Isabelle Me Prend Sous Sa Coupe

Isabelle
***

J’avais aperçu cette femme à l’occasion d’une fête. Elle n’était pas très belle mais avait un charme certain, dû sûrement à sa silhouette et son port de tête.
Pour la présenter, il s’agit d’une grande femme, environ 1.75m, plutôt charpentée, mais avec des formes agréables. Nous n’avions pas échangé beaucoup mais j’avais flashé sur elle, regrettant de ne plus avoir l’occasion de la voir car elle quittait ses fonctions après cette fête.

Une amie nous avait invités pour ses cinquante ans et surprise, j’y retrouvai cette femme qu’elle avait aussi invitée en tant qu’ancienne collègue. J’étais avec ma compagne qui la connaissait également et lors des salutations, nous avons échangé la traditionnelle bise, qu’elle a un peu appuyée me provoquant aussitôt une montée d’adrénaline, surtout qu’un bref instant elle avait posé sa main sur mon épaule et plongé son regard puissant dans mes yeux. Lors de la discussion de politesse qui a suivi, je la regardais fréquemment et elle me fixait toujours de son regard, avec une certaine fermeté.
Nous nous séparions pour le repas chacun se trouvant à une table différente. Entre les plats, le disc-jockey maintenait l’ambiance avec au début, des danses plus anciennes, tango, paso-doble, valse. Je n’avais pas de cavalière attitrée et dansais avec plusieurs femmes. Lors d’une valse j’ai pu voir qu’elle dansait remarquablement. C’est elle qui menait sa cavalière, moins expérimentée.
La soirée s’avançant, les danses festives, puis modernes ont succédé. Je ne danse pas trop, occupé à faire des photos des invités. A présent la lumière ambiante est éteinte et seuls les effets de la disco-mobile éclairent la salle. Je suis assis à ma table, lorsque je la vois faire signe dans ma direction pour venir danser. Je me retourne pensant qu’elle s’adresse à quelqu’un derrière moi mais ne vois personne. Retournant vers elle confirme que c’est bien moi qu’elle sollicite.

Je me dirige vers elle, qui se trouve avec sa cavalière dans un coin écarté de la salle. Elle m’accueille avec le sourire.
• « Vous n’aimez pas danser ?
• Si, si mais les danses modernes sont un peu répétitives.
• Elles ont l’avantage d’empêcher de dormir et puis on peut aussi discuter
• C’est vrai ! »
Nous nous déhanchons en cadence un petit moment au son de la disco. C’est alors que la musique change et que l’animateur lance des slows, les premiers de la soirée. C’est plutôt rare dans ce genre de fête. Nous sommes face à face, un peu esseulés, aussi j’invite ma cavalière, qui accepte.
Au moment de nous enlacer je ressens un picotement dans l’échine. J’ai l’impression que c’est elle qui mène la danse. Nous sommes proches mais pas serrés, pourtant je ressens la chaleur de son corps. Mes mains sur sa robe, sont comme scotchées. Ses hanches roulent et même si nous ne nous touchons pas, il me semble que son corps est aimanté et attire le mien. Très vite le contact s’établit. J’essaye de ne pas presser mon bas ventre car une érection incontrôlable s’est formée. Ma température a grimpé tout d’un coup. Nous sommes isolés des autres danseurs, je ne maîtrise plus rien. C’est alors que, contre mon oreille elle parle :
• « Je te plais ? – Le tutoiement brutal me fige
• Je …
• Tu sais, je sens bien quelque chose contre mon ventre !
• Pardon, je … (je suis lamentable)
• Il n’y a pas de raison de le cacher et c’est plutôt flatteur. Si tu crois que je n’ai pas remarqué que tu prenais beaucoup de photo de moi ce soir » – Heureusement que nous sommes dans le noir car je dois être cramoisi. – « Tu es un petit coquin dis-moi ! Tu vas les montrer à ta copine ? Non, je ne crois pas ». - Elle fait la conversation, ce dont je suis bien incapable. – « Je suis sûre que tu aimerais en faire des plus … sexy, non ?
• Je … Oui …
• Et bien voilà ! Pourquoi ne demandes-tu pas ?
• C’est que … Ce n’est pas évident
• Je pense que sous tes airs d’homme sûr de toi, tu es comme tous les hommes, un petit cochon timide et qui aurait besoin de se faire commander, non ?
• …
• C’est bien ce que je pensais ! » Son étreinte devient plus forte, comme si elle prenait possession de moi.
