Collection Étrange Phénomène. Spermarrella (1/1)

• Bonjour mademoiselle, venez-vous souvent ici ?
• Oui, madame, chaque fois que je le peux.
• Vous aimez le sexe !
• Oui, et vous ?
• Si je suis là, c’est que j’aime trouver un ou une partenaire pour la nuit voir deux ou trois nuits, mais rarement plus.
Je vous offre un cocktail.
• Je veux bien, c’est sympa de votre part.
Et vous, vous en prenez un.
• Non, j’ai assez bu pour la journée, mais j’aime vous faire plaisir.

C’est comme cela que tout a commencé entre moi et cette grande femme qui chaque fois qu’elle me regarde me fait littéralement fondre.
Je ressens des sensations chaque fois que je rencontre une personne nouvelle.
Là, ça dépasse tout ce que j’ai pu ressentir depuis que j’ai perdu mon pucelage avec mon beau-père derrière le dos de ma mère, qui l’ayant su m’a mise dehors.
J’aurais pu tomber dans la débauche tarifée, mais j’ai su résister à mes bas instincts.
Mais Raoult avait déclenché en moi des envies de sexe de plus en plus intense.
Non loin de chez moi, il y avait un squat que j’ai vite rejoint et où je suis devenue la putain gratuite des immigrés qui se cachaient là.
Quand je dis immigrés, ils étaient aussi bien hommes que femmes surtout que les chattes des femmes soient source de fascination pour moi.
Si cette femme semblant vouloir me séduire pour aller jusqu’à baiser est très belle, je sens que je vais passer des heures divines.

• Acceptes-tu que je t’emmène dans mon manoir ?
J’ai horreur de rester longtemps dans mes gardes mangers.

Ce que vient de dire celle qui se présente à moi comme Lucie la comtesse de Galois sur ses gardes mangers aurait dû attirer ma curiosité.
Mais je suis fascinée par ses yeux de biche d’un bleu profond et surtout sa classe.
Avoir comme amie une telle femme doit être source de la disparition de tous mes soucis.

• Vous avez une belle voiture avec chauffeur, vous êtes une femme aisée !
• Le comte est mort me laissant tous ses biens, monte, je t’emmène, parton dans mon antre.



Peu importe le chemin et le temps que nous mettons.
La bouteille de champagne de grandes marques, qu’elle sort de son petit frigo, m’aide grandement à passer le temps.
Manoir à la hauteur de celle qui y habite.

• Voici la salle de bains, je vais t’aider à te déshabiller.

Ceci fait, comme pour elle, sa plastique est vraiment extraordinaire.
J’adore la voir nue.
De ma vie, seule Arielle Dombasle dans sa tenue, son port de tête et son corps, m’avait impressionné à ce point.
Elle m’aide à monter dans la baignoire, préalablement remplie par l’un de ses serviteurs se tenant à nos côtés.
Je l’ai à peine regardée, pourtant un détail aurait dû me faire prendre conscience de l’incongruité de la situation.
Cet homme est nu avec seulement un étui pénien cachant son sexe.
À ce que je vois de la longueur de l’étui, il doit en avoir une belle, bien longue.
En temps normal, je me serais empressée de faire sortir de sa protection pour qu’il me prenne comme une bête.
Mais il y avait la comtesse qui me fascinait encore plus.
Sa main rapidement a caressé ma chatte prémices aux bons moments que je pense passer dans cette maison.

• Karine, je dois te dire la vérité avant de t’aborder, je t’ai observé pendant de nombreux jours.
Tu es digne de rejoindre notre congrégation, je t’en dirais plus tout à l’heure, après que nous nous soyons donnés du plaisir.
Lave-moi, j’aime être caressé dans mon bain.

Sans le moindre excès de pudeur, enfin, elle fait tomber sa robe.
J’ai oublié de dire que celle-ci est longue fixé sur l’épaule par un camée avec la tête d’une femme ayant de magnifiques cheveux.

• Vois, comme la nature m’a donné cette beauté, si je te disais mon âge tu dirais que j’affabule.
Frotte bien mes seins, c’est la partie de mon corps que je préfère et qui sont les plus sensibles.
Ceux des femmes de mon âge s’effondrent, les miens ont encore la fierté d’une jeune femme de vingt ans.


Elle se lève, sors de l’eau s’enroulant dans le peignoir présenté par son serviteur.

• Embrasse-moi.
Tes lèvres sont douces, viens, j’ai envie que nous nous donnions du plaisir réciproquement.

À mon tour, je sors de l’eau et c’est elle qui m’essuie sans geste coquin que pourtant, j’espérais.
Je me laisse porter par les vagues de plaisir qui me submerge simplement à avoir ma main dans la sienne.
Elle m’allonge, me fait écarter les cuisses et je suis fière qu’une telle femme me suce le clitoris.
Elle arrête et lève la tête.

