Chroniques D'Un Jeune De 25 Ans Addict Au Sexe - 2

Avant de commencer, je voulais vous remercier pour vos retours chaleureux ! Vous avez été nombreux à me lire, ainsi qu’à apprécier mon récit, et j’en suis très heureux.
J’ai donc décidé de revenir afin de vous conter une autre de mes histoires, et croyez-moi, j’en ai encore pas mal en stock. ;)

(Je précise avant toute chose que tout cela est réel, rien n’est fantasmé.
Cf. Chronique n°1 – Afin de comprendre le pourquoi de ma démarche et d’en savoir plus sur moi.)

3 ans ont passé depuis ma première baise avec C. Comme je vous l’avais dis lors de la première chronique, C et moi avons baisé ensemble pendant 2 ans, au rythme d’une à deux baises par semaine. C’était assez simple entre nous, lorsque j’avais les couilles pleines, je pouvais le texter, et venir me vider dans son cul.
Avec le temps nous avions fait des tests tous les deux, et nous pouvions baiser sans protection, et surtout sans crainte de choper quelque chose ! Il raffolait particulièrement du ass-to-mouth, autrement dit, sucer ma queue sortant tout droit de son cul de pute, ça l’excitait d’avaler cette queue lubrifiée par ma mouille et ma salive. Il adorait aussi mon sperme, et j’aimais beaucoup cracher mon jus en lui, pour ensuite lui bouffer son petit trou et venir lui rouler une pelle des plus perverses.
On avait nos jeux, et on s’amusait beaucoup. Je peux vous dire maintenant que c’était l’un de mes meilleurs amants. Parfois ça me manque.

Mais un jour, C a passé la vitesse supérieure.
Je ne recevais jamais d’appel venant de la part de C. Donc lorsque je vis « C » sur mon téléphone, je compris qu’il se passait quelque chose.
«Salut Martin ! Tu es disponible là ? J’ai des amis à la maison, ils adoreraient te rencontrer.»
Des amis ? J’étais paniqué, je me demandais de quoi il parlait. Je pensais à mille et une chose, mais je me décidais quand même à y aller, ayant confiance en C.
Et en réalité, je n’aurai pas dû paniquer.

C et J (cf. Chronique 1) étaient amis, et aimaient beaucoup faire des bêtises dans leur jeunesse. Quand je dis bêtise, j’entends de se trouver un petit jeune avec une queue bien vigoureuse afin qu’il les démonte à tour de rôle sans faiblir. Ces deux-là étaient vraiment de grosses salopes.

Mais il y a aussi A ! Puisqu’en réalité c’est un trio, C, J et A. Et A ne déroge pas à la règle, il aime aussi beaucoup la queue de jeune mâle. Seulement, A n’habitait pas dans notre région, mais à 800km d’ici, ce qui est une sacrée distance, surtout pour un coup de bite. C ne m’avait jamais parlé de A car ce dernier était loin de nous, mais C a parlé de moi à A, et de quelle manière…
En disant que j’étais un superbe baiseur, pervers et gros cracheur, que j’aimais rouler de longues pelles, avec une queue toujours bien dressée.
Et A a été convaincu, alors il a fait le déplacement chez C, dans l’unique but que je le baise.
Imaginez, 800km pour se faire baiser par un minet qu’on ne connaît pas, c’est quand même assez fou.

Mais je divague. Je me retrouve à toquer à la porte de C, et il m’accueille avec un baiser chaleureux, et m’introduit à ses amis. Il y a donc A, qui me fait la bise, et un autre homme, un peu plus âgé que moi, qui me serre la main. Cet autre homme est le mec de A, ils sont dans une union libre. Autrement dit, chacun baise un peu où il veut, mais depuis le début c’est surtout le mec de A qui se fait plaisir, et A n’a pas trop le droit de faire quoi que ce soit, sinon c’est crise de jalousie assurée.
Je comprends donc très vite que C veut faire plaisir à son ami, et en même temps donner une leçon à ce mec un peu beaucoup macho. Il veut que je baise avec A pour que son ami prenne son pied.
Et j’accepte. A a 64 ans, pas trop mon style à la base (j’aime beaucoup les ours vous le savez…), mais la situation est diablement excitante. Donc j’accepte, et A se permet même de tâter mon paquet devant son mec, vous auriez dû voir sa gueule, c’était collector.

On décide donc de se diviser, A m’entraîne dans une chambre, pendant que C accepte de s’occuper de la queue du mec de A, un peu à contrecoeur je dois admettre.
A ferme la porte et direct me roule une pelle très agressive. Cela me surprend, je comprends alors toute sa fougue, son envie, il veut qu’on baise, et que son mec l’entende se faire défoncer par un jeune comme moi. Rapidement nos vêtements tombent, et A m’allonge afin de me sucer.

Il commence par laper mon sexe de bas en haut, avant de tourner avec sa langue sur mon gland, puis il avale mon sexe et le gâte de merveilleuses gorges profondes, à en faire jalouser C. Cela dure environ une dizaine de minutes, avant qu’on switch de position.
Je me délecte de la queue de A, qui n’est pas énorme, mais elle est très agréable à sucer, avec un gros gland, et des couilles que je prends un plaisir à bouffer. Je le gâte aussi avec mes propres gorges profondes, pour lui montrer que je veux qu’il prenne son pied, qu’il s’amuse.
«Martin, je t’en prie, baise-moi, enfonce-moi ta queue..»
Aussitôt dit, aussitôt fait. J’enfile une capote et je glisse tout doucement ma queue dans son cul avant de comprendre qu’il est sacrément ouvert ! J’aurai pu entrer ma main entière ! Je commence donc à le labourer, ce dernier gémit, puis commence à crier sous mes coups de butoirs. J’écarte ses fesses afin de le baiser sans ménagement, et de sentir ma queue s’enfoncer entièrement. C’était vraiment une bonne baise, puis A avait vraiment envie de queue, de se faire baiser.
On resta en levrette pendant une dizaine de minutes, avant que ça en soit trop pour moi et que je crache mon jus dans la capote.

A me mit alors sur le dos, et, comme en amazone, mais commença alors à se branler sur moi pour venir souiller mon corps de tout son long. J’avais du sperme du torse jusqu’au nombril, autant vous dire que c’était une sacrée éjaculation. Après une bonne douche, A et moi retournions dans le salon, ou C et le mec de A nous attendaient, c’était pas la choix.
Le mec de A voulait aller se balader, et entraîna A avec lui. Ce dernier, déçu, me fit un dernier baiser, avant qu’on les raccompagne à la porte.
Je pensais faire de même et partir, mais C, en fermant la porte, baissa son short, et me supplia de le baiser. Le mec de A n’avait même pas duré 5 minutes, et il en voulait plus. A la vue de son cul ouvert et demandeur, j’eus instantanément une énorme érection, et je lui enfonça ma queue aussi sec. C gémissait, m’en demandait encore et encore, son ventre tapait contre la porte d’entrée, et je le baisais sans ménagement, avant finalement de cracher mon jus dans son cul de putain.

Je laissais C avec un cul sali, et moi avec une belle histoire à raconter.

Merci beaucoup de m’avoir lu !
Comme d’habitude, si vous voulez me donner un avis sur cette histoire : jeune25@laposte.net
A très vite ! ;)

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