Je ne suis plus qu’un pantin entre ses mains, c’est elle qui mène la danse. – « Alors, à partir de maintenant, tu me laisses faire, tu obéis et tu fais ce que je dis » – J’ai déjà capitulé. Dominé par cette femme qui m’attire, qui me fais peur, mais par laquelle j’ai envie d’être « pris en main ». Je suis déjà sous sa coupe. Elle interrompt la danse à la fin de morceau, me laissant en plan sur la piste, je n’ai qu’à rejoindre piteusement ma table. J’espère que personne ne s’est rendu compte de la situation.
Je sors fumer une cigarette, afin de me donner une contenance et de reprendre mes esprits. La fraîcheur de la nuit me fait du bien, mais, lorsque je rentre dans la salle je vois ma compagne parler avec ma « cavalière ». Je me dirige vers le bar pour me désaltérer et aussi me laisser un peu de temps. Je discute avec l’ami de celle qui fête son anniversaire, quand ma compagne vient nous interrompre.
• «  Est-ce que tu pourrais rendre service à Isabelle ?
• Qui est Isabelle ?
• Tu sais, on a discuté avec elle au début et tu dansais avec elle il y a un instant !
• Ah oui ! Je ne savais pas son prénom ! Qu’est ce qu’elle veut ?
• Sa copine doit partir tout de suite, mais il est encore tôt et Isabelle aimerait rester. Tu pourrais la ramener chez elle plus tard ?
• Ben ... oui, pourquoi pas ?
• Jean est d’accord pour te ramener, tu peux rester. Dit-elle à Isabelle, donc, qui s’est rapprochée entre temps de notre groupe.
• Merci, mais je ne voudrais pas vous déranger (je note qu’elle a repris le vouvoiement) C’est que, ce n’est pas à côté.
• Tu sais, répond ma compagne, il aime conduire, ce n’est pas comme moi, rajoute-elle.
• Il y en a pour une petite heure tout de même Qu’est ce que vous en dites, toujours d’accord ?
• Oui, pas de problème, je ne bois que du coca fais-je poliment, ne voulant pas laisser paraître ma joie d’être avec elle durant ce temps-là, même si, au fond de moi, je sens qu’il s’agit d’un prétexte et que dès que nous serons seuls, elle reprendra son emprise sur moi.
Mais c’est aussi cela qui bizarrement m’attire».

Isabelle va prévenir son amie, qui nous quitte alors et nous reprenons la fête. Je suis plutôt remué, car je ne suis plus maître de la situation, mais cette femme m’a envoûté, je suis déjà à ses ordres. Elle a un tel charisme que les autres aussi, même s’il ne le ressente pas comme moi, se laissent diriger par cette femme qui a pris l’ascendant sur tout le monde sans qu’ils s’en rendent compte. Il faut dire que la méthode employée avec eux est plus subtile, mais moi qui suis maintenant un observateur vigilant, je peux voir les petits signes imperceptibles qui font que ceux qu’elle côtoie, sont sous son charme, y compris ma compagne, qui est pourtant sa supérieure hiérarchique.
La soirée tire à sa fin, les invités quittent peu à peu la salle. Il reste un petit groupe, mené par Isabelle qui décide de rentrer. Depuis tout à l’heure, j’ai avalé plusieurs verres de coca, histoire de faire passer l’alcool bu en début de soirée et de me « doper » un peu, car la route de nuit, surtout le retour, me fait un peu peur. J’emporte d’ailleurs une canette qui pourra me servir.
Ma compagne a décidé de rentrer à la maison avec les amis qui passent devant chez elle. Nous partons donc tous les deux avec Isabelle. Dès que nous sortons, pendant que nous nous dirigeons vers ma voiture, je ressens déjà son emprise sur moi. Mon cœur s’accélère et mes jambes flageolent. Nous nous séparons des amis devant les voitures et montons dans la mienne. Leur voiture part et au moment de démarrer je demande :
• « Tu m’indiques la route pour aller chez toi ?
• On va mettre les choses au point tout de suite, dit-elle. Tout d’abord tu ne me tutoies pas et tu m’appelle Madame. Tu ne pose pas de questions, tu obéis, point.
• D’accord - Je prends une gifle
• Tu réponds Oui Madame ! C’est la dernière fois que je le dis
• Oui … Madame.
• Bien ! Alors, autre chose, lorsque tu m’accompagne en voiture, avant de t’installer, tu m’ouvres la portière.

• Bien Madame.
• Je vois que tu comprends. Démarre maintenant. Ils vont se demander ce que l’on fabrique ici. »
Je quitte le parking lentement et suis la seule route possible pour l’instant. J’ai bien compris que je n’avais aucune question à poser mais l’angoisse me prend lorsque l’on s’approche du premier carrefour. Je ralenti au maximum et à quelques mètres de l’entrée dans le rond point elle dit « première sortie » Je suis son ordre, puis au fur et à mesure les autres indications. Je constate assez vite que nous prenons la même direction que celle de la maison de ma compagne. Nous passons même devant. La lumière allumée témoigne de sa présence, c’est vrai que j’ai roulé lentement. Etait ce pour vérifier cela que ma passagère m’a fait passer par là ? Deux kilomètres plus loin, elle m’indique un chemin. Je suis perplexe, mais n’ose rien dire. Le chemin s’enfonce dans un bois. N’avait-elle pas dit qu’elle habitait loin ? Que veut-elle faire ?