• Karine, quel âge me donnes-tu ?
• 45 à 50 ans, madame.
• Appel moi Lucie, tu te trompes et de beaucoup.
• 55 Lucie.
• Non, je vais te le dire, j’ai 199 ans.
L’an prochain je vais vivre ma 200e année.
• 199 ans, vous vous fichez de moi, une femme aussi belle que vous ayant presque deux siècles, c’est impossible.
• Aimerais-tu vivre aussi belle et aussi longtemps ?
• Vous êtes un vampire et vous aller me vider de mon sang et me transformer en chauve-souris.
• Non, tu vas garder ton sang, rien à craindre même si pour faire de toi une telle femme il faudra que je te morde.
Si tu acceptes, tu entreras dans le cercle très fermé des Spermarrellas et tu vivras à mes côtés dans ce manoir.
Tu pourras vivre aussi longtemps voire plus, notre doyenne à 499 ans.
L’an prochain nous nous réunissons dans son château, toutes, pour fêter ses 500 ans.
Pour cette occasion, chacune de nous lui apporterons un de nos esclaves qui nous approvisionne en sperme.
Si je te mords, toi aussi tu devras trouver des hommes qui te fourniront le sperme seule nourriture que ton corps pourra recevoir.
Tu vois autour de moi, ce sont des hommes qui sont à mon service.
Regarde.

La comtesse tape dans ses mains.
Un homme arrive.

• Mademoiselle a faim nourrissez là !
• Bien madame et vous.

• Pour faire venir Karine dans notre congrégation, je dois être à jeun.
• C’est vrai, madame.

Il défait son étui pénien me montrant sa verge qu’il approche de ma bouche.
Il bande déjà.

• Profite Karine, c’est mon meilleur étalon.
C’est lui qui m’est le plus utile quand je reviens de la tournée des villages sans ma dose de notre produit, source de notre survie.

Je le pompe et rapidement il nous quitte ayant, semble-t-il avoir fait le pourquoi il est dans ce manoir.

• Si tu es là, c’est parce que je te trouve belle et digne de nous rejoindre. Mais aussi parce que mes renseignements disent que tu te régales du sperme de tes amants.
• Veux-tu nous rejoindre et rester belle jusqu’à ce que ton repas te soit refusé.
• J’accepte, je te servirais du mieux possible pour trouver notre nourriture.

Je vois la comtesse Spermarrella ouvrir sa bouche.
Comme pour les vampires ses dents de devant se mettent à pousser et avant de me mordre, donnent une incantation.

« Aux noms de toutes les femmes Spermarrella et de notre planète, rejoins-nous Karine. »

Je pousse un cri de douleur, j’ai peur qu’elle m’ait arraché le clito.

• Viens, il faut que ton corps boive un maximum de sperme et moi aussi.
Descendons dans mon garde-manger.

Nous suivons un couloir puis un escalier.
Des cages, des hommes au moins dix.

• Madame sucée moi, ça fait quatre jours que mes bourses se remplissent.
• Il ment, madame, demandé à leur garde, vous l’avez sucé hier.
• On se calme, Spermarrella, Karine va sucer ceux de droite, je viens de la mordre et il faut que vous soyez performant.
Quant à moi, je vais m’occuper des cinq autres.
Il faut que je reprenne des forces après avoir intronisé Karine.

Tout est bien prévu, chacun même à une ouverture dans les grilles en fer forgé afin qu’il passe sa bite.
Je sens bien que l’intérieur de mon corps change et qu’il me faut du sperme, énormément de sperme.

Je mets une demi-heure à me repaître de chaque bite.
J’ai nettement l’impression que chacun d’entre eux veut être performant à nous satisfaire.
Je finis avant elle et je la regarde du haut de ses bientôt 200 ans astiquer le manche d’un garçon qui semble mettre connu.
Ayant fini, nous remontant laissant les étalons remplir leur bourse jusqu’à notre prochain repas spermatique.

• Dis-moi Lucie, le dernier garçon que tu as sucé, j’ai l’impression de le connaître.
• Oui, c’est un jeune homme que j’ai soumis dans ton village le jour où j’ai commencé à m’intéresser à toi.
• Quand il a disparu, il a été dit qu’il était parti dans la légion.
• Notre organisation a des personnes qui passent dans vos villages chaque fois que nous amenons un garçon comme garde-manger à vie afin de tromper la population et que garder notre incognito.
Couchons-nous, les hommes sont là pour nous fournir notre nourriture.
Les femmes pour nous amener du plaisir sexuel.
Telle sera ta vie à partir de cette soirée.
Regarde-toi dans ce miroir, contrairement aux vampires qui sont invisibles dans les glaces.
Nous nous pouvons nous admirer et comme tu le vois il y a des miroirs partout dans la maison.
Demain, la voiture nous emmènera sans un des lieux que je préfère, un club libertin.
Nous pourrons pomper allègrement un maximum de bites dans cette soirée et ainsi devenir plus belles.

Voilà, je suis devenue une Sparmarrella, je vous donne rendez-vous à mon centième anniversaire.
Je vous dirais comment est-la vie avec une beauté perpétuelle comme la mienne.
En m’admirant devant un miroir, je rejoins le jeune de notre village, il faut que j’aille me rassasier.

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