Je la regarde héberluée. "Si tu en avais eu l'habitude, obsédé comme je te connais, je serais plantée comme quand tu me plantes la chatte, avec précision, vigueur et dynamisme, espèce de cochon !".

Bref, elle s'encule sur mon sexe.

J'en viens à jouir, avec plaisir, même si elle en a pris la plus grosse part...

Alors je réchauffe la chatte, je veux finir en beauté. Je la lèche le temps de reprendre un peu de raideur, je la caresse tout autour, l'allonge, et la prend, d'abord avec force sur le dos, comme je fais souvent, puis la retourne. En belle levrette tonique. Face à sa porte de chambre. Et vas-y que je pousse, et vas-y que je crie. Elle tremble, crie, soupire, je tremblote aussi. Elle pousse ses "heins" de plus en plus fort, la connaissant elle arrive... Moi aussi...

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