On passe devant une bâtisse toute noire et après un dernier virage, nous débouchons face à une petite maison, assez ancienne mais parfaitement en état.
• « C’est ici ! »
Ne la voyant pas bouger, je me rappelle que je dois ouvrir sa portière. Je coupe le contact, fais rapidement le tour et vient aider ma passagère à descendre. Je referme la portière et entends alors le bruit caractéristique de la condamnation des portes. Isabelle a pris les clés de contact et les emporte avec elle. Je suis soumis à son bon vouloir !

Soumis, je le suis déjà dans ma tête, depuis que cette diablesse m’a pris sous son autorité. Moi qui n’ai jamais eu ce penchant, étant plutôt dominateur et indépendant, je n’ai plus aucune volonté si ce n’est d’obéir à cette femme.
Nous entrons dans la maison et Isabelle allume les lumières. Nous sommes dans une entrée assez vaste qui donne vers ce qui semble être un salon. Elle accroche mon trousseau à un porte clés, puis se tourne vers moi.
• « Si tu le désires, à tout moment, tu peux prendre tes clés et partir. Sache que dans ce cas, tout s’arrêtera et que tu ne pourras plus jamais me revoir. Ce sera ton choix. Tant que ces clés sont là, tu es à moi, tu m’obéis. Tu es chez moi. Eh oui ! Tout le monde croit que j’habite loin, ce qui est aussi vrai, mais c’est ici que je vis. Nous avons au moins deux heures devant nous pour « faire connaissance », puisque en principe tu as de la route à faire alors que tu es à deux minutes de chez toi. Suis-moi ! »
Nous arrivons au salon, qui est de style moderne. Une large baie vitrée donne sur le bois et un immense canapé trône au milieu. Tout est blanc si ce n’est des taches de couleurs faites par des tableaux accrochés aux murs.
• « Reste debout au milieu. Maintenant, déshabille-toi » Je suis déjà tellement conditionné, que je n’hésite pas et me retrouve rapidement nu au milieu de la pièce, sous le regard perçant de « Madame Isabelle » - « En position d’inspection ! » Je ne bouge pas, ignorant cette position – «  Allons ! Plus vite !
• Pardonnez-moi, mais je ne sais pas …
• J’ai donc tout à t’apprendre ! Je t’explique, c’est valable pour maintenant et chaque fois que tu te présenteras devant moi. Tu te tiens droit, les jambes légèrement écartées et les deux mains derrière la tête.
• Bien Madame dis-je, prenant aussitôt la pose
• Je vois que la situation te plaît dit-elle, touchant mon sexe dressé, du bout de la cravache qu’elle a saisie sur la table. Rassure-toi, je ne vais pas te frapper, pour ne pas laisser de trace aujourd’hui. Il s’agit d’un premier contact pour voir si tu corresponds bien à mon attente. Tu es poilu, mais je vois que tu te rases le sexe et les parties. Penche-toi en avant ! Ecarte les fesses ! Ah, et le cul aussi ! C’est bien ! Pour l’instant cela suffira, mais fais attention de bien entretenir ! Tu restes comme çà et tu m’attends, je reviens !

Parfaitement conditionné, je ne bouge pas, même si, après ce moment de tension, ma verge a tendance à perdre de sa raideur. Je suis face à la baie, en pleine lumière et même si c’est bien improbable, je m’imagine que quelqu’un est à l’extérieur et me regarde. Bizarrement cette idée me refait bander. C’est ainsi que me retrouve Isabelle à son retour. Sa tenue n’est pas faite pour me calmer. Elle a retiré sa robe et enfilé une nuisette noire quasi transparente elle a gardé ses bas et a chaussé des mules à haut talons. Rien d’autre sous son vêtement. Elle est splendide. Sa plastique est irréprochable pour une femme de cinquante ans. Elle conserve son port altier qui, malgré, ou à cause de sa tenue sexy, dégage une impression de force et de domination. Malgré mon envie d’admirer son corps, je ne peux m’empêcher de baisser les yeux, honteux de ma situation, malgré l’excitation visible, mais aussi complètement soumis au bon vouloir de cette femme.

• « Regarde-moi ! Dit-elle. Dis-moi ce que tu penses ! Même si ton sexe trahit ta pensée, je veux t’entendre.
• Je… Vous êtes très belle
• Mais encore ? Donne des détails !
• Vous avez un corps magnifique ! J’aime vos jambes, vos chevilles, vos seins, votre ventre. Demandez-moi ce que vous voulez, je suis à vos ordres.
• C’est bien ! Tu sais que si je ne suis pas contente je te punirai
• O… Oui Madame ! Faites ce que vous voulez.
• Alors, à genoux ! Elle se dirige vers le canapé, dans lequel elle s’étend. – Approche et viens me lécher espèce de chien !
Pas besoin de me le répéter deux fois tellement cette femme m’excite. Je plonge entre ses cuisses. Sa chatte, contrairement à la mode, n’est pas totalement épilée. Sur son pubis un triangle taillé bien ras semble désigner où il faut aller. Autour des lèvres une bande, elle aussi finement taillée forme un écrin noir qui se prolonge vers le bas. Je trouve vite son clitoris, qui est plutôt développé, une vraie petite verge de la dimension de la phalange d’un petit doigt. Ma langue plonge dans son vagin abondamment lubrifié.
• « Oh oui ! Tu sens comme je mouille ? Depuis le début de la soirée, quand je t’ai vu, j’ai pensé que tu deviendrais ma chose. Ma culotte était à tordre quand je l’ai enlevée. Doigte-moi et bouffe-moi le cul ! Tu es doué ! Continue ! » - Tout en léchant ma « maîtresse » je me branle, lorsque d’un coup je sens une brûlure sur mon cul – « Ne te touches pas ! Je ne t’ai pas donné l’autorisation ! » Moi qui la croyais au bord de l’orgasme, je déchante. Aussi je reprends mon léchage-doigtage. Ma langue alterne le clito turgescent et le vagin inondé. Deux doigts dans la chatte et un dans son cul, je sens que maintenant Isabelle a grimpé plusieurs degrés dans la recherche de son plaisir. Je m’applique pour lui procurer un bel orgasme qui, inonde ma bouche alors que ses cuisses emprisonnent ma tête. Je la laisse à peine récupérer et recommence aussitôt à jouer de la langue et des doigts. Isabelle enchaîne deux ou trois orgasmes supplémentaires avant de demander grâce. Je me redresse sur les talons pour admirer cette belle femme, qui à ce moment, n’est plus la dominatrice, mais une simple femelle repue.
Si j’avais cru un moment avoir repris la main, je comprends vite qu’il n’en est rien, lorsqu’elle se redresse, rabat sa nuisette et se lève
• « Tu as bien travaillé ! Je suis contente de toi ! Maintenant à ton tour ! » Je ne sais si je dois me réjouir ou pas, mais je comprends vite qu’Isabelle a des projets pour moi. Elle me lance un tube, qui est du gel lubrifiant – « Tu as intérêt a bien te badigeonner si tu ne veux pas avoir mal ! » Je ne comprends que trop ce qui m’attend, surtout quand Isabelle sort d’un tiroir un gode ceinture – « Et oui, tu vas être ma femelle ! Tu vas savoir ce que c’est, mais je crois bien que tu y as déjà goûté ! Allez en position ! Appui-toi sur la table et cambre tes fesses !
J’obéis aussitôt, penché sur la table basse du salon, j’écarte les jambes et m’apprête à recevoir ma maîtresse. Je pensais avoir bien réagi jusque-là mais c’était trop beau
• «  Avant de t’enculer espèce de petit pédé, je vais te faire rougir les fesses, tu ressentiras mieux ma pine et je suis sûr que çà va te plaire aussi.
• Oh non ! S’il vous plaît !
• Mais, tu sais que tu n’as rien à dire ! Et je t’avais prévenu de ne pas parler, alors, puisque je voulais te rougir le cul, tu vas avoir droit à un traitement supplémentaire. Tu vas prendre une correction pour savoir qui commande ; »
Le premier coup tombe. La main claque fort. Suit une avalanche de gifles sur chacune de mes fesses. Je crie, je pleure, j’ai l’impression de brûler.
Un arrêt de la correction me fait espérer la fin de mon calvaire, en fait je commençais à ressentir un certain plaisir. Isabelle a du le sentir, elle semble connaître les réactions dues à une fessée. Le répit est de courte durée et la méthode change. C’est avec un martinet qu’Isabelle frappe maintenant. Au début, les coups semblent moins forts mais en fait cela se ressent avec retard et alors la douleur est plus forte. J’ai l’impression d’être déchiré, mais comme précédemment la douleur fait place à une douce chaleur qui envahit tout mon corps. Isabelle, en connaisseuse, se rend compte de mon état.
• «  Mais tu bandes mon salaud ! Tu aimes çà ! Tu es prêt à me recevoir ! »
Je sens aussitôt le gland du gode pointer sur mon petit trou et d’une poussée, Isabelle s’enfonce dans mon cul, puissamment, d’une seule traite, jusqu’à que les boules factices touchent mes fesses. Je ressens une douleur lorsqu’elle bute au fond de mon rectum, puis elle commence ses va et vient déclenchant en moi des sensations inédites.
• «  Eh bien, tu as tout pris ! Tu es vraiment une salope ! Tu aimes te faire enculer, n’est-ce pas ?
• Oh oui, c’est bon, défoncez-moi ! Pétez-moi le cul ! Je suis votre salope, votre pute ! Enculez-moi à fond !
• Tapette ! Pédé ! Tu es une salope ! Je t’encule et tu en redemandes ! Je vais bien t’éclater la rondelle !
• Oh oui Madame ! S’il vous plaît, puis-je … vous … demander…quelque… chose ? Mon élocution est difficile, car Isabelle continu son enculage, ce qui me ravi également.
• Que veux-tu, espèce d’enculé ?
• Je…Voudriez-vous… m’enculer… de face… s’il vous plait ? Et pourrais-je … vous appeler… Maîtresse ?
• Non ! Tu m’appelle Madame ! Pour Maîtresse, ce sera plus tard, lorsque tu le mériteras. Mais, puisque tu le veux, je vais te prendre comme une femme ! Allez, couche toi sur la table », dit-elle en déculant.
Je ressens un grand vide, lorsque le gode se retire. Je ne sens plus mes jambes, mais réussi à me retourner. Je m’allonge sur le dos et relève mes fesses en tenant mes jambes dans les bras, mes genoux sur la poitrine, je m’offre sans pudeur à cette belle femme, à la silhouette pleine, les seins arrogants et cette monstrueuse prothèse qui m’a embroché et qui est prête à recommencer.
C’est la première fois que je la découvre nue, car elle a retiré sa nuisette et, de la voir ainsi me rend encore plus fou de cette femelle qui me domine.
Elle prend son temps, voyant que je l’admire. Un sourire aux lèvres, elle pointe son pénis artificiel sur ma rosette déjà bien ouverte et reprend la sodomie.
Dans cette position, ce sont d’autres zones de mon cul qu’elle explore, pour de nouvelles sensations. Elle saisi mes chevilles pour m’ouvrir largement et m’encule de toute la longueur de la pine monstrueuse.
• «  Tu aimes çà salope hein ?
• Oh oui ! Allez-y ! Défoncez-moi ! C’est bon !
• Ton clito grossi, espèce de femelle ! Tu aimes te faire baiser comme une femme », dit-elle en me pinçant les tétons. Mes jambes sont posées sur ses épaules et la vision de cette belle femme, aux seins arrogants et avec une bite énorme qui me pilonne, m’emmène vers des sommets de jouissance. Dans cette position son sexe factice atteint des zones inexplorées de mon cul, frotte la prostate. J’ai l’impression d’être sur le point de jouir en permanence. Son rythme s’accélère et tout d’un coup, sans même me toucher, le sperme coule de mon gland, non pas en jaillissant mais en continu. D’habitude je ne produis que peu de quantité, mais là il en coule beaucoup plus, m’occasionnant un délice énorme. Je perds pied, je geins, je crie mon plaisir, comme une femelle. Je suis en sueur, j’ai l’impression de me vider complètement. Je crois même que je perds un peu conscience. Ne revenant à la réalité que lorsqu’Isabelle se retire de mon cul. – « Eh bien, mon salaud, tu peux dire que tu as pris ton pied » dit-elle après un moment de récupération, car elle aussi a joui, ce dont je vais me rendre compte dans un instant mais avant, elle m’ordonne de m’agenouiller devant elle et me donne sa bite à nettoyer. Voyant ma répulsion à lécher cette queue qui sort de mon cul et n’est pas très nette, elle saisi ma tête.
• «Allez ! Ne fais pas ta chochotte ! Après tout c’est ta propre merde que tu vas bouffer. Je sais, tu n’étais pas préparé à cela ce soir. Je suis sûre que la prochaine fois tu te laveras profondément, à moins que … tu n’y prennes goût ! »
• S’il vous plait ! Non !
• Tu n’as pas à discuter ! Nettoie ! » Elle me pince le nez, m’obligeant à ouvrir la bouche pour respirer et enfonce alors la pine dans la bouche. Ecœuré tout d’abord par l’odeur et le goût de merde, je m’habitue plus vite que je croyais et je fini par lécher son gode sur toute la longueur. – « C’est bien ! Tu deviens une vraie salope ! Je suis sure que tu vas finir par aimer çà. Et tu verras lorsque cela sera une vraie bite. Tu adoreras çà ! Surtout si elle sort de ton cul ! »
Je frémis à l’idée que cette femme, à laquelle je suis déjà totalement asservi, va me donner à ses amants. Je sais déjà que j’accepterai et me soumettrai à ses désirs. Elle m’a dompté, mis sous sa coupe et le pire c’est que j’aime çà.
Elle détache alors son gode-ceinture et me donne la partie interne à nettoyer. Le sexe qui envahissait son vagin et qui lui a procuré du plaisir est plus court que celui qui m’a pénétré, mais il est aussi plus large. J’ai même du mal à l’avaler.
• « Tu vois que j’aime les grosses queues, dit-elle. Alors la tienne ne m’intéresse pas, sauf peut-être pour mes fesses, mais c’est un privilège rare de pouvoir y accéder. Il faudra que tu deviennes une véritable chienne, une salope, une putain confirmée, si tu veux y mettre un jour, autre chose que ta langue, qui elle, sera sollicitée pour me nettoyer. En attendant, tu vas pouvoir te régaler avec mon jus, car j’en ai beaucoup fabriqué. Tu as été une bonne salope. Alors vas-y ! Mange-moi.
C’est de loin beaucoup plus agréable de lécher sa fente. Effectivement je me régale de sa cyprine, qui coule abondamment de sa chatte, j’essaye d’enfoncer ma langue au plus loin, sans oublier son clitoris. J’en ai partout sur le visage aussi, et, lorsqu’elle appuie mon visage contre son bas ventre, c’est toute la figure qui en est couverte. Un ordre bref « Avale » Ce que je sens alors est plus chaud et plus âcre. Elle me maintient bien la tête car maintenant elle pisse dans ma bouche et c’est une « douche dorée », un nectar odorant que je lape. Sa miction est longue et abondante, mais j’arrive à tout absorber. A la fin, je lèche consciencieusement et pour le plaisir, ses grandes et petites lèvres. Isabelle n’est pas dupe et me laisse faire un moment, mais fini par m’éloigner en repoussant ma tête.
• « Je vois que ma petite collation t’as plus, je me trompe ?
• Oh non Madame, j’espère que je vous servirai d’urinoir souvent. Je suis à vous !
• Eh bien, dis-donc ! Tu es vite dressé toi ! Mais ne crois pas que tu auras toujours du plaisir. J’adore humilier et faire souffrir, tu n’es pas au bout de tes peines, enfin, tant que je voudrai de toi.
• Je ferai tout ce que vous voulez pour que vous me gardiez, Madame !
• On verra çà ! En attendant tu vas te nettoyer. Pas de douche, tu sentirais trop bon. Voilà un gant. Juste de l’eau, pour enlever l’odeur, rince toi bien la bouche et reviens ensuite.
• Oui Madame !
• Ah au fait, je ne t’ai pas dis, Que de l’eau froide ! Je t’interdis l’eau chaude ! Et ne traîne pas. Elle me guide dans la salle d’eau, superbement aménagée et nouvelle humiliation, assiste sans bouger à ma toilette ordonnant parfois : Nettoie bien ton cul ! Frotte ta bite et tes couilles, bien sous les bras. Estimant qu’il est temps elle me tend une serviette et fini même par m’essuyer le dos. Maintenant rhabille-toi ! Il est temps de rentrer retrouver ta femme. Avant donne-moi ton numéro de téléphone, je t’enverrai des messages, tu me répondras si besoin.
Je quitte alors la maison d’Isabelle. Il ne faut que deux minutes pour rentrer. Je me rends compte alors, qu’il y a un peu moins de deux heures que nous avons quitté la réunion. Décidément cette drôle de femme a tout prévu !
Alors que je descends de la voiture, mon téléphone sonne, c’est un message. Lorsque je l’ouvre, je constate que c’est Isabelle.
« Demain à midi, débrouille-toi pour venir chez moi, ce ne sera pas long. PS : Pas de réponse, tu effaces ce message et les suivants dès la lecture faite. Pas d’enregistrement du numéro. »
J’hésite à ne pas obéir au dernier point, mais, à la fois soumis aux ordres et me doutant qu’elle vérifierait à la première occasion, je supprime le message, en revanche le numéro est déjà ancré dans ma mémoire et sans besoin d’autre chose je saurai chaque fois qui est l’expéditeur.
Je rentre et me couche le plus discrètement possible. Dans son sommeil ma chérie vient se lover contre moi et me souffle - « çà s’est bien passé ?
• Oui, (si elle savait !) rendors-toi ! » Je l’embrasse, mais j’ai moi, du mal à m’endormir en songeant à cette soirée et ces deux dernières heures qui bouleversent ma vie.
Où cela va me mener ? Comment assurer les demandes de cette femme ? Comment gérer cette double vie ? Que me réserve-t-elle ? Je tourne et retourne dans le lit. Au bout d’un moment j’ai une forte envie d’uriner. Je me rappelle alors que je ne l’ai pas fait de la soirée et qu’en plus j’ai absorbé la liqueur d’Isabelle. Ceci et le souvenir de la soirée me provoque une grosse et douloureuse érection. Je me lève et pars aux toilettes, où je reste un moment, manquant de me faire surprendre nu par la fille de ma compagne au moment de retourner au lit.
Je fini par m’endormir et ne me réveille qu’à onze heures du matin, après une nuit agitée. Juste le temps d’une douche d’un petit déjeuner avalé en vitesse, car je dois être à midi chez Isabelle. En partant, je croise ma compagne qui revient de faire les courses et lui dit que je vais chercher des cigarettes.
Midi sonne à la radio quand je m’arrête devant chez Isabelle. Elle ouvre la porte au moment où j’approche. Elle ne porte que la nuisette de la nuit dernière et semble encore ensommeillée. Elle m’empêche d’entrer.
• «  A genoux salope ! Je ne suis pas lavée, lèche ma chatte » Je ne me le fait pas répéter, trop heureux de répondre à sa demande. Elle ajoute « je viens de faire pipi, donc tu n’auras pas à boire, mais je ne me suis pas essuyée, je t’attendais, profites-en ! »
Effectivement, j’avais senti ce goût inimitable. Je m’emploie à lécher bien profondément et sur toute la surface ce mélange d’urine et de mouille. A genoux, devant cette porte, je n’ai pas besoin de me toucher pour savoir que je bande comme un fou. Quelques – trop courtes – minutes suffisent pour accomplir ma tâche. Ma maîtresse me repousse.
• « C’est bien ! Tu as bien travaillé, tu peux retourner à tes occupations, je te ferai signe plus tard. Quand repars-tu ?
• Ce soir vers dix huit heures
• Bien ! »
Elle referme aussitôt la porte, je n’ai plus qu’à me relever et partir. En remontant dans ma voiture, je constate que l’opération n’a pas duré plus de cinq minutes. Je vais acheter les cigarettes, vu la tête, amusée, de la vendeuse, je pense qu’il faut que je me lave un peu le visage avant de rentrer. L’après-midi, ma compagne bénéficie de ma fougue sans savoir qu’elle le doit, en partie, à l’épisode matinal.
Le soir, un peu avant de partir, je reçois un message bref « passe » Nul besoin de vérifier, je sais de qui il vient. Je pense même que si je l’avais reçu, après mon départ, je serais retourné. Je l’efface aussitôt, prépare mes affaires et me sépare de ma compagne sans paraître trop pressé.
Quelques minutes plus tard, je reviens pour la troisième fois de la journée chez Isabelle.
Elle me reçoit vêtue d’un peignoir court qui met sa silhouette en valeur. Ses mules à talons la grandissent lui conférant une position dominante supplémentaire.
• « Entre ! Tu n’es pas pressé ?
• Euh … Non
• Bien ! Alors déshabille-toi et va te mettre en position au salon ! » J’obéis bien sûr aussitôt et me déshabille dans l’entrée, sous les yeux d’Isabelle qui, voyant mon érection, rigole franchement « Au moins, on voit que çà te plaît et que tu es opérationnel ! »
Je me dirige ensuite au salon et là, qu’elle n’est pas ma surprise. Un homme est assis sur le canapé, aussi nu que moi, qui lui ne semble pas surpris par mon arrivée. La conséquence de cette découverte est que je débande aussitôt, ce qui ne m’empêche pas de prendre inconsciemment la position demandée par Isabelle.
Celle-ci, passant près de moi, rejoint l’homme. Elle a quitté le peignoir et s’asseyant à ses côtés, l’enlace.
• « Voilà l’esclave dont tu m’as parlé, dit l’homme.
• Tu vois qu’il obéit bien, même s’il a une petite faiblesse due à ta présence. Je te présente mon amant me dit-elle, enfin, celui du jour, nous venons de faire l’amour et comme tu es encore par-là, tu vas me servir. Viens nettoyer nos débordements ! Commence par sa queue !
• Je …
• Ne discute pas ! Tu as bien sucé mon gode cette nuit, alors suce-le ! » Je m’agenouille alors entre les jambes de l’amant d’Isabelle et entreprends de nettoyer sa queue couverte du jus de sa maîtresse mais aussi de son sperme. Je m’applique et me rend compte que l’homme n’est pas insensible. Sa bite regonfle entre mes lèvres.
• Ah putain ! Il suce bien ! C’est meilleur qu’une femme ! Il me fait bander le con !
La queue de l’homme est maintenant bien propre et Isabelle me demande de m’occuper à présent d’elle. Je change alors de place et retrouve son odeur et sa mouille, mais aussi celle du sperme de son amant.
- « Tu vas voir, il m’a bien rempli, alors tu as de quoi faire. »
Elle contracte les muscles de son vagin et je reçois le mélange de cyprine et de sperme que j’avale, puis continue à laper. Je vois là aussi rapidement, que le clitoris de ma maîtresse sort de son capuchon et se dresse. Alors que je me concentre sur ce bouton, je sens bouger à ses côtés. Isabelle me prend la tête et la maintient sur sa chatte. Son amant passe derrière moi. Je le sens se positionner, m’écarter les jambes et poser son gland sur mon petit trou. Je m’attendais bien à cela de la part de ma maîtresse. Ne me l’a-t-elle pas promis cette nuit ? Mon trou s’est tout de même refermé depuis mon enculage de la nuit. Isabelle dit à l’homme de prendre du gel sur la table et ne pas oublier la capote. Je ne résiste pas, en attente de la suite à venir que je sais inéluctable. Au fond de moi j’ai envie de montrer à ma maîtresse que je lui suis entièrement soumis. Elle se rend compte de mon abandon, me relève la tête et déclare :
• « Tu sais ce qui va t’arriver ?
• Oui Madame
• Et tu te laisse faire, tu aimes te faire enculer ?
• Puisque c’est vous qui le voulez, je n’ai rien à dire, Madame
• Mais tu aimes çà aussi, il n’y a qu’à voir comment tu as joui cette nuit !
• C’est vrai que vous m’avez bien enculé, Madame et j’ai joui comme jamais, mais je ne l’ai jamais été par une vraie bite.
• Eh bien on va te dépuceler alors ! Demande-le gentiment !
• S’il vous plaît Monsieur, Enculez-moi ! Défoncez-moi, je suis une salope, la pute de Madame Isabelle !
• Voilà une sacrée pute ! Tiens ! Puisque tu aimes çà ! Merci Isabelle ! Tu m’avais promis le cul d’un mec, c’est génial ! J’aurais jamais pensé me faire un mec !»
L’homme s’enfonce d’un seul mouvement. Je le sens bien passer mais sans douleur. A ce moment là je regarde Isabelle droit dans les yeux, pour lui montrer que si j’offre mon cul, c’est pour elle. Je crois qu’elle comprend mon message car elle relève ma tête et pour la première fois m’embrasse.
• « C’est bien ma petite pute ! Tu me fais honneur ! Mange moi bien pendant qu’il te baise et fais moi bien jouir tu auras ainsi ta récompense ! »
Le rythme est donné par l’homme qui m'encule et je lèche ma maîtresse avec plaisir. Mon travail doit être efficace car je reçois très vite une première ration qui envahit ma bouche, puis plus tard, un nouveau jet, quasi en même temps que celui de son amant qui se répand dans le préservatif.
Je ne jouis pas cette fois-ci malgré le plaisir qui montait doucement, mais, docile et bien formé par Isabelle, je nettoie sa chatte avant de me retourner, d’enlever la capote en faisant attention de ne pas en répandre le contenu et je m’occupe pour la deuxième fois, de la queue de « notre » amant.
• « C’est bien ! Tu peux rentrer chez toi maintenant » lance-t-elle, lorsque mon travail lui semble terminé. Je la soupçonne de l’abréger en voyant que j’y prends plaisir
Je laisse les deux « amants », pendant que je me rhabille dans l’entrée, j’entends les commentaires de l’homme qui m’a enculé et dont je ne connais même pas le nom.
• «  Tu l’as trouvé où celui-là ? Il est parfait !
• Tu n’as pas besoin de savoir, mais je crois que c’est une perle, même s’il n’est pas complètement dressé.
• J’aimerais bien le baiser une autre fois, il est trop bon ! Et il suce comme une pro !
• On verra si l’occasion se présente, mais n’y crois pas trop. De toute façon il est à moi et c’est moi qui décide. »
Je quitte alors la maison, le cœur léger, fier d’avoir prouvé mon attachement à Isabelle, mais le cul endolori, le trou encore ouvert, je sens le gel sortir et tacher sûrement mon slip, mais qu’importe.
Depuis hier soir et ma « prise en main », je suis dans un autre monde, dans lequel je me fais enculer par un homme et par une femme qui me domine, ce dont je retire un plaisir insoupçonné.
Ce que ne sait pas Isabelle, c’est que les photos faites lors de la soirée me permettent de la retrouver une fois rentré à la maison. Ce qui provoque mon excitation que je calme en me branlant tout en imaginant des scénarios où je suis complètement soumis aux désirs lubriques de cette femme.
Je suis loin pourtant de me douter de la suite de notre relation.

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